Publié le 14/05/2010 à 13:03 par marine77130
Dis moi un mot gentil le matin
avant de quitter la maison,
Car il peux se passer tant de choses
en une journée
Et qui sait si nous nous reverrons .
Dis moi un mot gentil le soir
avant de t'endormir,
Car qui sait si demain matin
nous nous réveillerons .
La vie est si vite éteinte
et alors le dernier mot que tu m'as dis
n'est pas sans importance
la dernière question que tu m'as posé
n'est pas anodine .
Alors n'oublies jamais
que le dernier mot que tu m'as dis
peut être le Dernier !!!
Publié le 28/03/2010 à 19:16 par marine77130
Il était une fois... Cerise. C'était une jeune fille fort belle, mais horriblement paresseuse, rancunière, égoïste et cruelle. Cerise était une petite fille pourrie-gâtée par ses parents qui, un jour, eurent la mauvaise idée de lui acheter un cheval.
Ce cheval, c'est moi.
Elle ne m'aimait pas. Dès qu'elle me vit, elle éclata d'un rire aigre et suraigu. Moi non plus je ne l'aimais pas. Elle s'amusait à casser les branches d'un noisetier pour me fouetter les jambes avec ; après elle disait que j'étais laid et fou.
Avant, j'avais une vie paisible aux haras du Petit Coeur. Mais mon propriétaire était très pauvre et, lorsqu'une jolie femme (la mère de Cerise) lui a proposé une poignée de billets, il n'a pas pu résister. C'est tombé sur moi, Cook, le plus vieux des chevaux.
Cerise se lassa très vite de moi et retourna très vite sur son ordinateur chatter avec ses amies sur internet et écrire des commentaires d'hippophagie sur les skyblog. Son père trouvait que je coûtait très cher en foins et en eau. Alors il décida de me vendre. Mais mon ex-propriétaire ne pouvait pas me racheter, il avait tout dépensé l'argent de la mère de Cerise dans l'alcool. Le haras le plus près était complet, et l'écurie du Boulot avait brûlé à cause d'un petit rigolo qui avait laissé tombé sa cigarette sur la paille.
Alors j'alla dans un drôle de haras, d'après Cerise il s'appelle la "Boucherie". Drôle de nom. On m'emmena dans un camion. Les chevaux étaient tous maigres et blessés. Cerise ne m'a même pas dit au revoir, elle m'avait simplement donné un dernier coup dans les jambes avec sa branche. Son père travaillait, et sa mère regardait d'un air enjoué les billets. Puis je partis faire un terrible voyage.
Cette histoire veut bien dire ce qu'elle veut dire : il faut réfléchir avant d'adopter un animal !
Publié le 28/03/2010 à 19:08 par marine77130
TROP DE CHEVAUX SONT MALTRAITÉS AVANT DE FINIR DANS VOTRE ASSIETTE. CELA NE PEUX PLUS DURER, SI VOUS AIMER LES CHEVAUX, VOUS DEVEZ AGIR
Publié le 28/03/2010 à 19:06 par marine77130
c peut être mon cheval que vous mangez là !!!
Publié le 28/03/2010 à 19:06 par marine77130
Empêche-les de m'emmener...
Tu me regarde partir...
Même pas un signe...
Même pas un regard...
Tu pleures dans tes mains...
Mais sa ne sert à rien...
Tu ne peux rien faire...
Enfin, tu crois...
Tu ne m'as pas dis au revoir...
Mais moi je te dis adieu...
Tu me manqueras...
Ne pleure pas...
J'entre dans le camion...
Une odeur m'envahit...
Je regarde derrière...
Mais personne ne s'approche...
Je me fais bousculer...
Mais peu n'importe...
Je suis seul...
Enfin presque...
Dans un coin...
Il y a le vieux Pony...
Il en a tant vécu lui...
Il a tant été aimé...
Par les enfants...
La porte se referme...
j'entends le moteur démarrer...
Tout les chevaux sont secoués...
Mais bon...
Je t'entends crier...
Une dernière fois...
Mais ce n'est pas ta voix...
Des belles années passées avec toi...
Le camion démarre...
Et s'éloigne...
Petit à petit...
C'est trop tard...
Je ne suis plus d'ici...
Et je te le dis...
Une dernière fois...
Je t'ai toujours aimé...
Adieu...
Publié le 14/03/2010 à 14:26 par marine77130
Appuyez au hasard sur les touches du téléphone et dites à la personne qui prend les commandes d'arrêter de faire ça.
Commandez un Super Big Mac.
Avant de raccrocher, dites : "Rappelez-vous que nous n'avons jamais eu cette conversation."
Donnez juste votre adresse, dites "Surprenez-moi !" et raccrochez.
Ne dites pas quelles pizzas vous voulez. Epelez les noms.
Demandez ce que la personne qui prend les commandes porte comme vêtements.
Faites craquer vos doigts devant le micro.
Dites bonjour, taisez-vous pendant cinq secondes, puis faites comme si c'était eux qui avaient appelé.
Faites votre commande avec un air déterminé. S'ils vous demandent des boissons, paniquez.
Changez d'accent toutes les trois secondes
Demandez à louer une pizza.
Demandez si vous gardez la boîte de la pizza. Quand ils disent oui, soupirez de soulagement.
Eloignez le micro du téléphone au fur et à mesure que vous parlez. Juste avant de raccrocher, rapprochez-le et hurlez "Au revoir !".
Imitez la voix de la personne qui prend les commandes.
En fond sonore, mettez un film de guerre.
Demandez si le livreur peut rester et se cacher derrière un meuble pour faire une surprise à votre ami(e) dont c'est l'anniversaire.
Commandez juste une part.
Au milieu de la commande, interrompez-vous quelques secondes, puis dites "Où suis-je ? Qui êtes-vous ?"
Bégayez.
Demandez quel est le numéro de téléphone. Raccrochez et recommencez.
Donnez une adresse en Australie.
Ou un numéro d'immeuble qui n'existe pas.
Prenez un accent asiatique, exigez une garniture en viande de doberman, et étonnez-vous que ce ne soit pas possible.
Dites à la personne qui prend les commandes de dire à son patron que sa chaîne le vire.
Mettez un film d'horreur bien hurlant en fond sonore.
Utilisez des exclamations comme "Doux Jésus-Marie-Joseph"
Demandez-vous tout haut si votre pittbull est rentré.
Essayez de parler en buvant quelque chose.
Exigez un paquet cadeau.
Juste avant de raccrocher, ajoutez : "Avec un peu plus de xwrtrhjklm cette fois !"
Après la commande, demandez-vous tout haut "Je me demande à quoi sert CE bouton sur le téléphone". Simulez l'électrocution.
Quand on vous demande les garnitures, donnez le nom d'une autre pizza.
Grommelez "il y a une bombe sous votre siège". Si on vous demande répéter, dites "c'est bon la sauce aigre".
Commandez dès le début des champignons. Juste avant de raccrocher, dites "Et pas de champignons, s'il vous plaît."
Exigez de parlez d'urgence au patron. Passez-lui votre commande.
Quand on vous donne le prix, dites : "Houla, c'est compliqué; j'ai toujours détesté les maths."
Mettez la télé et cherchez une séquence où un coup de feu claque. Passez-la pendant la commande, et criez "Aaahh !!" quand le coup part.
Dites que le livreur n'a pas à avoir peur du crocodile ou du boa.
Demandez le nom de celui que vous avez au bout de la ligne. Plus tard, rappelez et dites "Bonjour, Monsieur Untel, c'est le service de réveil. Il est ( heure ), bonne journée." Raccrochez.
Commandez les garnitures lesplus compliquées, et demandez ce que veut dire "tomate".
Publié le 29/12/2009 à 15:31 par marine77130
pr fêter mon anniversaire, c super sympa !!!!
Publié le 16/12/2009 à 18:56 par marine77130
Publié le 11/12/2009 à 19:02 par marine77130
Ma plus folle amitié féminine est née lors d’un atelier d’écriture.
Elle était là, tapant du pied pour imposer sa vision du cinéma à un prof un peu mollasson, le cheveu noir et l’œil émeraude, moderne, garçonne, insupportablement intelligente. Elle avait la gouaille de Depardieu et le style de Juliette Lewis. Un mélange détonnant. On s’est mise à travailler ensemble sur un petit scénario. D’un commun accord, nous avions pris comme point de départ le texte de La femme juive* de Brecht. Personne, parmi les jeunes scénaristes du cours, n’a vraiment compris notre histoire. Peu importe : nous venions d’embarquer pour une amitié parfaitement indéfectible. Il y a eu les fêtes, les concerts, les heures sans fin dans la nuit à parler de livres et de cinéma, et le monde tout autour pouvait bien s’écrouler : Madame de… et moi, nous nous étions trouvées.
Comme par hasard, Madame de… et moi sommes devenues célibataires au même moment. Les choses sont devenues incontrôlables. Il n’y avait plus aucune limite à nos rendez-vous littéraires, cinématographiques et amicaux. De film en bouquin, de voyage en discussion, nous sommes devenues les sœurs siamoises, la blonde et la brune, sorte de tandem fêtard et barjot, obsédé par la culture. Si bien qu’au bout d’un certain temps, nous avons compris que notre fusion parfaite pourrait faire obstacle aux futures rencontres amoureuses. Tacitement, Madame de… et moi avons décidé de vivre nos petites passions annexes chacune de notre côté, sans trop les partager (même si c’était le fantasme bizarre de bon nombre de garçons croisés dans nos pérégrinations).
Or, un beau jour, un ancien amoureux traîne chez moi, ressassant, on ne sait pourquoi, des souvenirs qui n’ont plus lieu d’être (« tu te souviens quand je t’ai emmenée à Maubeuge, le clair de lune était magnifique… »). Sur un fil, au-dessus de ma baignoire, pendent ma lingerie et mes bas noirs fraîchement lavés**. Il attrape une petite culotte d’un air coquin et la brandit : “Je t’en ai volé une, je ne te la rendrai pas!” Je regarde l’objet et je me vois obligée de lui expliquer que cette petite chose en coton n’est pas à moi. Qu’elle appartient à Madame de…, et qu’il va bien falloir qu’il la rende. Le vieux soupirant me regarde perplexe. “Tu laves les petites culottes de ta pote?”. Difficile de répondre à cette question sans avoir l’air lesbien ou masochiste… Me voilà forcée de raconter toute l’histoire.
Magda : Madame de… est venue dormir récemment à la maison.
Le vieil amoureux fronce les sourcils. Il croit que j’ai viré ma cuti.
Magda : Tu ne me crois pas ? (Je lui mets un exemplaire des nouvelles de Maupassant sous le nez). C’est à elle aussi. Elle me l’a lu toute la nuit. Elle n’avait jamais ouvert Maupassant avant de me rencontrer. Elle m’en a lu des passages à haute voix jusqu’à quatre heures du matin. On a tellement ri qu’on n’en a pas dormi de la nuit.
Rien à faire, l’amant des temps anciens me regarde d’un œil charbonneux – Dark Vador, à côté, à l’air d’un souriceau inoffensif.
Le vieil amoureux : C’est ça, bien sûr. Donc Maupassant vous fait rire, Madame de… laisse des culottes traîner chez toi, et moi, je suis Benoît XVI.
Magda : Pourquoi, tu ne trouves pas ça drôle, Maupassant ? C’est tellement moderne…
Mon chevalier servant a cru que je me foutais ouvertement de sa gueule. Il est sorti sans crier gare en claquant la porte d’entrée. Et nous qui devions aller dîner dehors! Il ne me restait plus qu’à me faire des pâtes Leader Price. J’appelle Madame de…
Magda : Tu le trouves comment, mon ancien amoureux ?
Madame de… : J’ai le droit de dire ce que je pense ?… et toi, tu le trouves comment, le chevelu qui me draguait hier ?
Magda : Pas à ta hauteur.
Madame de… : On est foutues.
Publié le 18/10/2009 à 10:46 par marine77130
Pauvres animaux maltraités !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je les plains grave !!!!!!!!!!!!!!!!