LA COULEUR DES MOTS DE VÉROLe plus beau cadeau pour un poète c'est le sourire de son lecteur / Visite sur la vitrine de Corinne
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Date de création : 27.07.2014
Dernière mise à jour :
26.10.2019
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poignant cet écrit si véridique. je ressent la douleur dans l'atrocité. bravo http://chatala rose.centerblo g.
Par Bertino le Pascalo, le 02.12.2023
bonjour je suis ringo.star41@o range.fr mon site paradis d'espace il y'a près de 5 années que je ne mettait pa
Par Anonyme, le 25.04.2022
j'aime ce petit texte, comme entrée en matière,
la moitié de corinne, y manie bien les vers,
et donc pour cé
Par Patrick KOERIN, le 17.04.2022
j'aime ce petit texte comme entrée en matière,
la moitié de corinne, y manie bien les vers,
et donc pour cél
Par Anonyme, le 17.04.2022
joli tableau http://chezmoi c-estledessin. centerblog.net
Par chezmoic-estledess, le 26.12.2021
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acrylique acrylique sur toile aime amis amitié amour animal animaux background belle bisous bleu
RechercherMonica, la pauvre nouvelle chef d’orchestre
Les percussions reçoivent des coups
La contrebasse parle à voix basse
Les partitions tiennent par des trombones
Le violon sort de prison
La clarinette c’est pris perpette
Zut, elle est encore en retard la flûte
Pourquoi le trombone reste en coulisse ?
Rien ne va, Monica n’est pas contente
Ce concert fait déjà de fausses notes
Courage, tu dois faire de ton audition un art Monica
Véronique
Merci pour le dessinateur de ce superbe dessin
Perdue dans la nuit fraîche étoilée, mon chemin me fait arriver devant une maison
De cette ancienne masure isolée, la meulière solidifie toujours les quatre murs
Son lourd passé est protégé par les tuiles de la centenaire toiture
A mon approche, sous les hululements d'un hibou, surviennent mes frissons
Derrière une vitre poussiéreuse, j'aperçois une terrible vision
Le visage laiteux d'une vieille femme aux cheveux blancs et longs
Ses appels « au secours » m'attirent malgré ma terreur
Dans mon silence, j'entends mon cœur battre à cent à l'heure
Courageuse mais pas téméraire, je me dirige vers la porte d'entrée
Sous mes pas tremblotants, craquent les feuilles de l'automne passé
A la fenêtre, avec son sourire édenté, la dame me fais signe de m'approcher
Sans réfléchir, je rentre dans la demeure, vers elle, je suis captivée
Au fond de la pièce non meublée, je distingue cette personne vêtue d'une longue robe grise et usée
Tout à coup, son rire lugubre comme celui d’un fantôme la fait s'évaporer de mon horizon
Brusquement, la porte se ferme !, impossible de sortir, après plusieurs essais, cette maison devient ma prison !
Seule, après des jours passés dans la souffrance, collée à la fenêtre, j’observe la venue d'une personne pour me libérer
Véronique - le 30 novembre 2014
Pour des raisons que j’ignore,
tu es à la rue dormant chaque nuit dehors.
Mendiant dès l’aurore dissipant la nuit, honte à toi du regard
des gens, tes yeux rivés sur le bitume,
une main tendue pour quelques tunes,
tu gardes espoir pour te payer un repas matin, midi ou soir.
Trop fier pour accepter de l’aide, tes vêtements troués
et grisonnant de saleté,
pas rasé, ni coiffé, amaigri, ta santé s’est dégradée.
Depuis des mois ta vie est un cauchemar,
seul, du chômage au vagabondage, tu es devenu clochard.
Calfeutré sous une couverture, tu restes terré
comme un animal blessé,
sous la lumière d’un réverbère,
à l'abri des pilleurs de misère.
Les passants s’éloignent de ta pauvreté, de ta détresse,
tu ne tends plus la main pour quelques pièces.
Dans la fraîcheur de la nuit
l’on retrouve ton corps sans vie,
sous la lumière d’un réverbère.
Véronique - le 20 janvier 2013
Les astres au logis indéfiniment spacieux
se lèvent chaque soir sous mon regard curieux.
Apparaît aussi la lune reine de la nuit,
au galop du vent les nuages s’enfuient.
Plus un sifflement, les oiseaux silencieux
dans leur nid douillet dorment près des cieux.
Les couleurs s’estompent, la pénombre surgit,
les réverbères s’illuminent dans ma rue sans un bruit.
La fraîcheur m’envahit voleuse de chaleur,
je passe une bonne soirée au chaud dans ma demeure.
D’un songe lourd, la lune se réjouit
de traduire ma nuit en rêverie.
A petits pas le soleil s’éveille,
le chant des oiseaux me réveille.
Les secondes cavalent en galopant le jour
pour que la nuit revienne jour après jour.
Véronique - 20 janvier 2013
La trotteuse trottine chaque seconde
Les tic-tac imitent les battements de mon cœur
S’approche mon rendez-vous dans moins d’un quart d’heure
Sur ma montre, douze chiffres font une ronde
La trotteuse trottine chaque seconde
Elle seconde la minutepour être à l’heure
De bonne heure sonne à ma porte mon bonheur
Véronique
Elle drague tout sur son passage notre petite allumeuse
À la recherche d’un bien-aimé, elle est très joueuse
Fine comme une baguette magique, elle se transforme en rockeuse !
Elle drague chaque nuit notre petite allumeuse
Elle se venge de ses années passées si malheureuses
Son rêve serait de rencontrer la flamme de sa vie, qu’elle désire très heureuse
Un briquet couleur or l’accoste rapidement, il lui demande
« ça gaze chérie ? »
Quel flambeur celui-là, à coup sûr ce ne sera pas son chéri !
Il lui fait la causette « Aller, viens dans mon hôtel, ce sera chouette »
« Après le dîner, je te ferai voir mon allumette ! »
Pas du tout intéressée, notre dragueuse s’en éloigne, puis part se repoudrer le nez
Sur une ancienne amie bougie (il y a des années, elle lui tenait la chandelle),
elle tombe nez à nez
Toujours dans les étoiles, elle est du signe de la Vierge
Cette bougie a bien changé, lorsqu’elle était jeune, elle était cierge !
Notre allumeuse est attirée par une intense lumière d’où apparaît Lucifer
Impressionnée par sa beauté, elle se dit « celui-là, c’est une bonne affaire ! »
Notre dragueuse a eu raison d’avoir joué avec le feu
Depuis leur rencontre, ils s’embrasent souvent et vivent des jours heureux
Ces deux-là s’aimeront toujours !
Sous les feux de l’amour *
*Depuis, ils ont fondé un foyer
Véronique
Mon passé
Je t’ai enfin trouvé
Mon présent
C’est le bonheur avec toi chaque instant
Mon imparfait
Tu es plus que parfait
Mon futur
Je t’aimerais toujours mon amour, je te le jure !
Véronique - le 9 novembre 2012
Assis sur leur nuage, le soleil et la lune s’associent pour réaliser
vos rêves les plus secrets
Chaque instant, chemine sous une pluie magique, la joie,
la santé, la prospérité
Sous un vent tranquille, le bonheur s’éparpille sur votre famille
Je vous souhaite une excellente année étincelante d’étoiles filantes
Recevez toute mon amitié
Bisous...
Véronique
Coucou Romain, je suis un ours polaire fabriqué par un Lutin,
je m’appelle Honoré, je veux passer chaque instant à tes côtés.
Tu verras, malgré mon jeune âge,
je suis sage comme une image.
Le Père Noël m’a dit que tu es un petit bonhomme super gentil
avec des quantités de qualités. C’est pour cela que je t’ai choisi.
Je suis content de devenir ton copain, on jouera tous les deux
et avec tes amis si tu le veux.
Si tu le désires, je peux dormir auprès de toi,
tu seras dans mes rêves, je serais ton doudou. Alors, s’il te plait, adopte-moi.
Tu me feras des câlins avec tes mains à la douceur
de tes doigts et de ton cœur.
Romain, je suis Honoré de te rencontrer,
tu seras et resteras mon cadeau préféré.
Merci cher Père Noël pour mon nouveau jouet.
Mon vœu c’est enfin réalisé.
Signé Honoré
Véronique