Quand on a le plein plaisir

Instinctif  automatiquement le déplaisir de son esprit viens

L’homme est comme un volcan

Il est animé de l’intérieur

La femme cette impur

 Des âmes qui sont sur

 D’être l’armure

 De l’homme dans sa détresse

 Femme tu sèmes au hasard

 Le feu et la Pluit

 Et de toi

 Beaucoup on déduit

La voracité de tes assauts

Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés

La douleur fait ouvrir l'oeil à l'homme qui sait regarder

La langue paysage mystique

Et l’homme la visite avec curiosité

Il voit en elle sa propre musique

Et elle le pousse à méditer

Ses savoureuses notes

Comme les rafales de la pluie

Alimentent nos contes

Approfondissent nos pensées

Des belles imagesDans notre imaginaire se dessinent

Sentir nos beaux rivages

Que l’inconscience anime

Heureux parmi les heureux

D’être le disciple de ce grand secret

Le poète attend les cieux

Et ses orages tant aimés

Le voyage

.J’aime ce voyage dans l’inconnu A maintes reprises mon coeur mis à nu Etant l’amant des plaines sauvages Je n’ai jamais eu le coeur reposé Mes sens toujours en pèlerinage Dans cette vie décomposée Rappelle ô mon coeur Les hommes de la forêt Toi qui sais mourir Pour savourer au réveil Personne ne mettra à l’arrêt Le chant de la vie Ces êtres étincelles

Baudelaire

J'aime cet être énigmatique le roi des fous

Et sa folie a vu le jour dans ses fleurs maladives

L'esprit philosophique de Baudelaire

Réside dans sa force à aimer la douleur

De l'aimé jusqu'à perdre la raison

Je suis le couteau et la plaie

Le martyre et le bourreau

Le souffle et la joue

Les fleurs du mal sont un exemple

D'une conscience dans le mal

Maitre de nos pas juste