Publié le 29/01/2011 à 18:35 par vraimentbien
And thank god, sometimes, I watch a film, I hear a song, I eat some chocolate, don't giving a shit about weight, I receive a nice text, and I smile.
I feel happy. Happy thanks to the little, common things that make us realise life isn't that grey. I can be in my bed, or at the bus station, or in the train or just sitting somewhere.
We're lucky.
2 isn't enough. There must be 3 at least. So we can rely on. Because when you're two. And the one goes, you stay alone.
I just ate a whole box of chocolates. I must be very happy !
A minor incident - Badly drawn boy
Publié le 25/01/2011 à 22:11 par vraimentbien
I know, you're going to break my heart. Like they all did. But I don't even try to escape. Now that I can. Now that I know, I'll survive to it. I keep saying that love is unreal, and that I don't care. But, but let's stop blinding ourselves, we all know that it is not what I feel. I feel that someday, it'll happen to me. Someday the perfect prince will show up finally and will take me away. I scream out loud that I don't give a fuck, but I secretly wish someone will come. Is that, the reason why I'm sad ? Is it because I'm fucking scared and I don't know what I have to do, or think ? Is it because I'm disapointed, once again ?
That say that when we're older we stop falling in love. Bullshit. It's just going worse everytime I think about it. Maybe because we think "I got so harmed those times, maybe now I'm going to be happy.".
I don't know. This is what I know. I don't know.
Publié le 08/01/2011 à 19:46 par vraimentbien

Car c'est ça la vie. On tombe amoureux. On es heureux (amoureux rime avec heureux, assez représentatif de nos priorités). On es moins heureux. On es plus amoureux. On retombe amoureux , et tout recommence. Et là c'est la catastrophe. Parce qu'on se rend compte que plus ça va plus c'est dur. On arrête d'être amoureux. Parce que ça n'en vaut même plus la peine. Mais on recommence. Et on croit que ça sera différent. Parce qu'on croit toujours à l'amour, ce sentiment si lointain et si proche à la fois. C'est comme si notre route était faite de désillusions et d'instants de bonheurs successifs. rnEt on rêve de passer tout le reste de notre vie dans notre lit. rnQuelques mois plus tard, on y repense, et on rit. Après une personne nous tombe dessus. On se dit "ça y est, c'est bon". Mais ce n'est jamais bon. Et on chante, et on saute dans la rue, on rit, on vit. Puis arrive le moment , l'épée de Damocles s'abat sur nous, et tout ça et fini. On doit réapprendre à croire. Retrouver la motivation. Cette motivation qui nous fait mettre le pied gauche devant le droit. rnAinsi va la vie.rnEt on se réveille. On es vieux. Et notre vie est finie. Regretterons nous ?
"Je me sens prêt à retomber amoureux comme un enfant, oui, pourquoi pas, une dernière fois... Lorsque je grelotte dans la rue Arbat, parfois les musiques dans le brouillard me donnent envie de mourir d'amour pour une fille qui n'existe pas..." Beigbeder. Au secours pardon.
Publié le 17/11/2010 à 17:26 par vraimentbien

Je le dis une fois, deux fois, trois fois, mais je ne m'y tiens pas. Je le répète sans cesse. Mais j'ai besoin de le redire encore une fois parce que je n'arrive pas à me faire à cette idée. Je m'oblige moi même à dire game over, alors que je sais au fond de moi, que je repousserai cela jusqu'à-ce que je n'aie plus le choix, et que je sois forcée à agir et penser en conséquence. Je crois qu'il serait impossible de compter combien de fois j'ai pu le dire en ces quelques mois. Combien de fois je l'ai pensé même. Il était fou de penser que je pouvais y arriver seule. Je peux prétendre. Ça, je sais bien le faire, mais me prendre réellement en main, jamais. Il me faut quelqu'un pour me la tendre cette main, et après , ça s'arrange. Ou au moins, ça se délocalise dans l'espace et le temps. Il serait temps n'est-ce pas ? Bientôt 5 mois. Quel gâchis. 5 mois, c'est tellement énorme par rapport à notre petite vie. 5 mois à passer à côté de plein de choses que j'aurais pu connaître, 5 mois à vivre du passé. Je le dis maintenant, mais je suis sûre que demain, ça sera reparti. Et je gâcherai encore une journée à penser. Encore une journée à me cogner au mur de l'indifférence.
"L'indifférence, elle te tue à petits coups." [Gilbert Bécaud]
Certes, l'indifférence marque la fin, l'indifférence montre le moment où il faut quitter la pièce.
Il n'y a plus de choix, il s'est fait tout seul. Enfin je l'ai fait, mais plus par raison que par envie. La méthode Coué ne marche pas. L'espoir ne marche pas. Seule la raison et les yeux grands ouverts y peuvent quelque chose.
Voilà, je sors, je casse les couverts, je jette tout à la poubelle, et je ferme la porte. Une main m'attend.
Parler moins, pour penser moins.
Publié le 08/11/2010 à 23:08 par vraimentbien
Arriverais-je un jour à tirer un trait? Mettre un point final? Cocher et dire au suivant?
La musique sonne encore dans mes oreilles. Et je me revois. En train de danser, tourner comme une folle. Ou comme une gamine de 5 ans juste heureuse de danser.
Je pourrais redanser, mais j'ai peur. Peut que la danse nouvelle ne vaille pas l'ancienne. Peur de la désillusion. Parce que une fois la danse commencée, je ne pourrai plus m'arrêter. Plus revenir en arrière.
Peut-être devrais-je arrêter de me poser tant de questions. Sans doutes, oui.
Prendre cette main qui se tend , là , devant moi.
Mais je n'y peux rien, parce que la musique sonne encore.
Je me revois. En train de dire "je t'aime". Ou peut-être pas. Je ne m'en souviens plus. Je ne sais plus.
Comment décider ? Comment choisir?
Personne ne le sait.
Publié le 21/10/2010 à 20:56 par vraimentbien
En y repensant lucidement. Après avoir laissé les souvenirs derrière, après avoir digéré le temps, je me dis, ouais, c'est peut-être finalement mieux comme ça.
Après tout on ne peut pas en vouloir à quelqu'un de tenir à sa liberté. Avant, personne ne se souciait vraiment d'eux. Ils étaient tous seuls, sur leur planète, assez tranquilles, il faut l'avouer. Et tout d'un coup PAF, ils se sont cognés à nous. Ce qui bien sûr à tout chamboulé dans leur petite vie, leurs petites habitudes. Quelqu'un a commencé à se faire du soucis pour eux, quelqu'un a commencé à vouloir avoir de l'importance pour eux, de mettre des petits bouts dans leur vie. Malgré le fait que c'était bien, que c'était chouette finalement de ne plus être tout seul, ils se sont rendus compte que leur liberté leur manquait. Et que les sacrifices à faire ne valaient pas la récompense. Et que maintenant, c'est dur de se l'avouer, mais ils vont mieux. Eh ouais. Il est temps d'arrêter de croire que ce qui est mieux pour nous est mieux pour tout le monde.
De quel droit voulons nous enchaîner quelqu'un d'ailleurs? C'est de notre faute finalement.
Pour moi, et pour tous les autres, il est temps d'ouvrir les yeux. De croire ce que l'ont voit, et pas ce que l'on veut voir.
Deuil ? ON
Publié le 08/10/2010 à 22:34 par vraimentbien
Bien des fois je m'en veux d'être restée sur ce canapé ce soir là.
Bien des fois je t'en veux d'avoir été sur ce canapé ce soir là.
Publié le 06/10/2010 à 19:38 par vraimentbien
Tout le monde me manque en ce moment, même ceux qui sont tout près. C'est comme si ils n'étaient pas là. J'écris ces mots alors que je suis censée partir dans 5 minutes, mais je ne peux pas m'empêcher. Tout me manque. Chaque personne me manque.
Ce manque doit venir de l'intérieur, pas de l'extérieur. Ou bien le manque de certaines personnes accapare tout, et me cache la vue sur les autres. Je ne sais pas. Je ne sais plus. J'ai oublié ce que je voulais, j'ai oublié qui j'aimais, j'ai oublié que je peux être mieux. Et je m'enfonce, et j'y vais avec le sourire.
Ferme les yeux, serre les dents. SOURIRE. Il fait toujours sourire. Ce n'est qu'en se persuadant soi-même que tout va bien, que les choses pourront changer.
Et si mes envies, se transforment en regrets ? Ais-je le courage d'aller au devant de mes envies. Je crois que non. Je crois que je vais continuer à sourire. Et dire "pourquoi pas". Au moins un pourquoi pas, me fera oublier le pourquoi. Pourquoi c'est comme ça. Est-ce de ma faute ? Aurais-je mieux fait d'attendre. Cette question me bouffe comme tes yeux.
Et si je n'avais pas fait ça ? Et si j'avais attendu ? Et si j'avais essayé de t'aider au lieu de penser qu'a moi ?
Avec des si je pourrais remettre le monde en place. Il est tout distordu. Il est tout cassé. Soit le monde a changé de côté ou bien c'est moi qui me suis retournée. Comment savoir ? Comment dire ce qui se serait passé. Et si j'en parlais ? Et si j'avais le courage ? Et si je décidais finalement de m'octroyer un peu de bonheur ? HA ! Non je ne le ferai pas. Pourquoi ? Je n'ai visiblement pas assez de couilles pour le faire. Et si un jour je m'écoutais un peu ?
Bon je suis en retard. Je suis plus légère.
Je vais m'écouter.
Publié le 26/09/2010 à 19:00 par vraimentbien
Je voudrais juste te dire, que tu me manques. Ce n'est pas insupportable, j'y survis. Même bien je dois dire. Il y a même des moments où je suis heureuse, et je me sens bien.
Je voudrais juste te dire, que je te trouve toujours beau.
Je voudrais juste te dire, que tu es et as été assez imparfait pour me rendre heureuse.
Je voudrais juste te dire, que si tu ressens quelque chose, je t'en prie, dis le. Tu peux même le crier, même si je sais que tu ne le ferais pas. Tu peux l'écrire éventuellement. Je te croirai.
Je voudrais juste te dire, que je m'inquiète pour toi. Que c'est constant. Que je ne peux plus supporter la façon dont tu agis. Que ça me bouffe de ne rien pouvoir faire, de n'avoir plus d'influence.
Je voudrais juste te dire, que souvent encore mon ventre se tord.
Je voudrais juste te dire, que je vais bien, ne t'en fais pas.
Je voudrais juste te dire, que je n'oublie pas. Que j'en ai envie. Mais comme un livre trop intéressant tu m'obsèdes.
Je voudrais juste te dire, que je vais bientôt partir. Que je le sais. Qu'il faut que tu te dépêches.
Je voudrais juste te dire, te prier même de donner des réponses à mes questions. Juste trois lettres. Je m'en fous de ce qu'elles représentent, je veux juste connaitre la vérité. Je pensais la connaître. J'en étai convaincue même. Et là, une seule toute petite idée a répandu le chaos entres toutes celles qui savaient.
Je voudrais juste te dire, que je te guette.
Je voudrais juste te dire, que tu n'es pas l'amour de ma vie. Que nous sommes trop jeunes pour ça.
Je voudrais juste te dire, que je suis pas si forte que ça.
Je voudrais juste te dire, que tout ce que tu penses est faux. Que je souris, parce que je suis comme ça. Parce que j'ai besoin de te montrer ce que je ne veux pas que tu comprennes.
Je voudrais juste te dire, que j'en ai marre. Que je suis perdue. Que perdant le miroir qui montrait le plus beau reflet de moi, je suis devenue floue.
Je voudrais juste te dire, que tu as laissé plus de vide qu'il y en avait avant.
Je voudrais juste te dire, que j'ai confiance en toi.
Je voudrais juste te dire, que j'espère que tu penses à moi.
Je voudrais juste te dire, que quelqu'un d'autre me plait.
Je voudrais juste te dire, que tu m'allais bien. Que je n'avais besoin de rien d'autre.
Je voudrais juste te dire, que quand tu arrives, je te vois au loin. Et donc je reste plantée là. Comme un poteau, retenue par l'envie de te regarder. De recroiser ton regard.
Je voudrais juste te dire, que je me fais plein de films dans ma petite tête.
Je voudrais juste te dire, que je me suis brûlée. Que je suis une idiote.
Je voudrais juste te dire, que mon dessert préféré c'est la poire au chocolat.
Je voudrais juste te dire, que le temps passe, que les choses s’effacent. Mais que des fois, d'un coup, sans prévenir elles reviennent.
Je voudrais juste te dire, que j'ai envie d'embrasser ta nuque.
Je voudrais juste te dire, que je rougis quand j'y repense.
Je voudrais juste te dire, que j'ai changé, mais que tu ne le vois pas.
Je voudrais juste te dire, que à cause de toi, tout le monde croit que ça ne va pas. Et ils ont tous raison. Donc je mens.
Je voudrais juste te dire, toute ces choses que je ne te dirai jamais.
Publié le 22/09/2010 à 23:01 par vraimentbien

I had scissors in my hand, and all I wanted to do was to cut my hair. Change something. Become a different person. Of course, I was too coward to do that. I just put them down on the table, and lokked for something else to do. I found nothing to do. So I write. Everything that comes to my mind. If I want to describe what is happening inthere, I wouldn't even know what to put first. Seems like chaos. And I don't think I even want to change that. Maye I like to stick in my problems. Maybe it is easier for me when I've got a hundred things to think about instead of one. Or instead of nothing. I want to move out/on. But I've got to remember that before I do anything I've got to get over. I talk to you because it is easier to talk to everybody and noone that talking for real. Maybe I talk too much, just because I've got too much things to keep secret. I want to hide. I need to hide. So I smile, and laugh, and talk and talk talk talk. Maybe it woul'd be easier to go away. Next year I mean. Create a new reality. But how long will I ave to run away like that ? Is it because I don't feel at home anywhere. Just like the places I've been were never a place for me. Maybe because everywhere, when you stay longer, new problems grow. I don't know what to think, what to do, what to want. There are few things I truely want, but I can't get them. Maybe today wasn't the day.
What if it is true ? What can I do ? I'll do nothing. And I'll loose.
The thing I've got to realise finally, is that I've already lost.