Chapter Text
POV CHAY
J’avais reçu un sms de Kimhan, en me disant de me laver et de porter la tenue et les accessoires qu’il m’avait préparés sur le lit.
La tenue se composait de l’une de ses vestes en cuir noir qui s’arrêtait à la limite de mon sexe, des pinces à tétons, du lubrifiant et un petit plug anal.
Toute la semaine, je n’avais pas été avec Kim, mon tendre petit-ami qui prenait soin de moi. Ni Wik, qui jouait et composait des chansons avec moi, mais avec la troisième facette de mon partenaire, Kimhan, le prince de la mafia, qui est mon protecteur mais qui aime me dominer et que je sois désespéré.
J’ai fait la rencontre de Kimhan lors de l’attaque au bar de Yok, quand des hommes avaient voulu me tuer, il était apparu tel « un destructeur ». Je jouais à un jeu de combat, donc j’avais mis quelques secondes à comprendre qu’on intentait à ma vie. Je m’étais planqué derrière le canapé, où je l’avais vu tuer ces hommes sans difficulté, il était tellement rapide, ses gestes étaient précis. Tous ces hommes gisaient à ses pieds.
J’avais été tellement terrifié et fasciné que j’avais perdu ma voix. Lui non plus ne m’adressa pas un mot, il ne faisait que me fixer.
Macau, le petit frère de Vegas était apparu. Il m’avait dit de le suivre, qu’il me conduirait au refuge jusqu’à la fin de l’attaque. Je le suivis sans rien dire, j’avais perdu toute capacité à réfléchir.
Deux jours plus tard, je rentrais au manoir principal.
Je découvris que le père de Vegas et Macau était mort. Gunn avait tiré sur Korn, mais il s’en remettrait. Vegas avait pris la place de son père et que Pete et Vegas avaient officialisé.
Kim était là aussi, épuisé, avec quelques blessures mais très superficielles. Quand j’avais voulu lui parler de l’attaque au bar, il m’avait de nouveau fui.
Quelques jours plus tard, Macau m’avait invité chez lui et Kim et m’avait tout raconté sur les conseils de Phi Vegas.
J’avais décidé de donner une seconde chance à Kim. Je sais que Hia n’aime pas mon partenaire, mais il est conscient qu’être le petit ami de Kimhan Theerapayakul et vivre chez lui, est sûrement ma meilleure protection. Même contre Korn.
Kim m’avait enseigné le sexe doux, comme Wik m’avait enseigné la musique et Kimhan, le sexe non conventionnel. J’avais exprimé que j’aimerais le faire en public au club.
Kimhan m’avait promis que si je ne me comportais bien cette semaine, il réaliserait ma demande.
Devant le lit, j’étais aussi effrayé qu’excité.
Je commençais par titiller mes tétons entre mes doigts, je gémissais. Quand ils furent assez durs, je mis les pinces à tétons, la douleur me fit gémir de plaisir. Puis j’attrapais le lubrifiant et je commençais à me doigter, ce fut rapide car j’étais tellement ouvert, vu le nombre de plugs que je m’étais enfoncé. Celui-ci était tellement petit, mais je savais que c’était une nouvelle façon pour Kimhan de me torturer. Je le mis au minimum. Puis j’enfilais la veste qui s’arrêtait à la limite de ma verge.
Kimhan arriva quelques secondes après.
« Chay, es-tu prêt ? Demanda t-il.
Je pouvais dire non maintenant et à tout moment, je pouvais arrêter. C’est ce que j’avais appris avec Kim, le plus important est le consentement. Et ce n’est pas parce que tu es d’accord à un moment que tu peux l’être à un autre moment.
- Oui répondis-je. »
On alla avec l’une des voitures de sport au club. Kim s’amusait à accélérer ou ralentir le plug. En arrivant il m’ouvrit la porte, il m’aida à sortir de la voiture. Il m’enlaça et caressa mes fesses, tout en effleurant mon cou de ses lèvres, je me penchais pour avoir plus de contact.
« Kimhan gémis-je.
- Déjà si désespéré que tu me laisserais te baiser ici.
Je sentis un choc.
- Peut-être un jour, mais pas encore.
- Et si ce n’est jamais le cas, cela n’a aucune importance me rassura-il.
Ce soir, on avait décidé qu’on le ferait dans l’une des chambres à l’étage. Les gens pourraient observer à travers les vitres mais ne pourraient pas participer »
Après la discussion entre Kimhan et Phi Vegas, on monta.
La chambre était immense et vitrée de tous les côtés pour que les voyeurs puissent assister à tout ce qui se passait. Il y avait des rideaux si on souhaitait plus d'intimité. Sur la porte, un panneau feu rouge qui interdisait les gens d'entrer.
Il y avait un magnifique salon avec une table basse et le long des murs des vitrines avec différents objets exposés. Au sol, des tapis blancs tous doux recouvraient l’entièreté de la pièce
« Je veux que tu commences par te caresser et tu vas choisir l’un de ces plug et le chevaucher. Je veux que tu me séduises, et tu seras récompensé si tu y arrives.
J’avais envoyé plusieurs fois des photos ou des vidéos coquines à mon compagnon, quand je voulais qu’il rentre plus vite mais je ne l’avais jamais fait en direct.
Je pris l’un des plug dans la vitrine qui était de taille moyenne avec une télécommande et du lubrifiant.
Pendant ce temps-là, Kimhan s’était entièrement déshabillé, il ne portait qu’un boxer
Je me mis à genoux, les jambes bien écartées en face de mon partenaire. Je commençais par insérer un doigt enduit de lubrifant entre mes lèvres en faisait tourner ma langue, pendant que soulevais mes fesses et j’insérais un premier doigt que je fis bouger.
Je regardais mon amant, qui me souriait de façon diabolique, alors que je me sentais si désespéré.
Puis je mis un second doigt entre mes lèvres, pendant que j’insérais un second doigt en moi et les bougeais en poussant des gémissements,
Son sourire était toujours sur son visage.
Puis j’insérais un troisième doigt dans ma bouche et un troisième doigt en moi. Mon regard déviait vers ses mains que j’imaginais en moi. Je vis ses mains légèrement serrer l'accoudoir, malgré son sourire diabolique sur son visage.
Je décidais de le provoquer. Je me tournais pour faire face aux voyeurs de l’autre côté. J’insérais le plug en moi et je mis la vitesse moyenne, pendant que je suçais mes doigts de façon suggestive.
- Chay, c’est moi que tu dois me séduire si tu veux être récompensé.
J’enlevais les doigts de ma bouche.
- J’ai essayé toute la semaine et tu m’avais promis que je serai récompensé. Et de nouveau tu me laisses m’amuser seul alors que la seule chose que je veux, c’est que tu t’amuses avec moi. Si je m’amuse seul, je peux peut être divertir un nouveau public et peut-être parmi eux, l’un voudra s’amuser avec moi.
Sa réaction ne se fit pas attendre, il se leva précipitamment, m’attrapa le poignet et me fit lever, de l’autre main, il attrapa le lubrifiant et le sex-toy. Mon dominant s’assit sur le canapé et me fit asseoir sur ses genoux, où je sentis un premier doigt entrer.
- Est-ce que la rébellion de Pete t’a donné des idées ?
- Je veux obtenir ce que tu m’as promis.
- Tu ne dois rien exiger quand tu es avec moi.
Je sentis un second doigt s’insérer en moi, j’essayais de bouger plus, mais il avait enroulé son bras autour de ma taille, m’empêchant de bouger, pendant que ses lèvres léchait mon cou, je me penchais pour avoir plus de contact.
- Regarde ton public, Chay. Ordonna mon dominant.
Je regardais mon public. Je sentis la main qui était autour de ma taille commencer à caresser de façon très lente et douce mon corps, je me tortillais.
J’en voulais plus, mais si je demandais j’allais être puni.
Mon vœu fut exaucé, il tira sur la chaine des pinces à tétons.
- Ah ! Hurlais-je en me cambrant contre lui.
Il tirait encore dessus, pendant qu’il mordait mon cou, j’aurais une belle marque. Pendant que je sentis un troisième doigt entrer en moi. Je sentis sa chevalière frotter contre ma prostate.
- Oui ! Oui !
J’adorais la douleur qu’il m’infligeait, sentir sa peau contre la mienne, son odeur, la chaleur de son corps. J’étais désespéré mais en sécurité auprès de Kimhan.
Puis sa main descendit et laissa des griffures sur mon corps, je me frottais contre lui. Je sentis ses doigts s’enfoncer plus profondément, je chevauchais ses doigts, mais ce n’était pas assez.
- Plus! suppliais-je.
- Tu veux plus de doigt ? Tu veux ma bite.?
- Donnes-moi ce que tu veux, mais plus.
- Et si je refuse.?
- Dis-moi ce que je dois faire.
- Je vais te rendre encore plus désespéré.
A peine ces mots furent prononcés, que je sentis ses doigts s’enrouler autour de ma verge dure et me masturber de façon lente, tout comme ses doigts qui avaient ralenti
- S’il te plait Kimham laisse-moi jouir! suppliais-je.
- Regarde toi, déjà si désespéré. Je me demande ce que Kim et Wik voient en toi de si angélique, alors que tu es juste un animal désespéré simplement parce que tu n’as pas été baisé pendant une semaine.
- Pas seulement baisé, Kim et Wik m’aiment, me calinent, m’embrassent, me laissent dormir à leur côté.
- Alors je devrais peut-être arrêter de te baiser.
Kim enleva ses doigts
- Non! suppliais-je.
Kim remis ses doigts.
- Kim te regarde avec tellement d'amour, il ferait tout ce que tu lui demande et Wik écrit un album entier sur toi, il sont tellement pathétiques.
- Ils m’aiment et je les aime.
- Oui, mais avec eux, tu ne peux pas être si désespéré.
Remercie-moi de te doigter.
- Merci.
- Je ne suis pas convaincu, je veux que tu me remercie à chaque fois que je te doigte, que je te branle, que je te baise avec ma queue.
-Ah Kimham. Merci, merci haletais-je.
Il enleva ses doigts mais ils furent remplacés par sa bite. J’enroulais mes mains autour de sa nuque, je soulevais mon corps au rythme effréné des coups de reins de mon partenaire, ses lèvres capturèrent mes lèvres, m’entrainant dans un baiser passionné, pendant que ses mains allumaient un incendie à leur passage sur mon corps, entre mes cuisses
- Je veux aussi que tu me remercie à chaque fois que je te fais jouir.
Kim donna un coup de rein plus fort et on jouit. Mon partenaire me souleva et inséra le plug.
- Je veux que tu gardes ma semence en toi et nous partirons quand tu seras assez rempli. Je te l’enverrai une fois arrivés à la maison. »
Mon dominant s’amusa plusieurs fois, que ce soit avec ma bouche en m’embrassant passionnement jusqu’à me mordre, en me faisant sucer sa bite. Il me masturba et me suça juste pour me rendre dur. Je ne jouis qu’avec sa bite en moi.
Je quittais la chambre comme j’étais venu, avec sa veste sur moi, des pinces à tétons et un plug anal, mais plus gros que le précédent. Quand je descendis les escaliers, je m’arrêtais pour observer Phi Vegas et Phi Pete.
On rentrait à la maison. Mon partenaire me fit jouir une dernière fois sous la douche. Il me lava avec tendresse pour effacer toute trace de nos ébats.
Nous étions dans notre lit, j’avais ma tête sur le torse de mon partenaire, quand mon téléphone portable se mit à vibrer. Je l’attrapais et je vis un SMS de Pete que j’ouvris.
« C’est Pete, il voulait savoir comment c’était passé ma première expérience au club . Il m’a dit qu’on pouvait parler entre soumis si j’en ressentais le besoin.
- C’est une très bonne idée, nous parlons souvent de nos expériences avec Vegas dit Kimhan.
- Tu sais j’étais très impressionné par ce que faisaient Phi Vegas et Phi Pete.
- Es-ce que tu veux que la prochaine fois on soit sur une scène ?
- Non, mais j’aimerais m’amuser avec toi et eux …. Je ne veux pas que tu penses que tu ne me suffis pas.
- Je ne pense pas cela et on a dit qu’on parlerait librement de nos fantasmes, Chay. Si j’étais contre, je te le dirais. On s’amusait souvent avec Vegas et ses animaux de compagnie . Mais quand Pete est devenu son animal de compagnie, il est devenu très exclusif.
- Est-ce que tu veux bien leur demander ?
- Oui. Chay est-ce que tu veux avoir d’autres expériences avec d’autres hommes.? Je fus le seul pour toi et…
- Si tu penses que je veux faire ça avec Phi Vegas…
- Non, ce n’est pas à cause de ça, mais je me dis que peut-être tu voudras avoir d’autres expériences. J’ai eu beaucoup d’expériences avec des filles ou mecs et je ne veux pas qu’un jour tu te réveilles en te disant que tu n’as connu que moi.
- La première fois personne que j’ai désiré c’était Wik, puis je suis tombé amoureux de Kim et Kimhan. Je me sens tellement heureux avec toi. Et d’une certaine façon, je vivrai avec d’autres expériences si Phi Vegas et Phi Pete acceptent. Et je veux que ce soit avec eux car je les connais, je me sens en sécurité avec eux, comme je me sens en sécurité avec toi . Est-ce que tu comprends ?
- Oui. Si un jour cela arrive, je préfère que tu me le dises, plûtot que j’apprenne que tu me trompes. Je ne le supporterais pas.
- Promis. »
Je baillais.
- Dors, Chay.
- Est-ce que tu peux me chanter ta nouvelle chanson ?
Kim chantonnais, je m’endormis bercé par la voix de mon partenaire. »