Alexander Granach

acteur allemand

Alexander Granach est un célèbre acteur austro-hongrois né le dans l'oblast d'Ivano-Frankivsk en Ukraine et mort le à New York aux États-Unis.

Alexander Granach
Biographie
Naissance

Verbivtsi (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 54 ans)
New YorkVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Activités
Période d'activité
À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Gad Granach (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Plaque commémorative

Il est proche du courant libertaire[1],[2]

Biographie

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Alexander Granach, (de son vrai nom Jessaja Granach), né de parents juifs, développa son sens théâtral au célèbre Volksbühne de Berlin. Son premier succès cinématographique fut le rôle de Knock, le célèbre homologue de Renfield, dans le film Nosferatu le vampire sorti en 1922. Il fut ainsi à l'affiche de plusieurs grands classiques allemands à l'apparition du cinéma sonore, dont La Tragédie de la mine (1931).

Avec la montée au pouvoir du nazisme en Allemagne, il s'installa à Hollywood où il fit sa première apparition dans le film de Ernst Lubitsch Ninotchka (1939), dans lequel il interprète le rôle de Kopalski. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut amené à jouer différents rôles à succès, aussi bien comme nazi (il joua Julius Streicher dans Hitler et sa clique) que comme fervent anti-fasciste.

Alexander Granach mourut le d'une embolie pulmonaire à la suite d'une appendicectomie.

Alexander Granach a laissé sa biographie, Ot Geyt a Mentsh (Voici le chemin d'un homme, YKUF, New York, 1948) dont le manuscrit allemand a été traduit en yiddish par Yakov Mestl.

Filmographie

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Notices

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Articles connexes

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Notes et références

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  1. Éric Jarry, Armand Guerra, cinéaste et anarchiste, Paris, Le Monde libertaire, n°1272, 14 au 20 mars 2002, pp. 10 et 11.
  2. Isabelle Marinone, Armand Guerra, un cinéaste hors du commun in Anarchisme et Cinéma : Panoramique sur une histoire du 7e art français virée au noir, Université Paris I Panthéon Sorbonne, 2004, lire en ligne.

Liens externes

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