Beneuvre
Beneuvre est une commune française située dans le canton de Châtillon-sur-Seine du département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Beneuvre | |||||
L'église de la Nativité. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Côte-d'Or | ||||
Arrondissement | Montbard | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Châtillonnais | ||||
Maire Mandat |
Alain Gallimard 2020-2026 |
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Code postal | 21290 | ||||
Code commune | 21063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Quarantains | ||||
Population municipale |
91 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 41′ 33″ nord, 4° 56′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 375 m Max. 511 m |
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Superficie | 15,40 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Châtillon-sur-Seine | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
modifierSur les hauteurs du plateau de Langres, la commune de Beneuvre (15,4 km2) se situe en rive du bassin parisien sur le seuil de Bourgogne, et plus largement sur le seuil morvano-vosgien. Ici se trouve la ligne de partage des eaux entre Seine et Saône-Rhône, avec un point culminant en forêt de Brévenois à 512 m. Le point bas est au lieu-dit « en Groême » à 337 m, au-dessus des sources qui alimentent l'étang sur le ruisseau de Groème[1], affluent de l'Ource.
La commune est traversée du nord au sud-est par la route D 959 de Recey-sur-Ource à Pontailler-sur-Saône par Grancey-le-Château et Is-sur-Tille, qui emprunte les vallées de l'Ource et de la Tille. La limite de commune à l'est marque la limite de département avec la Haute-Marne.
Hameaux, écarts, lieux-dits
modifier- Hameau détaché du village : le Mont (situé à 300 m à l'ouest c'est pratiquement un quartier de Beneuvre).
- Habitat ou bâti écarté : le Solitaire.
- Lieux-dits d'intérêt local : Mont-Aigu (500 m), mont de la Forêt-Brévenois (512 m), portent un nom également plusieurs combes (Lochère, au Loup, aux Oiseaux…) et versants de collines (côtes de la Bruilloure, de Ricanne…).
Communes limitrophes
modifierBure-les-Templiers | Poinson-lès-Grancey (Haute-Marne) | |||
N | Grancey-le-Château-Neuvelle | |||
O Beneuvre E | ||||
S | ||||
Minot | Fraignot-et-Vesvrotte | Bussières |
Hydrographie
modifierBien que le Sandre situe la source de l'Ource dans la combe Comnot sur la commune de Poinson-lès-Grancey[2], la carte topographique de l'IGN indique la source de ce cours d'eau sur la commune de Beneuvre (cette source est pompée pour les besoins humains après avoir rempli un petit étang et n'alimente plus la rivière). L'Ource fait partie du bassin versant de la Seine, et à moins de 1,5 km au sud de sa source se trouve celle de la Tille de Bussières[3] (sur la commune de Busserotte-et-Montenaille) qui alimente le bassin versant du Rhône.
Beneuvre est donc sur la ligne de partage des eaux Atlantique-Méditerranée, ligne qui se trace plutôt au sud-est du finage (cotes 474 m sur la D 979 et 485 m sur la D 112H d'après la carte topographique de l'IGN, sommet du Mont Aigu à 500 m…), situant la commune essentiellement côté Seine. Plusieurs sources poignent sur la commune, à l'origine de zones plus ou moins marécageuses et de deux petits étangs, mais aucune ne donne naissance à des cours d'eau, mis à part le cas de la source de l'Ource qui est déviée pour exploitation.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Beneuvre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), terres arables (37,8 %), prairies (6,7 %), zones urbanisées (1,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
modifierPréhistoire et Antiquité
modifierLe territoire a livré des silex taillés et une hache en bronze. Outre l'agglomération du mont Aigu déjà rattachée au territoire des Lingons, une seconde révélée par photographies aériennes de René Goguey en 1993 s'étend sur l'emprise du village actuel. Elle a livré 22 pièces de monnaie gauloises, 66 romaines, des fibules et divers objets.
Le col que constitue la ligne de partage des eaux entre le Mont-Aigu et le mont de la Forêt-Brévenois était le point de croisement des voies romaines d'Andematunnum (Langres) à Alesia (Alise-Sainte-Reine) orientée est-ouest et Mirebellum (Mirebeau-sur-Bèze) à Vertillum (Vertault) ou Latiscum (près de Vix) nord-sud.
Moyen Âge
modifierÀ la Carelle, une nécropole mérovingienne avec sarcophages a été mise à jour en 1956.
Le village, octroyé très tôt aux Templiers, est ensuite récupéré par des seigneurs laïcs dont les Fleutelot, seigneurs de Romprey (commune de Bure-les-Templiers), qui y font construire un château rasé à la Révolution.
Temps modernes
modifierUne verrerie installée près des restes de ce château a disparu depuis[15].
Passé ferroviaire du village
modifierPoinson a partagé une gare ferroviaire avec la commune voisine de Beneuvre en Côte-d'Or. Ce fut même un petit nœud ferroviaire car une ligne partait de cette gare vers Langres alors que la ligne principale reliait Troyes à Gray par Châtillon-sur-Seine et Is-sur-Tille.
- De 1882 au , la commune a été traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant de la gare de Villars-Santenoge, passait au sud du village, s'arrêtait à la gare de Poinson-Beneuvre, qui se situait en pleine campagne à environ 1 km à l'est du village, et ensuite se dirigeait vers la gare de Pavillon-les-Grangey, aujourd'hui Grancey-le-Château-Neuvelle.
L'horaire ci-dessus montre qu'en 1914, 4 trains s'arrêtaient chaque jour à la gare dans le sens Troyes-Gray et 4 autres dans l'autre sens.
À une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
À partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée le au trafic voyageurs. La ligne, encore en place, est utilisée épisodiquement pour un service de maintenance.
- À partir de 1883, la gare de Poinson-Beneuvre a été le point de départ de la ligne de Poinson - Beneuvre à Langres. La ligne partait vers l'est vers la gare de La Margelle. Cette ligne a été fermée au trafic voyageurs en 1955 et au trafic marchandises en 1963. Les rails ont été retirés. Quelques tronçons subsistent encore de nos jours, utilisés comme sentiers de randonnée ou chemins d'exploitation agricole.
Politique et administration
modifierNom | Dates de mandat |
---|---|
Didier Ronot | 1813 - 1816 |
François Sullerot | 1816 - 1822 |
Jean-Baptiste Coquot | 1822 - 1827 |
Nicolas Morisot | 1827 - 1831 |
Jacques Chevolot | 1832 - 1833 |
Baptiste Pajot | 1833 - 1842 |
Nicolas Morisot | 1842 - 1846 |
Pierre Hairon | 1846 - 1848 |
Didier Chevolot | 1848 - 1849 |
Didier Jaquet | 1849 - 1851 |
Didier Coquot | 1851 - 1857 |
Didier Chevolot | 1857 - 1859 |
Didier Ronot | 1859 - 1870 |
Jean Masson | 1870 - 1871 |
Jean-Baptiste Ronot | 1871 - 1879 |
Jean- Baptiste Bilbaut | 1880 - 1896 |
Antoine Geoffroy | 1896 - 1919 |
Jules Gallimard | 1920 - 1921 |
Félix Hairon | 1922 - 1947 |
Georges Ronot | 1948 - 1971 |
Jean Changarnier | 1971 - 1973 |
Robert Lalanne | 1973 - 2008 |
Jean-Marie Klinkeberg | 2008 - 2018 |
Alain Gallimard | 2018 - |
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].
En 2021, la commune comptait 91 habitants[Note 1], en évolution de −8,08 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierLes hauteurs sont propices à la sylviculture, essentiellement de feuillus, les combes accueillent en moindre mesure des prairies à pâturages et à fourrage, entre les deux les terrains sont voués à l'agriculture, à parts égales des surfaces avec la forêt.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux, monuments et pôles d'intérêt
modifierEn 2016, la commune ne compte pas de monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques, 21 monuments ou édifices sont répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[20], 2 éléments classés à l'inventaire des objets historiques[21] et 39 objets répertoriés à l'I.G.P.C[22].
- Plusieurs maisons anciennes visibles dans le village, notamment des maisons d'artisans.
- Nombreuses croix sur la commune (croix Verte, croix Coquot…).
- Fontaine et lavoirs dans le village.
- Mairie école du XIXe siècle sur les plans de l'architecte Henry Monniot qui a signé de nombreux monuments en Côte-d'Or et en Haute-Marne IGPC 1989[23].
- L'église de la Nativité remplace en 1765 un sanctuaire vétuste dédié à saint Aubin et situé plus en amont près d'une source réputée miraculeuse. L'église actuelle renferme une cloche Classé MH (1992) ainsi que des statues anciennes dont un saint Roch du XVIe siècle Classé MH (1953)[24] et un saint Aubin du XVIIe siècle répertorié IGPC 1993[25].
-
Église côté est.
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Abside.
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Côté ouest.
- Borne templière du XIIIe siècle dite borne de justice dans le bois de Monarbœuf (proche de la D959 où elle est indiquée), elle marquait la limite du territoire de Bure tenue par les Templiers sur lequel le seigneur de Grancey tenait à garder ses droits de basse et haute justice. C'est à cette borne que les condamnés étaient remis au seigneur pour subir leur condamnation.
-
Borne templière,
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gravée d'une croix.
-
Panneau d'information.
- Sur le mont Aigu, monument portant une Vierge à l'Enfant du XIXe siècle IGPC 1989[26].
- Tracés de voies protohistoriques, restaurées par les Romains. Les photographies aériennes révèlent les traces d'une grande enceinte peut être à usage cultuel sur le Mont Aigu, une nécropole et de petits enclos au col. Dans l'agglomération : un fanum et un temple à cella de forme rectangulaire et pronaos. Au nord-ouest des bâtiments décrits ci-dessus se trouve un ensemble complexe de bâtiments donnant à penser qu'il peut s'agir d'un hospital, avec plusieurs bâtiments rectangulaires[27].
- Arbre curieux composé d'un orme champêtre et un frêne commun mêlés (sur la route de Poinson en haut de la côte, en vue du monument de la Vierge ; point coté 469 sur la carte topographique de l'I.G.N.). Il porte l'inscription « Concurrents pour l'espace et pour l'eau, copains dans les tempêtes et dans le froid, Un siècle de vie commune, et de mutuelles concessions. »
-
Vierge du Mont-Aigu.
-
Orme et frêne mêlés.
Zones naturelles protégées
modifier- La combe Lochère.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlasonnement :
De sinople au croissant d'or, mantelé d'azur, chargé en chef de deux étoiles à cinq rais d'or, une cotice en chevron brochant sur la partition.
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Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « Fiche cours d'eau (F0406000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau (F04-0400) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau (U1200560) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beneuvre et Bure-les-Templiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- René Paris 1987, p. 147.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Beneuvre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste du patrimoine mobilier de la commune de Beneuvre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Beneuvre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00050336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM21000295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no IM21004205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00050418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Archéologia, no 482 de . p. 38.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Jacky Bénard, Les agglomérations antiques de la Côte-d'Or, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, , 303 p. (ISBN 978-2-251-60522-7, présentation en ligne) voir p. 125
- Coynard & Lory: " Historiographie de Beneuvre ", 1873
- René Paris, A la rencontre du Châtillonnais : Montigny-sur-Aube, Recey-sur-Ource, Châtillon-sur-Seine, La Bourgogne,
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Beneuvre sur le site de l'Institut géographique national