Bramevaque

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Bramevaque est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Bramevaque
Bramevaque
Les ruines du château des comtes de Comminges, à Bramevaque.
Blason de Bramevaque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Neste Barousse
Maire
Mandat
Joëlle Fortassin
2020-2026
Code postal 65370
Code commune 65109
Démographie
Gentilé Bramevoquois
Population
municipale
30 hab. (2021 en évolution de −23,08 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 42″ nord, 0° 34′ 32″ est
Altitude Min. 517 m
Max. 1 543 m
Superficie 3,77 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bramevaque
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Bramevaque
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Bramevaque
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Bramevaque

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Ourse. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bramevaque est une commune rurale qui compte 30 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 192 habitants en 1831.

Ses habitants sont appelés les Bramevoquois.

Géographie

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Localisation

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La commune de Bramevaque se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 50 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 36 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 22 km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Troubat (0,5 km), Gembrie (1,4 km), Sacoué (1,5 km), Thèbe (1,8 km), Gaudent (1,9 km), Samuran (2,0 km), Antichan (2,0 km), Mauléon-Barousse (2,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Bramevaque fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

Bramevaque est limitrophe de cinq autres communes.

Communes limitrophes de Bramevaque[6]
Sacoué Gembrie
Ourde   Troubat
Mauléon-Barousse
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Ourse, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Ourse, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune de Ferrère et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Loures-Barousse, après avoir traversé 12 communes[9].

La commune jouit d'un climat montagnard caractérisé par des étés doux (température moyenne de 25 °C) et des périodes de beaux temps. Parfois des orages éclatent sous forme de fortes averses, imprévues et violentes. Quant aux hivers, ils sont frais ou froids avec des températures de 3 °C en moyenne, et souvent humides avec de fréquentes dépressions en provenance de l'Atlantique amenant de la pluie.

Données climatiques à Bramevaque.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 2 4 6 9 13 15 15 12 9 4 2 7,7
Température moyenne (°C) 5,2 5,6 8,4 10,1 13,8 17,8 18,6 18,8 16,4 13,5 7,5 5,5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 10 11 14 15 19 22 25 25 23 19 14 11 17,3
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 98,6 63,3 99 108,2 137 87,1 72,6 70,5 69,5 81,9 101,4 97,4 1 086
Source : Climatologie mensuelle à la station de Lannemezan / Campistrous de 2000-2010


Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[10] : « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » (85 ha), couvrant 18 communes du département[11] et le « vallon de Sarroumagna, bois du Pradet et soulane d'Ourde » (614 ha), couvrant 6 communes du département[12] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] :

  • les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[13] ;
  • les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » (5 147 ha), couvrant 24 communes dont deux dans la Haute-Garonne et 22 dans les Hautes-Pyrénées[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bramevaque est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), prairies (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par la route départementale D 925.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bramevaque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ourse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[19],[16].

Bramevaque est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[20]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bramevaque.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 28 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 11 sont en aléa moyen ou fort, soit 39 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

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Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Bramevaque au nord de Mauléon-Barousse.

Étymologie :

Selon la légende, Marguerite, comtesse de Comminges, fut séquestrée par son troisième époux, Mathieu de Foix, dans le château de Bramevaque. Elle y gagna la réputation d'être une ogresse, qui réclamait chaque jour un enfant. N'ayant pu trouver d'enfant, ses sbires prirent un veau nouveau-né, mais les meuglements de la vache alertèrent la comtesse et tout le pays, ce qui valut à l'endroit son nom : bramevaque[24].

Le nom du village peut aussi s'expliquer par l'onomastique gauloise : le radical Vac associé à un nom de tribu, les Bram (tribu présente dans le toponyme de la ville de Bram). Dottin[25] apporte confirmation que Vac appartient bien à la langue gauloise comme suffixe d'« un terme de nom de peuple » (exemples Bellovaci, Ebrovaci, cités par Delamare[26]) et Ernest Nègre attribue au terminal vac(o) un sens emphatique « glorieux, fort »[27]. Bramevaque peut être traduit par village de la glorieuse tribu des Bram. Un autre toponyme régional construit de manière similaire est Garrevaque village de la glorieuse tribu des Gar, le Pic du Gar étant la montagne sacrée de la divinité éponyme, et la Garonne la rivière du peuple des Gar[réf. souhaitée].
Du gascon bramar (« bramer, beugler ») et vaca (« vache »), le nom désigne un médiocre pâturage[réf. nécessaire] où la vache brame (de faim).

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[28] qui rapporte les dénominations historiques du village :

  • Bramavaca (1235-1236, actes Bonnefont) ;
  • Bramabaca (1312, Larcher, cartulaire du Comminges) ;
  • de Bramauaca, latin (1313, Debita regi Navarre) ;
  • De Bramavaca, latin (1387, pouillé du Comminges) ;
  • Bramebaque (1767, Larcher, cartulaire du Comminges ; 1790, Département 1) ;
  • Bramabaque (fin XVIIIe siècle, sur la carte de Cassini).

Nom occitan : Brauvaca.

Histoire

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Politique et administration

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La mairie en 2023.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 (réélu en mars 2014) mars 2020 Jean-Louis Teulié    
mars 2020 en cours Joëlle Fortassin    

Rattachements administratifs et électoraux

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Historique administratif

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Intercommunalité

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Bramevaque appartient à la communauté de communes Neste Barousse créée en janvier 2017 et qui réunit 43 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 30 habitants[Note 4], en évolution de −23,08 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
148135170112192189174191184
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
156164147149151137100110117
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1048470576144563838
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
363623312323323438
2018 2021 - - - - - - -
3230-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[34].

Économie

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Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 4 % 0 % 17,4 %
Département[I 6] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 23 personnes, parmi lesquelles on compte 87 % d'actifs (69,6 % ayant un emploi et 17,4 % de chômeurs) et 13 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 3 emplois en 2018, contre 3 en 2013 et 3 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 16, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,5 %[I 9].

Sur ces 16 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 3 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 12,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 11].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Gauthier du Fossat, seigneur de Bramevaque (XIIIe siècle)[38].

Héraldique

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  Blasonnement :
Parti : au premier coupé au I d'argent à la tour de sable et au II d'or aux trois pals de gueules, au second d'or à la vache de gueules sur une terrasse de sinople.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bramevaque » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Bramevaque ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bramevaque » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bramevaque » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Bramevaque et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Bramevaque et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bramevaque et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Bramevaque », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Bramevaque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Ourse »
  10. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Bramevaque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « vallon de Sarroumagna, bois du Pradet et soulane d'Ourde » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bramevaque », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bramevaque », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Bernard Duhourcau, Guide des Pyrénées mystérieuses, Les Guides noirs, Tchou, 1985
  25. Dottin, La langue gauloise, Paris, 1920.
  26. Delamare, Dictionnaire de la langue gauloise.
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 1.
  28. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  29. « Liste des juridictions compétentes pour Bramevaque », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  35. « Château des Comtes de Comminges », notice no PA00095355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 juillet 2011.
  36. « Église Saint-Barthélémy », notice no PA00095447, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 juillet 2011.
  37. « Dalle funéraire », notice no PM65000152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 18 juillet 2011.
  38. Jean de Jaurgain, La Vasconie : étude historique et critique sur les origines du royaume de Navarre, du duché de Gascogne, des comtés de Comminges, d'Aragon, de Foix, de Bigorre, d'Alava & de Biscaye, de la vicomté de Béarn et des grands fiefs du duché de Gascogne, t. 1, PyréMonde (Ed.Régionalismes), , 447 p. (ISBN 2846181446 et 9782846181846, OCLC 492934726, lire en ligne).