Granges-le-Bourg

commune française du département de la Haute-Saône

Granges-le-Bourg est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Granges-le-Bourg
Granges-le-Bourg
Vue générale du village et du château.
Blason de Granges-le-Bourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Villersexel
Maire
Mandat
Claude Armbruster
2020-2026
Code postal 70400
Code commune 70277
Démographie
Population
municipale
381 hab. (2021 en évolution de −0,52 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 56″ nord, 6° 35′ 11″ est
Altitude Min. 290 m
Max. 453 m
Superficie 10,35 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villersexel
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Granges-le-Bourg
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Granges-le-Bourg
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Voir sur la carte topographique de la Haute-Saône
Granges-le-Bourg
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Granges-le-Bourg

Granges-le-Bourg appartient à la communauté de communes du Pays de Villersexel.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Granges-le-Bourg est placée entre le pays d'Héricourt, celui de Villersexel et de la ville de Lure ; presque équidistant entre ces trois villes (15 km). Situé entre le pays sous-vosgien et le faisceau bisontin de la vallée du Doubs, le paysage est vallonné et boisé avec des dénivelés de l’ordre de 200 mètres et des altitudes dépassant rarement les 500 mètres. Une petite rivière (le ruisseau du Pont du Rond, affluent du Scey) coule au fond du vallon où s’étend le village.

Le Scey sépare la commune de celle de Granges-la-Ville, dont les villages sont imbriqués[1].

Une épaisse forêt, le bois de Granges, s'étend au nord du village. C'est l'une des plus grandes de Franche-Comté. Le paysage est essentiellement rural, la commune est entourée de champs.

La route départementale RD 9, se trouve à moins de 2 km de la place de la Mairie.

La commune est peu desservie par les transports en commun, il existe une ligne de bus des Lignes saônoises et les lignes reliant le village à Peugeot Sochaux.

Communes limitrophes

modifier

Géologie

modifier

Le territoire communal repose sur le bassin houiller keupérien de Haute-Saône, il fait partie de la concession de Corcelles exploitée de 1589 à 1922 mais aussi de celle de Gémonval exploitée de 1826 à 1944[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 246 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Granges-le-Bourg est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (4,6 %), terres arables (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

modifier

Époque romaine

modifier

Deux voies romaines se croisent dans le secteur de Granges, il a été relevé plusieurs traces de villas isolées et éparpillées.

Moyen Âge

modifier

À la suite des invasions barbares, le pays connaît une situation de chaos et de désordres.

Au IXe siècle, trois moines de l'abbaye de Luxeuil fondent une chapelle à l'emplacement de l'église actuelle Granges-la-Ville, un petit village se développe autour.

Entre le Xe et le XIe siècle, la famille des Granges bâtit son château sur une colline proche, celle-ci s'avère stratégique pour le site et facilement défendable en cette période troublée. En effet, la foi des moines n'est plus assez forte pour protéger les villageois de la fureur des envahisseurs hongrois, normands et parfois sarrazins qui dévastent la région. Les villageois se regroupent près du château et jurent allégeance au maître des lieux, c'est la naissance de la féodalité.

La nouvelle communauté se développe rapidement et devient un bourg auquel sont rattachées les populations des villages de Senargent, Mignafans, très important à l'époque, et La Chapelle-les-Granges, soit presque 1 000 habitants, mais Granges-le-Bourg seul n'a jamais compté plus de 200 habitants. De nombreux acteurs de la vie économique et politique du secteur se côtoient à l'abri des murailles. Les barons de Granges, vassaux des comtes de Montbéliard, deviennent des seigneurs puissants et respectés. Quatre foires annuelles se tiennent à Granges, c'est un symbole de la prospérité économique avec la saunerie de Saulnot.

En 1298, Guillaume III de Granges meurt paisiblement, la seigneurie est intégrée au comté de Montbéliard dont elle était vassale.

De 1347 à 1350, la peste noire fait des ravages, on dénombre plusieurs centaines de morts dans la seigneurie. Chaque village avait alors son propre cimetière, et celui de Granges-le-Bourg se trouvait à côté de son église, dans l'actuel jardin de la Poste. Il fut vite rempli, et en raison du risque de contagion, les morts de Granges-le-Bourg et Granges-la-Ville furent brûlés entre les deux Granges, à l'emplacement de la Croix-Saint-Pierre.

En 1377, les Autrichiens s'emparent du bourg mais se révèlent incapables de prendre le château, grâce entre autres à sa position favorable.

En 1407, la comtesse Henriette de Montbéliard (nommée tante Arie dans le folklore populaire) se marie avec Eberhard IV de Wurtemberg, prince du duché du même nom. Ainsi, le comté et la seigneurie de Granges sont rattachés au Saint-Empire romain germanique pour moitié. En effet, la seigneurie de Granges est vassale de deux seigneurs, le comte de Montbéliard et le comte de Bourgogne. Ainsi, celle-ci reste francophone de cœur et de droit même si l'époque est troublée par les volontés séparatistes de la Bourgogne par rapport au royaume de France (nous sommes en pleine guerre de Cent Ans).

En 1456, un incendie ravage le bourg, l'économie de la seigneurie s'effondre et il lui faudra de nombreuses années pour s'en remettre.

Généalogie de la maison de Granges

modifier

Anciens barons du comté de Bourgogne. Les premières armes étaient : de gueules au sautoir d'or, plus tard ils prenaient : d'azur à trois bustes de carnation couronnés d'or à l'antique[15].

Guillaume Ier de Granges, sire de Granges, chevalier. Il assiste en 1105 à la fondation du prieuré de Froidefontaine par Thierry II de Montbéliard[15].

Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a :

  • Guy Ier qui suit,
  • Hugues, cité en 1150 par des dons qu'il fait à l'abbaye de Bithaine avec le consentement de Guy de Traves et d'Helie/Illiette de Faucogney sa femme.

Guy Ier de Granges, sire de Granges, chevalier. Du temps de l'abbé Thibaud (vers 1135), il donne à l'abbaye de Lieu-Croissant ce qu'il possède au lieu-dit "la Prétière"[15].

Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a Guillaume II qui suit.

Guillaume II de Granges, sire de Granges, chevalier[15].

Mariage et succession :
Il épouse Alix de qui il a :

Guyot/Guy II de Granges, chevalier. Il transmet son château à Richard de Montfaucon[15]. Il est cité à l'époque de Narduin abbé de l'abbaye de Lieu-Croissant en 1190[16].

Mariage et succession :
Son épouse est inconnue, il a :

Par la suite, Granges-le-Bourg suit l'histoire globale de la Franche-Comté avec ses nombreux soubresauts.

En 1668 : Les troupes de Louis XIV de France démantèlent le château et commencent l'intégration définitive de la seigneurie au royaume de France.

Granges-le-Bourg fut le chef-lieu d'un canton créé en 1790 et supprimé en 1801. Ce canton regroupait 29 villages.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Granges-le-Haut[17] En 1807, la commune absorbe celles voisines de Granges-la-Ville, de La Chapelle-lès-Granges, de Crevans, de Mignafans, de Mignavillers et de Secenans[17].

Époque contemporaine

modifier

En 1824, la commune rend son indépendance à celle de Granges-la-Ville, incluant les hameaux de Mignafans et de Mignavillers qui deviennent, eux aussi, des communes indépendantes ultérieurement[17].

En 1832, la commune rend son indépendance à celles de Crevans et de Secenans[17].

En 1853, la commune de Crevans-et-la-Chapelle-lès-Granges est reconstituée avec la cession du hameau de la Chapelle-lès-Granges[17].

Le bourg connaît une régression. La révolution industrielle lui donne quelques industries mais il est rapidement relégué au rang de village. Néanmoins, le charme rural représente un léger avantage pour l'avenir.

Compte tenu de leur imbrication et de leurs intérêts communs, Granges-le-Bourg avait proposé à Granges-la-Ville en 1972 de fusionner, proposition qui n'avait à l'époque pas eu de suite[1].

Politique et administration

modifier
 
Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Villersexel.

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Villersexel[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton s'est agrandi, passant de 32 à 47.

Intercommunalité

modifier

La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Villersexel, créée le .

Liste des maires

modifier
 
La mairie.
Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1790   Claude-François Muffat    
1792   Joachim-Joseph-Constant Colin    
an III   Alexis Muffat    
an IV   Jean-Claude Devaux le Jeune    
an VII   François-Xavier Devaux    
an VIII   Joachim-Joseph-Constant Colin    
Les données manquantes sont à compléter.
1998[19] mai 2020 Michel Cuenin   Retraité
mai 2020[20] En cours
(au 27 mai 2020)
Claude Armbruster   Retraité

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 381 habitants[Note 3], en évolution de −0,52 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3443603561 939442555540556567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
398411427400396372374346341
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311303251184170194275174297
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
315287356330306313347377380
2021 - - - - - - - -
381--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

modifier
 
L'école.

La commune disposait d'une école fermée en 2014 et les enfants scolarisés à Saulnot par le SIVU de la Roselière[24].

Milieu associatif

modifier

Il existe de nombreuses associations dans la commune, et en particulier Renaissance des deux Granges, association créée il y a quelques années[Quand ?] pour sauvegarder le patrimoine historique du village et tenter de le faire revivre. Elle propose des visites gratuites et de nombreuses animations.

Manifestations culturelles et festivités

modifier

Le est le jour de la fête du village[25].

Économie

modifier

L'entreprise Billotte est une entreprise spécialisée en travaux forestiers qui emploie 55 personnes.

Plus bas, vers Granges-la-Ville, est implantée une casse auto, Jacqu'Auto.

La majorité des terres adjacentes est exploitée par des agriculteurs à activité d'élevage bovin et de culture extensive. Il existe un bureau de la Poste au centre du village mais aucun commerce.

De grands efforts devraient être faits pour le développement du tourisme vert. Plusieurs familles allemandes ont installé leurs résidences secondaires dans le village pour bénéficier de la tranquillité de la campagne, tout en étant proche des grands axes de communications.

Lieux et monuments

modifier

Patrimoine religieux

modifier

Patrimoine civil

modifier
  • Mairie :
    • le bâtiment fut construit en 1750-1751 et servait à l'origine de chambre d'audience (tribunal) et de prison ;
    • à la Révolution en 1789, le bâtiment fut confisqué, puis vendu aux enchères publiques le 22 pluviôse an III () ;
    • en 1832, la municipalité l'acheta pour y installer une école et la mairie ;
    • les deux cachots de 1751 existent toujours et on peut y voir les graffitis (noms, dates, dessins) laissés, il y a plus de deux cents ans, par les prisonniers[32].
  • L'ancien tissage de coton Schwob Frères, transformé en magasin de commerce[33].

Héraldique

modifier
  Blason
De gueules à deux fléaux d’or passés en sautoir, accompagnés en pointes de deux bars adossés du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Bibliographie

modifier
  • Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 102 à 106
  • François Ignace Dunot de Charnage, Histoire des Séquanois et de la province séquanoise, des Bourguignons et du premier (seconde, troisième et quatrième) royaume de Bourgogne, (lire en ligne), p. 478 à 494

Notes et références

modifier
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. a et b « Les deux Granges : le Bourg et la Ville », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Rien n’a changé depuis le temps où le ruisseau le Scey servait de limite entre les deux communes. Or les moulins, teintureries et autres activités actionnées par une roue étaient installés dans le sens de l’eau, donc côté Granges-le-Bourg (autrefois Granges-le-Haut) et contribuaient à sa richesse. C’est l’ouverture de la route en 1857, qui a relié les deux villages mais, ils ont gardé leurs limites d’autrefois ».
  2. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Granges-le-Bourg et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Granges-le-Bourg ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montbéliard », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d et e Histoire généalogique des sires de Salins, mentionnée en Bibliographie.
  16. a et b Histoire des Séquanois et de la province séquanoise
  17. a b c d e f et g Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Les maires de Granges-le-Bourg », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. « Michel Cuenin en lice », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Élu conseiller municipal toujours au 1er tour sans interruption depuis 1983, au poste de 2e adjoint de 1989 à 1998 et de maire de Granges-le-Bourg de 1998 à 2014, Michel Cuenin (68 ans), se représente ».
  20. « Claude Armbrunster devient maire », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. L'Est républicain, 4 novembre 2014, Le devenir de l’ancienne école.
  25. « Un jour pas comme les autres », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  26. « Croix dite Croix Saint-Pierre », notice no PA00102175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Vestiges du château : pierre après pierre », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « À ce jour, cinq tranches d’un montant de 20 à 26.000 € ont été réalisées par des entreprises de réinsertion, et subventionnées à hauteur de 50 % par le Conseil régional (Politique régionale des Vestiges Militaires Médiévaux), avec des aides complémentaires au titre de la DGE, la différence étant financée par la commune. Une 6e tranche, d’un montant de 21.866 € est en cours et porte le montant de cette opération à 135.424 €. ».
  28. « Vestiges du château : toujours en attente de subventions », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  29. « Maison Gaudy », notice no PA70000050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Maison dite Maison Racle sur le Treige », notice no PA00102176, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Maison dite maison du Bailli », notice no PA70000077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Granges-le-Bourg : sous la mairie, la prison », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  33. « tissage de coton Schwob Frères, puis Société Textile du Rougin, actuellement magasin de commerce », notice no IA70000079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.