O'Bajan

étalon arabe né en 1880 en Syrie

O'Bajan ou Obajan (né en 1880, mort en 1910) est un étalon reproducteur arabe né à Tell-el-Kelach (تلكلخ) en Syrie ottomane. Cet étalon noir d'assez petite taille est connu pour son modèle robuste et son caractère aimable de son vivant, puis pour son influence sur la race des chevaux Shagya après sa mort. Il est en effet l'un des cinq chefs de race du Shagya.

O'Bajan
Photographie en noir et blanc d'O'Bajan à l'âge de 21 ans.
Informations
Espèce
Cheval, Equus caballus (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Race
Couleur
Sexe
Date de naissance
Lieu de naissance
Date de décès
Taille
1,54 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Obajan (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Maneghie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
47 O'Bajan (d)
14 O'Bajan (d)
25 O'Bajan (d)
22 O'Bajan (d)
O'Bajan II (d)
Fatme (d)
Jung O'Bajan (d)
1 O'Bajan (d)
O'Bajan II (d)
35 O'Bajan (d)
41 O'Bajan (d)
O'Bajan V (d)
Obajan (d)
124 O'Bajan (d)
Eiszapfen (d)
O'Bajan (d)
O'Bajan III (d)
Vesta (d)
Koheilau IX (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Propriétaire

Vendu au haras austro-hongrois de Bábolna en 1885, il en est devenu l'un des meilleurs reproducteurs en vingt-cinq ans de services. O'Bajan est considéré comme l'un des meilleurs chevaux arabes jamais importés en Hongrie. Deux de ses descendants sont récompensés d'un prix et d'une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1900.

O'Bajan est enterré dans la cour d'honneur du haras de Bábolna, où sa stèle funéraire reste visible. Sa lignée se poursuit elle aussi jusqu'à nos jours.

Histoire

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Photogravure d'O'Bajan dans l'ouvrage de Maurice Foäche, Notes sur l'élevage des chevaux en Autriche-Hongrie, publié en 1898.

O'Bajan naît en Syrie en 1880 selon la plupart des sources[P 1],[1],[W 1], quelques autres lui attribuant l'année de naissance 1881[2],[S 1]. Il provient de Tell-el-Kelach (تلكلخ)[W 1].

Achat et importation

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Il est ensuite choisi pour l'élevage par Mihaly Fadlallah el Hedad, le commandant du haras de Bábolna[P 1],[W 1]. Ce dernier l'acquiert auprès de la tribu bédouine Denedzik[S 2]. D'après l'explorateur Guillaume Capus, son prix d'achat est de 40 000 florins[3]. Cependant, la pierre tombale de ce cheval indique un prix d'achat de 6 000 francs[P 2].

Carrière de reproducteur à Bábolna

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O'Bajan, tel que représenté dans un ouvrage publié en 1896 en suédois[4].

Erika Schiele considère O'Bajan comme l'un des meilleurs étalons jamais importés vers la Hongrie[S 1],[5],[6], le suédois J. Mannerheim le décrivant comme le plus précieux reproducteur du haras lors de sa visite, en 1893-1894[7].

En 1892, Graf Wrangel signale dans son livre qu'O'Bajan est le seul étalon de Pur-sang arabe présent à Bábolna[W 1]. Il le décrit comme un cheval « à en tomber amoureux »[W 1]. En 1894, O'Bajan est l'un des cinq étalons reproducteurs présents à Bábolna, avec Djingiskhan, Gazlan I, Gazlan-Shagya, et Shagya X[8].

Le baron Maurice-Adrien Foäche, officier de la cavalerie française né en 1857, le décrit parmi ses appréciations d'étalons lors de sa visite de Bábolna en 1898[2]. S.-F. Touchstone en fait l'éloge en 1901, le décrivant comme morphologiquement parfait malgré son âge avancé[9] :

« Le vieil O'Bajan, qui est arrivé à Babolna en 1885 et va bientôt entrer dans sa vingt-et-unième année, possède la belle prestance d'un véritable chef de famille ; c'est à lui surtout, d'ailleurs, qu'est due la race moderne de Babolna qu'il a en grande partie contribué à améliorer. [...] On comprend, en le voyant, les services qu'il a rendus ; rarement, un arabe importé a été choisi d'une manière plus heureuse. »

— S.-F. Touchstone, L'Élevage officiel en Autriche-Hongrie[9]

O'Bajan se reproduit pendant 25 ans[W 1], et meurt à l'âge de 30 ans[P 1],[S 3]. La société allemande d'agriculture publie en 1912 la notice suivante :

« O'Bajan ist im Vorjahr eingegangen. Dieser Hengst hat Bábolna enorm genügt. Immer und immer wieder findet man seinen Namen, und sein Blut wird noch lange nachwirken. Er gab viele gute Töchter und Söhne. »

— Erich Vielhaad, Arbeiten der Deutschen Landwirtschafts-Gesellschaft[10]

« O'Bajan est mort l'année précédente. Cet étalon a énormément apporté à Bábolna. On retrouve son nom encore et encore, et son sang restera longtemps dans les mémoires. Il a donné beaucoup de bonnes filles et de bons fils. »

— Travaux de la Deutsche Landwirtschafts-Gesellschaft (Société allemande d'agriculture)

Description

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O'Bajan, d'après une gravure parue dans un ouvrage en allemand.

O'Bajan est un Pur-sang arabe[P 1],[1],[W 1]. D'après Erich Vielhaad (société allemande d'agriculture), il n'est pas particulièrement beau ; il se fait plutôt remarquer pour sa rudesse et sa robustesse[10]. Il est assez petit, mesurant 1,48 m selon Foäche qui l'a vu en 1898[2] ; 1,54 m selon une majorité d'autres auteurs[W 1],[11], dont Mannerheim qui l'a vu en 1893[7].

Son modèle est plutôt court, avec peu de lignes mais une excellente musculature[12]. Sa tête est décrite comme fine[7], noble[W 1],[7] et expressive[9], dotée de grands yeux intelligents[W 1],[9],[7] et de naseaux bien ouverts[9]. Elle est portée haut[9] grâce au port de son encolure[2] bien développée[7], mais qui est relativement courte[W 1],[12],[7]. Son épaule est inclinée[9] et sa poitrine est large et près de terre[2]. Sa ligne du dessus est d'excellente qualité[2], avec un dos court et large[7], particulièrement fort[W 1] et ferme[12], juste assez long pour pouvoir y placer une selle[9]. Ses quartiers sont larges et les côtes bien arrondies[9]. L'attache de rein est excellente et ses hanches sont amples[9]. La croupe est large et bien développée[W 1],[12], un peu ronde pour un Arabe[12],[2], mais longue[2], pleine et forte[12]. Les membres sont forts et bien dirigés[9], musclés et secs[7], et dotés de canons courts et forts[2]. Les cuisses sont très descendues, les jarrets larges et très nets[9]. Ses pieds sont de bonne qualité[13] et bien épanouis[9]. Le seul défaut que Wrangel lui reproche est d'avoir des paturons un peu trop longs[W 1], cet étalon étant long et souple dans ses ligaments[12].

Ses tissus sont très fins[13],[9]. Sa robe est noire selon la majorité des sources[P 1],[1],[W 1], Foäche le décrivant comme bai-brun[2]. Foäche n'a pas pu examiner ses allures[13], mais Touchstone lui décrit une aisance et sûreté au pas qui lui donnent de la noblesse[9], tandis que Wrangel témoigne aussi d'excellents mouvements[W 1],[7].

Son caractère est réputé très doux et aimable, avec une tendance naturelle à s'approcher de l'humain qui lui tend la main[14]. Il est comparé à celui d'un chiot[7]. Touchstone signale une anecdote, O'Bajan ayant l'habitude de tremper sa langue dans les verres que l'on lui tend[14].

Origines

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O'Bajan est génétiquement de lignée Saklawi[S 4]. Son père est indiqué comme « O'Bajan Senior » (ou simplement Obajan, sur sa pierre tombale), sa mère s'appelant Maneghie[W 1] ou Meneghie. D'après Vielhaad, son père est de la race Anazee el Sbaa, et sa mère de la race Meneghie[10].

Descendance

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Fils d'O'Bajan né en 1896.

O'Bajan est un chef de lignée important chez le Shagya[15],[P 1],[13],[S 5]. Son succès comme reproducteur a en effet conduit à parler d'une « lignée O'Bajan »[W 2]. La journaliste équestre Silke Behling le considère comme l'un des cinq chefs de race du Shagya, avec les étalons Shagya, Siglavy, Gazlan et Dahoman[16],[17]. Les auteurs hongrois Attila Alapfy et Imre Török le citent parmi les trois chefs de race du haras de Babolna, avec les étalons Shagya et Koheilane[18]. Au contraire de la plupart des autres races de chevaux, les chevaux arabes ont de très nombreuses lignées et les croisements entre elles sont fréquents[S 6].

Gustav Rau qualifie O'Bajan de « formidable géniteur »[W 1]. Il est père de 312 poulains, dont 112 sont à leur tour devenus des étalons, et 56 des juments poulinières[W 1]. En 1911, parmi les juments Pur-sang arabe élevées à Bábolna, une vingtaine descendent d'O'Bajan et environ autant d'Hamdani Semri[19]. Ses descendants sont réputés pour avoir hérité de son caractère docile[14], de sa finesse et de sa morphologie harmonieuse[W 1], mais aussi de ses excellents aplombs, et d'une plus haute taille que la sienne[13]. D'après Mannerheim et Wrangler, ses poulains sont de 6 à 10 cm plus grands que lui[W 1],[7]. La plupart de ses poulains sont de robe bai-brun ou noire[12].

À l'exposition universelle de 1900

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La descendance d'O'Bajan s'est particulièrement illustrée pendant l’Exposition universelle de 1900 à Paris, ce qui inclut les étalons O Bajan-8, primé dans la catégorie junior, et O Bajan-6[W 2]. La jument O Bajan-4 reçoit le second prix en catégorie juments arabes[20],[21]. Elle est décrite comme d'une élégance rare, avec un dos et des membres parfaits[P 3]. L'étalon gris O Bajan-6, présenté durant la même exposition, attire lui aussi des commentaires élogieux[P 3] ; n'ayant pas pu participer au concours parce qu'il appartient au gouvernement impérial austro-hongrois, il reçoit une médaille d'or spéciale sur insistance du jury[21],[22], et donc un titre suprême dans la catégorie des chevaux Pur-sang arabes[S 1].

Évolution et dispersion de la lignée d'O'Bajan

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Le haras de Sarajevo détient quelques descendants d'O'Bajan en 1896[3], ce qui est aussi le cas du haras de Deux-Ponts, où l'un de ses fils, un étalon menu haut d'1,46 m, est acquis en 1890[23], puis devient reproducteur principal entre 1898 et 1903[P 4]. Le haras national de Kladruby nad Labem a lui aussi, durant les années 1920, des juments orientales de lignée O'Bajan[P 5].


Visualiser la lignée d'O'Bajan sous forme de graphe


O'Bajan III, un alezan né en 1907 d'un croisement consanguin, a été exporté à Goražde en Bosnie-Herzégovine, où il a reçu son nom[W 2]. De tous ses fils, c'est cependant le bai foncé O'Bajan V, haut de 1,64 m, qui a la plus grande influence[W 2]. Il engendre le bai O'Bajan VI en 1908, qui devient chef de race dans les années 1920[W 2]. O'Bajan VI est le père d'O'Bajan VII, un cheval gris né en 1923, probablement le meilleur étalon de Bábolna à son époque[W 2]. Le fils de ce dernier, le gris O'Bajan VIII, naît en 1933 et est évacué de Bábolna vers la Bavière en 1944, avant d'être capturé par l'armée américaine au printemps 1945, devenant un trophée de guerre[24]. Il n'a jamais eu l'occasion de se reproduire aux États-Unis[W 2]. O'Bajan XIII, né en 1949, prend la relève à Bábolna en devenant le meilleur étalon du haras, ce qui lui vaut d'être surnommé la « perle noire de Hongrie »[25],[26]. La lignée a failli s'éteindre dans les années 1980 : le cirque Knie possède alors un groupe de Shagya qu'il présente en spectacle ; après sa mise à la retraite en Suisse à l'âge de 22 ans, l'étalon Badan, seul fils de l'étalon O'Bajan XIII, devient reproducteur à Bábolna grâce à une intervention de l′Internationale Shagya-araber Geselschaft, ce qui permet sa survie[P 6]. Cette lignée se poursuit donc jusqu'à nos jours, par exemple à travers l'étalon O'Bajan XXV, né en 1986 à Waabs en Allemagne[W 3].

O'Bajan est aussi le grand-père de l'excellent étalon Pur-sang arabe Koheilan IV, résultat d'un siècle d'élevage et de gestion généalogique au haras de Bábolna[27].

Enfin, O'Bajan a eu des descendants Anglo-arabes[W 4], entre autres la jument Vesta, née d'une mère Pur-sang fille d'Hermit[28],[P 7].

Hommages

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Stèle funéraire d'O'Bajan.

O'Bajan a été statufié de son vivant[29]. Après sa mort, il est enterré dans la cour d'honneur du haras de Bábolna, sous un acacia vieux de 200 ans ; sa tombe reçoit régulièrement des visiteurs[30],[6]· Sa stèle funéraire commémorative y figure[29] :

« 
OBAJAN

APJA: OBAJAN. ANYJA: MANEGHIE.
Született 1880-ban TELL-EL-KELACH-ban SYRIÁBAN.
Vasároltatott 1885 hen 6000 frankert
Torzsmén volt 25 évig
Szarmazott utana 312 csiko
Ebbol 112 orszagos fedezo men 56 anyakancza.

Kimúlt 1910-ben
 »

Notes et références

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  1. a b et c Touchstone 1901, p. 147.
  2. a b c d e f g h i et j Foäche 1898, p. 108.
  3. a et b Guillaume Capus, A travers la Bosnie et l'Herzégovine : études et impressions de voyage, Librairie Hachette, , 350 p. (lire en ligne   [PDF]), p. 222.
  4. Mannerheim 1896, p. 197.
  5. Schiele 1967.
  6. a et b Schiele 1970.
  7. a b c d e f g h i j k et l Mannerheim 1896, p. 198.
  8. La Hongrie à la veille du millénaire : données statistiques avec deux plans de l'Exposition, Pest, , 116 p. (lire en ligne   [PDF]), p. 52.
  9. a b c d e f g h i j k l m n et o Touchstone 1901, p. 145.
  10. a b et c Vielhaad 1912, p. 31.
  11. Lehndorff 1982, p. 47.
  12. a b c d e f g et h Vielhaad 1912, p. 32.
  13. a b c d et e Foäche 1898, p. 109.
  14. a b et c Touchstone 1901, p. 146.
  15. Touchstone 1901, p. 145-146.
  16. (es) Silke Behling, Razas de caballos, Editorial HISPANO EUROPEA, , 114 p. (ISBN 978-84-255-1961-1, lire en ligne), p. 52.
  17. (de) Silke Behling, Pferderassen : Die 100 beliebtesten Rassen, Franckh-Kosmos Verlags-GmbH & Company KG, , 144 p. (ISBN 978-3-440-50141-2, lire en ligne), p. 50.
  18. Alapfy et Török 1971, p. 10.
  19. (de) Deutsche Landwirtschafts-Gesellschaft (Germany : West), Neue Mitteilungen für die Landwirtschaft, vol. 26, DLG Verlag, (lire en ligne   [PDF]), p. 237.
  20. (en) László Gaál et Péter Gunst, Animal Husbandry in Hungary in the 19th-20th Centuries, Akadémiai Kiadó, , 410 p. (ISBN 978-963-05-1128-5, lire en ligne), p. 288.
  21. a et b Bulletin : Documents officiels, statistique, rapports, comptes rendus de missions en France et à l'étranger, Imprimerie Nationale, (lire en ligne), p. 520.
  22. Liste des récompenses, Imprimerie nationale, , 1473 p. (lire en ligne), p. 1414.
  23. Maurice Adrien Foäche, Le cheval allemand : son origine, sa production, son élevage, son emploi, remonte de l'armée, Paris, Lecaplain et Vidal, , 130 p. (BNF 30445167, lire en ligne   [PDF]).
  24. Mohammed-Ziegler et Gornic 2010, p. 3.
  25. (en) Daphne Machin Goodall, Horses of the world : An illustrated survey of breeds of horses and ponies, David and Charles, , 272 p. (ISBN 0-7153-5798-0), p. 60. .
  26. (en) Elwyn Hartley Edwards, Ultimate Horse, DK Pub., , 272 p. (ISBN 978-0-7894-8928-9, lire en ligne), p. 60.
  27. (en) Debra Kay Schrishuhn, Diana Miller Johnson et Anita K. Enander, The Babson Influence : A Retrospective : the Bloodline at the Base of Some of the World's Greatest Pedigrees, Institute for the Desert Arabian Horse, , 504 p. (ISBN 978-0-9801844-0-2, lire en ligne), p. 108 ; 111.
  28. (de) Baltische wochenschrift für Landwirtschaft, Gewerbfleiss und Handel, vol. 48, H. Laakmann, (lire en ligne), p. 179.
  29. a et b Alapfy et Török 1971, p. 66.
  30. (en) Sir Richard Hamilton Glyn (Bart.), The World's Finest Horses and Ponies, G. G. Harrap, , 128 p. (ISBN 978-0-245-59267-6, lire en ligne), p. 55.

Références scientifiques

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  1. a b et c Michaelis 2019, p. 8.
  2. Tunklová 2008, p. 15.
  3. Tunklová 2008, p. 16.
  4. Michaelis 2019, p. 34.
  5. Michaelis 2019, p. 6 ; 8.
  6. Michaelis 2019, p. 6.

Références de presse

modifier
  1. a b c d e et f Ryder 1984, p. 31.
  2. (en) « Obajan », Hungarian Review, Lapkiadó Vállalat,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b F. P., « L'Arabe et l'anglo-arabe à l'exposition hippique universelle », Le Sport universel illustré,‎ (BNF 32871962, lire en ligne   [PDF], consulté le ).
  4. M. Feist, « Une visite au haras royal de Deux-Ponts (Palatinat) », Journal agricole d'Alsace-Lorraine, Strasbourg, Association centrale des comices agricoles d'arrondissement,‎ (BNF 34423475, lire en ligne   [PDF], consulté le ).
  5. François Bilek et Maria Kuklova, « Les haras de la République tchécoslovaque », Revue de zootechnie : la revue des éleveurs, mensuelle, illustrée, Office français d'élevage,‎ , p. 22 (BNF 32858098, lire en ligne   [PDF], consulté le ).
  6. (en) Internationale Shagya-Araber Gesellschaft e.V., « The horse wonder at Circus Knie with O’Bajan XIII-1 (Badan) in the Shagya Arabian breed », Pure Bred Shagya-Arabian Society International Info,‎ , p. 7 (lire en ligne [archive du ]   [PDF]).
  7. Comte de Comminges, « Le haras de Neustadt-sur-Dosse », La Chasse illustrée : journal des plaisirs de la ferme et du château...,‎ , p. 123 (BNF 32740376, lire en ligne   [PDF], consulté le ).

Références associatives et web

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Annexes

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Articles connexes

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Bibliographie

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  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [Alapfy et Török 1971] Attila Alapfy et Imre Török (trad. du hongrois par Péter Komoly), Du cheval arabe au cheval hongrois, Librairie des Champs Elysées et imprimerie Kossuth, . 
  • [Foäche 1898] Maurice Adrien Foäche, Notes sur l'élevage des chevaux en Autriche-Hongrie, Paris, H. Charles-Lavauzelle, (lire en ligne   [PDF])
  • [Lehndorff 1982] (de) Siegfried Lehndorff, Ein Leben mit Pferden, Olms, , 439 p. (ISBN 3-487-08126-1). 
  • [Mannerheim 1896] (sv) J. Mannerheim, Berättelse till Landtbruksstyrelsen öfver en år 1893-94 med statsunderstöd företagen resa i utlandet för studier i husdjursafvel [« Rapport au Conseil suédois de l'agriculture sur l'année 1893-94 avec des entreprises de soutien de l'État voyageant à l'étranger pour des études en élevage d'animaux »], O.W. Backman, (lire en ligne   [PDF])
  • [Mohammed-Ziegler et Gornic 2010] (en) Ildikó Mohammed-Ziegler et Shasa Gornic (trad. du hongrois), The majestic black stallion : A one hundred year legacy, American Shagya Arabian Verband, , 15 p. (lire en ligne  )
  • [Schiele 1967] (de) Erika Schiele, Araber in Europa : Geschichte und Zucht des edlen arabischen Pferdes, Munich, BLV Bayerischer Landwirtschaftsverlag, , 302 p. (ISBN 3405107768 et 978-3405107765)
    • [Schiele 1970] (en) Erika Schiele (trad. de l'allemand), The Arab Horse in Europe : History and Present Breeding of the Pure Arab, Harrap, , 320 p. (ISBN 9780245596995 et 0245596992)
  • [Touchstone 1901] S. F. Touchstone, L'Élevage officiel en Autriche-Hongrie, Paris, Adolphe Legoupy, , 213 p. (BNF 43552612, lire en ligne   [PDF]), p. 142-149. 
  • [Vielhaad 1912] (de) Erich Vielhaad, Arbeiten der Deutschen Landwirtschafts-Gesellschaft, Berlin, Gesellschaft, (lire en ligne)

Études

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  • [Michaelis 2019] (en) Eva Michaelis, Analysis of Arabian stallion lines with Y chromosomal markers, Université de Vienne, département de médecine vétérinaire, (lire en ligne   [PDF])
  • [Tunklová 2008] (cs) Eva Tunklová, Uplatnění Shagya-araba v České republice [« Application d'élevage du Shagya-arabe en République tchèque »], České Budějovice, Université de République tchèque du sud à Česky Budějovice, faculté d'agriculture, (lire en ligne   [PDF]).  
    Thèse

Article de presse

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  • [Ryder 1984] (en) Thomas Ryder, « Babolna... home of the Arabian Horse in Hungary », The Carriage Journal, vol. 22, no 1,‎ , p. 30-32