Petites Sœurs du Sacré-Cœur

	Petites Sœurs du Sacré-Cœur
Ordre religieux
Structure et histoire
Fondation	;
	Liste des ordres religieux

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Les Petites Sœurs du Sacré-Cœur forment une congrégation religieuse de semi-contemplative fondée par une veuve belge^[1], Alida Macoir, née Capart^[2]^,^[3]^,^[4]^,^[5], en 1933 à Montpellier (Hérault) et dont la spiritualité s'inspire du père Charles de Foucauld, (1858-1916). La prieure générale est Sr Bénédicte Rivoire.

Présentation

Après le concile Vatican II, elles quittent l'habit religieux^[6] et adaptent leurs constitutions « pour vivre davantage mêlées au gens, dans un "vivre avec" », au sein des milieux défavorisés, favorisant la simplicité et la joie fraternelle. Ainsi Nazareth peut se vivre avec tous et partout (Charles de Foucauld). Elles disposent aussi d'un ermitage dans le désert des montagnes du Hoggar à l'Assekrem, pour des temps de contemplation.

Ces religieuses sont au nombre d'une cinquantaine réparti en de petites fraternités en Algérie, en Bolivie, en France et en Espagne, où elles sont dans ces deux derniers pays principalement dans des petits appartements « à la périphérie ». La fraternité générale se trouve à Rosny-sous-Bois et la fraternité de formation à l'Île-Saint-Denis, en banlieue parisienne^[7].

La congrégation compte une bienheureuse, sœur Odette Prévost (1932-1995), religieuse française qui fait partie des dix-neuf martyrs d'Algérie, béatifiés en 2018^[8].

Notes et références

↑ Mère de deux enfants, Edmond (1906-1968) et Madeleine (1910-1991), cf. arbre généalogique
↑ Née le 30 octobre 1885 à Bruxelles, morte le 9 novembre 1961 à Ixelles, Bruxelles.
↑ Histoire
↑ Mère Marie-Charles de Jésus, amie du couple Massignon, veuve de Georges Macoir (1878-1928), conservateur du musée royal d'armes et d'armures de la Porte de Hal. Ses sœurs l'expulsent de sa fondation de Montpellier en 1936 à cause de prétextes secondaires, sur l'interprétation de la règle. Elle retourne en Belgique dans son pays natal vivre seule à Anderlues sa vocation en apportant des soins et faisant le catéchisme dans les villages environnants. Elle sauve des Juifs pendant l'occupation allemande. Elle reçoit pour cela la médaille civile après la guerre. Elle est réintégrée dans sa fondation par Rome le 3 février 1953. La cérémonie a lieu le 22 avril suivant et elle s'installe dans la fraternité d'Anderlues en Belgique. Elle meurt en 1961.
↑ Saint-Denis catholique
↑ Blanc avec un voile blanc et un Sacré-Cœur rouge sur la poitrine.
↑ Communautés catholiques de Seine-Saint-Denis
↑ Lettre de la prieure générale à propos de la béatification de Sr Odette

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

[1] Mère de deux enfants, Edmond (1906-1968) et Madeleine (1910-1991), cf. arbre généalogique

[2] Née le 30 octobre 1885 à Bruxelles, morte le 9 novembre 1961 à Ixelles, Bruxelles.

[3] Histoire

[4] Mère Marie-Charles de Jésus, amie du couple Massignon, veuve de Georges Macoir (1878-1928), conservateur du musée royal d'armes et d'armures de la Porte de Hal. Ses sœurs l'expulsent de sa fondation de Montpellier en 1936 à cause de prétextes secondaires, sur l'interprétation de la règle. Elle retourne en Belgique dans son pays natal vivre seule à Anderlues sa vocation en apportant des soins et faisant le catéchisme dans les villages environnants. Elle sauve des Juifs pendant l'occupation allemande. Elle reçoit pour cela la médaille civile après la guerre. Elle est réintégrée dans sa fondation par Rome le 3 février 1953. La cérémonie a lieu le 22 avril suivant et elle s'installe dans la fraternité d'Anderlues en Belgique. Elle meurt en 1961.

[5] Saint-Denis catholique

[6] Blanc avec un voile blanc et un Sacré-Cœur rouge sur la poitrine.

[7] Communautés catholiques de Seine-Saint-Denis

[8] Lettre de la prieure générale à propos de la béatification de Sr Odette

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