Portes-lès-Valence
Portes-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Portes-lès-Valence | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Geneviève Girard 2020-2026 |
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Code postal | 26800 | ||||
Code commune | 26252 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Portois, Portoises | ||||
Population municipale |
10 422 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 722 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 27″ nord, 4° 52′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 106 m Max. 183 m |
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Superficie | 14,43 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Valence (banlieue) |
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Aire d'attraction | Valence (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valence-3 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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modifier |
Ses habitants sont dénommés les Portois et les Portoises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Portes-lès-Valence est située dans l'agglomération valentinoise, au sud de la ville de Valence (préfecture).
Communes limitrophes
modifierValence Soyons (Ardèche) |
Valence | Valence Montéléger |
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Soyons (Ardèche) | N | Montéléger | ||
O Portes-lès-Valence E | ||||
S | ||||
Soyons (Ardèche) Étoile-sur-Rhône |
Étoile-sur-Rhône | Beauvallon |
Relief et géologie
modifierLa commune est située à environ 119 mètres d'altitude. Elle est constituée de plusieurs terrasses (101 m d'altitude en moyenne).
Sites particuliers :
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants :
- la Véore[1] ;
- le Rhône qui délimite la commune à l'ouest[1] ;
- Ruisseau de Lambert[réf. nécessaire].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,7 | 1,8 | 4,5 | 7,1 | 10,9 | 14,3 | 16,3 | 15,9 | 12,6 | 9,8 | 5,4 | 2,5 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,9 | 9,6 | 12,6 | 16,5 | 20,4 | 22,7 | 22,4 | 18,3 | 14,2 | 8,8 | 5,5 | 13,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 9,9 | 14,7 | 18 | 22,1 | 26,5 | 29,2 | 28,9 | 24 | 18,5 | 12,3 | 8,5 | 18,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 11.01.10 |
−10,1 05.02.12 |
−10,4 02.03.05 |
−4,4 08.04.21 |
2,3 07.05.19 |
6 10.06.1987 |
8,4 18.07.00 |
7,4 30.08.1993 |
2,9 30.09.1995 |
−2,7 26.10.03 |
−5,9 23.11.1998 |
−8,4 30.12.05 |
−13,2 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,5 10.01.15 |
21,8 23.02.1990 |
26 25.03.1994 |
30,2 24.04.07 |
33,6 24.05.09 |
38,9 29.06.19 |
39,3 24.07.19 |
40,8 13.08.03 |
33,9 03.09.05 |
28,8 09.10.23 |
23,2 11.11.1995 |
20,6 18.12.1989 |
40,8 2003 |
Précipitations (mm) | 62,4 | 41,8 | 49,5 | 74,2 | 80,9 | 61,6 | 55,3 | 66,4 | 108,4 | 129,3 | 118,2 | 56,5 | 904,5 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune de Portes-lès-Valence se trouve à 20 kilomètres au sud de la gare de Valence-TGV et à 8 kilomètres de celle de Valence-Ville.
L'autoroute A7 (péage de Valence Sud) permet de joindre Lyon (100 kilomètres au nord) et Marseille (220 kilomètres au sud).
L'autoroute A49, via le périphérique valentinois, permet de joindre Grenoble (100 kilomètres au nord-est).
Transports en commun
modifierLa ville de Portes-lès-Valence est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes 9 et 10)[réf. nécessaire].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Portes-lès-Valence est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (47,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,8 %), zones urbanisées (17,5 %), eaux continentales[Note 2] (4,1 %), cultures permanentes (4 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierQuartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[1] :
- Bois des Rebatières
- Bos Codoyer
- Bressac
- Chaternay
- Cité Jardins
- Dandor
- Faravel
- Ferme Peyral
- Gauthier
- Grangeneuve
- la Chaffine
- la Couronne
- la Houppe
- la Motte
- la Station
- le Colombier
- les Brûlats
- les Chaux
- les Galles
- les Gaulets
- les Grands Mernes
- les Lacs
- les Mernes
- les Quérats
- les Rebatières
- les Sapins
- les Vallats
- Marcon
- Margier
- Miaille
- Monerit
- Morlon
- Neyremand
- Olagnet
- Peyrollet
- Rivecourt
- Rostagnon
- Saint-Gervais
- Tache
- Tégenas
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierLe Rhône a toujours été redouté pour ses crues (1812, 1840, 1856 ou 1993)[réf. nécessaire].
Toponymie
modifierLa commune se nomme Pòrtas en provençal[réf. nécessaire].
Attestations
modifierAvant 1908, la commune de Portes-lès-Valence portait le nom de Fiancey.
Fiancey
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1157 : castrum Finciaci, Franciaci et Faiciaci (Gall. christ., XVI, 104).
- 1157 : mention de la paroisse : ecclesia de Finzeo (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
- 1158 : de Finceu (Gall. christ., XVI, 106).
- 1228 : castrum Franciacii (Gall. christ., XVI, 114).
- 1332 : Finsax (Gall. christ., XVI, 130).
- 1349 : mention du mandement : mandamentum Finceasi (archives de la Drôme, fonds de Saint-Ruf).
- 1470 : dominus Fianciacii (archives de la Drôme, E 2531).
- 1483 : Finsey et Finscasi (terrier de Beaumont-lès-Valence).
- 1495 : Fienceyacum (archives de la Drôme, E 2554).
- 1540 : villa Finciacum (A. du Rivail, De Allobrog., 77).
- 1644 : Saint Gervais de Fiancey (archives de la Drôme, B 128).
- 1705 : Fiancée (dénombrement du royaume).
- XVIIIe siècle : Fiancées près la Vache (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Fiancey, commune du canton de Valence, dont le chef-lieu est au village de Portes.
Portes
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1100 : locus de Portis (de Coston, Étymologie de la Drôme).
- 1474 : mention de l'église Notre-Dame : eclesia Beate Marie de Portis in mandamento de Fiancey (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence]).
- 1650 : mention de l'église Notre-Dame : Nostre Dame de Portes (inventaire de Saint-Apollinaire).
- 1891 : Portes, village, chef-lieu de la commune de Fiancey.
Portes-lès-Valence
modifierEn 1908, la commune de Fiancey change de nom et devient Portes-lès-Valence.
Étymologie
modifierHistoire
modifierPréhistoire
modifierVestiges de cabanes préhistoriques[16].
Protohistoire
modifierLe territoire fait partie de la tribu gauloise des Segovellaunes.
Relais routier et port fluvial pour le commerce grec de Massalia (Marseille)[16].
Antiquité : les Gallo-romains
modifierUne villa gallo-romaine, dite de Saint Gervais a été retrouvée et partiellement fouillée dans les quartiers du Colombier et des Chaux (Valette, 1935, 1952 et 1962 – Club Archéologique Crouzet, 1979 – Tarpin, 1997 à 2000)[17].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierFiancey
modifierLa seigneurie[14] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief des comtes de Valentinois et de l'arrière-fief des évêques de Valence.
- Avant 1464 : possession de Guillaume de Poitiers, seigneur de Barry.
- 1464 : elle est confisquée et donnée à François d'Eurre, « valet de chambre » du roi Louis XI.
- 1470 : possession des Silve (qui la possédaient encore en 1583).
- Avant 1626 : acquise par les Dorne.
- 1680 : léguée aux Lescot.
- Passe (par héritage) aux Baronnat.
- Vers 1723 : passe aux Rostaing, derniers seigneurs de Fiancey.
1789 (démographie) : 43 chefs de famille[14].
Avant 1790, Fiancey était une communauté de l'élection et subdélégation et du bailliage de Valence.
Elle formait au XIIe siècle une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, sous le vocable de Saint-Gervais, dépendait premièrement de l'abbaye de Saint-Victor de Valence, et ensuite de l'abbaye de Saint-Ruf qui y prenait la dîme et pourvoyait au service paroissial. Unie dans le cours du XVe siècle à la paroisse de la Vache, cette paroisse forma, au siècle suivant, la paroisse de Portes[14].
Portes
modifierLa seigneurie[15] :
- Au point de vue féodal, Portes était une terre (ou seigneurie) du fief des évêques de Valence, distincte de celle de Fiancey.
- Elle est probablement la possession des Eurre.
- 1598 : possession des Monery.
- 1638 : elle passe (par mariage) aux Meysonnier.
- Passe aux Dorne.
- Passe (par héritage) aux Lescot.
- 1697 : passe (par héritage) aux Baronnat.
- Avant 1723 : vendue aux Rostaing-Champferrier, derniers seigneurs de Portes.
Avant 1790, Portes était le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Valence qui, ayant remplacé, vers le milieu du XVe siècle, celle de Saint-Gervais-de-Fiancey, avait l'abbé de Saint-Ruf pour décimateur et son église sous le vocable de Notre-Dame. Le mandement de Fiancey avait la même étendue que la commune de ce nom[15].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, Fiancey (dont Portes) devient une municipalité du canton d'Etoile. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une commune du canton de Valence[14].
1908 : Fiancey devient Portes-lès-Valence
modifierEn 1908, la commune abandonne son nom de Fiancey et choisit celui de Portes-lès-Valence[18].
Seconde Guerre mondiale
modifierPendant la deuxième guerre mondiale, la commune est bombardée à plusieurs reprises peu avant la Libération.
La gare de triage est le théâtre d'une action de la résistance le qui détruit plusieurs locomotives et fait sauter un local administratif (quinze personnes sont tuées, dont trois français). En représailles, les Allemands amènent deux jours plus tard trente prisonniers de la prison de Montluc (Lyon) et les fusillent sur les lieux de l'explosion[19].
Le , Yves Farge, ancien Commissaire de la République à Lyon, et Claude Alphandéry, ancien Président du Comité Départemental de Libération, remettent à la commune de Portes-lès-Valence la Croix de Guerre 1939-1945[20] qui vient de lui être décernée[21].
Histoire récente
modifierPolitique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierDepuis 1908, la commune a été dirigée par des maires classés à gauche jusqu'à la seconde guerre mondiale.
À la Libération, la ville cheminote passe dans le giron communiste avec l'élection en 1946 de Gabriel Coullaud, puis de Jean-Guy Pinède.
En 1989, Jean-Guy Pinède qui a annoncé, l'année précédente, son soutien à un candidat communiste rénovateur lors de la présidentielle, est exclu du PCF. C'est donc sous l'étiquette à gauche autrement qu'il est réélu.
En 2001, à la faveur d'une triangulaire, la ville passe à droite et Geneviève Girard devient maire. Le PCF reprend la mairie en 2008 mais la perd en 2014 avec la réélection de Geneviève Girard, cette fois dans le cadre d'un duel classique[réf. nécessaire].
Administration municipale
modifierÀ la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de 8 adjoints et de 24 conseillers municipaux[22][source insuffisante].
Liste des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa ville de Portes-lès-Valence fait partie du département de la Drôme, faisant elle-même partie de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est membre de la communauté d’agglomération Valence Romans Agglo. Elle fait aussi partie de l’arrondissement de Valence. Pour ce qui est du découpage électoral, la ville fait partie de la deuxième circonscription de la Drôme, ce qui fait de Lisette Pollet sa députée. Enfin, elle fait partie du canton de Valence-3 pour les élections départementales, ce qui fait de la maire de Portes-lès-Valence, Geneviève Girard, et de l’adjoint au maire de Valence, Franck Soulignac, les conseillers départementaux.
Politique environnementale
modifierEspaces verts et fleurissement
modifierEn 2014, la commune se maintient au niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[23].
Finances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 3].
En 2021, la commune comptait 10 422 habitants[Note 4], en évolution de +2,09 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifier- Caserne de sapeurs pompiers composée de 21 personnels, armée de quatre véhicules (FPT, VLHR, VL, UPMA)[réf. nécessaire].
Enseignement
modifierPortes-lès-Valence relève de l'académie de Grenoble et abrite le collège Jean Macé[26].
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Fête communale en mai[16].
- Fête patronale en juin[16].
- Festival Portes en fête chaque année de juin à septembre.
Loisirs
modifier- Une piscine[16] intercommunale porte le nom de la championne de natation française Camille Muffat[réf. nécessaire].
- Une salle de spectacle : Le Train Théâtre[27].
Sports
modifierMédias
modifierCultes
modifier- Église Réformée de Portes-lès-Valence, rue Émile Zola[28].
Économie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : pêchers[16].
Industrie
modifier- Zone industrielle des Auréats (sur les communes de Portes-lès-Valence et de Valence)[réf. nécessaire].
- Zone de Morlon[réf. nécessaire].
- Zone de Grangeneuve[réf. nécessaire].
- Port fluvial de commerce de la Drôme.
- Port céréalier[16].
Tourisme
modifierUne double aire de service (stations-service et autres installations) de l’autoroute A7 se trouve sur le territoire communal. Cette aire de service a été utilisée comme lieu de tournage du film Drôle d’endroit pour une rencontre de François Dupeyron, avec Catherine Deneuve et Gérard Depardieu, film sorti en 1988[29].
Revenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église ruinée de Saint-Gervais[16].
- Église Sainte-Philomène de Portes-lès-Valence.
- Vestiges d'une abbaye[16].
- Ancien château de Morlon[16].
- Château de Bressac (transformé en ferme)[16].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierFlore
modifier- L'essence dominante de la commune est le chêne pubescent ;
- chênes verts ;
- thym.
Faune
modifier- Cannes de Provence.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique, logotype et devise
modifierPortes-lès-Valence possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Portes-lès-Valence sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2008.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Portes-lès-Valence et Étoile-sur-Rhône », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 144 (Fiancey).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 284 (Portes).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Portes-lès-Valence.
- « Étoile-sur-Rhône », sur Archéologie de la France, informations (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Stèle des fusillés », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
- « Portes-lès-Valence reçoit la Croix de guerre - 1949 - Films de montagne - Cinémathèque d'images de montagne », sur Portes-lès-Valence reçoit la Croix de guerre - 1949 - Films de montagne - Cinémathèque d'images de montagne (consulté le ).
- « Portes-lès-Valence en 1939-1945 », sur ajpn.org (consulté le ).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Accueil - Collège Jean Macé - Portes lès Valence - Drôme », sur ac-grenoble.fr (consulté le ).
- « Le Train Théâtre – Régie – Comité national de liaison des EPCC » [archive du ] (consulté le ).
- « Église Réformée de Portes-lès-Valence ».
- « L2TC.com - Portes-les-Valence, Drôme (26), Auvergne-Rhône-Alpes, France - Lieux de tournage », sur l2tc.com (consulté le ).