Séreilhac

commune française du département de la Haute-Vienne

Séreilhac (Cerelhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Séreilhac
Séreilhac
L'entrée sud-ouest du bourg de Séreilhac.
Blason de Séreilhac
Blason
Séreilhac
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Vienne
Maire
Mandat
Loïc Cottin
2020-2026
Code postal 87620
Code commune 87191
Démographie
Population
municipale
2 022 hab. (2021 en évolution de +4,5 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 00″ nord, 1° 04′ 50″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 420 m
Superficie 38,63 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aixe-sur-Vienne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Séreilhac
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Séreilhac
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Séreilhac

Géographie

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Généralités

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Situation de la commune de Séreilhac en Haute-Vienne.

Dans le Massif central, dans le quart sud-ouest du département de la Haute-Vienne, sur le plateau du Limousin, la commune de Séreilhac s'étend sur 38,63 km2. Située en limite extérieure du parc naturel régional Périgord-Limousin, elle fait partie de l'aire urbaine de Limoges. Elle est arrosée par un affluent de la Vienne, le Grand Rieux, qui y prend sa source.

L'altitude minimale avec 218 mètres se trouve localisée à l'extrême nord-est, là où le Petit Rieux, un affluent du Grand Rieux, quitte la commune et entre sur celle d'Aixe-sur-Vienne. L'altitude maximale avec 420 mètres est située au nord-ouest, au lieu-dit la Roche Barrat[1].

À l'intersection de la route nationale 21 et des routes départementales (RD) 17, 34 et 110, le bourg de Séreilhac est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres au sud-ouest de celui d'Aixe-sur-Vienne et dix-neuf kilomètres au sud-est de Saint-Junien.

Le territoire communal est également desservi par les RD 59, 59a et 699.

Communes limitrophes

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Séreilhac est limitrophe de huit autres communes.

Au nord-ouest, la commune de Saint-Cyr est distante de moins de 500 mètres.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 086 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nexon à 12,81 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Séreilhac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (67,4 %), prairies (15,6 %), forêts (11,7 %), terres arables (3 %), zones urbanisées (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Séreilhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Séreilhac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 31,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Séreilhac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[19].

Toponymie

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Panneau d'entrée à Séreilhac en occitan.

La commune porte le nom de Cerelhac en occitan.

Histoire

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Deux mégalithes au moins attestent de l'occupation du territoire depuis la Préhistoire.

1745 : la première carte, au 1/8 628, de Séreilhac est établie afin de figurer dans l'atlas de Trudaine pour la généralité de Limoges, avec la portion de route passant par Séreilhac (« Sereillac »), près du château de Rochefort, jusqu'à l'étang de Busserolles (« Busserol »)[20].

Comme en témoignent la principale voie du bourg avenue de l'Occitanie, et le bar tabac L'Occitan, la commune fait partie, historiquement, de la région culturelle de l'Occitanie. Traditionnellement, on y parlait l'occitan ; deux panneaux bilingues en langue occitane reprenant le nom de la commune Cerelhac se trouvent d'ailleurs aux deux entrées du bourg, le long de la route nationale 21.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1870 1874 Eugène Mayeras    
1874 1876 Jacques Eugène Denis    
1876 1878 Eugène Mayeras    
1878 1886 Edmond Mayeras    
1886 mai 1908 Jean Lacombe    
mai 1908 mai 1912 Jean Joubert    
mai 1912 mai 1925 Martial Vigneras    
mai 1925 octobre 1947 Jean Dussoulier    
octobre 1947 mars 1959 Pierre Jouhaud    
mars 1959 mars 2001 Jean Rebier    
mars 2001 mars 2014 Jean-Pierre Bouissou DVG  
mars 2014 janvier 2017[21]
(décès)
Éric Maneuf DVG Cadre dans les transports
Adjoint au maire (2008 → 2014)
avril 2017 mai 2020 Philippe Briat[22] DVG Retraité, ancien premier adjoint
mai 2020 En cours Loïc Cottin DVG Agriculteur

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 2 022 habitants[Note 3], en évolution de +4,5 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4061 7721 8042 0452 0932 0632 0022 1322 132
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1942 1462 1422 0532 1422 2262 2842 2502 281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2012 2002 1161 8951 7681 6851 6841 6391 475
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 4391 3621 3521 4621 6141 5951 6051 6441 811
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9191 9892 022------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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  • Dolmen de Chez Taraud, au nord-est du bourg.
  • Menhir du Gatinaud, dit aussi Pierre Levée du Gatinaud, au sud-ouest du bourg.
  • Château de Puycheny, ou Puy Cheny, datant de 1840[27].
  • Château de Rochefort, manoir du XIVe siècle détruit à la Révolution française et rebâti au début du XIXe siècle[28].

Patrimoine religieux

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Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Desvalois (1911-2003), secrétaire général du syndicat national des instituteurs de 1962 à 1966.
  • Comte Antonin Chebrou de Lespinats (1806-1887), chevalier de la Légion d'honneur (1845), reçu en 1837 à la cour du roi Louis-Philippe 1er, directeur du haras de Pompadour (1834-1837) puis de celui du Pin (1843-1847), inspecteur général des Haras (1847), maire de Séreilhac de 1865 à 1870. Il participa à l'Exposition universelle de 1878 à Paris pour y présenter plusieurs de ses bêtes de races (durham et limousine).
  • Comte Victor Chebrou de Lespinats (1838-1906), chevalier de la Légion d'honneur (1897), maître de forges à Neuves-Maisons (arrondissement de Nancy), inventeur des hauts fourneaux.
  • Eugène Pinte, dit « commandant Athos ». Dès fin 1940, ce patriote prend contact avec d'autres officiers et constitue les premiers embryons de réseaux de l'Organisation de résistance armée (ORA), dans les secteurs de Cussac et Séreilhac.
  • François Mitterrand : sa grand-mère paternelle était limousine, d'une famille de petits fonctionnaires originaires de Séreilhac[36],[37].

Héraldique

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  Blason
Taillé : au 1er de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 2d de sinople à un vase à parfum d'or ; à la barre d’argent chargée de trois mouchetures d'hermine de sable posées à plomb, brochant sur la partition[38].
Détails
La croix occitane rappelle l'appartenance de Séreilhac à l'Occitanie. Les mouchetures d'hermine rappellent l'appartenance de la commune au Limousin. Le vase à parfum est l'un des attributs de sainte Madeleine, patronne de la commune. La barre évoque la route nationale 21 qui traverse la commune de Séreilhac du nord-est au sud-ouest. La couleur verte évoque la nature limousine.

Création Xavier Lansade, adoptée le .

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « 420 » sur Géoportail (consulté le 31 octobre 2019)..
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Séreilhac et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Nexon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Nexon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Séreilhac ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Séreilhac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Carte de Séreilhac de l'atlas de Trudaine sur la base Archim du ministère de la Culture.
  21. « Eric Maneuf, le maire de Séreilhac, est décédé », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Philippe Briat est le nouveau maire », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Maison de maître dite Château », notice no IA00123130, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  28. « Château de Rochefort », notice no IA00123111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  29. « Eglise paroissiale Sainte-Eulalie, Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA00123110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  30. Église Sainte-Marie-Madeleine, Clochers de France, consulté le 31 octobre 2019.
  31. « Eglise paroissiale Sainte-Eulalie, Sainte-Marie-Madeleine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Oratoire Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00123116, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  33. Chapelle Saint-Jean, Clochers de France, consulté le 31 octobre 2019.
  34. « Croix monumentale », notice no IA00123113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  35. « Croix monumentale », notice no IA00123114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 31 octobre 2019.
  36. http://ldestrem.unblog.fr/2010/06/29/les-racines-limousines-de-francois-mitterrand/
  37. https://www.mitterrand.org/IMG/pdf/16-Arbre_genealogique.pdf
  38. « 87191 Séreilhac (Haute-Vienne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).