Sorbey (Meuse)

commune française du département de la Meuse

Sorbey est une commune du département de la Meuse, dans la région Grand Est, en France.

Sorbey
Sorbey (Meuse)
Mairie.
Blason de Sorbey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes de Damvillers Spincourt
Maire
Mandat
Julien Michels
2020-2026
Code postal 55230
Code commune 55495
Démographie
Population
municipale
238 hab. (2021 en évolution de −9,51 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 50″ nord, 5° 34′ 43″ est
Altitude Min. 213 m
Max. 322 m
Superficie 12,64 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bouligny
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sorbey
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Sorbey
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Sorbey
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Sorbey

Géographie

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Entrée de Sorbey.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Othain, le ruisseau de Pillon et le ruisseau du Bois de Parlay[1],[Carte 1].

L'Othain, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Gondrecourt-Aix et se jette dans la Chiers à Montmédy, après avoir traversé 25 communes[2].

 
Réseau hydrographique de Sorbey[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sorbey est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,5 %), forêts (22 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Histoire

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Armoiries Sorbey (inexactes) sur le gisant de Jean de Lavaulx, mort en 1586, dans l'église de Vrécourt (Vosges).
 
Armoiries Sorbey dans l'église de Vrécourt (Vosges).

La maison de nom et d'armes de Sorbey est d'ancienne chevalerie. L'héraldiste du XVIIe siècle Matthieu Husson L'Escossois la fait remonter, mais sans en donner la date, à Thiébault de Sorbey, chevalier.

Cette seigneurie fut transmise par Jeanne de Sorbey à la maison de Lavaulx par son mariage avec Wary de Lavaulx. Jean de Lavaulx, son fils, n'eut qu'une fille, Marie, qui en hérita et s'unit avec Guillaume de Croix, fils de Tassinet de Croix et de Jeanne des Armoises, dont Thomas, dont Louis qui vendit cette terre a Arnould de Gorcy, rachetée par Jean de Croix pour en avantager les sieurs de La Fontaine et de L'Escamoussier. La Maison de Sorbey était éteinte au XVIIe siècle. On en compte plusieurs branches ou Maisons distincte, toutes de l'ancienne chevalerie et qui suivent[16].

  • 1371 : Jean de Sorbey barisien, est tué avec plusieurs chevaliers, Jean de Salm le jeune, Humbert de Bauffremont sire de Bulgnéville, Raoul de la Tour en Ardennes, lors d'une guerre privée entre Robert de Hervilley soldoyer de la cité de Metz et Jean de Mars à la bataille de Ligny, le [17].
  • 1340 : Parmi les vassaux du duc Jean III de Brabant, se trouvait le chevalier Thiébaut de Sorbey, que le duc s'était attaché par le don d'une rente annuelle de 30 livres, en échange de laquelle Thiébaut devait lui rendre certain service féodal : c'est ce que nous apprend une charte du (n. st.) (1), par laquelle Theobaldus de Sorbe, miles, reconnaît avoir reçu du duc Jean, à Bruxelles, par l'entremise de sire Herman van Os et de Jean de Meldert, 60 livres de tournois noirs, que le duc lui devait pour deux termes annuels de sa rente.

Le duc ou ses successeurs pouvaient racheter cette rente par 300 livres de noirs tournois (un gros tournois compté pour 16 deniers) ; seulement, après le rachat, Thiébaut ou ses héritiers devaient assigner sur leur franc-alleu au duc ou à ses successeurs trente livrées de terre à noirs tournois, qu'ils devaient tenir perpétuellement en foi et hommage de ces derniers.

Or, ce rachat eut lieu en 1365 : eut effet, le , Bastien et Jean de Sorbey, écuyers, fils de Thiébaut, reconnaissent avoir reçu de Wenceslas et Jeanne, duc et duchesse de Luxembourg et de Brabant, pour le rachat des 30 livrées de terre, une somme de 300 livres tournois ; ils assignent en conséquence à ces princes et à leurs successeurs, ducs de Brabant, tout ce qu'ils possèdent « en le ville et on finaige de Sorbey » et le reprennent et relèvent en fief et en hommage aux ducs. Eux, leurs hoirs et successeurs devront toujours tenir ces biens des ducs de Brabant, héréditairement, et ils s'engagent à « leur faire service et autre redevableteit appartenant a teil fief selon l'usage de Brabant, sous l'obligation de tous leurs autres biens meubles et immeubles, présents et à venir ».

Seulement, avant le rachat, Bastien et Jean de Sorbey avaient dû prouver qu'ils possédaient réellement sur le territoire de Sorbey, en franc-alleu, des revenus s'élevant à 30 livres de vieux tournois par an. Cette preuve avait été faite le précédent (1364), ainsi que le montre l'acte dont l'analyse suit :

« Le 30 décembre 1364, Alexandre de Bettange, prévôt de Marville et de Saint-Mard, fait savoir que comme le duc de Luxembourg et de Brabant l'a délégué, par ses lettres scellées, pour aller, avec Bastien de Sorbey, fils de feu messire Thiébaut de Sorbey, et en prenant avec lui deux hommes de fief, faire une enquête sur 30 livrées de terre à vieux tournois (le vieux gros compté pour 16 d. t. courants), que Bastien doit démontrer être de son franc-alleu et doit assigner au duc, pour les tenir en fief et hommage du duché de Brabant perpétuellement, le dit Bastien l'a mené à Sorbey, avec, comme hommes de fief du château de Marville, Guillaume de la Ferté et Henri Poincignon. En sa présence et en celle des dits hommes de fief, Arnould Godart, Angerbel et Jean Martel, respectivement maire et échevins de Sorbey pour les deux seigneurs de Marville, Willemin Gaudechin, Gérardin li Chaurelier et Simonin li Boutemand, respectivement maire et échevins de Sorbey pour le dit Bastien, ainsi que plusieurs autres bonnes gens, jurés et sermentés de Sorbey, témoignent sous serment que Bastien tire annuellement et perpétuellement de son héritage, qui est un franc-alleu, en la dite ville de Sorbey, les revenus suivants :
6 1/2 reix et 7 frenchars de froment (le reix à 18 franchars), ce qui fait,
au prix de 2 sous tournois le frenchart, le vieux gros étant compté pour 10
deniers : 12 1. 8 s. t.
Avoine : 7 reix (à 18 frenchars), à 9 s. t. le reix et le gros
vieux compté pour 16 d. t., soit 63 s.t »[18].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1946 Adolphe Lenoble    
1947 1977 André-Ernest Tourneur    
1977 1995 Maurice Jacques    
1995 mars 2014 Bernard Petit    
mars 2014 mai 2020 Evelyne Griffon    
mai 2020 En cours Julien Michels[19]   Technicien
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 3], en évolution de −9,51 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
384425491495533561580607540
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
504494472445439444409406360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
344304293259255263264219240
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
229192184165139166187193234
2015 2020 2021 - - - - - -
263242238------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Martin, construite en 1862.
  • Fontaine.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'argent à un ours de sable, debout sur un rocher de gueules, tenant dans ses pattes antérieures une lance d'or futée de sinople et posée sur le rocher ; denticulé en chef de trois pièces d'azur[24].
Détails
Adopté le .
Alias
 
Alias du blason de Sorbey
D'argent au croissant de gueules surmonté d'une étoile de sable ; à la bordure de gueules.

Sorbey a donné son nom à une maison de nom et d'armes éteinte, qui portait : d'azur à un croissant montant d'argent surmonté d’une étoile de même[25].

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Sorbey » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Sorbey », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Othain »
  3. « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Sorbey et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Sorbey ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. (C. B. H-L.), Cayon
  17. Annales du Barrois, Servais
  18. Annales de l'Institut d'Archéologie du Luxembourg, tome 36, 1901
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « 55495 Sorbey (Meuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  25. Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872