Urville-Nacqueville
Urville-Nacqueville est une ancienne commune française du département de la Manche et de la région Normandie, peuplée de 1 958 habitants[Note 1]. Elle est issue de la fusion d'Urville-Hague et de Nacqueville, le .
Urville-Nacqueville | |
Villas longeant la plage d'Urville. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | CA du Cotentin |
Statut | Commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Yveline Druez 2017-2020 |
Code postal | 50460 |
Code commune | 50611 |
Démographie | |
Gentilé | Urvillo-Nacquevillais |
Population | 1 958 hab. (2021) |
Densité | 169 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 40′ 26″ nord, 1° 44′ 20″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 148 m |
Superficie | 11,58 km2 |
Élections | |
Départementales | La Hague |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | La Hague |
Localisation | |
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Depuis le , elle fait partie de la nouvelle commune de La Hague et a le statut de commune déléguée.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située dans la Hague, au nord-ouest de la presqu'île du Cotentin.
Toponymie
modifierLe toponyme est composé de deux noms en -ville au sens ancien de « domaine rural » (villa), précédé du nom du propriétaire selon le cas le plus fréquent.
- Urville (Urvilla vers 1160 - 1163) : homonymie avec Urville-Bocage et les autres Urville qui contiennent un nom de personne germanique, Uro est cité par Förstemann[2].
- Nacqueville (Nakevilla, Nachevilla, 1148) du nom de personne norrois Hnakki rapporté par Jean Adigard des Gautries[2] entre autres. Le surnom scandinave Hnakki signifie probablement « celui qui a un long ou large cou »[3].
Le gentilé est Urvillo-Nacquevillais[4].
Remarque : il existe un nom de personne vieux norrois Ýr(r)[5], prononcé « ur » [yr]
Microtoponymie
modifierLes noms en Hameau sont des francisations de la forme normande Hamel et sont généralement suivis d'un nom de famille.
Plusieurs microtoponymes de type scandinave subsistent sur le territoire environnant :
- Landemer, formation homonyme de Landemer dans le Val de Saire : de l'ancien scandinave Landamerki semblable au (vieil) islandais landamerki et anglais landmark « repère, jalon, amer »[6] ;
- Christo, graphie fantaisiste pour Cristot, homonyme des Cristot, Critot, Crestot et Crétot de Normandie, toponyme en -tot d'origine norroise ;
- Eudal (le Haut et le Bas) anciennement Usdal (1256), nom formé avec l'ancien scandinave dalr, accusatif dal « val, vallée » ;
- Les Houllegattes, nom d'un champ. Homonymie avec les nombreux Houlgate, Houllegate, Houlgatte de Normandie[7]. De l'ancien scandinave holr « creux » et gata « voie »[7]. Il a désigné plus spécifiquement des chemins en cavée, creux, dans la région[7].
Histoire
modifierProtohistoire
modifierDurant la Protohistoire, Urville-Nacqueville abritait un port en relation avec le sud de l'Angleterre. Des découvertes et des fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour de nombreux éléments témoignant de ces premières relations transmanches[8], au pied du fort d'Urville et notamment, sous le sable de la plage de Nacqueville une trentaine de sépultures de La Tène, datées des années [9]
Moyen Âge et époque moderne
modifierLes 18 juillet, il se tenait à Nacqueville une foire annuelle, dite foire de la Saint-Clair[10].
En 1522, les troupes anglaises débarquent à Landemer[11].
Le , c'est à Urville que débarquent 7 000 Anglais avec 600 chevaux avant de dévaster Cherbourg[12].
XXe siècle
modifierUrville fut une station balnéaire très prisée au début du XXe siècle. De cette époque date le « Village normand », conçu en 1911 par René Levavasseur, architecte de la gare maritime de Cherbourg. Il a été détruit par les bombardements de juin 1944, comme de nombreuses villas construites sur la côte au hameau de Landemer.
Une de ces villas, dans la vallée du Hubiland, accueillit dans les années 1920, la famille du jeune Boris Vian, qui écrira plus tard « Landemer, ça s'appelait. Dix-sept habitants. On avait des petites baraques là-bas. [...] Un chouette merveilleux pays ».
En , le bourg enregistre d'importants dégâts à la suite des bombardements. La commune est libérée le et le Hameau-Nicolle, le lendemain, par le 47e régiment d'infanterie US[13].
En 1963, Urville-Hague (382 habitants en 1962[14]) fusionne avec Nacqueville (470 habitants[15]), au sud-est de son territoire.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierLe conseil municipal était composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[17].
Liste des maires d'Urville-Hague et de Nacqueville
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22],[Note 2].
En 2021, la commune comptait 1 958 habitants, en évolution de −9,69 % par rapport à 2015 (Manche : +0,44 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Activité et manifestations
modifierSports
modifierLe Stade d'Urville-Nacqueville fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[24].
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierL'église d'Urville-Nacqueville
modifierLa construction de l'église d'Urville-Nacqueville commence en 1958, après la pose de la première pierre le , en remplacement des deux églises détruites à l'occasion des opérations militaires de la Libération.
En 1944, chacune des deux communes possédait son église. Celle de Nacqueville, en haut de la colline, fut dynamitée par les Allemands dans les premiers jours du mois de , en représailles après de sévères bombardements anglais visant à détruire les installations de radars situées à deux pas de l'édifice. Très repérable, avec son clocher élancé, cette église de style néogothique avait été construite en 1904 par le châtelain de l'époque, Hildevert Hersent, qui en fit don à la commune.
La nef et le chœur de l'église d'Urville-Hague du XIXe siècle (1812), dédiée à saint Martin, déjà très ébranlés par les bombardements, s'écroulèrent au passage des chars américains. Il n'en subsiste, en bordure du CD 45, en direction de Landermer, que le clocher-porche avec au-dessus un bas-relief la charité de saint Martin.
Si les deux communes comportent de nombreux villages excentrés, Urville-Hague et Nacqueville forment en pied de coteau une agglomération mitoyenne. Dès que la région fut libérée, un accord entre la préfecture et l'évêché décide de fusionner les deux paroisses et de ne reconstruire qu'une seule église pour les deux communes. Quelques années plus tard, ces deux collectivités fusionneront elles aussi.
L'édifice actuel est l'œuvre de François Champart (Romilly-sur-Seine, 1912 - Paris 6e, 1997). L'architecte a voulu reprendre avec les possibilités des techniques contemporaines, les formes trapues des vieilles églises de La Hague. Les matériaux, pierres apparentes, couvertures en schiste, concourent à rappeler les édifices traditionnels de la région. Sur le parvis, on remarque le baptistère en forme de pigeonnier, abritant les fonts baptismaux de l'ancienne église d'Urville (XVIIIe), placé comme un exonarthex avec un cheminement (la couverture en a été enlevée) prévu pour accueillir le nouveau baptisé directement dans la chapelle de la Vierge. Ce vaste parvis introduit le visiteur sous un porche généreux qui mène dans une nef ample, elle-même emportant le regard vers les piliers du clocher encadrant l'autel principal. Au-dessus du porche, on peut lire Ut omnes ununt sint, sicut tu Pater in me et ego in te : « Que tous soient uns, comme toi, Père tu es en moi et moi en toi » (Évangile de Jean 17, 21). Allusion à la devise de Mgr Guyot, évêque de Coutances à l'époque : Ut sint unum : « qu'ils soient un ». La première eucharistie y fut célébrée le . La consécration de l'autel et la bénédiction de l'église eurent lieu le . Elle est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Saint-Clair du doyenné de Cherbourg-Hague[25].
Les vitraux
modifierPosés en 1960, les vitraux sont l'œuvre d'Henri Martin-Granel, maître verrier, ami de l'architecte François Champart. Une réalisation selon la technique de la dalle de verre alors très en vogue au milieu du XXe siècle.
L'architecte et le maître verrier ont cherché à donner de l'importance au chœur de l'église, par rapport à la nef, ce qui explique les coloris beaucoup plus chauds des verrières du chœur où dominent surtout le rouge et l'or.
Les vitraux de la nef, plus pâles pour laisser passer la lumière, ce qui ne les empêche pas cependant d'avoir l'élan de ceux du chœur. Leurs couleurs alternent : fonds jaunes et fonds verts. En plus de la signification expliquée plus loin, l'artiste a voulu figurer les pommiers de Normandie dans la succession des saisons.
Signification
modifierLa verrière au-dessus du portail, les claustras, donnent tout son éclat au soleil couchant. Les trois vitraux du sanctuaire, derrière le maître autel, représentent les saints patrons de la paroisse : la Vierge Marie, assise sur son trône de gloire, présente son fils Jésus, représenté en noir, allusion possible aux liens qu'entretint le maître verrier avec l'Afrique. Mais aussi, pour signifier que le Christ est le sauveur de toute l'humanité. Notre-Dame est en effet la patronne principale de la nouvelle paroisse d'Urville-Nacqueville. Côté évangile, saint Laurent, patron de l'ancienne paroisse de Nacqueville, attaché à son gril. Sa tête exprime la douleur, tandis que ses mains en prière traduisent la confiance. Côté épître, saint Martin, patron de l'ancienne paroisse d'Urville-Hague, coupe avec son épée un pan de son manteau dont il couvrira le pauvre.
Dans la chapelle de la Vierge, à droite en entrant, on admire l'éclat, surtout au soleil du matin, du vitrail de la Sainte Vierge. Il représente Jessé couché, en songe, et la Vierge Marie issue de la descendance de David. C'est l'Arbre de Jessé dont parle Isaïe (11,1), thème souvent traité dans l'iconographie religieuse. Une illustration de la généalogie du Christ descendant par la Vierge de la royauté de David et donc de l'Ancien Testament. Comme dans les représentations du Moyen Âge, l'artiste a figuré l'arbre et les rameaux qui continuent dans les vitraux des redans de la nef et conduisent à la Vierge et à son Fils représentés là-haut dans le vitrail du sanctuaire.
Enfin un dernier petit vitrail, près de l'escalier de la tribune, représente un poisson au milieu des vagues. Allusion au mot grec « icthus » qui signifie « poisson ». Les lettres de ce mot sont les initiales en grec de « Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur ». Les premiers chrétiens se servaient de ce signe pour se reconnaître.
Deux vitraux, côté épître, sont au sud dans le sanctuaire. L'un, à gauche, représente les armoiries du pape de l'époque, Jean XXIII. L'autre à droite, celles de Mgr Guyot, évêque du diocèse jusqu'en 1966. C'était une façon de situer dans le temps la construction de l'église pour les générations à venir.
Les visiteurs de l'église notent souvent l'intérêt des vitraux qui réchauffent et tempèrent la sévérité des matériaux de l'ensemble de l'édifice. Ils participent, un peu à la manière des vitraux des grandes cathédrales du Moyen Âge, à la formation du visiteur.
Également notables :
- la statue de la Vierge (1962), œuvre de Ferdinand Parpan (1902-2004) ;
- le grand crucifix provient de la perque de l'église d'Urville ;
- la porte du tabernacle représentant le sacrifice d'Isaac. La Tradition y a vu une préfiguration du sacrifice du Christ. Bas-relief du XVIIe siècle (le décor de l'autel caractérise cette époque). On y retrouve encore le maniérisme de la Renaissance. Don d'une famille qui en ignore la provenance ;
- le grand lutrin est un don de l'architecte : origine espagnole. L'aigle est une représentation symbolique de l'évangéliste saint Jean. Allusion à l'aigle au début du livre de l'Apocalypse.
Autres monuments sur la commune
modifier- Château de Nacqueville du XVIe siècle (1510), remanié au XIXe siècle, et son parc créé en 1830, sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du , la porte à pont-levis et ses deux tours par arrêté du [26].
- Manoir de Dur-Écu des XVIe – XXe siècles, restauré après 1944, et son pigeonnier, partiellement inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [27]. Il se présente sous la forme d'un logis avec deux tours d'angle et un donjon à mâchicoulis.
- Il fut, entre autres, la possession de Thomas de Lesdo (XVIe-XVIIe) sieur de la Rivière et de Durécu et bailli de Cherbourg, fidèle d'Henri IV[28].
- Château de Fourneville. Des éléments Anglais, débarqués près de Cherbourg le , qu'ils occuperont et dévasteront pendant plus d'une semaine, s'installent au château, et y prennent leur aise[29].
- Manoir de Grosmont du XVIIe siècle.
- Maison d'Urville du XVIIIe siècle (1774).
- Fort de Nacqueville-Bas du XVIIIe siècle.
- Fort d'Urville.
- Plage et ses villas de bord de mer. En 1906, Alexandre Fontanes[30], Cherbourgeois devenu directeur du théâtre du Châtelet, construit plusieurs villas en bord de plage (villa Le Châtelet), alors que La Mailleraie accueillit l'infante Eulalie d'Espagne, femme écrivain cultivée, libérale et féministe.
- Villa de la Roche d'Airel, construite par René Levavasseur, surplombant la route de Landemer.
- Plage d'Urville-Nacqueville bien connue des windsurfeurs pour ses vents et ses vagues de qualité. Les finales des compétitions « Rip Curl Funboard Tour » s'y disputaient conjointement avec Siouville-Hague.
- Chapelle à Nacqueville-Haut. Bâtie sur la colline, à l'emplacement de l'ancienne église paroissiale de Nacqueville dont elle constitue le mémorial, elle est l'œuvre des architectes régionaux Levavasseur et Lebreton. Inaugurée en 1965, elle est utilisée de temps à autre. Le , financée par Hildevert Hersent, est posée la première pierre d'une nouvelle église néogothique, surnommé « église Hersent », longue de 36 mètres et d'une flèche de 28 mètres, en remplacement de l'église primitive avec son clocher en bâtière. Œuvre de l'architecte cherbourgeois René Lévesque elle sera détruite le [31].
- Oratoire Sainte-Barbe, matérialisé par une statue de sainte Barbe en pierre polychrome du XVIIIe siècle (1748). Il est situé sur un tertre, près du village d'Eudal, sur la route de Sainte-Croix. Venu de l'Orient chrétien, de la Turquie principalement, le culte à sainte Barbe s'est beaucoup répandu en Occident. Quelquefois représentée avec la palme des martyres, on la voit le plus souvent adossée à une tour, le lieu de sa captivité selon la légende. Une tour à trois fenêtres, car Barbe (Barbara en latin) fut soutenue par les trois vertus théologales : la foi, l'espérance et la charité.
- Chapelle Saint-Clair du XIIIe siècle (1231), au-dessus du village de la Rivière, vers Querqueville. Il s'agit d'un petit édifice blotti au bas de la « cavée » (chemin creux), au pied de grands pins. La revue « L'Art sacré » l'a choisie comme exemple d'un édifice religieux particulièrement bien intégré au site. Aujourd'hui fermée par des grilles, elle attend une hypothétique restauration pour une destination à trouver.
- Croix à Nicolle.
- Plusieurs lavoirs.
- Bois du Château de Nacqueville.
Personnalités liées à la commune
modifier- Hippolyte Clérel de Tocqueville, propriétaire du château de Nacqueville, est enterré avec son épouse dans une chapelle funéraire dans la partie droite du cimetière[32].
- Hildevert Hersent (1827-1903), à l'initiative de la construction de l'« église Hersent » (détruite le ), propriétaire du château de Nacqueville, est enterré ainsi que sa fille morte en couches, dans une chapelle funéraire qui porte les initiales « H H », située à gauche dans le cimetière autour de la chapelle qui a remplacé l'église détruite[31].
- François La Vieille (Urville-Hague, 1829 - 1886), homme politique.
- Mademoiselle Dudlay (1858-1934), comédienne, résidente secondaire au hameau de Landemer (villa Capel-Marie).
- Côtis-Capel, pseudonyme littéraire d'Albert Lohier (Urville-Hague, 1915 - 1986), écrivain et prêtre normand.
- Boris Vian (1920-1959), écrivain, a passé ses vacances au hameau de Landemer, qu'il décrira dans L'Arrache-cœur. La maison aujourd'hui en ruine se situe dans le premier virage avant Landemer, à gauche, un petit chemin mène aux ruines.
Héraldique
modifierLes armes de la commune d'Urville-Nacqueville se blasonnent ainsi : Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 255-256.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 659.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Urville-Nacqueville sur le site de La Hague
- Résumé statistique d'Urville-Nacqueville sur le site de l'Insee
Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale 2021.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
modifier- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986. p. 166 - 227 - 228.
- Origine du nom Hnakki (anglais).
- « Procès-verbal de la réunion de conseil municipal du 22 mars 2012 » [PDF], sur urville-nacqueville.fr, mairie d'Urville-Nacqueville (consulté le )
- Ýrr sur Nordic Names (lire en anglais) [1]
- René Lepelley, « L'héritage maritime viking dans les noms de lieux du Nord-Cotentin » in L'Héritage maritime des Vikings en Europe de l'ouest, Colloque international de la Hague, sous la direction d’Élisabeth Ridel, Presses Universitaires de Caen, 2002 (ISBN 2-84133-142-3).
- François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 216.
- Anthony Lefort et Cyril Marcigny, 2009 – La probable agglomération portuaire du second âge du Fer d’Urville-Nacqueville : un état de la documentation, bulletin de l’Association Manche Atlantique pour la Recherche Archéologique dans les Iles (AMARAI), n° 22, p. 39-82.
- Sépultures gauloises.
- Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 51.
- Michel Pinel (photogr. Patrick Courault), Châteaux et Manoirs de la Manche, t. 5, Rivages de France, coll. « Lumières et histoire », , 256 p. (ISBN 978-2-9561209-6-4), p. 55.
- Delattre, 2002, p. 255.
- Delattre, 2002, p. 256.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Nacqueville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Les derniers vœux du maire - Urville-Nacqueville.
- Réélection 2014 : « Urville-Nacqueville (50460) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Élections municipales et communautaires 2014 - Manche (50) - Urville-Nacqueville », sur elections.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Annuaire du département de la Manche, 14e année, 1842, p. 159.
- Annuaire du département de la Manche, 33e année, 1861, p. 235.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- « St. Urville-Nacqueville », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
- Site du diocèse.
- « Domaine de Nacqueville », notice no PA00110623, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de Dur-Écu », notice no PA00110624, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Gautier 2014, p. 659.
- Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 24.
- Alexandre Fontanes sur data.bnf.fr.
- Secrets de châteaux et manoirs, 2008, p. 40.
- « Secrets de châteaux et manoirs - Cotentin - Saint-Lô - Coutances », La Presse de la Manche, no Hors-série, , p. 40 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
- « Urville-Nacqueville Manche », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).