N0424159 PDF 1 - 1DM
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Source gallica.bnf.fr / Bibliothque nationale de France
Trmery, F.. Manuel du jeune orthographiste, ou Cours thorique et pratique d'orthographe ... suivi d'un trait des participes et d'un recueil des principaux homonymes de la langue franaise, par F. Trmery,.... 1817.
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DUC n". 37. d'Angoulme,
MANUEL
DU
JEUNE
ORTHOGRAPHISTE;
OIT
COURS
THORIQUE ET PRATIQUE
gnralement d'usage
et de principes; SDIV
d'un
Trait
et d'un de la Langue
Recueil
des principaux
franaise.
PAR
F.
ciet
T R
MER
Y,
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et Piofeweur
A PARIS,
ATLLOT,
rueSaint-Andre-des-Arc5,
LIBRAIRE,
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1017.
PRFACE.
le redouLES difficults que font prouver et les diverses mablement des consonnes, les sons ressemblans de la nires d'crire m'ont franaise, port faire des relangue de l'orthographe. sur cette partie cherches m'ont t d'autant Ces recherches plus pont t souvent infructueunibles qu'elles tant notre ses, orthographe capricieuse aux lois de l'tymologie, tantantt asservie de l'analogie, souvent enfin tt celles se perd dans celles d'nn usage dont l'origine la nuit des temps. mon plus promptement parvenir les ouvrages but, je compulsai desgrammai-" riens ont prcds qui nous je n'y trouvai d'exque des rgles gnrales, surcharges la liste mme dont nombreuses ceptions tait souvent incomplte. Pour le Manuel des Amateurs de la langue les citations de quelfranaise sur le travaill flues auteurs qui avaient Claude Irson anne i656 Maucondait 1 aimce Je vis, dans
PRFACE.
et je me reportai leurs ouvrade nombreuses des ges exceptions, donnes d'une manire rgles trop gnrale, et quelquefois mme des fausses. rgles et les Nanmoins, essayant de mettre profit et les erreurs recherches de ces grammailes remarques vicieuses on riens, je rejetai et rduisis le plus qu'il me fut peu prcises, sujet, encore le nombre des exceptions; possible, j'ajoutai ce travail; et ce remes propres remarques cueil, copi avec empressement par tous mes ne contribua lves, pas peu leur avancemon but ne fut pas toutment. Cependant -fait rempli soit dquelques personnes, soit que des occupations faut de mmoire, leur de vue les fissent perdre importantes ne profiantrieurement donns, principes de mou travail, taient ^autant pas du fruit Pour rappeler que je le dsirais. frquemtues remarques, ment je runis des extraits bons et je fis desde plusieurs auteurs, morceaux les diffrens dans sein, que je des fautes contre les rgles,leur empruntai, l'occasion d'y reporter pour me mnager plus mes lves; souvent en un mot, je fis une cacographie. A ce mot de cacographie, 17 3S je vois nombre
mme
Cournault,
1778; Domergue,
PRFACE.
s'lever contre instruites moi. 'se rassurent comme Qu'elles elles, je suis loin d'adopter wciense d'encette mthode a faits dans les ouvrages seignement quel'on ce jour, ont manque le but ce genre, jusqu' auteur. En effet, que s'tait propose leur tendre aux personnes des piges pourquoi si vous n'avez leur Indiquer un incertaines,
de personnes
Pourpour les empcher d'y tomber?leur crire abondance, par exemple, quoi, constance etc., ptulance, par un e, si on le moyen cette ne peut leur donner d'c\itcr On la leur corrigera, dira-t-on eh faute? ils laisseront, sans les corriger, bien, prumoyen dence, dmence, apparence, dfense, qu'on dessein citer aura crits par un a. Ira-t-oii des dames, latine ou grecque l'iymologie ou mme certains des demoiselles aucune connaissance hommes de qui n'ont Si vous ne pouvez leur donner ces langues? au moins de rgles certaines, n'habituez pas leurs yeux une orthographe vicieuse. Que mme la personne fait souvent instruite si elle hsite sur uu mot? Elle l'crit de et l'habitude de le lire d'aprs deux faons, une bonne lui fait rejeter la orthographe, Si c'est une ressource, au moins vicieuse. ne l'tez incertain. j'as 1 orthographiste Le peintre interdit tout modle dfectueux ses lves; comme ce qui peut lui, rejetons tre nuisible aux ntres. Mais, s'il est vicieux
PU FA CE, hasard, il est au contraire de lui fournir de fravantageux occasions de rparer quentes par la pratique l'oubli des rgles qu'on lui a donnes il rencontrera donc ces occasions dans souvent mes extraits. les jeunes gens recourir qui leur est si utile, j'en ai soul'analogie, convent viol les lois je n'ai fait de fautes les chapitres tre les participes, dans que Pour habituer cette partie du discours. Si on en dans les premiers c'est exemples, le participe est seul, ou accompagn lorsque il doit tre consicar alors, du verbe tre; un simple dr comme adjectif qui s'accorde a\cc le substantif il se rapauquel toujours en exerant ds le comD'ailleurs, porte. on a d<5i mencement l'lve la conjugaison, consacrs rencontre lui faire sifs. Dans cette remarque pour les verbes pasr d'abandonner l'colier an
j'ai moins rendu trandu discours, les lves gres cette partie rdevant tre familiariss avec les autres cet article. ils passent Je n'en quand gles, si l'exprience aurais mme pas fait d'autres, ne m'et dmontr personnes que quelques de ont besoin d'tre rappeles temps en temps participes les fautes us. rgles antrieures.
ma
collection nombreuses
de
a Ce.
Rien n'embarrasse et ne dcourage pins' omettre J'ai cru devoir que les exceptions. faisa t les mots dans mes remarques qui, a certaines sont particuliers exception, sciences ou certains arts; ceux qui ne sont emles dans les locutions triviales ploys que mots suranns; ceux dont les quatreenfin, ne se centimes des lecteurs vingt-dix-neuf serviront peut-tre jamais.
la mme considration, D'aprs je n'ai pas cru devoir des remarques donner qui soient nombreuses. des exceptions trop sujettes Je ne sais, par exemple, qui peut servir celle d'un rgle clbre, grammairien justement en sion: Les substansur les mots termins tifs en sion modlent sur ableurs finales dication, modration, etc.; n conjonction Puis il cite termine par autres. ques me paraissant passer Pour sous i cinquante-deux exceptions, ces mots Et sans doute quel Ces sortes de remarques ne d'aucune utilit, j'ai d les. silence.
viter aux personnes la auxquelles lecture des simple remarques peut suffire,. la peine de les chercher an milieu d'une oriJ)0raplie peu agrable l'il, et pour renfermer les rgles dans le plus petit espace cet ouvrage en deux possible j'ai divis la premire tre roparties ? dont peut
PRFACE.
comme la thorie et la seconde Ja pratique. Dans cette dernire, mener l']\ e graduellement, je n'ai fan de fautes dans la premier thme que contre la premire dans le second rgle; que la premire et la seconde, contre ainsi de suite. Par ce moyen, l'lve se trouvera conduit par degr jusqu'au o recueil d'extraits, tontes les Tantes, j'ai d faire indiffremment toutes les rgles ont d tre mises puisque en pratique auparavant. garde comme voulant me plais croire que cet onvrage sera il contribuera sans doute rendre les mile; des lves et plus srs et plus rapiprogrs des mais qu'on ne le confonde pas avec ces dont le titre pompeux grammaires promet matre. D'ad'nu ue pouvoir se-dispenser n'est ce livre iQrd pas ino grammaire seil ne peut en tenir lieu en aucune faon; condement, que l'orthographiste je pense d'tre dirig a besoin incertain par un guide d'nne Un livre parle tout lecteur, clair. et cependant manire uniforme chaque lve a ses dfauts qui lui sont particuliers de prfrence. faut savoir et qu'il attaquer Un professeur intelligent peut seul appliquer ses diversement en modifiant les principes, fera Tel a un avantage leons. que le matre toit--fait valoir, qui, sans lui, deviendrait Je
PRFACE,
a quelques nol'lve nul. Si, par exemple, le matre en saura tions de la langue latine, fois mis profit la J'ai plusieurs tirer parti. officiers connaissance franais que quelques italienne on dans la langue avaient acquise des Le un son an,'par exemple; espagnole. d'a peindre, leur devenait plus difficiles dans la langue prs la simple prononciation, ortographier. trs-facile trangre, J'ai suivi, dans cet ouvrage, l'orthographe rudits dite de Voltaire. En vain quelques ancienne d'une la peinture rclament prononciation qui n'existe plus, la plus grande et des litgrammairiens partie des meilleurs l'ont tont--fait abandonne. trateurs Quelde l'ancienne orthoques uns des partisans socit avouent que la bonne peut graphe la prononciation mais ils modifier bien ne peut changer les signes qu'elle prtendent et tous s'apqui la reprsentent, graphiques de Racine, de l'autorit FBoileau, puient etc. S'il est vrai que la^socit ne nlon, des sons, pour puisse pas changer la peinture advoplus debtes, nopees, quoi n'crit-on l'autorit etc.? des auteurs Quant cat, citent, j'objecterai que ces hommes qu'ils vivaient dans des temps clbres peu loiprononciation d'ailleurs, gns de l'ancienne ils se sont plus attachs la puret du style, la rforme de l'orthographe et l'on qu'
PRFACE.
le aurait quel jugement port auteur de Tlmaque, s'il el et pu contribuer que son autorit dos larmes l'enfance, des et abrger aux trangers.
MANUEL
DU
JEUNE
ORTHOGRAPHISTE.
ORTHOGRAPIIE.
IL semblerait
assez naturel
de traiter
ici de l'or-
en gnral ensuite de celle des substanthographe et des verbes en particulier. tifs, des adjectifs, Mais je ne crois pas devoir rappeler des rgles qui dont ne seraient que la rptition d'une grammaiie, cet ouvrage ne peut tenir lieu. la vrit, ne parlent pas de l'orthoToutes, graphe des verbes; mais, oues lves savent con-^ on juguer, et ce que je dirais deviendrait inutile, ils ne le savent pas; et, comme il est ncessaire l'exercice de la conjugaison qu'ils l'apprennent, en apprendra plus que ne le pourrait faire la lecture de plusieurs pages, qui ne les dispenserait pas pour cela de se livrer cet exercice ncessaire. leur
1*
DES i. On distingue
MOTS.
les simquatre sortes de mots les primitifs et les drivs. ples et les composs, Les mots simples sont ceux qui, sans le secours d'aucun PLES autre Homme, mot, expriment un objet. EXEMetc. leur mots. ai c-en-
ciel, pont, jour, vent, sont ceux qui n'expriment le secours Abat-jour, d'un ou plusieurs 'uvre, sert
chef-d
est celui
qui
en former grand t
d'autres. abandon.
Faible, sont
froid,
ceux qui sont forms des de faible tels sont faiblesse froidure de de grand, abandonner grandeur etc. DES SONS.
2. Tont son nasal, tels sont an, in, on, un, etc. f se peint, dans les syllabes initiales et mdiales, par \ia h; mais cette consonne se change en in devant un b un p ou un m. Exemples Anciennement, tentent, pincer, indlipensablement, grincer conter, mpntcr, enc/ianpoin-
on,
Jiumblement aux
ambassade
feron syllabes finales, les drivs des primitifs. la consonne reconnatre Nommer, destin; nom; sultane, parfumer, sultan, paretc.
destine,
Le son an. Lorsqu'un ou d'un veibe entre, 5. mot est compos d'un substantif, des prpositions en ou prcd ncessairement par un e.
ce son s'crit
Exemples Barque, ter, emporter; manche, entrelacer; embarquer; tas, entasser; chane emmancher; balle, emballer; porlacs, de
dormir,
endormir;
enchaner;
etc. entreprendre, entrecouper, Le son an s'crit par e dans tous les verbes conjugaison. Exemples Entendre } prtendre, suspendre, compren-
la quatrime
descendre, except rpandre. Ce mme son se peint galement par un e dans les syllabes finales des adverbes de manire, et dans celles des substantifs aux qni sont analogues verbes.
dre,
gissement. Le son an se rend par un a i dans les syllabes finales des participes prsens dansant, jouant, luvant. 2 Lorsque Branche, cep t penclier. drivs Les de ce son dans ainsi ce son est accompagn tranche, chanson, de en. Es. mchant, ex-
faciliteront
ottomane, 3 romanesque, musulmane suffisamment indiqueront que le son an doit tre man, aon par un a dans etc. les mots Laon, roman, ottoman, le son an musul-
rendu
Dans
suivans, paon.
se rend
par
faon,
Le son in. 4. Except le mot ainsi, tous les autres rendent ce son initial par in (to). un a suivi mot a dans ses analogues, Lorsqu'un de m, n, g, aim ou ain. le son in doit tre reprsent par
sant, panetier, pain se rend encore par ain dans plaindre, les quatre
contraindre,
vaincre.^ tous les verbes ci-dessus, Except verbes en indre prennent ein. Ex. Teindre, etc. restreindre, teindre, peindre, geindre, un e un mot a dans ses analogues, Quand suivi de m n, ou un i suivi de gn gnez le son in par ein. Exemples Srnit, reins; serein; signature, seing; rnale, ou ng, pei-
craindre,
quand
mridien collgien maintien. soutien, Il sera facile de bien crire fait attention minent orphelin; aux composs en in. Ex. Badine, finale, fin;
souveraine,
de dignit
cardinalat,
magistrat
dfini
de la de
du futur
les verbes
Il elle
chanta, recevra
il
aima,
il finira,
3 Le son a, dans
les adverbes,
de l'adjectif dont l'orthographe ce principe, D'aprs diligemment, un e, etc., rcemment, prennent adjectif le son diligent, an par patient, en. rcent,
d'aprs forms.
Abondamment, le rendent
constamment
est employe dans l'adjectif voyelle pour ce son. ( f^oyez la rduplication des conlettre M.) Le son E. fe'oiinins,termincs
6,.
Les substantifs
intellectuels
en t, ne
ne
pt ennent drivs
soient
moins
qu'ils
Amnit, moralit, 7
bont,
chastet,
curiosit
puret, simplicit. Les substantifs matriels Assiette Le double tantifs mire fminins 7 prire, pote, son
deux
e. Ex.:
termins volire, en
Exemples
souriciie. par ai dans les substantifs re. Exemples Brexcept lierre, les
Ce mme masculins via ire, cimetire. Les infinitifs nent PLES risier, nalier, verbaux tropi, Les seuls parle noms des
vestiaire,
d'aibre, qui
se termiEXEMcejour-
son i ajoutent
r la fiu. citronnier,
adjectifs EsEx.
piti,
sont les
ainsi. qui se terminent Pied son se rend un d final. Ce mme prend les drivs. dans par er si IV se fait entendre EXEMPLES hou* boucher, bergre Berger, chre; conseiller, conseillre.
I. 7. Except d'animaux, nent derie, la nuit, tousles et quelques noms subsl an liJsfe'minins qui se termiun e final. loterie, E x. etc. Brola merci
8. franais,
Les
noms sont
trangers
a par
rendus un cho, o.
son final
s'crit
crapaud,
joyau,
d-
boisseau jumeau, flambeau. les difficults, consultez les remarau, lorsla lettre cal-
i Le son o se peint par qHesjuivantes on reconnait que dans les mots analogues a. ciner 2 suivi Exemples de chaux, Le son d'un ldans Balsamique maldiction o s'crit lesmots jouvenceau cerveau; couteau, tourterelle, etc. par eau, de
baume,
de maudire.
des pluriels en aux, l'orthographe celle de leur singulier. Exemples clieval, travaux chevaux; soupirail, U. mlai soupiraux
conMal,
mtaux; etc.
Cette us,
finale ou ut.
se peint de trois manires, Les remarques suivantes le choix. passs, i" dont Dans tous
barbu,
vaincu,
Velu, 2 tt
des finales
en u fera
bien-
suivre
surtout l'orthographe, un mot commenant par Blocus dcouvrir grand er, refus rhus, plus.
L'analogie
perclus-e
ORTHOGRAPHE
DES CONSONNES.
C.
10. Devant PIES Pour on met Hameon Coco, l'ddoucii' au-dessous maon. D. 11. Le d final, du peignant une quelquefois Ja proun h a, o, u, le c a le son du k. EXEMcacao. cocarde,
ou voyelle muet, pour vous fixer sur !e choix de la consonne, aux mots composs, et l'analogie. ayez recours et galant aient la mme Ainsi, quoique grand
nonciation
t devant
devant le mot homme le choix ne prononciation au fsi l'on met ces adjectifs sera plus douteux de mme, l'on piononce minin profonquoique t'abme, deur, peint froi-t'aux froideur, par un d. F. les mots termins Except griffe, pontife, en if (il y en a prs de quatre cents) n'ajoutent Exemples pas d'e final. Adoptif, auditif, craintif, interrogatif, motif, dcisif, etc. 12. pieds, indiquent profonque le son du t doit tre les substantifs
Pour
former
les
adjectifs pensif G.
fminins, pensive.
changez/
en ve. Actif
active
ir>. a,
Pour
adoucir
on met
Vengeance, G et F.
plongeon,
14.
L'sbb
Cournault,
aprs
avoir
fait
remar. sur se
suffit pour dcider qner que la prononciation le choix d'une de ces deux lettres, loisqu'elles trouvent ver qu'il franaise, entre a
o, u, et aprs avoir fait obsersi dans la langue n'y a pas de syllabes.en donne les rgles suivantes pour lever l'e. que
les difficults
offrent devant que ces consonnes 15. Le g ne s'emploie devant un e muet da;is deux circonstances i Lorsque .orge, etc. cet e muet ronge~ finit sorzbe~ le mot. tige, Exem-
ples ponge,
voltige~
2 Lorsque m, n. Ex.
dans Gele,
le mot, genoux
cet
e est
suivi
de etc.
gmissement
a inoins
finale.
EXEM-
PLES
Coquelicot,
acquitter.
Voy.
la rduplication
des consonnes, S.
(pag
5'5).
des
consonnes
ef
les
se rend par deux s' 37, i( Le son de Y initial dans les mots drivs se tciraidont les primitifs nent par un s. Exemples combasse; bas, pas, ser; 18. compasser; etc. Ce mme en ance, par un t, son par un c dans les des adjectifs diivs qui se dans les fma et gnralement existe un c, un l ou Indulgent, abondant, gratifier, lacs, monceau lacer; sortinn x EXEMPLES clmence; courrouc; sentence; mont se rend amas amasser; dos, endos-
T. Cette quefois pour lettre, peindre mais elle suivie de \'i s'emploie quelle son de \'s. Ex. Ambiconserve d'un mixtion, dans la le son du t dans x ou d'un sf
elle
est prcde
du pluriel
mais
de Vs dans
les substantifs
tliograplie. Nous nous nous nous nous nous nous attentions inventions portions objections intentions adoptions affections X. Les attentions
les inventions les poitions les objections les intentions les adoptions les affections
Cette
primiiifb, Deux, dixime mais d'accent
lettre
prend
du z dans six,
le son
de 1'* dans
Ex.
les
sixime,
dix, ja-
dix-neuf.
mettez
employons, croyons; crivez joie, soie il emploie, ils croient. n'a lieu que deRemarquez due ce changement vant Ve muet.
DES FINALES.
l'on ciive
joyeux,
soyeux,
en
anse.
Il n'y a que cinq substantifs dans lesquels finale cette Ex. peint par anse. Danse, transe, panse Finales en ganse. eur beurre ou enre. et demeure, les pas d'e bQn-
2 3.
Except
heure,
les verbes
termins
termin est par prsent de la quatrime conjugaison. dire; crivant, suffisant, crire; suffire; lisant,
luire;
prescrivant
verbes
en ir, dont
le participe
prsent
ne ]a
pas par
le son isan
conjugaison. sentant,
sont Finis-
de
sant, mir;
sentir; rflchir;
dor maudire
en
oir ou fminins
balanoire,
par ce son,
un e aprs l'r, et quelquefois Les lgles suivantes sont d'un dterminer l'orthographe
ajoun'en'
les noms
de
la
famille
la finale
des
EXEMPLES sant, soir Pour forms arrosoir; tirant, les noms des
rasant, grattoir;
tiroir; masculins
ne peuvent ajm.lez
prsens, mmoire,
purgatoire manoir,
contour,
Finales
29. Ces finales s'crivent par mot rponse du verbe rpondre. Annonce ( plante). l, Finales 5o. Pour faciliter en sion. nonce once
ponce,
embarrasse
de ce son
.cinq classes, d'aprs l'ordre cette terminaison. fres mots qui prennent A ,3i. Les mots termins Stagnation, sion. eu a-non
qui en
prennent
un t.
acclamation,
navigation except
appliinonda-
52.
ainsi
prennent
deux
s.
ESEMTLES
pression,
procession
l'orthographe par la prononciation dans sujette discrte. I sion. 55. ples tion, sion, Toutes ces finales prennent un t.
Exem-
sdireddition, addition, Apparition commiset ses composs, excepte' mission etc. admission permission O sion.. la mme orthographe que
54. ceux
notion, sion.
potion
3 etc., t
55.
t.
Les substantifs
ainsi termins
prennent
ua rso-
Exemples
Rtribution
rvolution
lution, except
diminution, discussion.
constitution,
locution
Quant aux mots concussion, percussion, qu'on comme devant faire exception, pourrait prsenfer la manire ment de les prononcer me parat dterminer leur orthographe. suffisam-
Les mots dans lesquels sion est prcd d'un modlent leut finale sur dduction. Exemples
e,
perfection
confection
marques 1 Si le participe pass se termine par un t, la troisime personne de l'indicatif du prsent prendra toujours cette consonne. Exemples; Plaint, il il meurt; joint; mort, teint, 2 Si le participe pass se termine par toute antre lettre qu'un t, la troisime personne prendra un d final.. toujours EXEMPLES mordu, il mord; Perdu, il prend; il perd; pris, il coud; etc. elc. cousu, plaint; joint, il il teint; etc. etc.
consultez
K.DUPL1CTI0N
DES
CONSONNES.
consonne
ne se double
jamais
aprs
Pte
crne,
conqute
htre, un
svre vpres^ aplrer, flte. pnible, 53. Ou ne double jamais la consonne e muet dans les mots simples. Exemples melon Refuser, demeurer, remercie!].
aprs
peloton
} dangereux
J'ai
dit dans
les mots
simples, dessous,
composs
particule
franaise beaucoup 5g. Il y a dans la langue de la particule de mots composs latine in. Cette a deux bien diffrentes, significations particule de la prposition tanttcelle dans ou eny et tantt celle ngation l'appelle privative.' Elle a la premire dans conde docile. On moins cation aura souvent que dans occasion employe de est remarquer qu'elle dans la premire siguifi dans infructueux d'une dans ce dernier cas, on
infuse,
inn; intolrance
et la sein~
la seconde. se change en l, devant pailicule devant un m; en r, devant un r. donner une aux mots religieux, contraiie, in, on aura moon irr-
de cette
en mt pour lgitime,
Si donc, deste,
signification
r, doublent lorsqu'on*
objectera peut-tre que les mots innocent, sont des mots simples, ne peuingrat, puisqu'ils vent tre employs sans la prposition il sera in facile grat de mettre'sons ct les yeux qui, de l'lve inla particule in retranche, prsente un mot simple, et de lui faire est un mot latin qui veut remarquer que nocens dire nuisible, de la prcoupable qui, prcd d'ingratitude, position in, lui donne Les consonnes 4i. sont b, c, d,f, g, l'acception susceptihtes l, B. 4a. sabbat, Le b ne se double qne dans abb, et dans les mots de leur famille. C. 43. Tous les verbes par le son ne commenant c'est -aleurs composs, un r devant la voyelle inirabbin, m, n, 'contraire. d'tre doubles p, r, s, t.
On
ou oc, et ncessairement dire ceux qni prennent le c. tiale, doublent EXEMPLES cueillir, corder, accrditer, occasioner,
acrac-
44. dition
Cette
consonne
ne se Rouble
et reddition.
F. 45. Cette
>
se douentre deux voyelles, lettre, ble dans les mots simples, si elle est place entre la premire et la seconde syllabe, moins qu'elle nfe soit prcde de la particule pro, aucune consonne ne se double. Exemples touffu, ment, bouffon, diffrent, Ijiffetas, raffoler, difficile, effacer, aprs laquelle
affable, offenser,
biffer, suffisam-
bafouer. trafic, Lorsque dans les mots simples 1'* se trouve entre deux voyelles aprs la seconde syllabe, elle ne se double jamais.ExEMPLES: Magnificencef simplifier, etc. rafe, signification, gratification, i ca-
Remarquez qu'une rgle ne peut pas faire exception une rgle antrieure, que celle-ci prvaudra toujours sur la dernire. Ainsi, d'aprs la nous premire et seconde rgle de la re'duplication, ne doublerons dre, donc pas l'dans qu'elle est prcde dfrer, dfen~ d'une lettre accen-
qu'elle ( L'e, prcd d'une constfnne et suivi est toujours ou muet, ou accentu. )
G. i^. grer, L. 48. premii minant mliet. Exemples renouvellerais, 4g. 2 Dans 'terminent Exemples lionnel-te, 5o. 5 en el. nous appellerons, J'appelle, etc. il chancellera les fminins des adjcclift `, raqui je se Le g ne se double agglomrer, que duos aggraver, sug-
agglutiner. L.
de la tere
lorsque est
prcde
et suivie
d'un
qiie l'on fait prcder dont la consonne se change 'en 1 Exemples : Il-lgal l-laslrer, lirne, 5i. il-licite, La lettre il-limit.
l ne se double pas, i" Dans les adjectifs termins par le son al. Exemples: Frugal frugale principal grammatical, provenale.
2 Apics le son ou.
principale; venal,
52,
grammaticale;
pro-
Douloureux t couleur,
boulanger, coulisse,
d'irae
Exceptions et rilcessan
5'i.
se peint
par
il dans
bercail,
camail,
rveil, soleil, cerfeuil, appareil, 55. Dans les finales des noms est reprsent par deux Ex: Broussailles, teille, r 56. adjectifs On double termins \'m anguille, l suivis mdaille
bou-
aiguille, AI.
c7ieville,
vtille,
forms Diligent,
des
en ent prudent,
prudemment; abondant,
impuabondant^
constamment dans
dont
la
syllabe Ex,
et dans
de lent-
communication,
Et dans les mots Ex. made. 58. L'm Ex. nier, Sommaire
commenant ) ponmier,
par
tom
ne se double ) ami,
pas, amuser,
Amorce amande,
amidon-
amasser; 5g. 2 Aprs Vi, dans les syllabes mdinles on finales. Ex. Crime, prime^ victime lgitime dimension ment. diminuer, chimiste, primitif, jamais aprs N. 60. Cette bes eu oner consonne bref. Ex. se double, Tonner, 1 dans les vercouronner, Et les l'i*. ci-
Elle ne se double
rsonner, ct'aibre
donner.
les noms
quand elle est prcde d'un o. Ex. Bouchonnier, chaudronnier, nier, boutonnier, 62. 5 Daans ns en en. cotonnier, les fminins citronnier, des adjectifs
moyen -ne paen-ne, etc. chrtien ne europen-ne 63. De mme que la consonne m, l'n ne se double ni api es l'i ni api es Vu moins que con-
Ex.
Musieien-ne
d'un
de fa cou-
mine, etc.
cliagrine
tribune,
Les mots le p
.famille.
supporter, supposer, suppression, 65. Hors le cas prcdent, le jamais prme, cept aprs soupir, suppt. se double Ex. aprs l'i pipe, R. 66. et Cette consonne simples et courir. pourrions, se 'double ni se double des JSxVu. Ex. poupe,
Le p ne lippe, etc.
que
Fripon,
riposter,
nippe, etc.
dans verbes
les
futurs
pouvoir je de Vu pr-
ni aprs un ? moins qu'elle de la particule in (59). Ex. durable, curieux, faire miroir, curateur, traire, braire pirate,
blessure,
extraordinaire. 2*
de Vs dsns pour peindre ieson doublez cette consonne dans Ex. Mousseline essaim. lgle ne pcnt s'app'qner ils ennservent prcasser,
paresseux,
composs; Pr-
simple. semblahle,
sance,
mono-syllabe, T.
par-ta-soL
69. .estte
De
mme
consonne,
le
t se double
la premire conjugaison, e muet. Ex Je jette, terai,je 70. adjectifs eent projetterai. Le t se double et les mots Ex. attenlif, altrer, Il
J'tiquet-
encore de leur
dans famille
les
par,at.
T Attaquer,
atteint,
attel, allirer,
titulaire,
exwpt Ne le
quitter, ^doublez
Pu simpl,que
butte lute,
laite', putatif,
Imite. tutelle,
Ex
Chute disputer,
vo-
Ce ou Se adjectif s'crit par un c. Dedmonstratif, etne'cessaireoient advant un verbe, s'il sert de sujet, il est encore y5. jectif rgime dmonstratif; du veibe, mais s'il est employ personnel, comme et conil est pronom s'crit par un qui ne distinguent s'aider de Devant un nom, ce son est toujours
peuvent
peut par
mettie uns;
a l'infinitif partout
Je verbe cii-
ailleurs,
la main; 5 dans
la main
le bon sens
rejetterait
l'infinitif.
et signifie
a eux,
jamais <l's. prend Les femmes JEx. une tic simple tortqu'une
doivent
!re fait
attentives, quelquefois
car plus J
et est
rougissent faiblesses
leurs
-vanit".
Quelque. a deux emplois bien diflerens s ?5. Quelque ou il modifie un substantif, ou il module un adjectif. S'il modifie un substantif, il prend la marque s'il moest au phuiel; dans que. ont ce
du pluiiel si le substantif difie un adjectif, il ne prend jamais d\s; quelque cas, il signifie quozque, point Ex.' mal parl J'ai visit Quelques de vous. personnes
imprudentes
malades; lgres quelques quelques fautes que j'ai commises m'ont valu cette punition. Dans cet exemple, quelques sert a faire prendre le substantif donc dans une acception il doit s'accorder. adjectif, terribles de'termine il est
que paraissent
ont pas effrays. sincres Quelque que les hommes fre avec les femmes. Dans ces derniers exemples, il est invariable. quelque
un adjectif;
On spare quel de que quand le substantif ne lient qu' la suite du verbe; alors quel est lin en genre et en adjectif qu'il faut faire accorder nombre avec le substantif qui suit le verbe. Exemple
Quels Un que mortel soient dilclle les lmmafas, est toujouis il faut Tnrr avec eux. malheureux.
Quelle soient
que
soit
votre
se tourner par lorsque, Quand, pouvant t t: un d; nele pouvant pas, il prend ce qui est cle. il est employ pour pour Tout. 1 entiest tout
tout est mis pour quoique <j1. Quand il est invariable. Elh Ex. rement, aussi frache
que dans son printemps. Il est encore iuvariable est suivi d'ua lorsqu'il adjectif fminin qui commence par une voyelle on une h non aspire-. Ex. Des femmes tout plores; des oieilles JDemi, 78. gejirc tout corches. Nu, nue.
demie.
suivi d'mi substantif, ne prend ni Demi, ni nomb. e; et s'e'ciit avec un trait d'union
entre
mois; .-ais si le substantif cde, il en prend 1e genre et le nombre. Mme rgle pour nu et nue. Feu 79. ou Feue.
les deux
le pro-
l'article -ou un adjectif Feu, placdevant possessif, ne prend ni genre ni nombre. Ex. crira reine, la reine, jeu ma nice; mais on on l'adjectif aprs l'article possessif, la feue ma feue nice. Feu suppos, placs vu, avant attendu, passe.
Ces mots,
des substantifs deet alors ils sont invariails s'accordent en genre qui
le substantif
ou le pronom
de
et vingt dans quatre-vingt 81. Cent an pluriel sont suivis d'un tibsiannn prennent lorsqu'ils tif mais suivis d'un nom de nombre ils n'en prennent pas. Aucun muet, nom de nombie d\ final. ir cardinal, teimin en c ne prtm'l
termins
prennent heureux,
Laborieux, hbreu..
facilement si cet distinguera est possessif ou de'monstratif, en le mettant gulier j s'il est dmonstratif, crivez ces; possessif, E'X. ses.. Ces ross sont celte jolies, mettez cette
On
j tournez
son plaisir
Mme. Si. verbe, jectif, Mme est adjpctif il est ncessairement -toujours ou adverbe; sil -est ad-
il s'accorde
il est adverbe, il peut se tourner par de plus, encore. Les gnraux mme furent pris. Les aniplantes gyptiennes. DU PARTICIPE PASS. pour apprendre bien mme taient au nombre des
les
Vvyez
la Grammaire,
e sujet et le rgime, sans la connaisdistinguer sance desquels il serait inutile d'tudier les rgles sur cette partie du discours. &5. Toute la thorie ds principes se rduit ces simples observations Le participe pass peut tre, ou seul, ou acdu verbe tre, du ou accompagn compagne verbe avoir. i S'il c'est nn seul avec son substantif. est simple adjectif qui i
s'accorde
du verbetre,
il s'ac-
il ne u S'il est accompagn du verbe'avoir, s'accorde mais il s'accorde jamais avec son snjet en est prcd; avec son rgime direct, lorsqu'il et, si son rgime le suit, ou s'il est sans rgime direct il est invariable., avec son rgime Ces rgles sont sans exception. Dans aucun cas il ne s'accoide indirect. Exemples du premier caa.
ces tristes contres Voyez ces plages dsertes, ou plutt o l'homme n'ajamais rsid, couvertes, de bois pais et noirs dans toutes les hrisses et sans coice des sans leves; aibres-, parties de vtust tombant cime, courbs, rompus,
La
suripwnle par le poids surcluirge ou lieu de ses productions, n'offre, par les dbris d'une verdure encomflorissante, qu'un espace terre br, travers de vieux arbres chargs de plantes
parasites.
H que puis-je au milieu de ce peuple abattu Pia de ce champ fatal .T^zabel immole. O rires ru Jourdain! 6 clunupi. aimus des cietn r Douiez-Tous qu'a ses pieds i\oa iilbtis empie6sce6 Exemple Tullus tendre du deuxime cas-. tes
alleu-
de tes parens fut venge. la paix est signe,le roi de Cam Cependant panie est libre. Dj du pays des troupes des uronces. sont parties pour s'emparer
La mort
dont le nom ne vous est pas inRomulus, fit rpandre dans la Sabinie connu, que, pour consacrer sa ville de Rome, tait qui peine il voulait consacrer des jeux en l'honacheve, neur de Crs. u leurs cendres dansune urne d'ar Je recueillis gent cette urne
fut dpose sur un tombeau, daD3 le plus secret du temple. l'endroit Mais cette augmentation de votre teuiloire
doit vous tre pen avantageuse, riez spars par les Volsques. Exemples Quand ces que, a ajoutes du troisime
tant
bien toutes
suit antes, il (Louis XIV) son royaume, toutes les villes qu'il a tous les avantages qu'il a eus, tontes qu'il
sur ses ennemis. a remportes le rgime, faites la question Pour bien distinguer et quoi pour les choses, qui pour les personnes, dans -Ainsi participe. ia ci-dessus, 4*les5 il a ajoute quoi? l'exemple li a conquis, rponse sera des provinces. quoi? Rponse: Des villes. li a e, quoi? Rponse: Des immdiatement apis le avantages. Ensiiite Il a remport, sur analysez, quoi? Des votre cahier, victoires. d'aprs la
formule suivante. Ajoutes, participe aecompgne'dii avec son rgime provinces. s'accorde
vexhzavoir,
s'acConquises y accompagn du verbe avoir, corde avec son rgime -viltes. Voilk les deux lettres telles que je les ai reues; i je vous les envoie crites de ma main, parce *juc vous auriez de l'antre original en trop monde, de peine 'a lire les caractres si je vous les avaijeavoyes en
Dites
J'ai
reu,
quoi?
Rponse
Deux
let-
Reues, s'accorde
Analysez son substantif lettres accompagn gime direct. verbe avoir, 86. On
du accompagn paiticipe avec son rgime lettres Adjectif verbal- s'accorde avec eu. Analysez; avoir', Participe pass sans rinvariable,
cette qu'il sera facile d'abrger en ne mettant opration, que les lettres initiales de chaque mot mais j'engage d'autant plus a faiie cette analyse, qu'il est impossible, qu'au bout de les moins intellipages, les personnes quelques avec l'tude des pargentes ne soient familiarises ticipes. ES ') o.) Dans YEEBES ) PRONOMINAUX.
'< ..) le voile 87. les verbes pronominaux tre est souvent employ pour le verbe avoir, comme dans les phrases suivantes Ces personnes Ces personnes Ici le verbe lre se sont donnes se sont donn tient l'tilde. la mort.
ta place du verbe avoir; car on peut loin ner ces phi ases par ces personnes. ont donn elles V lude, et ces personnes ont donn la morl elles*.
cette
participe accompagn avec son rgime se. Et la seconde Donn, du verbe direct C'est avoir, le suit. surtout
participe parce
invariable,
est utile de bien distinguer le rgime indirect. A u trs n La bote Cette de cette
qu'il d'avec
croise
Des troubles
s'est ouverte
ne puisse pas dire la bote de cette Quoiqu'on cette croise a ouvert dame a retrouv elle; elle; des troubles sortes, de phrases moins qne le rgime rect, cnsfdrez-le divers nous ont lev eux cependant doivent tre analyses ainsi; ne soit formellement direct. pronominaux. obligacomme sur ces et, indi-
sommes
de grandes
Tournez
obligations
par va nous-
wwsa.YOas
impos. de grandes
le verbe tre par le galement Remplacez verbe avoir dans les phrases suivantes * Ils se sont donn (4) des preuves constantes < d'amiti'. Les preuves d'amiti qu'ils se sont don-
83.
(5).
se sont
promptement
de rpter la formule d'analyse, j'ai indiqu chacun des participes, par un numro de renvoi, la formule c'est le qui lui convient; parti que je prendrai par la suite.. pour les Participe,
d'analyse verbal.
s'ac-
3.
4.
du verbe Participe avoir, accompagn s'accorde avec son rgime, indu verbe avoir, Participe accompagn sans rgime variable, son rgime le suit. direct ou bient
Participe go.
suivi
<M~
M/Se
~'t/~Mt~
est suivi d'un verbe h Lorsque Jepartn.Jpe il est impoitant de bien distinguer si le i'iuHnitif, ou celui de l'iufinitif. i'pgime est celui du participe Cette distinction bien faite employez an cas dto'iBm la formule par les r-
d'analyse
applicable
gles'antrieures. ~B~ff~ES citer..E/~<M~M, que j'ai entendu Ct/e/' /M ~arc/es <yMM? Rfponse (5). Les ross'gno!s que nous avons entendus chanter.
(5)..
Les paroles
jE/~en~M,
quoi?
Rponse
Les
rossignols
Ces vers,
)h'n. M E/z-
Lire des vers (5). ~Mj t/MO! Rponse Ces dames, nous les avons vues lire:)) /~Me.9, Les dames (3). )) pf;t ? Rponse Dans le premier et le troisime mots /M/o&M~ fe/ tant rgime celui ci doit tre invaj)j[if, et non du participe, riable. les. exemple, direct de l'infi-
embarrassant g t. Comme il parat quelquefois si le raux personnes peu exerces de distinguer ou celui de Pinnnitir, gime est celui du participe, i! sera facile de le fuite, en plaant ]e (~it~e ini-
mdiatement verbe au
chacun prsent,
d'eux, ou
et en mettant a l'impaifait
le de
l'indicatif. Ainsi, rgime sens le le premier en mettant exemple, le bon Immdiatement aprs le participe,
KOMN' ~07~ eK<eH</H les ~S7'f/~ rejettera dans le troiou dui cf~.t~y:<. De metne, c~a/!<, les on ne dirait e~e~M sime, pas /KMM avons ne vers lisant,.ou Donc le rgime ~m/M~MM~. petit pas tre nitif. Dans on dira celui du participe, mais celui de l'in-
autres
exemptes, entendu
au les
contraire,
cAay!~cc/!<, ou qui
vu
lisaient.
le r-
gime est
celui
du participe. jExE~fp.M.s
que
vous
n'avez
pas voulu
(4) ap-
que
vous
auriez
vous
refuses avons a
lui pro-
(5) jouer,
ont
les vers
je vous
ai entendu
j~)
qu'iU ont envoy (i) n'taient pas encore cueillies (~). ont avanc, gt'amniainens Quelques Les fleurs participe,
du verbe tre, accompagne le sujet le suit; 3*' que le participe, ble, quand du verbe avoir, est !nvanaHe, s'il est accompagna suivi d'un adjectif au rgime. Ces qui se rapporte fausses par reconnues videmment rgles tant tous les grammairiens modernes, je* ne crois pas devoir les rfuter par des exemples contraires. Fait <)2. Ces participes aux l~es et laiss. ne me paraissant prcdentes, je n'ai pas' faire
pas oru
particulirement. ~'XB~FJ.jES
la demoiselle.
donc ('t) Analysez arrter (4). Les soldats que vous avezya:< Les criminels que l'on a~sc< mourir (~). x Les criminels une l'on a laisss h'evader. Demande On a )aiss, ~Kt? Les o [mine)!) s'vadant s'est laiss tromper.),
(5). Cortainc-
elle pas, e7/e a laiss a laiss </ o/Kpey elle; laisss tom-
rir faim.
pde
prcds tre
de en. comme o un
indirect; le plus
il resque
)t n'est
rgime
Il avait
(4), sous-entendu y~e/~Mc~-MKM. J'ai achet des plumes; j'en ai taill (4), entendu quelques-unes. <( Vous aviez n (4), Les de la gaze, taient vous m'en avez sous-entendu abricots K7:/7eM.j) mrs, j'en ai mang
sous-
don-
~4),
sous~entendu Participes
~5.
Ou le
peu indique une petite quantit de, le /Ma:M~Ke, !e '~e/an~ de. S'il indis'accorde de, le participe quantit 5
substantif
et par qui suit ie~eM~e, doit tre au mascuiin et au singulier. il faut donc crire,
con-
<fLe peu de fleurs que j'ai vues. )< Le avons cueillies. peu de roses que nous Le peu de sincrit M que vous avez montr. Le peu de confiance que vousm'avez tmoigne.)) Parce que, dans le premier cas, il est question de roses qui ont t <~Mt ont t vues, de~eMr~ cueillies Et, sincril veut, sincrit, 4. il suffira dans dans le second, il n'est pas question de
yKO/e~ au contraire,
de confiance exprimer
co/M~tey:
de,
de la phf ase.
&ComL!en les phrases suivantes, j'ciirai o Que de Heurs te vent de victimes H a sasri&es a renverses ses. Parce fies, passs quantit consquent Combien il y a eu rnverses, dans nom ces qu'il d'coliers des il a surpas(~/c~</7Zf~ sacricoliers l'adverbe et surde par
qu'Ic!
des fieurs
'des cas,
prcde,
!)) faits
de ffuithn'o:!t-i!s
VERBES
pas mangs!
MPEE.SONNELS.
<~5. Quand
le verbe
cette
aone
ont
y a eu cette anne ont occaconsidrab!es.n qu'H y a en. M qu'il a fait.)) o cote, ne pouvant valu, avoir dure. de rgime
Ces participes
direct~sontutvanabtes. ~E'-X'E~fj'~ES Je regrette m'acot.))' 1) les vingt-cinq louis que cette bague
Les trois mois que cette a dur. M campagne <-Les jours que j'aurai vcu. )) Les dix miite francs que cette maison a valu.
si le verbe signifie
t~/(K/'
sigaifie
produire, et suivent
Que de soins m'et cots cette teLe charmante! Les honneurs Participes lesquels Cette l'avais du un que verbe verbe n'est tes imagin, lieu madame, de talens. a imagins que m'a valus mon et habit. autres
-.)
~7'~
femme
imng!ne, vous
votre
tiendrait qu'Us
secours
se sont
que
vous
on ne
peut pas dire: 7'a;w mais /~M!M Mz~MMg Mme raisonnement /~oM~ que cela, votre que
et troisime ce]a, se
exemple
madame,
lui
les
services
Parce que j'ai voulu. dans cet sous-entendu est de dire: Quey~M
~M lui rendre, que~a: que j'ai tant ici ra Le mot service rendre. verbe sous-entendu, reste invariable. d Du Participe prsent prsent. tant toujours j icvaet non du parti-
ce dernier
gy. riable,
Le
participe
il ne peut pas prsenter de difncult, si on bien de l'adjectif verbal. le distingue les distinguer, g8. Pour 1 que le remarquez, l'action faite participe prsent indique toujours le sujet, et l'adjectif du su~ verbal la qualit les'autous comme verbal, jet; a" que l'adjectif tres adjectifs, devant lui les adverpeut recevoir par bes plus, les degrs Cette paratra. jEx~jtfr~jE~ J'ai vu ces hommes obligeant leurs semblables trs-bien moins de comparaison. diiBcutt bien sentie, e<e., qui indiquent
toute
difficult
dis-
rampant
devant
les
cette
femme
tremblant
lieux
votre
habitation
sont
Ces jeunes bergres, leurs charmant chantaient et dansaient tour-'H-tour.)) Dans tremblant, ces exemples o~t/t~
toibh's,
rampant indiquant
l'action, Dans les exemples suivans, les mmes mots sont employs comme adjectifs, parce qu'its marquent la qualit du sujet. ~'XE~r~EN.' Tout sont ie monde sait combien ces jeunes gens de gens toute ausst
0&&M~M. attendte
<(Que
cette femme
trem-
trouve
cette
petite
fille
HOMONYMES LES DE LA PLUS USITES FRANAISE, ou VOCABULAIRE est presque 1~ de quelques mots dont la prononciation mme, et qui s'crivent diSremment. 1
LANGUE
A. A. h! Haf Abas. A bas Abus. AT)u. Abattu. A battu. Abbesse. Abaisse. Aboie..
'Abas-tudesnoJx? Lestnrbutens! Il fait abus de son esprit. lia a bu beaucoup d'eau. Il est abattu. son fire. d'un une couvent. muraille. aboie.
chinne abois.
Abois.
I) est aux
Acier. A scier. Accomplie. A complies. Acre. Acre. Alne. FUeIce. Aguets A gu. Ais. Es. Est. t. Ha;e. A mande. Ameude. Aile. Elle. Air. Aire. Aire. Haire.' Erre. 1 Ancre.
est bien tremp. VoU~ du bois bien dur scier. Cette Elles dame est accomplie.'
Cet acier
Ce fruit Un acre L'alne Perdre Etre Passer Une Elle Passer Fruit Elle Une Elle
aux
la rivire
de l'amandier. a t mise ['atneude. aile de poulet. fait bien. doux. battre le bl.
Le nid d'un aigle. Cilice.' Il erre sur les bords Mettre Cette un vaisseau encre du S!yx. l'ancre.
Encre.
Accofd. A cor. Au. Eau. L'os Accrus. Acquit. A qui. Admis. A demi. Allez. All. Hl. An. En. Anse. En ce. l'
C'est A
un accord
paiftit.
Aller Boire
De)a)ambe.. Il a acquis une bonne rputation. Mettez votre acquit au bas du billet. A qui appartient dans cette cette montre? assemble. bnfice. '}
Il est all
Il est h:Udu
de pot l'eau.
ce jour-l. d'Anvers.
La ville
envers les pauvres. Soyez charitable Il a beaucoup travaill en vers. Une caverne. entre lu! et moi. diffrence QueDe Tu entres dans un vilain moment. Remde Nous qu'on met sur une plaies pareil jour. nous verrons 5.
Apres. Apprt. Appris. A prix. Arrhes. <ttr Art. A tant. Attends. Autel. Hte).. Auteur. Hauteur.
Nous
noce.
as appris beaucoup de choses. Je ne l'ai obtenu qu'a prix d'argent. Argent que t'en donne pour I'a3surance de t'excution d'un march. L'art de la peinture est bien difficile.
t a tant mang, qu'il s'est fait mal. Attends-moi sous l'orme. Il fut mari Il demeure Cet auteur Cette de la Vierge. dans son hte). l'autel n'est pas heureux. est d'une hauteur
montagne
prodigieuse. Avant. A vent. Avent. Je suis arriv Un moulin Clbration du Christ. Ai'tant. Au temps.
Auspices. Hospice.
avant
vous.
Donnez-hn Noussommes
autant
A vin, AveitaSt
A vingt.
vingt
sous la
Appas. Appts.
La vertu
n a h maison
bail.
Quand tu billes, il faut que je biDe. un souder. Baille-lui AHer au bal. Prendre De coton. Instrument dont on se sert pour bala balle au bond.
layer. Danse figure. Une paire de bas. ) Bt d'un ne. Pourvu que je porte mon bt. Interjection. Il bat ses habits. Publication S'asseoir Cette h haute sur un banc. passer pour une voix.
Botte.
H est toujours
I) boite Une
boucher viande.
Bouchez. Bouch. 1 Bouche. Bonheur. Bonneheure. But. But. Bue. But. Butte.
de pain.
Il a toujours eu du bonheur. Vous levez-vous de bonne heure? 7 au but. Frapper I) but beaucoup d'eau. La liqueur tait bue. Se marier Etre de but en blanc. de la mdien butte aux traits
'sance.
C.
Vi]!edeNormandie. dira-t-on? Il ne se promne qu'ep pantonnies. Vous irez qund vous voudrez., Quant moi, je resterai ici.
Cap.
Pointe mer.
de terre
qui s'avance
dans
la
de capuchon. Espce du caprier. Fruit Conjonction. Une aune et un quart Dnombrement mains. usit
Sens. Sans. Sent. Cent. Chaiue. Chne. Chair. Cher. Chre. Chaire. Cahot.
commun.
un cent
d'ufs.
chane
de fer. le gland.
q))i produit
La chair Le cher
la chre homme Il fait bonne chre. La chaire La secousse voiture. du prdicateur. que l'on sent
dans
une
Chanterenchur.
CoCHr. Champ. Chant. Chaude Chaux. Choc. Choque. Ci. Si. S'y. Scie. Six. Clair. Clerc. Clanse. Close. Coi. Quoi? Comptant. Content. Contatit. Comte. Conte. Compte. Contera.
de t'animai
me,
courftge.
son champ. chant mlodieux. avons chaud. vive. rude choc. me choque. rue.c!. vous me ferez plaisir. la scie.
On s'y trouvera. du bois avec Couper Six vingts hommes. cette eau
est claire.
11 se tient quoi?
dormir
Il a prsent Contera-t-il
Contrat. Comptera.
l'argent
Je-
Le chant La coque
l'estomac. `
Hconrt~nerdt'ehatEine. Elle a ses entres h la Cour; d'une maison. arrter suit le cours un cours rivage
la cour
Cours. Cours. Cte. Cte. Cotte. Quote-part. Croix. Clois, Cru Cfu. croit. (terroir.)
Pent-ou
Cet homme
eut
sa quote-part.
Cuir. Cuire.
Le cuir Faites
Dommage, lieu.
de cette
Fruit
du dattier.
Un pot d'tain. Mon habit est dteint. Un dessein Un dessin Avoir prmdit. d'un habile
t dessinateur. savant.
le dsir vous
II dsire
il croit
devoir
J'ai En
et) le plaisir
dix ans de temps. En disant ces mots, il mourut. Dis en peu de mots ce que tu as dire. au doigt. de l'argent. un don donc, de quelqu'un. si vous voulez
1/hotnme Une
dont
je vons
ai patic.
bagup d'or. Il dore cette pendu!e. mon enfant. Dor< Cet homme goutte m'est d; me dgote. h goutte. une somme due.
Couler Cela
Je viens
du salon. E.
Euho.
Reptition
d'un
son.
L'cho
rpond
mes plaintes. Ecot. EUe. Aile. Quote-part; Elle Une payer son cot.
logis.
En. An. Encens. En cent. Fnsens EavjeT En vie. Envi. E7]tRr. Hanter.
d'aller
Cet animal-est
la campagne. en vie.
FrE'qneuter; compagnies.
Jt ~)ut tre
du poisson de l'tang. tant, vous parviendrez. le tapis a exanc par terre. mes vux. le mur du jardin.
Il a fait exhausser F.
en face.
La fin d'ua
Fardeau. Il faut
Fte. Faites. F.1HX. Faut. Faux. Fausse. Fosse. Foi. -Fois. Foie.
demain cela.
instrument se lever
Il faut
pour faucher. matin. a dit est ftux.. fausse. de dix pieds. sauve.
vous est
fosse foi
creuse
La bonne Une Un
la foi nous
fonds
de terre.
Ils font beaucoup de bruit. Tenir un enfant sur les fonts tme.
de bapjf
homme chant.
Guet.
Faire
le guet
pour
surprendre
quel-
ctu'un.
Gote. Grce. Grasse. Grasse. Grce. Graisse. Gris. Gril. Gure. Guerre.
ville
La graisse Avoir
La guene
H. Mle. Le hle leil. Halle. Hte. Hotte. Faire D'un ses provisions la halle. que produit l'ardeur du so-
logis. Espce de panier propre derrire le dos. H te son chapeau. D'un Terme grand logis. dont on se sert
tre
port
F gard du.
Hros.
Homme
hors chez
de tous
Portion
de
environn
e d'eau
H fait bien. Ils sont Nom J'en bien gais. Jean une qui pleure. pe ine extrme.
propre. ressens
gens homme de
sont
souponneux.
bien n.
J'en d'enfant.
!f L. La. La. L'a. Lac. Lacs. Lacer. Lasser. Laid. Laie. Lait. Les. L'est. L. Lthe. L't. L'an. L'en. Laon. La Sevr, An'etex-vousia. IH'a Grande Lacets Lacer Fatiguer Un homme du du lait. les belles-lettres. instruit, d'une il l'est. toffe. induit en erreur. d'eau. des animaux. la faim, la soif.
tendue pour un
prendre
dix-sept.
Je l'en La ville
mouvement pour
est lent:
uc enfant.' envelopper que Dieu envoyaaTo an lard. Lares, chez divinits domes-
les Paiecs.
Ce qui reste de la farine. D'un Instrument. Le sont-ils, Leurs parie. coupables sont ? bons; je leur
Le sont. Leur.
chapeaux
Leurre. L'heure
mot).
Un)!e')agrejMp.' Une lieue de chemin. La lie du Jolis,tu Un bon Carrire; vin. Je lie, tu lies, il lie.
tache.
Lion. Lions. Lire. Lyre. L'on. Long. L'out. Lut. Luth. Lutte. L'eit.
Le roi
Les doux
dsire.
Ma. M'as. M'a. Mt. M'aime. Mme. Mal. Malle. Mle. Mai. Mais. Mes.
Ma table M'as-tu
M'a-t-ilobl? Le mt d'un Il m'aime. C'est lui-mme. est pire que le mal. de coffre.
Le remde
dira-t-on?
Met.
M'est. Mets.
Maintien. Maintiens.
Le ma!tre
Vous
ta porte. utile.
qui
toujours
Marchant. Marc. Mare. Mari. Marti. Manc. M'en. Ment. Mans. Maire.
en marchant.
Le marc se divise en huit onces. Amas d'eau Cette Fche. H se marie demain. vous des nouvelles mens. femme dor)u;)nte. a un bon mari.
)nent,.tu
Mer.
Amas
d'eau
sale
qui
environne
la
Par-
Le cardinal 1661.
en Afrique.
en peu de mots. Puissions-nous viter les maux nous avons sonuerts furent btis
que
Mur.
Les murs
de Thbes
au
son de la ty)e d'Amphyon. Ce fruit est mur. Fruit du mtier. par ses
Meurs.
de ton ge.
Moi.
Et que m'a fait moi cette o je cours? Le mois de janvier Janus. N. tait
Troie
Mois.
consacr
Nais.
pas adroit. Elle n'est pas menteuse. Cetenfautestnet. Je n'ai que peu de fortune. Le roi est n l'an iy55.
Fermer iapfn On
N'tre
Ni vous, ni moi. JI nie )e fait. N'y aiiez pas. Prendre les petits
dans le nid.
JI lui a icpondu Non. Ii)ustter son nom. Une louve servit et de nourrice Ro-
mulus
Remus.
Nourrisse.
que tu nourrisses,
Je nuis, tu oins, il nuit. Excellent de Bourgogne. vignoble Desse des tnbres, fille du Ciel et de la Terre.
Ho. Ob'
appeler.
l'tonneInterjection marquant ment. Oh! oh que dites-vous? Pluriel d'a~). On nous a dit bien des ventes. Ils ont toujours On retire ver. Les catacombes rangs oiTrent un amas d'os t la campagne. pendant l'hi-
les orangers
s~niniquemenf.
O Yo~s
a))M-vous? on moi.
Oui.
passe
du verbe
Manger du pain. Cette dame peint b!<'njo[!inent. Arbre consacr'aCybete. Unpah'dcFrancc, Nombre pair. Jouer 8n)ume,pf't'edeJupker. Cet homme se cerd. Panse).'ne Veuillez Une Dessnrc. penser moi.
pa!r ou non.
bonne
panse.
Le pan d" mon habit. Oiseau consacr Junon. Pends.toi, brave C~Hon nous avons tu n'y tais pas. vaincn,et fut suspendit par les che-
Par.
Absalon veux.
Part.
Manger
Je pars
pour
Lyon.
est bon. que vous prenez est plus petite que le tout. tu partis, il partit.
Pte. Pate. Peau. Pot. Pe)t. Peux. .Piem. Piain. Plains. PdJs. Pois. Poix. Point. Poing. Porc. Poit. t. Pores. Pouce. Pousse. Prs. Prt.
La pte pour le p.iln. Se servir de la pte du chat. a la peau douce. Ce pot contient deux Peu s'en faut. tu peux, it peut. Elle
pintes
de lait.
Je peux,
Le spectacle tait plein. Un appartement de plain-pied, Je plains, tu plains, il ptaint. Un Des Les Point Un poids petits de cent livres.
pois. cordonniers
se servent
de poix.
des doigts
tu pousses,
de la muraille. a tomber.
LequarherSaint-Honofestttspeupl. Qui fait des cartes. Cofijonction. amis. Deux Quoique nous soyons
Quoi
que.
mots spars,
s~gn!6e quetque cond est pronom vous disiez. Quel. Quelle. Qtt'eile. Quel malbcur!
Fiante Faites
Ce rang me convient. Je rends, tu rends,ii il rend. poil ras. La mort aux rats. Nouveau. Un chien
tn ressens, il ressent.
Retentir. rsonner
de nos cris?
Rond. Rompt.,
Une
traverse
repas de Jsus-Christ. La scne du thtre. Une personne prit. saine de corps et d'es-
Un jugement sain. Un lieu saint. Avoir Billet Cinq le corps ceint d'une sous seing-ptiv. ceinture:
coqs se battaient. dans le sein. Plonger le poignard H fit un sant. son sceau. Apposer Puiser de l'eau dans un seau.
Sot. Sel. Selle. Celle. Serein. Serin. Son. Sont. Saur. Sors. Sous. Sou. So)(!vre.) Statue. Statut. Suie. Suis. Sur. Sr.
C'est Mettre
un sot personnage.
du sel dans la soupe. La selle d'un cheval. Celle que vous prfrerez. Un visage serein. Le serut chante. Son mdecin Elles est arriv.
sont arrives.
Ta mre
viendra. d'obir.
se taire. 4~
Terre. Taie. Taie. Tes. T'es. T'est. Tt. Tan. Tant. Temps. T'en. Tends. Tante. Tente. Tain. Teint. Teins. Tu. Tue. T'eut. Tyran. Tirant. Traits.
une cousins
sont
t'es
amus
Eooce Il a tant Le
de chne
pil.
pas.
sa tente.
au tain. teint.
Quand
Sa soeut'ade
traits.
C'est
trs-bien. la sant.
est nt!)e pour Je travaille pour vivre. Le peuple tribus.. Il faut payer romain tait
Le travail
divis
par
Tribut.
son tribut.
V.
Van. Vent. Vends. Vaux. Veau. Vos. Ver. Vers. Verre.' Vert. Vain. Vin. Vingt. Vux. Veux. Voie. lostrument Le vent Je vends, Je vanx Le petit pour vaner est froid. tu vends, le grain.
il vend.
Vos livres
V<)sc dans lequel on boit. Un habit de drap vert. Cet homme est vain. est cher.
Adresser Je veux,
Vnix. Vois.
Elle a lune jolie voix. Je vois,tu vois, il voit. J'ai vu. Avez-vous une bonne vue?
Vu.
Vue.
trouve
les gros-
sires, qu'elles regardaient sible de pouvoir y tomber, dictes d'lves, plusieurs cre qu'il' se commet des aussi
imposmontrai
moins
graves. Afin de prvenir de pareilles ici les insrer j'ai cru devoir suivantes. PREMERE.
qui voy-vous? la pche ferLa rose purpinae, t'oiyet audoran, un nm meile, une~m fujitive~ une preri emayer, elver, des arbres nein, un chardinier !abor!er, une chardinlere des marmeaux Les alleite, eveyers. mot rose, oeyes, peche, eaux, preyeti, arbre, des chose ou des substance innalimer. exprime Les mots chardiaier,charditilere, exmarmaux, alim. prime des htres on des soupstence Hor, tout mot inanimer, 5)antif. <jDe soupstence animer ou qui exprime un htre ou une chose, se ncme soup-
Vous
enterez
dans
un chardin
DEUXIEME. LE comerse, dans ces raport avec la jurispruaitre dfinit ichenge dence.peut q~e les hommes de font entre eux des divers produxion mnubiiiere la nature conciste ment on de Faindustry. dans Le diois comersial premirement, destin soit a regl dont les lois spessiale!d forme et l'effet des ce qompose, soit a
transaxion determiner asugeti mmento piiquer, chaises, spesiale Ces est d'un penserai
le commerse
les aub!ation pa)[icu)iere auque) sont seux qui en font leur profession. Dexieles prinsipes du droit comnn, apan temps que le permet la nature des a ses mme transaction, lorsque les lois non rien dterminer. dont l'une, la dans
deux
copies,
vrit, je me dis-
DEUXIME
PARTIE.
.RGLES
DE
GRAMMAIRE.
EXERCICE
j~C~, l'adjectif, <oM/oMr~ en nombre ils
1er.
-t'a~CO/Y~T~ avec le MO/H
le pronom, et en genre
<tM~t<e/
se /'0/?/70/'<C/
ijEs
jeunes
gens
sont
ordinairement
et violent; prsomptueux prodigue, au cotjtraii'e sont ptudent, ecoiome, dcRjut. 1) y a des hommes en grin socits; mais plaisant, aussi
vain,
enjoue, de sombre,
agrable cha-
il cfi est
On larde, exempt
les hommes
doivent 1
tre
sobre,
chas-
d'esprit
incroyables
actifs galement dans la paix et dans la guerre, qui lui rien a la fortune de ce qu'ils pouvait reste, manenfin sem-
mais du ter par conseil et par prvoyance, si vig!)~ns et si pi t tout, q~iis c'a jamais lui a prsentes que les occasions qu'elles un de ces esprits remuais et audacieux qui blent ns pour changer de ceux qni J'exigerais t;e et les grandes le monde. vont contre le
train
commun
rgles,
et qu'il eussent que les autre, de ces argument qui emportent Il y a des hommes pris du comme vertu; les belles mes le sont
de la gloire
d'une seules volupt, cap~btc qui est celles Ir ou de ne point perdre; curieux et avide d'acqut du deuie[ de !em'5 dbidix, uniquement occupe
sur le rabais ou le dcri des toujours inquiet enfonc et comme abm dans les conmonnaie, teur, tmts, les titre et les parchemin de tel person-
nages citoyen
n'ont
sont
ni
IL KK verbe, le verbe
est un gros patrimoine rputation inconsidrs Il peuven dissip. que des dpenses tout an pins de dpense 'est permis son revenu, le fond. mais jamais d'en risqn Il faudra! gouvern la fortune comme la sants, hante y avait en jouirent quand elles es bonnes. tomber d'une L'on voi des homme tune mont. C'est le plus rusticit rude que de donn de mauvais donne grce; que par les mmes dfaut qui les
forfait
le temps que pour en faire un bon usage. Il y a plus de gloire a mrite une la port. Les petits honorer,
couronne
qua les
les grand,
]geremcnt
III.
ce que
les onbre
sont
de poutes'.e que l'esprit faire que, certaine attention! par nos les autre soit comtemt par nos manires, <t d'eux-mme. Conbien de LeHe et inutile raison
me semMe
est
une
et parole de noua.
a tal po~r
a celui de
adversit, qui es dans une grande le rendre tranqui~e 1 Les choses les vnemeDts son appelles et la raisom. que Ii nature Si l'on de certains de feint quelquefois noms que l'on les corrompt
essay
de df'ttors
quejquefbis
affectent c'est
a du siem. opinions qu'on foi tune, rien oubli pour votres av ngliger queique chose,
si vou i
renvoient
aux
de son anbile fat anbitieux qui disculpe s'il a fait une est le soin que l'on premd, nn mrites de lui trouve qu'!)s foUnne, eu, et aussi grands qu'Us riches homme de fort croit l'a-
est on
que pas
l'on
soient un
tout tiches,
ce
besoin,
sages. que l'on soi les panvre par toutes l'ambitieux et l'avares pauvret.
EXERCICE
Le Le Ciel permit qu'un Dont le bremchage, Dieu son saule aprs an (5).
IV.
fait tri'i~phet'innncence: clbron sa pm~smces. Chantons, nous samg les mchent prt coul. ils allais s'es le rpondre. fait entandre. une cbencelrent! comme un torrens s'coules. cramte mortel s'assembl,
du ciels fille
d'Abraham, faire
vous
Le bonheur
des mchants
(9~) Madame pardonnez si j'nscn!. )e dcfandres Le zle de Joad n'a'i potnt d& vous '.mprandre. Au bonheur des mechent~ qu'un autres porte envie.
Voici Le le fruit temp~, de tant seigneur, de sang o~ qn'on vous vou devez a vu attnndres rpendrcs.
ne priment point avec les grand, il se dils fandes par leur grandeur; ni avec les petits, vous repousse par le q'u-vive. On On s'accoutume ctiHIcHemant paswut dans tur l'escalier. Vous plairent attach une antichefthre, vie qui se dans des cours, ou une
de bien vous ne songe ni a ni a dplores aux favoris; uniquement votres ma~t'e, vous t perdu. tes homme sur les bord de un tepas chenptres entandi dans les bois voisins une voix dont les accent cuchentear ra-
On servit
tout
les convive.
pour le coup qu'il faut se croire heureux, son jardin. en bchent on as comEn te livrent ta piti des hommes, menc par lui crev les yeux. Il a fallu cder la liberts, au peuple; mais, en me randent on m'a priver de la lumire.
EXERCICE
V.
jLe~o~M(4),
la disgrce vos
que
de
vous
pJind~e
creindres.
Rome
joie?
serais rantlre
trouver h"mm'~
''es t ace
eoncito~aina.
ce YttSte verr.)ia
t~!it
tme caut~
piet le prlat,
plain
de tc~
sa
sainte
von
channine et
perdu
la b)igad< re~~ncnt !oups, une terrp trnupt' af] travers Cts passage encor ma mes sujets
sang!ots, mot
d'horreur, terreur i
trembles colre
coutent
cnntes.
trustant feu
a 1~ crinte, tinte.
ra!!nmenUe
Comment ne sont
nommerai-je
cette
sortes
fains que pour les sots? avec que les habile les confonde troupes. On convie, tables, tenir parole.
on ainvites, on offres sa maison, sa son bun, et ses setv!ce, rien ne cote qu'a
DES
VOYELLES.
EXERCICE
Le son a (5).
VI.
QBE le prla surpris d'un changements si prompt, Apprennen la vengeance aussitt que l'affront. Le sena avait les loi par un dcret; approuver satisfaits les counnat. et le droit d'appel au peu-
accusat
de s'etres
appro~
du butin. une partie prier Qui considrerat que le visage du primce fais se toute la flicit du courtisam; qu'il s'occupe toutes sa vie, de le voir et d'en remplir, pendant
voir un peu comment comprendrat et tous )e bonheur faires toute ia gloires vu,
Dieu des
le des)inaish!a Ses parent Tout ce qui lui paraitrat gitimes. Il t~oubteras]a Sounrons paix
patiammect
pouvont enpch. Ce fait est arriv cieven!r funeste. de bonne partie avez de
recamment;
pourrat
heure son
tablit
des
principes,
agiss
aussi
puissemment
dans les
les grande.
Un sage pMtosophe a di toqnammant Dans tout ce que tu fait, hte-toi lentement. 1/me faires trouve en eHes-mme ce qui peux la
vivtent
exceUamment.
VII.
on taille
les cerisi
qui
tait
dans
le jardin." C'est principalement reconnai Ce qu'une d'intrt, f|i\e la lri'ables les homme qu'un
socit,
tutiageuieot
et qu'un chenge de bous Il y a de belle chose qni on plus <le'cla quand elle son elles demeure imparfaite, que quand acheves. Notre fasent dsiie' avidiie'e comir trop les tant moins nous de troubles chose souvent en nou
rciproques offices.
considrable. plus non guJe ne sais, pour moi, de quel maladie mais je sais qu'ils nous en donne risse les mdecins la pusillainmite, la lchete'e la de biens funeste cre'dulitfs, Le tonneli la terreur de la mort. le vein la cave. mil!e l'une prisonni. d'intrt ce qui nou
a descendu
L'arme
"a dsir
d'apprandre
pens tre utile; et l'autre d'orgueil, qui vien du dsir de savoir ce que les autre ignore. et non pas dans vJLa flicites est dans le got, les chose. de nos propre mau. La pitie est un sentiment Il y a des action de pite qui paraisse mprisable au yeu des homme, et qui son d'un grands prix devant Dieu. Le niaronni Donne une as si bien chanter. a la chembres se prsent des commissaires, pour y recevoirs un laissez pasla ser, afin de conduire au prochin camtonnemeut charret de foin qu'on lui a livre. Le charreti pourrat d'Inde assiette un frui amere. produit de fraise a cette petite qui
EXERCICE Le UNE
inondat les chemps; les plui abondante abricoti fure dpouilles de leur fleurs; le jardinier se vi en un moment enlever l'espoir qu'il avait conu d'une rcolte complte. Entre tout les divertisseman que Pour les finales des primitifs, le monde consultez
5
a les
Nota. composes.
il n'y en a point qui soit plus ijue la comedi. La jalousi est le plus grands de tonts invents, qui fait qui le cause. La railleri ainjiires, parce et que est et celui le moins de pitier aux
crindres
support plus difficiles que les de se fach des qu'il es dans l'ordre un espce de ridictilite de se
la surpercheri
d'un chemp, etlaperdrie, concitoyens ce senble, assez tranquille. vivait dans un ta, du bec d'un chat-huant. Une sourie tombat Grace au ciel, je passes solitude. il avait faisait les nuies sans cbagren,
quoicju'en Tous les jour si quelque chat l'argent. Un En missau Elle petit
l'il du
grin
dans elle
achvent des
paraissai
Elles connu.
apercure
une bergre
qui leur
tait
en-
la flatteri
IX.
QUAND on ne trouvent pas son repo en soimme, il est inutiles de le cherch ailleurs. Sans doute qu' la foire ils von vandre sa pau.
Parbleu di le meuni es bien fou du cervau
Passait dans son esprit pour le plus beau du monde. Il accusai toujours les miroir d'tre faux. continuez ne verron non Antisthne d'crire de vous un in-foliot? jamais II n'y a poins de sods si eincommode que ceu qui ont de l'esprit. Avant d'en de monter dans un fiacre, il es prudent prendre le numrau. Les dvos de profession ont commerce
ncessit,
dguis
qui reprsente
rien
de ne
des meaux
mais les meaux prpass et des meaux venir sents triomphe d'elle. Comment ne l'aurait-il Ses chepas surpasser? veau allait au grand galo, tandis que ceux du peine marche' au treau. pouvait de ce concert. On parle avec bien de l'avantage et Du val y ont chanter un bien Les sieurs Lambert comte beau dtiot, et Lefevre a exe'cut combien un solot de sa cet artiste est
vous ir au chatau des coulos lin chapau, et, vous m'en emvcrr. fhres, La voiture sommes partis a fait de violent pour
vous sont
cahos
quand
nous
la Chempagne.
X. (g).
notres ce n'es nous ngligeon salu, Quand la charite qui nous fais travaillez celui des point ^titres. C'est une louables adresse de faire recevoir dou-
qui rpares! par des parole civiles, le dficit du bien qu'on ne peux accordez. d'un est compose Toute sujet proposition d'un verbe, et d'un attribu. ceman un refu sans abu: pas de gouvernement et vous les plus beaux abrico, Vous choisiis inettrs les autre au rebu. Il n'est Ne reut. On verrat de conduire Les parce corps qu'ils mthode que ta vraie et l'uniques un lve du connut l'inconnut. ne son figur, mobile, l'leodut tenduts son est manqu pas de m'crires sitt la prsente
proprite
Et quel me,
Du coup dont ma raison vien d'eues confondutl 1 d'lev des statu peu, dans l'antiquite, aux hros; on les mettaient au nombre des Dieux. Les vertues ne son le plus souvan que des vice dguises. Un beau-pre nne belle-mre bvue aime son gendre, aimes son gendre, il leur aime sa brue jr n'aime pas sa un C'tait
einposat
tribus. Il n'avai plus pour moi cet ardeur assidu Lorsqu'ils passais les jours attach sur ma tu.
Il n'y a point nu meilleur des outrages piscopas que qu'en se montrent Tu dira demain mener.
inoyin de venger !'lui faits l'impitee doux et humble de cur. o tu veux que je te fasses ren-
ORTHOGRAPHE
DES
CONSONNES.
EXERCICE
XI.
CetZ)(io)(n).
SotS plutt maon, vive si c'est votre mti. presque toujours sans rflexion de ren-
Les grants cependant trer souvent Cet profont Un homme savoir. acteur
oblig
marchant
le grand un homme
des pieds pour on lui cria qu'il Agamemnon et non pas un grand grand, sur le bout un
homme
galand
peux
n'tre
pas
galand
voisins
paraissent
tre
parfaitement
d*ev,
EXERCICE
XIT.
F~~2~.
Ce portent Cet durcti Il suivaits Son enfans Voici Comment prises, Des hro Toutefois L On pour ayant ne doit faire objet des tout pas tre un motife d'intrt qui nous le bien. n'eut aucun pouvoir sur !a nanmoins Juifes. pensife tre le chemin exlremetnan arrives. pas russi aussi dans actifeV 't ses entrede Mycnr. craintife.
parais l'instant
dccisife
curs fout
enchant
la fois et pompeux et plaisand peu cire lit je hais un sublime et pesan. ennuyeux Le souverain pontife s'avant avec gravite.
EXERCICE G
Venez,
XIII. (i4)
mes louanje,
et J
comhls
(i5)
de
i5).
1
Du besoin d'aim Dieu dsabuse les anjes. 1! est aise d'tre jnreux quand on esl le plus for. Il m'a dit que ce tiolojien tais le derni des homme; que si sa socite avais tre fch, ce n'tais pas de mon ouvroje mais de ce que des jens osais dirent que cet ouvraje taient fais contre les Jsuites. Il n'y a rien de et tout y parais }%n, que je vous enlrctenai gnstifies libre et
dans
Despraux
selon
rien lu qui m'ait fait un si graut plaisir; et, quelques ingures que ce galand homme m'ait dites, je ne saurais plus lui en vouloir de Je n'ai gamais mal, puisqu'elle m'on attire une si honorable apo-
loji. Un gugement comme perception, ment comme affirmation, ne sont mme opration de l'esprit.
et mi gujedonc qu'une
donc
l'usage
de comsidrer et de les
pour en dcouvrir ne rougisse J'ai peur que les lecteur pour raisonnement. de si tranje de me voir rfut Veill tand dans 11 son passaje, et dite-lui qu'un ami
une
moi
l'at-
le lieu o il doit
se randre.
de non tait ocrpomdme que chacun ou des soins du des cliemps au dur traveaux dit Blisaire ces bonnes me trouv-
jens
encore
traveaux.
EXERCICE Q (16).
XIV.
a qe les petits esprits qi ne peuves souffrir q'on leur reprochent leur ignorance. Le mal que nous faison ne nou attirent pas tant Ji/ti'y de perscutions et de haine ,-jes qerelle ne durerois toi*, n'tait qe d'un ct. La vritable loqence simple et naturelles. que nos bonnes pas long-temps, est celle du bon ->
5*
qalits. si 1-e
se&
qe le pre lui tenai ce langaje, d'un air pensifes. regardais Il y a plus de dfauts dans l'hameur l'esprit.
Tandis
le fils le
que dans
XV.
di a la cour raisons
biia
nous
qu'il en disses de nou. L'on vois deshornme par les mme Il est aussi avances, dfaut
tonb
d'unehautes
fortune
les
de ne les point faiic?. qu'il es enbarassant et perse plint de sa mmoire, Tout le monde de son gujeman. sonne no se pleint les accueils flatteurs Il est Dpobible de paindre entrt dans ses ats. qu'on lui fis lorsqu'il C'est l que de sa tonbe il rappelt sa t te.
souvent lorsque
de la constanse
nous n'avons
rese, souvent par crinte, tout les trois ensemble. Tibre il supportait son gard. L'tude vant ranse qu' faisais vanite certaines
toujours avec
laquel a
par expriense
qui nous est naturelle. Il y a une ainconstanse qui vient ou de sa faiblesses. entretien est une
de la legerete'e
de l'esprit
vanite.
ou le malheure
ceux qui on le plus de l'un ou de l'autres. L'honeure de celui qu'on acqu es caution acqurir. Le caprice bisarres de notres humeure est encore
doi
plus des
qe celui de la fortune. de la vie vienne Presque tout les malheure ide que l'on se forment sur tout
fausses
ce qui
se passes. Toute les passion ne son autre chose que les divers degrs de la chaleure et de la froideure du sang. La trop grande sre. La sagese corps. L'encrdulite faveure des roi n'est
auprs
pas
est au
toujours se rsoui
h la nature.
EXERCICE Finales
en ir ou en
se conduir,
justifi la tromperi
Il y a bien des personne qui aime les livres comme des meuble, plus pour par et enbellite leurs maisons, qe pour orn et emrichire leur esprit. La ncessite tance de mourire faisais toutes la cons-
de soi-mwes
qije"
de n'en pas parl du tout, On ne ferais pas tant de cas de la rputation si on faisais rflexion sur l'enjustice des hommes ou a Ta de'truir. Ftablire
EXERCICE Finalcs
XIX.
LA. gloir des grans homme se doi toujours sur aux moyias dont il se sop, servis pour fjurire.
nous
dpains qnand il
comme
le loisir, son
tres-Liin un mari.
devoire.
miroire
Le cheval Mais
temps. et toute
parle, moi,
raisonnons: poussent
quand
du matih ou portent
au soire, l'arrosoire.
la bche,
des quatre fils Aimon, que ce cousain Dont tu lit quelquefois la merveilleuse histoir, Je rumine, du grimoir. en marchant, quelqu'endroit
XX. (^8).
de Dieu
ses gujeinan; plus on l'aimes, d'etrent gamais sparer de lui. La coure est comme
un difice bti de marbre j je veux dir qu'elle est compose d'homme fort dur, mais fort poli. Les erreures dans le monide on quelquefois un aussi long coure que les opinions les plus vritable.
Le magistra, des loi enprunta le secoure g Et, rendant par dil les potes plussaje, Ds'fandi de marqu les noms et les visage.
attendan
qu'ici
le ses a rire
bon
sens
de rcloure joure^ ji r
venin
dans art ou
dans cru
1'annonse
du
cjruarli
Apprennent la vengance aussi bien que l'affront. du Pape, et chacun se pour s'informe" du sujet de son voyage. questionnait Sous un onbrage rfpai, assit prs d'un ruissau. Les labyrenthes d'un cervau l'occupait. Le mdecin lui ordonnat de prendre deux oiises et il se trouvat soulaj quelque de manue, temps. aprs. Les vertues se perde dans l'intrt, comme les fleuve se perdes dans la mer. La confianse fournit plus la conversation (p'a l'esprit. t On vit arriv le Nonse
manquent
L'intrpidite eongurassion.
le cnr
dans
les
La gu&tice, dans les jujes qui son modr, de leur levassion. que l'amoure Nous que ceux ne louont ordinairemant de bon
n'es
cure
aux autre; es aussi insupportable es penibles celui qui s'en sers. on cherchent la rputassions, plus on en
jamais emsenble.
Un petit grin de foli plais dans la conversassion. Toute le prochin. devossions es fausse, qui n'es point fonchrtienne et la charite envers
de sur l'humilit
gnrale que
esprits
e du
pation
les pa-
ni de digue ni de blme n'est que la dure des gots Jouanje, parce qu'elle et qu'on et des sentiments ne s'otes ne se qu'on persvrance donnent La qu'une Qui une point. superstission crinte mal d't le sembls regl n'tre autre ..chose
de la Divinite. dit plus d'une chose c'est et l'on btonnerais de voir et jusqu'o elle tois s'tand. infme chez
peuple,
vaste
expietion; cabrassent de
ce qu'elle La
condission
comdiins chez
forteman
es le bonheure
de celui
qui la
possdes.
XXIII. (55).
souvent de ce orgueille s'augmentent de nos autres dfauts. que nous retrenchons La il tient le fauteuille o il rischez Aicie, ques chaque
Le soleille sans
d'or.
loinlin, J
Ne m'a gamdis sembl si bau que ce matin. Les grants se piques une fort, de soutenire murails, pouces rendre joie, d'ouvrire des terres une alle dans
de dor des plafonds, mais de de meubl une orangerie; d'eau un cceur content, de combler une me d
de prevenire ou d'y red'extrmes besoins, leur ciuosite ne s'tand mdiez, pas jusque l. de jens Il y a dans les cours des apparissions et hardi, d'un caractre aventuris libre et familis, qui se produise eux-mmes. prte l'oi cil.
heureux, que pour faire croire que nous le somme. Le plus heureu de l'hommes ambissieu, temps est celui o il russis son gr. 11 est naturelle Il mme, Peu est aussi aux honnte homme d'tre d'tre gloiieu avec curieus. avec soi-
de l'tre viens.
les autre.
Le peuple de la tragedi il a le plaisir souvent voit pe'rire sur le thtre les personnaie du monde les plus odieu, dans dinui on fai le plus de mal verses et qu'il a le plus has. Dans l'ducation des jeune jeu, on doit avoir et de les dispos pour but de leurs polire l'esprit, ainsi remplire les diffrente dignement place qui scnes, leurs sont destines; le culte mais religieu surtout que on Dieux doi leurs
exigent
REDPI'LICATION
DES
CONSONNES,
paren le dffaut du bien qu'on ne peux accords. Notre reppentir n'es pas tant un reggret du mal que nous pvons fais, qu'une crinte de celui qi peu nous en ahivez. on ne trouvent il est inutile es d'ordinaire pas son de le chercher plus meddisant reppos en soiailleurs. par vanite
Quand mme, On
et se plins de sa memmoirej ne se plint de son jugemant. personnes On est quelquefois un so avec de l'esprit; mais on ne l'est gamais avec du gugement. le chenp Aprs trois jonr de comba, tait reste au pouvoirc des Franais. de bataii
XXVI.
habbiles
enpches
sou-
Les moindres
ne son pas de le salu que les pations de illustrres chretienne. c'es qu'avairt dans
d'observ
de la monarchis, les pape commenait tandre leur autorit sur l'Eglise gallicane; et le clerg en gnral a tandu ses droits et ta l'tablissemant sur le civil. puissances L'imlention de ne gamais a tre souvent tromper. qui loue; et des louanjes Jl y a des repproches qui mdises. Les chasseures ont tu Les jeunes gens pagni des dbbauchs.
tromp
nous
exposent
EXERCICE C (4.5), LE roi a favorablement Tout acteur sions. L'abaye Il faut, S'ocuper, tourmentes. qu'il dit-on, c'est dsirais saisire savoir le monde laisse entrevoir s'accorde
XXVII,
accueilli dire
les plus
heureuses
disposis-
des plus
un grant appelle
Ribio.
parfaites ce qu'on
XXVIII.
srieusement comme
certaines
de cette place. Les Francais ne tarderons randres matres de la citaddelles. Il n'y a pour natres, vivre, il souffre l'homme
ttent la liste des candiddat, On nous a prsents laquelle on a fait une adition considderrables.
S'il y a des hommes don le riddicule n'as jamais paru, c'es qu'on ne l'as jamais bien chercher. le Quand je choisis un avocat, je cherchent je plus habbile; quand j'ai besoin d'un meddeen fais venir le plus exprrimentj et quand je souhaites de faires un ami, je jettes les yeux sur celui qui me parais le plus dsiiatiess.
EXERCICE
XXIX.
F (~ ~) (46).
de passer pour ofiplus d'envi et souvent on cieu, que de russire dans les ofice dir ses ami qu'on a Lien aiment mieux pouvoir On as souvent fait pour eux, L'afectassion qu'elle On connais Les que de bien fairent en effet. es ausi emsupportablent aux autre, celui qui s'en sers. es pnibbles de cas des homme, quand on ne jusqu'o peux all leur sufisance. mortifficassion son celle qui ne facile a
rend les autre sons pas connu. La vanite sonffrire. Chaque homme n'est pas plus diffrent des autres de luihomme qu'il l'es souvent mmes. Les hommes spective. Pour raillez et les afaires on leur point de per-
sans ofenser
personne,
il fau beau-
coup d'esprit et de politesse. Pour parl juste, il ne faut pas moins travaill former son jugeman sa langue. qu' apprandre
JXXIX.
lui a t signiffie. lui a t rffuse. qu'il as deraandde tous les raoyiins que mon imaginasil a agravez votre sont
sugrs. voulant se
gustiffis
pour aggrandire Nous devon preffrer l'utile k l'aggrable. Ne devont-nous pas quelques deffrences des vieillard? observassions Nous seur. Vous dans le temps que vous regretters votre jeunesse. somme toujours enclin blam
ntelliganse
aux
l'agres-
avs perdu
La question est dificile rsoudrent. Le soleil viviffie les plante. Si vous vous propos, vous obtiendrs frence.
la pref-
EXERCICE
L (48) Voyez l'article de (49).
XXX.
des
des fait
recouvele-
quaud la gloire l'apple. Les fleures artificiele me plaise plus que En vain ils appelera
m'av
envoies
son secours.
Heureuse mille fois, si ma douleure mortelle, Dans la nuit du tombau m'et plonge avec elle i Etla laine etla soie, en cent faon nouvele, Apprire quitte leur couleure naturel. Atlas reu de Jupiter l'ordre de port le ciel sur
ses paule. L'usage des pendtilles ann. des recherches sciuppulleuse dans s'est beaucoup multiplie
ses papi; il est rsult des dilapique les preuve dation qu'on lui reprochaient se sont trouv miles. Un cri dotilloitieu a frappe nos oreils.
du corps ne peut
es le seule
mal
de la vie
gurire
ni affaiblire.
Rome, par une lois qui ne se peux chang, N'odmel avec son san aucun san tranje, Et ne reconnais point les fruits ilejiiimcs Qui naisse d un hymen contraire Ah ses maxime.
qne -sons de beaux noms cette gloire est rrale! Combien mes tristes yeux la trouverai plus belles! Jamais brull. Votre rivalle en pleurs, Viens vos pied sans duute apport ses doulleur1;. L'humillile Iniiion c'est dont n'est souvanl qu'une oumeures feinte soumon cur de plus de feux ne se senti h
il n'est
et plus sous le
dont le ridicnlle Si il y a des homme c'es qu'on ne l'a pas bien chercher. paru
EXERCICE
M [5 l'ailicle de la 6).
XXXI.
Voyez
des
patiamnnt
que
nous
ne
Un sajc philosophe as dis loqunman Dans ton ce que tu fait, btes-toi lenlemant. les grants tnmoii. tougours prcdes a pue franchire les borne le'jHirame, Quiconque Peu viol enfin les droits les plus sacr. Insi que la vertue le crimme a ses degrej Et gamais on n'a vus la timmiddes inocense, Quelques Passer Ailes Qm subbittemmen et laissez-moi conduisent peut-tu vers l'extrme licence. crimme
fidle guiiltle quelque von ma dmarches timide. que d'un zle frivoles pour une vaine idole ? dans du corps. quel le dessir bien nous fais un les maladies de l'anime
Ainmi,
penser
regardez
senlemment
qu'il
a de
nous
EXERCICE
XXXII.
N (60). Voyez LA est tion dans que qw* la Rduplication cause l'on de presque tous qu'une juste, il des 32,
p.
raisonnemant de la ques-
pour toutes
concevoir
Un jour seule ne fais point d'un mortelle uu lche incestueus. Un perfidde assassin, Elevs Je n'ai dans point le sein d'uue chaste heroinnes,
vertueus,
de son san dmenti l'orijinne, mon devoir me l'ordonne. puisqu'insi je? Quels jusqu'au ne ne conseilles bout tu veus oses-t-on me don?
le trouva sous un
assis, maroni
deux
jolies
musi-
toufus.
peut-il repar les ruinne sech jusque dans ses racinne l'enfant huit mmes au bercau.
an sortents-il
du loubau ? r
EXERCICE P (64)
c'es toi que je dfi; oi, superbe Orbassan Viens mourire de mes mains, nu m'arrach la vie. Monsieur Quoi! Lebon, vous te un frippon. j'tait vtres duppe ? Non,
monsieur,
mais je n'tait madame; pas la -volves. Je vous suplie l-dessus de faires rflexion. Supos que Dieu teure de Cllie. Dans praux, la vrit, l'honntete J'ai 'vers. cette ais fait la mme
de srieuses
grace
l'au-
vous de
et
M.
Desde de
la dferjse moeurs et
des bonnes
que
l'on
ait suprim
ces
EXERCICE
XXXIV.
R (66).
Que dis-je? il nVst point, Le voici. Vers mon cur J'oubli, en le voyant, mort, puisqu'il respirre tont mon an se retire; lui dirre. en vous.
ce que je ient
un bcuil
sour
veux
se brise, et vomi a nos approche y eu, des flots d1ecnmme un monslr furitcux.
Et peut-il, dirra t elle, en effet, l'exig ? Jle'a son dirrecteut c'est lui d'en juge.. Il lui fais dans Le mondp, Ne peux Votre AUez O le flanc une larje blessurre.
de qui 'je avanse les ruinnc, de ces mes divinnes. plus enfant
rveilla bfnt qne fti quelnue par un heureux le funeste 1 fJ 'annonsojs du Lutrin appareille Laissez Le soin d'all des chantre sitt vulgiirre me'riL leur salairre.
EXERCICE 6' ASSEZ le donnez. La force mes. La galanterie d'une flaUeusses Les sant, La dfauts comme aloussi de l'esprit maniie de ceux et la faiblese de jens mprisse
de l'esprirson
nom-
des cliosse
en
vieilli-
est le plus
les meaux,
de piti au personne
qui
pante noble
dans image.
\cs
ouvraje,
jamais tout
le monde
assidu, un basses
qnelrfttefois surtout,
Fuyez Des
galonsi,
vulgaiit-
frnsis.
EXERCICE T
Quelque gug, mrittes, Pouvez-vous Eh Je bien c'est il fait qu'il disposission encore ne fait plus
XXXVI. (69).
qu'ais souvent au le mondes grace verrit/ible. vous que aimes? tiailtcs. au a mal faux
ingustice qu'Andromaque
roi
qu'il
faut
je vous
ne laiserez
victoire ma Jche
hriss.
dificite.
Nos meaux
ceux des d'un autres.
nous
apprennes
a avoir
pittier
de
Mais, le saiir
djeuner, une
raine chute
et
frivole
atenlo^
i'< (iai gn
si vainne.
Pourquoi
ne
jeterois-il
ces
ees coursier
on ne ngKgept
servir r.'les qui peuve leurs fouliez legujemant. plusieurs travaille truise dirent, faits
pas de leurs apprandre h leurs polir l'esprits et a, On a imajins pour cela de leurs les ins-
moyens qui, sans les dtourn et de leur exercices ordinaires, en les divertissent. On leur heuies sur mets, leuis elle,
leur
injnieuse
on leurs baux
conpose cur,
emdroit
sut tout
et cela leur sert etc., pote, de mauvaisede quantit deffairpnt dfr avoir apport qu'elles pouirait
EXERCICE
XXXVIII.
Ses ou Ces (83). JE hais ses panjyristes perptuelles la min. jours l'encensoire Le fleuve roulaient ces eaux avec violense.
De D'nn quel air [jense-lu que ta saintes verras harmonieuses?
qui on tou-
spectacles
enchenleure
la ponpe
Ses danse, ses hros voix luxurieuse Entandra ses discours sur l'amour seuls roulants, Ses doucereux fUnajds ces insenss Rolands 2 Ses jeunes gens on toujours de got pour l'tude. Que sont l'homme dieux ? devenus ses fameu mettaient montre beaucoup
aveugles
former
toujours 6.
se sont
les viais
marque
qui le
font
conna-
ce dit ami; mais fou qui s'y reposent. ne m'a pas cot trop ce flattes toujours. cher.
Se livre Les
malades
Se miracle inou me fit tourn les yeux Vers la divinit qu'on adores en ses lieus.
XL. (Si).
giant empire a le gran Mogol ponr souveSes eveuu ceuis monte tous les ans a deux million d'cus, outre le lisor que ses faits monen esces dniant une
cinquante
lui ont laiss, prdcesseiue tez sept cents cinquantes pces qu'en sont pierreries. trs grande. milles homme De
tant ct,
11 entrelien de cavaleti,
consta outre
d'infanteri. contre
que le Mogol avait cinquantes huit, de cavaleri. cents seizes milles hummes
de quelques ayez, vous ne serez point1! que vous jouissiez, 1 si voi* ne sav rprimez vos passion. 'i
habiles claii Quelques que vous soy, quelque ne faisons pas un vain talaje de que nous soyons, noire sciences. dmontres rigoureusement Quelques vos assertion, nous ne pouvons paraisse prouv. savantes Quelques ont t surpasses par qu'elle. Vos que des soit vos siires, plus elles jeune que vous les ap-
dmoiselles
ressource,
queUe
qu'elles
paisse
tres,
ne
sorti point
inpuisable.
XLII.
tonne
de me voir. Vos
amis leurs
furent fit.
toutes
interdits
de
qu'on
tontes
il a les
toutes
vos
cousins
touts
tristes
et
touts
philosophes, cause
touts
clairs
les vritable
de bien
austre
qu'elle
est,
fait
gouter
toute
petite
d'ici
naisse
des meins
jolies
que
soit
ces
campagnes,
je ne
la couronne
Veulent-ils
m'blouire
par une fainte vainent? sur son visage est paint. cette heure. combattres pieds nue. richesses pouseque votre dissibientt elles seront conduite plus rgulires^ hommes clbres une
demie
On vit ces soldats Quels vous pes, aient que soit les
une
heui
restre
la place.
vous que je vous ai donne, ne me trouverez chez moi.gamais Tout ces fugitifs, snaieures excepts quelques la faveure sides tnbres s'chnppres a la capitulassions, et demandies grce gnres qui pre, que j'ai reu de votre je vous dfand d'all a la canpagnes. Les heures pass dans ces frivole aimiseuiaatsr, sont autant de perdues. jenoux. Attendus les oidres
Pass Les
l'heure anecdotes
il es toujours m'avez
au caf. sont
racontes'
des hisloiies
suppose'.
Vos invincibles meins On dp monslres sans nombre affranchi les humeias. Je l'affligerait trop, si j'osais l'achevez.
EXERCICE Mme LES mme vandre cette l'aimes anne-la. marchandises ptecedente, (84).
XLV.
Il y a une tude de la nature qui ne demandent presque que des yeux, et qui, par cette raison, est la poite de toutes sortes de personnes, et mme des enfans. varite nous prsentent cette agrable Partout ce sont des fleurs, mais ce ne son praiiie pas les mmes. Non seulement les astres, les animeaux, mais Quelle les plantes crateur. mme atteste l'existence d'un Dieu
ni genre votre
mre
vo-
e'Jucatioi). vain vous pretands que tant vous les des opposez ne lasses combats ne peuvent
En hommes
indomptable,
vaincus,
J'ajouterai que la liberte que j'ai ajir de la soi les. pas vous autoris Je sens beaucoup Est-ce temps que si j'avait t paimi plus Je lessouice pour ainsi que reine ce ? '? hommes > prince
prise
ne dois
vous, mon
se comportoies
de la feue cents
Deux
quatre-vingt-dix
sont
reste
EXERCICE
XLVI.
joint
I! prent le partie de voyaje'. c'est mre se plaind de votre conduite; Votre en vain qu'elle feind de ne pas s'en apercevoir, elle rent de vous un tmoignage bien peu satisfaisans. 11 creiud Cet reux artiste succs. se contreind toujours en votre prsence. ses de s'oppos paind sa juste le portrait demande. avec le plus heu-
Dorval
toujours
j et rejette
que soient les hunfns it faut vivres avec eui. il faudra l'arracher.
les Rgles
sur
Les dieux ont Calchas amene leur victime1. Je souffre ions les mauxque j'ai Ces docteurs n'ont pas fait devant roi. rsolue la difficults
que vous nous avez crite an sujet de l'afaire que nous vous avions In, nous avons reet, aprs les avoir propos; comme entreconnu, vous, que si nous l'avions pris, nous y aurion n'avion pas prvu. La vie des hro toire a embelli des trouve des obstacle que nous
a enrichie
l'histoire,
et l'his-
Tes action
des hro.
insensiblegens se sont poli et enrichi de savants. mant par tes disconr et les ouvrajes Ils se sont propose's de passer le Rhin. Ils se Bien sont piopose's Les Russe pour sont modle. venu et ayant introduits il est arrivsperfectionn, tard; ans, en
tout
fait plus de progrs en cinquante nation n'en avait faits par elle-meme annes.
Et je me suis quelquefois console Qu'ici plutt qu'ailleurs le sort m'eut exil. Ces hras que dans le sang -vous ave vu baign. Je giun. gontais des dlices que je n'avait pas ima-
me plauons
que soit les don rle la fortune, elle seule a du pin. les effacent,
brillants
RECUEIL DE
THMES
le tens preno>l,
du sans
dlujf
la nourriture que les dans les fruit qui violense, et dans les herbe qui aussi sans quelque et de la douceure ponr malet pour doute
taient
de la premire innocense, laquelle nous tions forms. nouriire il faut gr l'horrenre touts rpendre nous causes dont nous
Maintenant, du san,
nous
couvrire
nous dnos tables, sufses peinne guisez les cadavre pour nous qu'il nous faut mang as&oiiviie. Ce fut apis le dc'lnje qu l'on
ces ravajeurs que parures de province, a nomms conqurranls, qui, pousss par la seule gloir du commendemants, ont exJei miner tant d'innocents. meauNemrod dit rejeton de Cham, meaudisparson pne, seulemant mena d fairent la guries, pour blire un enijsirie. l'anbission ce tenps, Depuis joue sans aucunne borne de la vie des coms'tac'esl
homme
sans beau
se de
Voil rien
n'abbas,
iuprieuses. ces grants corps, et, qui, hommes, dans principallenotre langue
admirer de votres
si
long-temps ons sire, aisiconnu, pces forte, prit bon tueus, ornemants non parl, la raisson.
et grospar Ta strille tant de richesses auparavant les expressions de tant d'esnoble, tendre, qui d'un pations, nous ont apdiscours le verles et
sinple,
le jujemaut s'expliquer
nettement,
le
litlie
de Protectetire
de
PAca-
augustes
d'Invincible,
de Saje,
de qu'est-ce que cette amas de peuple, de rpubliques, de royomes envelopps province, sous la mmme dominassion; confusion de qu'une onrrense aux puissanses eabarrassaute au matre, aux vincus, sujets, douloureuse principallement qui sons les fruit de la^, quand les belles-lettres, raison la plus epur, ne mlle point leur douceui aux amertummes d'une soutnition force?' C'est cette des Basile, sublimmes loquense des Arnbroises, des e
aprs eux les peuCbrysostmes, qui entrainaient de leur ple enivre du nectar saci qui cotillaiens lvres, Nestor non moins d'Homre. loue (Louis-le-Grand) de gustice, de prudense, de couraje, abbondament que de celle du
"Vousl'av
de bonheure, d'activite, d'amour pour ses peuple, en un mot, de toute les vertus royalles. Mais se sera toujours une dir louanje pour Louis-le-Grant, qu'on puisse qu'il n'y a personne dans son royaume qui parlent avec plus de justesse, plus d'lganse, plus de grase, plus de dignite, plus d'nerji. Tenires est exact dans le dessim, et l'on ne peu avec viii,
randres Flandres; attitude, de bien veste, leurs cessoires ral avec leurs
mieux ou
des
paysant
de leur
lui paindre
l'ensenbles
personnes,
vetemans.
et l'espri il a Comme
a let r qui leur est propres leur leur culotte bas, a leur soullis, et a tous les ac leur pippes, chapeaux, dont autant il sont environnes. dexactitudes en effet, ne Il paint leur moque leur physique. la devais pas avoir
on voit la sante de leur pute', politiquezj eintrctenus dont il sonts par les pot de birre tours.
de tous les matins, aux dieux, aj, demandaient, et ce prince. Il la fit venir, ne pas survivres la raison d'un si tendre intit..Te savoir voulu vais vous le direns, a bien le monde rpondi-t-elles long-temps dcela) (le celui Dans mon
se plindres et je dsirais avec tout Je sa mort gouvernaient, Il en vint un autre, Il fut massacr. monde. qui,
j'entenqui nous
matre
le en
et parutes, vous nous avez Fait plus de mals que les deux auserais entres. Comme je pense que le qatrime core plus cruelle que vous, j'adresse tous les jouis des vux n'y en disans Ii au Ciel pour a rien vraie, de plus parce votre conservation. que de mentire ne dit vrai que de et des des affections ton, par son
ordinaire qu'on
et qu'on repprsentes paroles, mouvements qi sont faux par son et par d'autre circonstance?. visaje, Ceux
les choses leurs juste. qui save estimez ne trouves point de lieux laits; car on vois prix en tout lieue le ciel et la terre, qui sont des specd'admirassion. Ils ne de les remplire tacles capable des eubellisajouter de senienis de l'art, y trouve peut qu'ils parce baut en conparaison de ces grans objets qui les 11 se plaise mmes davanoccupe et qui leur sufise. et epait, tage dans un bois sauvaje que dans les se men gneres en peine d'y lieux les plus ornez, qu'ils n'y parce des homme, et r^iii les fasses souvenire les fasses sonvenire Les jens de Dieu. au contreire, ne se pleises que dans voient tien qui rien ne
des homme;
leur parais hideux et sauvaje il leurs faut'des bien dresinsuportable; parterre des palisades bien bien taille, des alles se, et d'autre Ils ne de cet nature. droite, bagattlle saves pas ce consult de et apprandre eux-mme, leurs cur que toute ces choses rien n'agoutes d'elles-mme h leur plaisir, et que tout ce qui y eontribu ne vient Car, la que de leurs vanites. les jens du monde aime tout les pourquoi ornemen de l'art, et son si peu touch des beniits de la nature, c'es qu'ils vo'es bien qne ceux qui ne sout de pas riche comme les avoir. Ainsi ces du de commun demeurez du' dans eux, chose momde. un avoir bois, ne son pas capable artificielle les disIl est mais permit raison
un lieu
il n'y a
cadrez
temps
monseigneure, la suite
enbarrat.
del'histoire
l'clairci;
des rois de Perse, aurait rien de forts quelque prince, incertiet huit on
compte
Sur un an, ne
foiont quoi
question. ?
Mais
pour-
Dioclc'tien une
gouverna
avec
vigeure
mais
avec
vanite. Pour rsist a tant insupportables de tout ct, au dedans d'ennemi et qui s'levait au dehors, il nomma Maximien avec enpereure lui, et su nanmoins ce conserv fit un fure l'autorit csar prinConstanran.
enpereure Galerius
lever
se bau
prince
de tant trouvai
il se fit addorer
'a la mode
Csar PEgypte
gagne
la batail
Actiaque.
Les
force
de avec et
et de l'Orient,
tout lui, son dissip mmes sa Cloptre, pour He'iode trint Idumen de ce don
qui au vinquenre,
laquel il c'tait perdu. es conlui devaient tout, et ce maintiens, du royaume de Jude, avaient Tout fait perdre cde S lu for-
la possession par se moyen, dn vitu Hircan que la faiblesses entirement tune de Csar devient qui dsesper aux Asmonens. Alexandrie une
lui ouvrent
l'Egypte pire
province
de la pouvoir
aprs
Antoine. sous
Rome
tend
les bra
demeures,
lui demande la paix; les Parl'Ethiopie .thes po<! vant lui renvoie les tendart pris sur Crnssus avec tous les prisouni romain. Les Inde recherche aux peuve manle torieu Janns. C'es par ces feno')ve!~emant de violense que les dix prsecushistoriens ecclsiastiques conptent Dans de si longue souPsion sous dix enpereures. ne firent gamais la moiadte les chrtiens franse, ` sedission. Les habitans de Paris sont d'une curioshe qui je fus son alliance; Rhetes ou Grison, dfendre, le redoute, parterre ses armes se font sentire ne que leurs montagne la Pannonie le reconnat; la Geret !e Weser recois ces lois. Vit;il ferme le tenples de
et par mer,
va lusqu'a Pextravaganse. Lorsque j'arrivai, du ciel. comme si j'avais t envoyez regarder tons vouen~cts, hommes, femme?, Vieillards, lais me voir taient aux si je sortait, tous le monde ce met-
fentre si j'tais aax Tuileries, je un cercles se fotmer autour de moi; i voyaitaussitt .nuacce~ un arc-ec-ciel faisais iemme'mmES }es
de mi!
coupures
qui
m'pntourajs.
Si
j'ctait.iu.
spectac)es,jevoya!sauss!totcents!orgnet)esd~es-. sez contre e figurre. Enfin, jamais t vus que mois. des jens qui t taudrent tant Je souriais n'tais
homme
n'a
quelquefois
Jeur chenbre~ qui de avouer qu'I[ a Fait' bien de mais hie! je trouvait voyait multiplis tant dans
Chose partout;
tes chemine,
toute
charje. Je pas d'tre si curieu et si rare ne me croyait pas un hommes de moi, je ne j'aies trs bon opiuion t et,qno!qu.e me beraient jamais imaginn que je dusse ttoubter ne laisse )e repot connut. d'une Cela grandes me fit vilie rsoudre o a je n'toit quitez point i'habLjit
et a en enddoss un t'europpennc, persen pour voir s'il restaient encore d'en ma ph~sionou]i quelcet essai me fis counaique chose d'admirrable trent ce que je valait reHement. Libie de touts
lesoraemantstranjs, 'guste
j'eut sujes rattension et qui tn'a.YMS fait perdre eu uu instant Festimme car j'entrait dans public, tout-a-conp jet un naut affreux. Je demeurait un quelquefois dans heur une conpagni, sans qu'on m'eut regar-
la et qu'on m'eus mis en ocasion d'ouvrir mais si quelqu'un, boncbes; apprepar basait, naient la compagni j'entenque j'tois Persan, dait aussitt autour de moi un bourdonement ds, Ah! ah! monsieur es Persan? C'es unne chose
tre Persan?
quetques peupli sacre un autel l'amitier, il fnmmait goure et nui d'un encent a la desses. Mais pure et agrable entoure d'addorateures bientt, mercnairres, elles ne vit dans leurs cnres que des liaisons altitresse et mal assorti. Portes de Crsus Un gour, elle dit a un favori tes offrande ce n'est ailleurs
c'es a la Fortunnes. pas a moi qu'elles saddresse; un Athnien EUe rppondit qui fesait des veaux dont il se disais l'ammi En te lient Solon pour sa gloire, avec un homme saje, tu veux partajez et faire oubli tes vice. Elle dis deux femme de au pied de ttnittemant qui s'enbrassais Le got des plaisirs vous unis en apparense, et le mais vos cure sont dchire par la gaiousl, deux Syracuseron bientt par la heine. Enfin Samos t'btel saius.Damon les princippe et Phintias, de Pytiisgoe, tous deux levs dans vinres ce prosterns
devant dit-elles;
la
desse je fats
long-temps'souille traje, et je n'en a!)cz montrer la postrite, amis que j'ai tour, Phintias permit t'appchis Denys,
leurs botumaje, un asile trop p!us, j'abbandones par des sacriSiMS qui m'ouvotre vent
Je reois
plus d'autre que vos coeurs ait tyrant de Syracuse, Funnivers, ce qne peux l'ammitier dans des revtus snr un de ma puissanse. simple celni-ci des ville soupon, demanda affaire voisinne A leur re-
importantes il promit
et partit marqus, aprs que Dacette promesse au peril de sa de Phintias trane les aftires Cependant ]e jour destinne son trpas :)rn*
on blament, le peuple s'assenNes ou pteict Damon qui, marchent la mort, tranquillement allait revennire, trop certin que son ammi trop heureu s'il ne rvennais fatal pas. Deja le moment approchais, nonce l'arriv anmilles cris tnmuituetis lorsque il cour, il voles au mide Phintias
lieu du supplice; il vois le glaire sur )a suspando ttte de son ammi; des enbrasseet, au milieu mants et des ils ce disputtent le bonheur pleurp, de mou~ i~e t'un Les spectateures ton pour l'autre. des en du larme; le tyraut lui-mme et leurs demandent se prcippites instemment de
tronne~
partager ~f!C/Z<M.)
nne
s! bel ammitie.
(~o~ec~c~
d'eK/ze
.E~moZegM S'est et meurs raliste le non dans l'observes snr Rhin. on soire, d'un l'espace
du
mot
~M/ze?M~c. <, qui neit,se seule nuie. nuies de du reproduis, Les natud'aot, de la ne passur les ngures mi<jj). Il cette fi-
dans les
moi
quatre heurs du
envitron d nn papit)on, apreb '.t vraie cependant de prandrc.s qu'avant )I a vec't trois ans sous celle d'un ;;u]es., (e tient
T)n bot de l'eau, dans toujours dans la vase. (]<)')i s'y est creuss Le chengemant de se verre qui es dans l'eau, fn phmre est si subitte, n'a qui vole, qu'on pas le temps dans l'eau promptemant moins que la poitnnnes; 'avaotqu'il L'phmre, cbcut un Iicue de le remarque. on ne samoicnt que
le chenjeman ne sois faits, de pressez un peut le ver a l'endroit par ce moyen on peu
le tit de l'eau
ou il puisbe
et se dpouHit;
qui le couvres se second ce passe dans toutentie chenjemant l'air. L'phmre c'arrette avec la pointes de ces le plus ferme qu'il peux il lui pract petit ongle d'une 6nncmenb)a)!e,o.uiHe) unn)ouveinantsenblab)edcelu.idufrison;aussitt lu pnu qu'il les ailles )'on a sur le mi1lieu de leur tuis, dn dot se dechines, comme nous tir-
se dffons
gants
renversants. se mets
il se tient frappants
ne prent L'phmre les cinq ou six heurs qui il serubi.e qu'il n'ait
aucunne bornes
nourriture )e cours
dans
de sa vin;
t feit que pour ce multipliez, sa figure de ver que lorsqu'il car il ne quitte es en et il meurs aussitt tat de faire ses ufs, qu'il les En de temps des l'espce ont
monrire
ephp'mre
jusqu'au maladi
cinquime jour, par )n raison a quelques-uns qui es arriver de ce chcnje en des .Ep/M~tp-
et qui'les que
jens
d'Athnes,
bloui
de la gloire
de Thmistocle, de Ciinon de Pricls et piia folle anbusion, avoir reu pendant ~tne aprs les leons des sophistes quelque qui leurs temps de les randrent de trs-grand promettais potique, se croyais capables H'.ieres place. L'un tais nut ci fortement des afaire Biemar.t de tout, d'eux, en tte publics, et aspitait au nommd G)aucon, d'entrer dans pt&c'e-
le ma-
n'eus pas enquoiqu'it core vingt au, que personne sa famille, ni dans parmi ses ami, n'avais eu le pouvoiredeiedetOLn'n du dessin si peu convenaLie son aje et a sa capacite. qni !'afec)ionuais, son frre, fut le seul qui rusis de rsot~ssioo. Un jour, Soc!a)e cause de Platon chanjez lui faire
nu discours s'tait
il Fabbordat avec l'ayant rencontrs, si adroit, t'coutez qu'il l'cngageat gagne sur lui. Vous tui ditne sauri car de sermaissi la lpubiique? Glaucon. Vous reparti metterai
dja avoir beaucoup Rv donc envi de gouLvern d. H es vraie, avoir vous un plus russisse, rpondis beau dessin vous vous
la Gtece jusque
cette
de Thcmistoc!e
vous
soyez,
vous
attirerai
sur
vou~ Uu
de tout
le monde.
le respect si debbus au
et
extrmement
qu'H continua.
pris par son faift besoin de Feu vous Puisque H'FS c)eirque au non
Comme.
paraisrdevaient se sera de
Socrate,
doutte
les revenu q~oi consistes ils peme mont? Vous faire vien une tude
manque
]e renptjc
Je vous gure, par un autre. rpondi Gtaucon, song. que s'est quoi je n'ai gamais au moins les dpenses Marquez-moi que fait la
car vous sav de q'<e) importanse il es )puH!qe de letranchez celle qui son vous s~pperuus.Je avons que je ne suis pas plus instrui sur cette articteque une autre sur l'autre.-Il )e dessin faut donc remmettrenta av d'enrichire
tenps
que vous
7'
I,)tCpuLbIiqL;;eH)'IlcsIt!posiHede!efg[['cnt,si lts revennus Tous en ignoi et les deppense. dit Glaucon, il y a encore une Riais, moyen t!cbiie a\ez faut
autre
on peux en que \ous pasez sons sii.ince une tat,par la ruiune (le ses ennemi. Vous mais pour cela il raison, Socrate rpondit eue
]e plus fort: autrement on courre risque de pcrdres soi mme ce que t'en a. A~n~I, celui qui doit connatres une guerre, pat te d'antreprandre lesforce son partie des uns et des autre le plus fort, afin que, s'il trouve il conseil hardimman la
le plus faibles, il disuade et, s'il Le trouve guen-e; le peuple de s'y engagez. Or, sav-vous quels saut les forces de la rpublique, tant par mer que par et quel son selle de nos ennemi? En avezVous nie vous pcm? vo[~ me fcr.ti Jer,n p plaisir RlbU' de vous~anun tat'par tat, par f'Cllt. po Je T n'en ais point encore, rrae a, )'e communique. Je.vois dit Sociate, bien, po'tidit Gtaucon. que terre, nous charje ne feront pas sitt la du gouvernemact, et bien des chose savoir, ainsi sur si l'on vous guerre, car il vous restent bien des soins a.pr~ndie. autres article ce trouvt au doigt de
plusieurs
non egat-
il
le ridisinggrer picet
la temrit~e
le genvernemant, qu'ucne
parassioa
dmesmp mon'cher
des')ever Oaucon,
nu\
qu'un dsir trop vif des honneures un Be vous aveuglent et ne vous fassent prandte en mettant de honte, partie qni vous couvf!ra!ent au grand talant. Gtaucon 6ris que pour coup sion. O/tMe c~t ~ez{ des ~7)ecs. profitat joure votre c incapasite et votre peut de
des
saies
avis
de Socrate,
et
s'instruire en
et penx
de tout
les jeux ou l'esprit seule ait part, celui des che'cs est le plus honnette de sa nature, le le plus sa\and, et par consquent plus combine. ]e plus d~goe d'un homme penser et qui aiment De rffchire. rcmout ]'onginne. Quelques autenres on crus pour qu'H Fa)Iais en trouver dans Afsy-
tous
Comnenp, aux
son .e.cM~e, riens tienne fait dans les Perses des na!~e les
l'ainvention convienne
Indiins. mritte
constances
Indes,
du
un jeune prince trLs-Mge, mais d'une Aert On essayat en'vain de lui reque rien n'galait. de ses sujets es tontte la prsentez que l'amourr sif'Je, Ces sajes reutontranse ne puissanse du souverin. servire qu' faire prire leur auteur. Un braminc ou philosophe, cette vrite, pour lui ainculqu sans toutefois c'exposer au mme priDe, imajinn:t' le jeu des checs, de toutes pcrtante oii le Roi les pices, pour se dfendre la plus inquoique es inpuisante pour contre ces en-
de ces sujets et de ses solLe monarque tais n avec beaucoup d'esil ce fis lui-mme l'applicassion de cette leon
de conduite, ~il!e, changea et, par la prvint les malheures qui le menaais. La reconnaissanse lui fit laisser au bramine le choix de la rconpense. de gtias de b!ed qu'en pourrais produir le nombre des case de l'chiquier, en douhlants toujours, depuis la premire partie Cetul-ci jusqu'i! calcul la soixante-qatrime, et sans examen sur-Ie-cbemp fait, que tous ne snsait pas pour ~ence qn~l venais de contracter ce qni.lui fus acord mais il se trouva, les trsor et les vaste tat du l'engajement remplir Alors notre philosofe demanda autant
On a valu 1~ somme de ces grains de b!c i')84 ~iUcs, dout ch~citnt; ccn'.iem.Irait i,oi4 g:c-
saisis
cette
occasion
aux rois il inporte les entourent, ftui n'abuse de leur qei'on l'histoir culls, les partis
combien pour lui reprsenter de se tenir en gai de contre feux et combien ils doive creindie e meilleur dans passa intention. Bientt
L'humanite mi devoir
est donc
le preranferme l'a-
p)ace pet!
ptaisir
nombre
et qui souvent ne connaisses qui t'habitte, de bienfaits. dieux qui les conhlent Les trouvais doive et, loin grant des leur que serait pauvre lvassion inutite et sur des la terre, n~aiheureux.
s'i! ne Ils
s'y ne
besoins puMiq~es; qu'aux les peuples il ne sois fais pour eux, faits que pour le peuple. aux grands de remettre le fCMpte ou l'o~phe opprhnment
la protection des lois. La veuve ceux qu'ont foulle et qu'on tam ,tout nin' dan'; chacun JesqueL chaque mesure )
leur pnissan-oe; creddit, acquia )eur elle ne leur est donne c'es eux que pour eux les pteintes et les jmisseport au pied du trne mants de t'opprime des le canal Ils son comme communicassions verain~ pre puisque et le pasteure des peuple le souverin !ni-mnic dea peuple. au-dessus d'eux et de distinction de sa grce. ? Ce! ni qui ne dans ses craDien, et le lieu avec n'es le souque le
ont un droit
comme le vtres, au trapre la peine a ]a misre, i'aRHctioD, et il vailles, ne rserves pour vous que la joie, le repot et l'oils naisses puien.se; pour sounrire, ponr porterie de poid du joure et de la chaicure, pour fournir leurs vos peines, proBusion de )eur~sueures, vos comme pour traner si j'ose insi parl, le char de meaux, deme Pt de votre indotpn~e. Oui, his que Sire, flatte quiconque qui les troinpent plaisirs de villes votre et a auigrau-
les tracrlmit)e))e
la perfidi cellent
La vrite es le prequi les dttnenr. mi hommage leur d'ois. 1) n'y a pas loin de qu'ou la mauvaise foie du Hattcure celle du rebette; on ne tient ne tient plus i'houneure plus a la vritre, La n;mes ds qu'on qui es la base de touts iiifr)mi nui punis la rvotte~ et au devoire,
les devoirs.
devrais blic
tre
destine
ladu)assion la srete puaux luis qui ont omis de la cpnpt auxquels crimine) leur vtit elle dcernent la sacre, de man-
crimmes
foi'j des
de manquer quez
a leur
de
de lldfitc l'ennemi qui veux nous puisque est encore moins creindre que FadduHaperdre teure qui ne cherchent qu'a nous p!aire. se dsir insat)ab)e de.s'lever MaisJ'anbission, ao-dessus vers, qui et sur pique cette les ruinnes le core mmes et ne le des autres; ce
laisse
qui e'i le grau pation des cours, et de toute les agitassions les
jours
rvotussions a l'univers
des
tats,
et
qui
de nouveaux
et a .Jaque) qui est tout, aux encore p!us pernicieux mme. qu'il par y a une nobic le devoir c'est
des
ne joui obscure,
de tien n de
trop
ni de sa prosprit, ni des homils sont empoison mages qu'on lut rant, par seux ni de sa faiui-meme; qu'il es oblij de randrent elle devieut ds qu'il la fau parcommune, veur, il es ni de son repos, tajer avec ses concurrents; mont p))<s haut; malheureu mesure qu'il es d'tre plus oblij souvent des dsirs lionneure insupportable uia)beureu Que de, re-
c'es un Aman, objet tranquitie et de l'envie et qu'un seule public, fuse a sont excessive autorite rand (ui-meme. mais, baseses L'a;ubission elle l'avili le rant
donc
de plus, pour
et le dgradde.
Il faut paratres, non pas parvenire! telle nous souhaitent. es, mais tels qu'on qu'on et !'ou addore Bassesse on encense d'adulation, l'idole de lchete, fau basesse mprise; savoir des debout, des rebu, et les recevoir essuyez bassesses de dissimcomme des grasse; presque soi, et ne penser de sentimant mu)asion, point qu'on les autres; bassesse de dfg!emant, que d'aprs devenir les complices, et -peut-tte )es unnistres des pations de ceux de qui nous demandons, et entrer en part de [cure dsordte, pourpatticippez leur plus srement Illas! s'il pouvais sombre, bizarre, a soi mme, la fin, la graces. d'tre autre et que
ca!aniites,
ncessites
domestiqe et tout les plus noire souci ils serait bien plus (lignent d'excuse, dpgh)edeuiHettt'ammertumme,tedsespoire dans le cure souvent ils en laissait
chappez
mais que les grands, quelque trait au dehors; que les heuren du monde, qui tout ris, et que les jeu et les plaisirs aconpagnes tirez prtande partout, un privillge qui excusent bizarres etieurs )eurschagreins caprices; qu'il leur soient plus permi d'tre fcbeu, inquiets, inabormme dable, parce qu'ils son plus heureu qu'il )egarde comme un dioit acqui h la prosprite d'acablcz encore du pois de leur humeme des tuaiheureut et qui jrnisee dj sous le joug de ieure antoritte Dieu serais-ce donc l de leur puissanse. Grant ie privillje vait usages vrai des grants, ou la punission qu'il fons de la grandeure? du mauCar il es de teurfMcitte
que les caprice et les noirs chagrin senblent tre le partage desgrands, et l'innocense de la joie et )a srnit n'es que pour le peuple. dans t'arTal)b)!ite sa source Mes, qui prend l'bummanite, pas une de ces vertues sups'est perficielles qui ne rsident que sur le visage et de la bont un sentimant qui nais de la tendresse n'es du cure. ne serais plus qu'une insutte et une drision si, en leur pour les malheureux, montrants un visage doux et ouver, elle leur ferL'affabilit
et ne nous rendaient nos entrails, sibles leurs prttes, <)ue pour Mus met ainsensibieateurs peines.
ne le sera-
l'tude? pas par rapport Que peuvent-ils faire de mieux, depuis qu'U son en tat de parlez? Car il fant bien (ju'iis Fasse quelque chose. Je sait cnntinne-t-ii, que, dans tout le temps dont I) s'ajit, ces eufans ne pourront avans pas autant en une seille ann~e. qu'ils le ferons dans la suite, bien, Mais, mettre pourquoi proffis mpriser sette ce petit gein, et ne pas meddiocre
avance, queique aurat ainsi anne Car cette f[uet)e soient? qn'on sur l'enfance celles qui suive, accrotera gagne metteras l'enfant en tat faitte, et, somme totalle d'apprandre cela. I] faut mires mens
feit sans plus de chose qu'il n'aurais donc tcher de ne pas perdre ces pred'autant annes, plus que les commencel'tude et t'on ne demande que autre presque les enfants que de ia sais
de
n'en-man-
encore s'est
une
pratique enfans,
de plier
dans
cette
de les
de les rendre
et plus
de l'esprit. un troisimme, J'en puis agoutez qui n'es pas La Providence moins considrable. a mis dans les une grande curiosite polir une fadHIt~e luerveilleuse nouveau, une itjEnit de chose dont ciffans tout se qui es un
pche sante
souvent
la
a apprandre parler,
ils entandes
imiter les grandes personne, catureUe penchant sur leurs examp)s et se nio~Her et leurs discoms. En diffrant la culture de ces jeune esprit, toutes ces'heureuses renonce prp~as-.ion ieur a don en naissan et, comme que la naturre a ou les oblijent la nature ne peux tre oisive, destomnez \eis lemal ses premires disposissions tines faciliter le bien. ob~ n'ignorais pas qu'on pouvait-lui QuintiHen faiblesse des enf~ns dans les anjecter t'extr;)e ]]es dont par des tendre et dlicat, il s'ajit, et le dangez qu'il y a d'user, des organe efforts ptmaturs encore qu'une coniension un peu forte on
Je n'ai pas, dit-il, pour toujours. pfut dranjer de la faible complexion des si peu de connaissanse les enfants, qu'on doive ds-lors que je prtancle et exigez d'eux une forte applipresser vivement, cassion. Il veut .que ce soit un jeux, et non un un travaille siicu. tude; un ammusemant,etnon On peu teur raconter des histoires agrable, mes
leur
faire
et dont
de petite question on te~r~f~nrnisspnt dont ont les :)iaque s'es de leur tenps pour leur amourde
adroite par }a manire leurs laisser le plaisir l'on fond qu'ils propre
le dsir d'apprandte; inspirer en tenps, mais avec sobnte don de i'emntassioa sans
leurs questions, et toujours rpondre propre re8'user avec justesse et selon la vtite, quelqueils le demunde~ fois de les laisser tudiez quant pour artiSice; contreinte, nission pour augmenter leur ardeure gamais, par cette innocent dans cette ge, la moins car et des la pu
n'employer
et encore travaills,
gouvernante, d'viter
eimer Ftude, peuvent sion par ['amertmnme mires ~/te/annes. et d'tudier n'avait Csar n'en et
qu'ils t~c
ces pref~e~~e!
( .Ru~M
manire
les ~e~.t-~e~M.) Marathon employat Epaminondas n'avais Gonsalves, que que dix milles
vingt-deux
Pharsale, Thmistocle et
Leuctre, lre
Satamis,
r!t!an, d'arme
avais
contre grande
un
cor
Xercs
forc le passage desThermopytes, fendus que par trois cent Grecs m'aeonpagne, Le prince dserteure, vantage dit-il; de T. et voulant de se malheureu
mais que j'ai peu de soldats! chaij de la deffense d'un le sauvez, t'atournat la pice mme qui ds'tait une lettre qu'it avait pendant qu'ils se-
posaient contre lui crite a l'un de ses camarades, rait tous deux en faction, Le JIfrant; bon prince lui donna
un sens absolumant
et, l'homme que tout rendait coupables, sa lettre, gug innocent fus, d'aprs par le conseille suprmes de Madrid. La pitier dictat cette la justice la condamnes, ruse; et, si tasverritede l'humanite il est vraie l'absout. Mais toujours que tout homme qui a de grant intrt confi an papi, par aise. 'est inpardonnable ignordnse. ) J de Basse-Normandie, un armaddes navire en Amrique, qui envoyais avoir une couple de sinje, en fis note au bas un port de s'expos les trahire de /a.E<a~g'Mey~M(./OK/vM~
qu~j) donnais par cri a son capitaine. le cher homme ne savais Malheureusement pas et de plus, les maux crivaient l'orthographe, ~ss ordre il les prononaient. Or, en BMse-Normandie, ait lieu de dir ot<, on prononce o, snnpiemant A votre recoure, Botre homme crivis vous m'acomme Mais comme il n'deux o t~ols s!nae. porterez crivit la quantit mit et qtt'itN'y chififfes, qu'en cela fit 203 singe, point de v!rgu!e, que ]e capide lui rapportez son retour, oblij la rijide exactid'ailleurs parce qu'il connaissais tude de son patron. arriv cette Celui-ci, voyant taine criarde famille, taxa i'dutre d'extravaganse. il n'v par cri Le fut
l'ordre avait capitainne produisi fis L'armateur, dans son depfs, point rpliqu. mais on dit qu'il en fis entuez tous les singes pour rappeler paill deux, au moins savoir l'orthographe.
r
qu'uu
ngociant
doit
La faute ~'0/tO~Op/M~<M. de Genicourt, riche propritaire, Recevant d'un sien )ocatai[re, Aprs l'avoir serjent vivement pour des terme chu une somme d'argent Monsieur comptait gu~e, Surlaqueiitne yjefM content. Au bas de sa ~uitance ecru De cet ortuogra[))Le bizarre Le locataires un peut surprit,
Crut
se Yenge, au moins par le mprit. dit il, votre savoir est rare Certes, devoir tout vos ccu qu'avez-vous Sacliez de moi, monsieur donc apprit?
Avec
fignare,
ainsi Que L'on'crit /!eptt eopn~~M, Parce qu~l faux compt en recevar). Acetpitog<teurr]]id&~ de Gnicourt Monsieur rpondi Votre observassion sans doute graveman es tres-soUde
i guide;
Mais moi, lorsque je prend mon cur pour rcrit, ici j'ai fait l'enploi Et, si du mot content co/;e~< quand C'es que je sui tougours je reois. Uu suffoque, la gcnje. lui disant ordonne, s'crie n'est-ce que tu de nos je Son meiUeur croit, mdecin ne par grammairien un abcs qu'il d ce Ah d'une se
Si voLfs jevous
observe transportez
viennes
A ces et,
grasse la vie.
solcisme,
SCNE
dur &M/e7'
DU
MERCURE
GALANT,
et des adjectifs
f~~M~(7Ki!~ en LA al.
Je voudrais
bien
tre
dans
ce me senblc, une bonne figurre. J'y ferais, en butant, T~ut -rheur, )'ai fats rflexion une bel action. Que je fit autrefois de quoi vivre. j'en aurait La guette es un men que je suis las de suivrent. Mot) capitaine, instruis du courage que geai, ~Ye saurais ce rsoudfes me donc cong. J'en anrage. MERLIN. U fais bien. LA Moruie! s Il est vrai tf pauvre je ne saurais avoir Douez-vous RISSOLE. ma subsistanse. patiense. Si te rot le savais
de guerre, je fus homme que toujours Et brave sur la mre autant que sur la terre. J'eHit ~ur un vaisseau quand Ruyter fut tu, Et j'ai mme sa mort le feux Je fus cherchez Du canon Lui mort, le plus contribu que l'on mis l'ammorces par force. bien des
qui lui fis randre i'me les Hollandai souffrires fond les deux
0)1 Et couiie
viee-am~a/t.
MERLIN. Il faut dir des mnM.(.ice-t!mt'muj';e'tst a LA. Les Nos Nous Yicc-amtraH-c, coups gagname aux donc, ennemi sur eux fure quatres MERLIN. U faut dir fatals et nafa~ LA Les Ayant Ftrc Hjandairpduidu.h~cuit connu prandre qu'en nombres aux ils vaisseaux MERLIN. 11 faut dire ingaux, p~e~au~; I.A EnGu, Les Les aprs honr~ois hmt. gour ce!a nous s'es le terme. c'est. RISSOLE. de tais seigle, inegals ~r~nc~~s. tegle. RISSOLE. ne pouvant des plus nous morjfM, l'ordre.
la iuH.Le
fnmme nons
l'rnvie qu'on
Ilfautdrrer~a&et<;rfM!a&. LA RISSOLE. Oh'dame, M'intrrronpre Frenchemant. MERUN. Pattez Ni~'a<<!t'-c Vontoir p~rte ni r~HMy, iusi s'es bien. non fairent LA Eh! mordie! 1 comment On ne plus une RISSOLE. voul-vous que je dise, 8 dit que point navaux, tout coup, s'es me chUoD jt'Aote~
Mrna~aa.):
sottises.
donc
Si vous Yn~a~,
na~aM~, tout
de bon cur,
pour mieux me faire entandres, me reprandre? devai-vous quant je voit un trigaud et le froit MERLIN. et le cheaud.
ensemble
J'ai Etje
la raison vait
pour moi, qui me fais vous reprandrent, ciatrcjrtiant vn~s le faire cnnprandre. le pluriel fdi(. aux; et se son mes gaux I.A L'usage? RISSOLE. soit, je l'accepte.
eh bien* MERLIN.
sont des maux qu'on rgal, Pour peut qn'on ais de sens et d'rudission On sait que chaque rgle a i'es exccptton .Fa<t! r)a<'a/, rar consquent on vois, par cette
exceptent.
rgle seu]e.
LA. RISSOLE. J'ai des dmangeaisons de te casser MERLIN. Vous? LA Oui, RISSOLE. la g.
Qu'on
moi. Je n'aimes palsandi pas du tout me berce d'un conte dormire tout debout. veut me raill, je donne MERLIN. sur la face.
Lorsqu~o"
Et Toi?
tu croit
occup je t'eu
unne
Tu n'y
faire tous
dpit, deux
tant que
s-t.oi je n'y
qu' v~uL
ton pas
mattre, Lre<
de nnUes voir
soldas
dchete, Rissole avait )fur eut ct.e pato!es. La ou~/aM. LIN. cumba ~tt~~My. lUssate.
en que!
nndroit. j
argent, pays
nomme
Le deviendron,
Adieu,
gucruerfameu
dansas
~J//2e.
Jcm'assiedssurictr~ne, Onmevo~tSHrteP, Jem~tandsurieRhae~ JecouvrESieschatattX, Et, sans tres gourmant, i l'ELle suprme i
JeHairestMgateaut, J'accompagne
Jemarche~vecte~iadmej On me prte sur intrt, Et je domine la fort. mon cbtjr lecteure, Eh bien 'Ne pt~ut-tu me connaitres,
Tans de foies me voyant paraft-res ? Que~u'tm occupait ~n~t/~oM/a, for un jour des nouvelle qui les poiitt.ique. Il a/e/'s tout ce en plaisantant M. l'ab iepondi racontaient ~o/~ot~/eM~ deux It comparais, la gramponr plus srieu que
lu!, ne
et son
qni pas
s'criais connu
ensouppirant: en France.'
~e~
ca/cM~M~
-Bo~Me<
cl'un
C/'Q'?M?KO'MK.
se n'es pas ass d'un bouquet substantife, Quoi' It y faux goindrent cncote un bouquet adjectiie Comment chentcr en verre votre nominatif? Ma Muse n'eus jamaL'i le pouvoife jnitif, nt' fus jamais datif. Apollon madame, un cas accusatife.
mais Phhus, sourt mon vocatife, voulu moi m'a rduit au plu'! triste ablatif. Matgrc un zle positif, en ccheuj.; Agrez Un ~n zle sans ega)e et sans zete qui pour vous Que ne sms je ponr vous d'un verbe tout l~our vous paindre quet point Que ne puis-je vos yem le rendre Eprouvai-!e, Vous-verrez Mou Mes seule autres L'abba M. ses ceu verture "que si/fM que~/<? des de madame mon ardeur au mode comparatif, es un superlatife. assez mon actif, cur es passif?
indicatit'o?' i
inpRratife~
l'optatif. surpassez te subjonctif, respect poure vous gardent son l'infinittf. sentiment tFOlivet FonteneUe qu'il rapporte apporta venais de ayant l'anecdote publi. lu ces l'Acad'ut Queiqu'un mots, ~K&e, de pas allat mettre se aux dirent vuix, en suiveme un de de ['oufai~tut question, aussi-bien et, M. de
prsent, hvre
~c/H&e.
qu'on
la parole) frondt merveilleud'innovassions. A peine finislui fit 'voir la page et la ligne o tait
Pon)t de rponce h la phrase que j'ai rapporte. cela, si ce n'est celle d'un galand homme qui reconnat ses fautes sans b!:<is. bien (1)! latin que je vous c!)e; mais c'est ~ous que j'aime a rcite avec des dvots comme mon hrvire. Voiid Quftqne soit pour nous 1.) tendresse des rois,
Un momcnL leur suCt pour faire un aulre choix.
d'ailleurs auteur, judicieu et Leauts de dtailles, ces exprtions qui sont l'~me de la posie, et qui fon Homre, des Virgile, des Corneiiie, des Tasses, des Racine, des des
a cet
des gens do l'unique rcompense lettres. Eh! qui leur paieras ce tribus, sinon nous, devont qui, courante peu pts la mme carrire, connatie niieux que d'autre la dificult et le plix des ricomme les d'un bon ouvraje. PcrsoHue n'ose chesse avares, de sou
convenireftenchemant sommes
siecie..Nous
qui dise toujours que le temps eht d"rp. Toutes les nation adoucisse la longue la pro-
T!0nc!ashion s'est
des
mots
qui
sont
le
pins
en
usage
ce que les Grecs la diphtongue noncais cement adoucit qu'ont ais; pas, du seizime la langue
comme
il croyoit. On commenat, au deuxime h introsicle, duire dans la langue termes de la philoquelques on exptimet, vers le seizime, sophi d'Aristote, mat par dea termes grecs leur matadfs, bumein, toutes ieur les parties remde. du cops la Quoique depuis Charde l'italien
s'enrichi a)ors du g'ec, et que tangue les VUl elle tir bepucoup de secours dj perfectionne, une consistanse cien latin, dont usage tgle usage usage ont de cependant rgulire. ptaid,
elle n'avait
Fia.ncois
qui n'osait
qu'fts n'entendait pas. On le fianais; fut alors oblig de cuitiv mais la lanni rgulire. La syntaxe tais gue n'tais ui nobbte, au captice. abbandon Le gnie de la conversation langue tant trs tourn fconde ]a plaisanterie, la burlesques langue devint
citoyen,
en expressions
et na'hes,
nobles
de
trouves pour
posi
comiqe,
un d'une
usage
Le gnie car
de cette
et ce gnie le langage
plus prim ou de rejet Le franais toujours ainversions h s'arrange Plusieurs aise s'tait
point aux
de dclinaisons,
asservit
personnes
cru que la langue franle temps d'Amiot et depuis on trouve dans ses auteu-
exprtions qui ne son pas recev;ible, des termes familis pour la plupart, des quivalents. de termes nobles Elle s'est et nerjides chosses,
ont a substitu
ici de l'loquense ques; elle a acquitl'loquense des paroles. S'est dans le sic)e de Louis XIV, comme on l'a dit, que cette a eu son plus grant c)a et que la langue ioqneuse a t fixe. changemants Quelques que le temps et le lui ptpare, les bons ameures des dixcaptice
sicles
serviront
tonput~-
EXERCICES
SUR
LES
PARTICIPES.
accoM~rf~HM
f~M verbe
tre.
voi)a plus brouill que jamais, au contentemant, des rieurs, grand qui tait dj fort afflig de notre tconciliassioa. Je ne doute de ppt'ne, mais pas que cela ne vous fasse beaucoup pour vous montr qne se n'est pas d moi que la es venu, c'es qu'en quelque lieu que vous rupture monsieur, soyez, je vous dclare, que vous n'avez qu'a me mander ce que vous souhait que je fasse pour parvenire un et je ['executteaccort, rai ponctuellement. En fet, ancien, pour se qui est de ses crits contre t~s
de mes amrnis sont persuade beaucoup dans que je n'ai dj que trop enpioy de papi, te8'uter jes ouvrages mes rflexion sur I.ougin, si pleins d'ignoranse, et si indiques d'tre reffut.
ivre d'amour Fompilia, maternel au tempie pour remercier la p!us souvent qu'elle n'y tais venu pour en obtenue
de ses voeux.
En terai
rappelant de l'avoir
Pompilia sauve.
la vie,
je me
flici-
a marque son passage Ses faible ennemi ']a desota~hion. Hersilie e!ie;HersHie!esapomsuiv!)ereret)aiLmme-h Les cpis, la main. couch sur broye coup per~ce;
l'lin aup)s
la terre,
ont
t sont dis-
par les pied des cheveaux a hauteure )curs d'homme, P~po~x de et Cep.onse i'aotre; leur gorges btas
tandu et roidi
sanglan
!!ont)esK'e))tre)ac. Les connu Les petits content. Plus demande Nous les phnomne de prccaossion ne somme pas sont pour. tuieux mervei))eu, tre flatt, reu. mieux obi, plus ils mpchnnt pour graut entoure, st'nt assez pun! quant il sont re-
satue,
se prosterne,
entour, pendant
qui crnyent gagne h notre Les lettre ont t invent I~savatent pou~ s'tre t condamne laiss gouverner
pins mnag, plus cauotie vie, que de ceux et qui la dsirent.. mort, mur aux par parler au yeux.
peines
du Tariare, m-
des hommes
chcntsetartiiiciens.
Participes
accompagns
du
verbe
avoir.
avais
ammen
des la mot
gueni sous
qui ses
ne crei-' ordre. H
d'affiont
mais pas moins de cinq !nii[e~ en partant, le nomles combas prcdent en avait dmiminups bre de prs Les qui mer, gra des denx tait la tiers. suivi Fiance, de cette nation blonde et la
Aitemant entre
habitte dans
l'Allemagne,
nn pays arrose de la Mt'use et du Rhin, en pturage et abondant en bestianx. Les haindus) riens
contre s'y sont fait un renpart la furie, dont souvent ils ont prouve l'Ocan, de leur bien, et par la peite entire par ]e ravage des viles et des province q~)e ces flots ont englouti. Romains! pher c'es pour Dement mais Numa s'crie-t-il, s'tait que a Numa vous m'avez vu trioma ma p)aoe Je lui done ont vainde
bittans
rcompense demande
de trionph~ ma victoir.
de rois ddaigna
tant
tros:ma&He. Les Turcs les Persans vineu, touts ces triomphes cla, ne son pas uottc dfait, qui Antioche nous frappe c'est a
ouvrage
(i79)
en faut atttibuer seu)qn'!) la faim abandonon c'tait qu'il acordantia victoire, j'ai peure Dieu clatant perdon vantages a nous ne soit point que conduir bientt plus si mal nous propos avons reu la gloire. Si nous en nous propos que ces triomphes vain non. Ne qu'un )e F~uit de du ciel avonts faits dcbut, et que tant d'a-
comme nous
et que la fin courone d'hui que les passages esfa\orab)e. Je vous proteste notre
donc g1or!eu
que projet.
le temps
es venus
de cinq
def-
innotnbrabte
de Persan, Soldats
tesrfstaurateure serv
de touts jusqu'ici dans les comLats; vous, a)T:orF ses tendard, chez mises, sagre les cassions ce n'est
a prmer et
et faire nombreuse
vous une
point
pour
en domptant
des peuples
barbare,
et notre saus
pat! le
sommes guerre
crainte nous
et difficile
notre san pour une prise de peu de pas prnd!gus faleure. Le bnt de notre entreprise a t de dlivr la Cit sainte sous et de bris le jong indigne lequelle quits ponr nous une nos neres faible sont acNous aurons assnjties. mais sans avoir rien avanc notre d'avoir premier dessein. Que
gloire, de
['execussion sert-il,
pass la mer avec de si grande force ? Que nous sert d'avoir port dans l'Asie Je uambau d'ade la guerre, si, contents en efet, voir der renvers celui des empire, nous ngligeons dont l'tablissement tait notre de fonprincipal
fut chefs.
bientt
Instruite
du
paru ele\.
et leurs
applaudis~emants
et tranquille; remercie des et, aprs les avoir utile qu'ils lui donnaient il de leur zle, marques ordonat une revue gnrale. pour le lendemain Ceux franmis, de pied iteau vit paratre les premiers furent des qu'on au nombre de dix milles hommes, arm en cap. Ils tait pays, ~enu situe de l'lie cnne de France, rivire.
et spacieu
quatre
Hugues, d'abord;
fire
roi, de
capitaine
d'un
dir mon avantage, que j'ai reo~ ai-je avec des ~eux stoques le tihftte difamatoir a pubtis contre calomnies moi. Quelques me noircir, sur ma quelques personne faux j'ai bruits
semes
pardon
au dplaisire d'un peine ces petite vengeance auteure itriL, qui se voyait attaqu par J'endroit le plus sensible d'ut) pote, je veux'djr par ses ouvfages. Quelques belles que saurait tre content, d'autant qu'en rctoure. Mais cellense et des j'avoue que la traduction a bien daigofjne de mon loges dont el]e que Votre Explus avanant ncessaire soient vos victoire, vous o vous je n'en rendent tes, et
puisqu'ees au pays
vos conqutes,
eDesrecnteut
votre
eu France il n'y a point les avoir faits qui ne voult montre plusieurs en a p.,s un qui et qui ne m'ait de n'en nos ait
Je tes
mcillenrs.crivins; t extrmement,
il n'y frappes,
fait com-
prandre louange,
reut dj
de rcrit
vous des
pareil volunime
de
de prose ou de vers. En efet, notre dispute nni,que ouvrages, miens. _C'est ce que vous m'avez
n'tais
pas
encore d'envoyer
bien
et que
vous
afect
dans
tout
suis au monde;
mes deSaot, mon ge, j'y rapporte mes Inclinassions, mes murs; j'y dis de quel pre et de queue mre je suis u les degrs j'y marque de ma ment fortune, comment j'ai t la cour, com-
des incommodits j'en suis sorti, des ouvrages survenues, que j'ai fait. bien
en assez choses dites petites peu de mots, la pice n'as pas plus de cent trente vers. puisque et je ne l'ai pas Elle n'a pas encore vu le jour, encore mais il me parais mme crite, que tous qui d'aucune Je ne ceux en sont je l'ai tcite, autre de mes ouvrages. saurais, monsieur, assez aussi frapps v vous tmoigne avez de que
de la bonte
permettre crit
qu'on M. Perrault
la lettre
ma dernire
satire.
Je n'ai
jamais
rien
lu qui m'ait
fait
un si
quelques injure que se galant je ne saurais plus lui en vouloir m'ont attires une si honora-
ble apolojie. Jamais cause ne fut si bien'deffendue Tout ma charme, difie dans que la mienne. votre JeHt'e mais, ce qui m'y a touch davantage, c'est cette y dclarez aini. confianse si bien fond que ~ous me croyez laque! vous sincrement votre avec
que Lucilius vivait dans une rppuo ces sortes de libertes peuve tre peril faut que ceux qui pa))e de Certainement et ne pm fort )ns les anciens, des afairB de la cour d~Aupas forts insnuit Hoiace ne se contentent les pas d'appeler n~n; n'aient
il a si peur qu'on les mconnaissent, qu'il a soin (le rapport jusqu' leur surmeti nom faisait qu'ils jusqu'au jusqu'aux charges qu'iis avaient exerce. Les ar's que les homn~es ont invent tournent leur faire leurs besoins, leurs dlices. Vous avez donns des iivres*a Julie; elle ne les satiset a
pour gloire
si chri!
la
H semblait la ville
en me conduisant que !a destine, et malbeureu a fini o l'illustre Rousseau une rooncitiassion dont il tait que nous L'amour accable aurions de la avec m'a tous pain
ses jours, me mnageait lui. L'espce de maladi priv deux l'et de cette galement connotation
souhaites.
sur tous les sujets d'aigremp emporte qu'on avait sems entie nous. Ses tatous, ses malheurs, et ce que j'ai ou] dite de son caractre, ont banni. de mon yeux cur tout tessentiment, et n'ont laisss qu'a son miite. Je m'Imagine me fais la justice de q'i<j le public croire Je peine rque je u'a~r~Is pas beaucoup pondre aux une Hv]e qu'on a publie de contre moi. beaucoup ont inutcs t nouV~Ues que d'tre tir du mouverts
mes
d~S!on
compos long-temps dans le g!o~eu engag emploi qui m'a ti de la po~ie. J'ai deux que )<tiss ici la mme ditions
piue avant
j'y <euds avoir assez fait connatre, qu. Je croyais pat cette ou personne dmarche ne m'obligeait, que ce n'es une esprit de ma!!gn!t point qui m'a fai( ccfire contre ces auteures, et que j'ai t plus Macre h
prface qui tait dans les cause de )a justice ptedentes, a beaucoup d'auteurs que j'ai atta-
n'en a pas M. Perrault gard que mdisait. au bout de jug de ]a sorte. Ce galant hnmme, vingt cinq ans qu'il y d que mes satyres sont imptitnes pour la premire fois, es venu tout coup, et dans veiller faire le temps qu'il ce disait des quer~ttes entirement de mes amis, reet me oublis, que mes ennemi. pour rien les montrer de m-
leur
un ptoos il a compt
raisons que j'ai mis en rimes pour a se moquer n'y a pas de mdisance crits.
m'a apporte une traqu'il a aussi fait de mon ode, et m'a parue si belle, que je n'ai pu Jsuite d'en emicbl)e encore mon
a fait, M. Arnaud, un peu avant de mourir, une dissertation, contre cette prefface, qui est mprimm je ne sais M on vous l'a envoy. des <~ 6~ p/'OnOMMaH~f.
Participes
Puisque le public a t instruit de notre dm~, aussi notre reconciHasil est bon de lui appmndre sion, et de ne lui pas laisse ignorer qu'il en a t de notre quereHe sur le Parnasse, comme de ces duels
d'autrefois,
que la prudence
do roi a si sagement
et outrance, s''retattu ou, aprs rprime; s'tre quetquefois cmeiiement bless l'un et l'autre, ami. sincrement ou s'eu~brassait, et on devenait Ces des sous sont lumes. Nous avions nous sommes cart de !a routte Il se sont que nous tedexions, de i'oe<abiou que j'ai conpose se sontmuhipiies M. Perrault,
et plus que je ne croyais, beaucoup mon livre en deux voque j'ai diviss
commenc
Les mauvaises dus plus Bien ment Les oblig, outrage. La nature qui leurs nuis. Nous quelque proposs Les guerre par
se sont
Insen~bie-
hommes et cessent
baisse de
vers ce a toujours porte les homme a plus et les a teigne de ce qui leur a
point pass de jour sans donn la science que nous nous sommes
se sont courage.
rendu
clbres
dans
la
sommes
amuss
a voir
les
curiosits
Et l'un Ont
quittes
courroux enbras que des dipux s'tre faire prire semblent puises. il t'attent grand et son dessein me semble irrit, s'tre arrt.
!) le voit, Pour
quelque A ce
discours,ccsherosirrjt~ fois se sont en foulle sur moi prcipite. a leur opposer bien
rage.
se sont
m'ont
bieN cuers
les pleurs
que
dans
son
cette je l'ai
main
je t'adorais, accru.
vt't ge sont
ans se sont
honneurs
.E.~erM'c<M'
Mtr
f~tCM/<M Participes.
~MepeMPC/<
Rom~i'~s
avais
cet
orage.
senneas,
f'.)it.
trop la fille
nourriture
qu'avait
Mes
recherche
ont t
\aiae,
Lon
un temdre embrassement. aprs tout le midi de l'Italie, je n'ai de Zoroastre traces ni d'Ana;'s; danger muer qui te menace. J'ai vu
paicouros
pour venir t'assiger ton secours. L'espoire donne la hardiesse de peuple. A peine ai-je b'He c'est ctie et que Lo nous bien dission
se repeuples et j'ai ~o)c dans Rome, Je te faire des allis m'a me prsenter chcs se
dit ces paroles, que toute l'assemde Numa, au secours Marchons commandent. voulu pouvoir adoucire, en cette
J'aurais nouvelle
railleries fortes nn'peu quelque snr Londans mes tOexions qui me sont chappe mais il m'a pa~u que cela serait inutile, gin, cause des deuxdis'.ionsqni l'ont aux-* prcde, quelles Mais, croiriez-vous, comme je l'avais on ne manquerais pour en revenir pas de recourir. au rcit que de pice, est anive ma
monsieur,
la chose et
la rset've qu' de deux petits bcruputes, qu'i). vous a dits et qu'il vous a rptes venu au sujet de ma qui lui taient traiter hardiesse en vers une matire si dlicate, prophtise, I) n'a fait d'Hutertis que 3'cner: Cela f)app est vrai; de ces et vers il a t surtout
cxtrmemet
et qne je lui ai rcite que vous lui aviez pass, dont j'tais capabie. avec toute l'nergie Quelle est donc la raison qui vous a pus inspirer pour moi en cette rencontre? Je commene t'entrevoir pas soupir plus grand et j'ose me atter que je ne vous ferai en la publiant. La bont qu'a eu le prince du monde, avec un en voulant de vos bien que illustres
eu un corps infini de ses actions immortelles; cette permission, dism'a tenue lieu aupisde je, qu'il m'a donne, vous des quahtb qui me manque elle vous a entirement C'est dtermin en ma faveur. ainsi que toute la cour et toute la ville en n'a t mieux rfutes ont jug, et jamais ouvrage que la prface du dvot. Tout le monde voudrait qu'il fut en vie, pour voir ce qu'il du ait en se voyant.si Cette dissertation est le foudroy. de M. Atnauld et j'ai i'honouvrage pnultime neur que s'est par mes louanges que ce grand pera finies, puisque la lettre qu'il a crite a sonnage M. )'errau)t doute est son dernier crit. Vous savez sans que c'est cette lettre et M. Le Verrier honneur, pourra 'Vous faire tenire vous l'ait pos qu'il ne Voil toute l'histoire qui me fait un si grand en a une copie qu'il quand vous voudrez, supbien
plus le nombre
au public. J'aurait bien voulu la lui donner achemais des raisons [rs-secrtes, et dont le lecv teur trouvera bon que je ue l'insttuise m'en pas, Je empchs. le donner hupatfai, malheureux avais d'hui tout ainsi ont ne me serais comme qui pure de pas tant press il es, si ce n'et ties en ont courus. J'en
fragmens us par
ouvrages il m'a
ne seront faites
choqu
pas de leur
vous prtendez lorsque que M. Desn si peu russi quand il a voulu traiter des autre jenre que eeux de la satyre, qu'il de la matice lui conseiller de ouvrages. votre point prface crit que je
d'un
y avoir d'autres
mais
de la promesse pour m'acquitter de vous parler avec la que je vous ai fait d'abord sincrit d'un ami chrtien, qui est sensiblement touche <{ni font de voir toutes cette deux cette division proffession entre deux de s'a est petsonne mer. mais fatre a
bonne
entandue
efforts
que l'on et fait pour dfigurer il n'a pas plutt elle, paru devant
pour Alexandre. qu'elle la reconnue Et je doute que les larmes d'Andromaque eussent faits sur l'esprit de mes spectateurs l'impression qn't Des y ont faites, si elles avait rou)s pour un autie Risque Ceux-uiemes rent peur trouverent srieusement Pnfope pue rsister de qn'e!)e avait d'Hector. euqui s'y taient le plus diverti, n'avoir et pas ris dans les rgles, les qne je n'eusse faue ri) eut. pas song plus celui
mauvais
ne voyant revenir ni lui ni moi, n'aura tant de prtendant son pre l'aura un couve) poux. contraint d'accep:er Balazar est aim des peuples; en possdant les curs, il possde plus de trsors que son pre avait amasss par son avarice cruelle.
Belle leon pour les gens chiches
n'en
Pendant ces derniers temp< combien en a-t-on vu Qui, du so)r au matin, sont pauvre? devenus, Pour vouloir trop tt tre riche! Je ne crois pas que j'cusse besoin de cet exemple pour justiSer le peu detibert d'Euripide, que j'ai pris. Cette maison n'est pas aussi belle que je l'avais
que j'ai
pu.
paraissent et uniquement
privs
de tout
moyen sur
de la.
vivre
enfans )
les yeux
tait
de ne pouvoir n'a-t-il
distinguer
a quatr&
Je vous eu la bont
remercie de faire.
avez
Cent fois je me suis fait une douceur extrme Titus dans un autre lui-mme. D'entretenir J'estime, dont Les sionn La aprs ils ne se sont chalenrs beaucoup disette qu'il que ce sont pas soucis. qu'il a fait cette anne tout, de maladies. y a eu cette anne n'a des pas peu malheudes fautes
ont
occa-.
contribue reux.
a augmenter
le nombre
FIN.
~l\IL''I\AN\
AN'N1.It r.1.
TABLE.
Pag. go JrR~rACt; Orthographe. DesMots. Des Sons. Le son < Lcson/m. OesVo)e])es. Le son Le son~ ](; Il 13 z 4j n 10
L.e son 7. Le son 0.ibid. Le son !7. ~rthographedesConsonnes. Des Finales. Finales en a~se. en <f. u~ t en~on! enoi'~onc/<?.
enoM'
ty ig
23
en o~c< en f;07!
Pag. Finales en ~6M7: en~?~M/z.& cn7ocon. en.Oon.t5~. en !7~t'o?! Rduplication Ce ou Se. Leur ou Leurs.t'&M~. 36 ou Quant. ibid. Demie.-Nue, Nueibid. 38 suppos, vu, attendu, pass. ibid. 5y des Consonnes. ibid. 26 55 25 ibid.
ou Ces.&
Mme.& Du Participe passe. pronominaux. divers d'analyse suivi d'un sur les Verbes pour verbe pronominaux. ibid. 43 44 45 46 48 de e~ 49
et laiss. prcdes
Participes
Pag. Participes ~e~C& Verbesimpersonnels. Participes lesquels Du Participe Homonymes franaise. du Verbe un Verbe prsent. les plus usits de la Langue 55 imaainer, et autres aprs 5~ 53 prcds des mots ~je~j combien, C& 5t
est sous-entenndu.
DEUXIME Exercice Exercice verbe, Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice P' II. Sur l'accord une
PARTIE. des Mots.TTT prposition ou un Sf) go gi g3 Le son c. g4 q6 t. oy go ~oo des Consonnes. 102 jo? ]o4
87
Aprs
est l'infinitif
Exereiee'VIlI.Leson Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice IX. X. XI. XI. XHI. Le son Le son o.
u naL
Orthographe
r.1g,
Exerce Exercice Exercice Exercice Exercice X1Y. XV. XVI. XVII. XVIII. Finales Fmales Finales en en en anse. eur on ezsre. ~o'5 106 1 7 108 iog
ou ire.
Exercice Exercice Exercice Exercice issioia, Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice
eu once en crssio~a,
Atjeci
rs termins
en eu..
des Co~wnl'1(,s.
ExcrciceXXVIIJ.118 EUJ'c1ce Exercice XXIX. XX]X &;9 119 Eo 1:! t "123 is4 125 ibid. 126 12?
ExerciceXXX. Exerc;ceXx.XI.. Exercice Exercico Exercice r-scl'e;ce Exercice XXXt. XXXI1I. XXXIV. XXXV. XXXVI.
r~ Exercice Exercice Ecei cice Exerc'ce Exercice Exercice Exercice Exercice tendu, Exercice Feu oza XXX VII. XXXVIII. XXXIX. X L. XLI. XLII. XI,III. XLIV. pass. XLV. Feue. XLY1. de Thmes. sur ~ye' sur les Par tici pes'accompa gns du 178 des verbes prono185 sur offrir toutes les dimcults que peu1 8~ les Participes accompagnes <.1n 176 Mme. Noms Leui-. Ses or~ Ce ou e. de nombre. Ces. 128 129 ibid. 13o 131 ibid. demie; nu, nue. vu, dt133 i3i+ 135 i3R 139 132
suppos,
Exercicc Recueil Exercices verbe Exercices ~erbo~pot' Exercices minaux. Exercices vent
les Participes
FIN
DE
I.
V TABLE.