Japonais Grammaire L1
Japonais Grammaire L1
Japonais Grammaire L1
Grammaire japonaise
1. Introduction :
La langue japonaise est une langue spciale la diffrence, par exemple, du franais qui tire sa
source des langues dites "romanes", le japonais n'a pas de source connue ce jour, il n'a qu'une
vague ressemblance avec le coren, mais a ne sous-entend pas pour autant une source
commune entre le japonais et le coren.
Le systme d'criture reprend beaucoup de caractres chinois et de mots venant essentiellement
de l'anglais (beaucoup de mots au Japon, avant sont ouverture au monde, n'existaient pas, il fallut
les inventer et donc l'anglais est souvent utilis)
Le japonais est dcompos en trois critures diffrentes :
- Les Kango (Kanji) > idogrammes chinois
-Les Gairaigo (Katakana) > utilis pour les mots trangers
-Les Yamato Kotoba (Hiragana) > pour les mots japonais
2. Gnralits :
La grammaire japonaise a diffrentes particularits :
-La structure des phrases :
(SUJET + COMPLEMENT + VERBE)
ou plus prcisement PREDICAT=(le mot de fin de phrase)
-La lecture aussi est diffrente ( voir plus loin dans la leon)
-Typologie de la langue japonaise : Elle est dite agglutinate > il y a peu de flexion (peu de
conjugaison, peu d'adverbe)
Elle utilise plus d'affixe (suffixe ou particule qui s'attache aux mots principaux)
En japonais il n'y a pas vraiment de personne, il n'y a pas qu'une seule faon de dire "je" (on peut
utiliser son propre nom la place, le statut, watashi, ore...) ce qui est difficile pour nous franais !
Mot retenir : Dictique : Les pronoms personnels, dmonstratifs (ce sont les mots qui montre, qui
dsigne)
-Le systme de politesse vient de l'poque classique du japon (10me sicle)
2.
Phontique :
La pronociation du japonais est relativement simple, c'est une langue dite mores : Les langues
mores sont des langues qui distingue distictement les longueurs des syllabes > 1 more = 1 syllabe
brve !
2 mores = 1 syllabe longue !
Exemple : qui veut dire la "leon" contient trois mores (= 1 more + = 1 more
+ (le "u" cre un allongement de la syllabe, donc il compte comme 1 more supplmentaire !).
et ( shi et chi) sont tous deux des fricatives alvoles ou affriques palatales.
3. Accent (accentuation japonaise) :
En japonais, il y a un accent de hauteur, ainsi que des tons. La voix monte et descend, c'est
important pour comprendre et se faire comprendre en japonais.
Chaque mot un accent et les particules s'ajoute au mot et prennent l'accent du mot.
Ils y a diffrentes catgories d' accents :
-L'accent (0) zro : C'est quand l'accent ne descend pas
Exemple : NI WA + particule WA = NI (le ni est vers le bas) WA (a monte) WA (et la particule
suit. )
L'accent (1) : HO N (le livre) Le HO est plus haut que le -N donc a monte au premier et descend
au second.
Pareil pour le mot TE N KO (le temps qu'il fait) TE monte et -N et KO descendent.
L'accent (2) : TA MA GO (luf) TA descend, Ma monte et GO descend.
Grce ces accents on peut distinguer les mots exemple :
(Ame) avec l'accent (1) veut dire pluie, avec le (0) il veut dire bonbon.
(Hana) avec l'accent (0) veut dire nez, avec l'accent (2) il veut dire fleur.
Leon 1
1. Dpendants et indpendants :
Il y a des mots, en japonais, dit 'dpendants' et 'indpendants' :
Dpendants
Mots variables
Indpendants
Mots invariables
Mots variables
Mots invariables
Auxiliaires
Particules (joshi)
Suffixes (suffixes
flexionnels )
(Jodshi)
Verbes (Dshi)
Noms (Meishi)
Adjectifs (Keiyshi)
Adverbes
Conjonctions
Les verbes et les adjectifs se conjugent.
La particule est dpendante des autres mots.
2.
Particules WA
et MO :
WA attire l'attention sur ce qui suit plut que sur ce qui pr ent.
WA accentu le ransujin desuN dans la phrase.
WA selectionne dans un ensemble une r litN dont on veut parler.
Wa a aussi une fonction d'opposition.
MO est l'inverse de WA, il attire l'attention sur ce qui pr e. Il permet d'ajouter un nouvel
ent N un ensemble, on peut le traduire par (aussi, pas du tout, jusqu'N..).
Exemple :
kono = this
sono = that
ano = that over there
kare = this person
sore = that person
are = that person over there
koko = this place
soko = that place
asoko = that place over there
Ils y a toujours un noms aprs eux.
Ils sont indpendants.
Les pronoms de direction : Kochira/Sochira/Achira c'est une manire moins prcise d'indiquer, par
exemple, un lieu.
La question qui va avec : Dochira
Ie leon ( )
mots autonomes
invariables
(noms)
variables
(verbes, adjectifs)
IIe leon ( )
auxiliaires
()
I. Les dmonstratifs
dterminants
dmonstratifs
pronoms
dmonstratifs
pronoms
dmonstratifs
de lieu
pronoms
dmonstratifs
de direction
ce ci
celui-ci
ici
ce l
celui-l
ce l-bas
l-bas
quel
celui-l
(l-bas)
lequel
cette
direction-ci
cette
direction-l
cette direction
l-bas
quelle
direction
[prdicat / propos]
(ce quon en dit)
Nom2
dtermin
= possession
= genre, espce
= origine
= apposition
Cela peut entraner une ambigut pour certaines expressions :
3. la particule finale
transforme une phrase affirmative en phrase interrogative. Linterrogation peut tre
totale (rponse en oui ou non) ou partielle (rponse ouverte).
a une valeur disjonctive :
IIIe leon ( )
4. la particule
est la particule du sujet.
Elle est employe avec lorsque ce verbe indique lexistence.
5. la particule
introduit le complment de lieu.
Locutions prcisant les rapports dans lespace :
: dans, lintrieur de
: sur, au dessus de
: sous, au dessous de
: de lautre ct, au-del de
: devant
: derrire
: proximit de, prs de
3. ngation
b. la localisation
4. structure contracte
IV. La coordination
Elle utilise principalement deux particules :
1. la particule
sert pour une numration complte. Seul le dernier terme, suivi ou non par , porte
lindication de fonction. ne coordonne que des noms.
2. la particule
sert pour une numration incomplte. ne se rpte pas aprs le dernier terme, qui
est cependant souvent suivi de la particule , qui signifie lexemplarit.
IVe leon ( )
I : notion dexistence dun tre anim
, , permettent de construire des phrases dtat. est un verbe dtat au
mme titre que , et utilise les mmes constructions.
1. expression de lexistence
Structure 1 : LieuNom
dans Lieu il y a Nom
avec
quelque chose
quelquun
quelque part
avec
rien
personne
nulle part
VII. La construction
Dans la structure , la particule insiste sur ce qui suit (le propos). On peut la
remplacer par la particule pour accentuer ce qui prcde (dplacement de
laccentuation).
Par contre, la particule est obligatoire aprs un mot interrogatif (pas de particule ).
Es-tu Japonais ?
Je suis Japonais.
~
Cest par ici quest lEst. ~ LEst est par ici.
(insistance)
(f. suspensive)
Lauxiliaire en position finale porte plusieurs informations pour lensemble de la
phrase (politesse, temps, etc.). Dans la phrase suivante, on observe que la particule
interrogative finale nest indique quune seule fois :
Ve leon ( )
I Lemploi des termes exprimant la quantit, le nombre
Les prcisions concernant la quantit ont une place prfrentielle :
NomAdverbe relatif la quantit
srie
japonais
e1
spcifiques numraux
-nin
-
-ko
-
-ken
-
ik-
-tsu
-
1
2
3
ichi
ni
san
hitofutamit-
hito-ri
futa-ri
yot-
yo-
5
6
shi /
yon
go
roku
10
combie
n
(-gen)
itsumut-
yonrok-
-hon
-hiki -
-hai
ip-pon
-satsu
-
-soku
-
-t
-
is-
it-
sanbon
yon-
(-zoku)
roppon
nana-
shichi / nananana
hachi
yat-
nana-
ku /
ky
j 2
ky-
happon
ky-
jikjuknan(-gen)
jip-pon
jup-pon
nanbon
hak-
kokono kyt
iku
nan
-mai
-
-dai
-
-wa
-
san-ba
yon-
yon-
yon-
yon-
nana-
nana-
nana-
nana-
has-
hat-
ky-
ky-
kuky-
ky-
jisjitjusjutnannan(-zoku)
jip-pa
nan-
nan-ba
VIe leon ( )
I Les adjectifs (keiyshi )
Ex.
1. forme finale (shshikei )
Les adjectifs sont caractriss par leur forme finale . nest quune pure marque
de politesse.
3. forme suspensive en
2. forme dterminante
est la forme dterminante de .
3. forme suspensive en
XIII. pronominal
1. adjectif = adjectif + nom
VIIe leon ( )
I La date et la dure
date
-nen - -gatsu - -nichi -
3
1
2
3
4
5
6
7
ichi
ni
san
shi
yogo
roku
shic
hi
8 hach
i
9 ku /
ky
10 j
11 jich
i
12 jni
14 (24)
17 (27)
19 (29)
20
quel
nan- combien
tsuitachi
futsu-ka
mik-ka
yok-ka
itsu-ka
mui-ka
nano-ka
dure
-nen(kan) -kagetsu -shkan
- -
-
ikyo-
ku-
nan- -
kokonoka
t-ka
futsu-ka
mik-ka
yok-ka
itsu-ka
mui-ka
nano-ka
yonrokshichinanahak-
y-ka
is-
nichi(kan)
-
has-
y-ka
kyjik- jukjik-
jis- jus-
kokonoka
t-ka
nan- -
nan- -
nan- -
jyok-ka
jshichijkuhatsu-ka
nan- nan- -
ototoi
issakujitsu
kin
sakujitsu
ky
konnichi
ashita, asu
mynichi
asatte
mygonichi
-sh -
-getsu -
-nen -
sen- -
kyo- -
kon- -
kon- kotoshi
rai- -
Ces prcisions temporelles, de mme que les quatre saisons (haru , natsu , aki ,
fuyu ), peuvent semployer sans la particule .
1 : 8 : 20 :
XVI. La particule
Elle indique la direction (lieu avec mouvement)
est interchangeable avec , qui indique le lieu avec ou sans mouvement. Dans
certains cas, est mme plus frquent, voir plus correct ().
XVII.
marque le point de dpart, dans lespace comme dans le temps (de, depuis).
marque le point darrive, le point limite dans lespace comme dans le temps (,
jusqu).
VIIIe leon ( )
I Les jours de la semaine
L
M
a
M
e
getsuybi
kaybi
J
V
mokuybi
kinybi
suiybi
doybi
D
?
nichiybi
naniybi
nanybi
Les numraux employs avec -kai - subissent les mmes modifications morphologiques
quavec
-ko. introduit lespace de temps pendant lequel seffectue une action.
2. questions sur les jours de la semaine o lon fait quelque chose
Il existe une lgre diffrence de sens entre les deux expressions. La premire sintresse
aux habitudes de linterlocuteur (les dimanches ordinaires). La deuxime concerne tous
les dimanches.
IXe Leon ( )
I. Lexpression de lheure
heure
-ji
-
1
2
3
4
5
6
7
ichi
ni
san
shi
yogo
roku
shichi
8
9
hachi
ku /
ky
j
10
11 jichi
12 jni
quel
combien
-fun
-
ip-pun
-by
-
san-pun
yon-pun
-jikan
-
dure
-fun(kan)
-
yo-
rop-pun
shichinanahap-pun
shichinana-
idem
-fun
ku-ji
kyjip-pun
jup-pun
jip-pun
nan- -
nan-pun -
nan- nan- -
nan-pun -
Xe Leon ( )
I La forme accomplie des adjectifs
++
Forme ngative :
XX. La forme accomplie des verbes
Fonction attributive
Non-pass
affirmatif familier
poli
ngatif
familier
poli
Pass (accompli)
affirmatif familier
Adjectifs
atsui
atsui desu
atsuku nai
atsuk nai desu
u
arimasen
atsukatta
XXI. La conjecture,
est lauxiliaire de conjecture (forme neutre ) dordre gnral, fonde
sur aucun lment prcis (il me semble que).
1. nom +
Demain, il fera (sans doute) beau.
Cette personne est (certainement, srement)
Chinoise.
Les adverbes et annoncent et renforcent la conjecture.
2. adjectif nominal +
3. adjectif +
4. verbe la forme non-accomplie neutre +
XXIV. Relations
est la particule de relation rciproque. A noter que chigau est un verbe dtat.
Onaji est la base un adjectif, signifie la mme voiture .
XIe Leon ( )
I La base connective des verbes (renykei )
1. les verbes yodan ou godan
-u :
-ku :
-gu :
-su :
-tsu :
-nu :
-bu :
-mu :
-ru :
2. les verbes ichidan
-
kami-ichidan en iru :
shimo-ichidan en eru :
XIIe Leon ( )
I La proposition dterminante
2. , complment de lieu
= en chemin
= la maison est Paris.
= lachat sest fait Paris, la maison peut tre ailleurs.
3. , complment dloignement
4. , complment de relation
indique une relation rciproque dgalit entre llment quil marque et le sujet de la
proposition.
a. action conjointe
XIIIe Leon ( )
I Formes en et en
II Emploi et sens
1. succession dactions
Le dernier verbe porte les marques de politesse et de temps pour lensemble de la phrase.
2. cause ou consquence
3. actions simultanes
4. moyen, manire
XIVe Leon ( )
I Forme ngative des verbes
Ngation = base indtermine (mizenkei ) + auxiliaire
1. les verbes yodan
-ku : , etc.
-u :
kami-ichidan en iru :
shimo-ichidan en eru :
Restez l.
XXVII. La liaison avec
relie deux propositions indpendantes.
XVe Leon ( )
I de citation
La distinction entre discours direct et discours indirect nest pas trs nette :
: les fleurs quon appelle roses , ce quon appelle rose , des roses
insiste sur le moment de laction ( cest quand je suis all [] que jai achet [] ). Il
ne peut pas semployer avec un verbe final dtat.
Lexpression introduit une habitude, une gnralit.
Le verbe daction na aucune valeur temporelle, mais uniquement une valeur aspectuelle
(accompli ou non-accompli).
Au moment de manger, je me lave les mains.
Aprs avoir mang, je me lave les mains.
Ceci est encore plus net si on met la phrase au pass :
Au moment de manger, je me suis lav les mains.
Aprs avoir mang, je me suis lav les mains.
On voit clairement que seul le verbe final donne le temps de la phrase.
XVIe Leon ( )
I La forme en
La forme conclusive des verbes dactions ne permet pas de parler de linstant prsent. Elle
exprime une action future ou une affirmation gnrale (les verbes dtat diffrent).
La forme en , qui caractrise une phrase durative, ne peut pas semployer avec
.
Lexemple suivant montre que la forme en a une valeur aspectuelle plus que
temporelle :
ngation :
La ngation / :
XVIIe Leon ( )
I La forme en exprimant un tat
Exemple des verbes exprimant le fait de mettre un vtement
gnral par le
par le
cravate charpe
haut
bas
mettre
porter
:
lunettes
sur la
tte
par les
doigts
XVIIIe Leon ( )
I Verbes transitifs et intransitifs
verbes intransitifs (jidshi )
sortir
se lever
descendre
steindre
retourner
retourner
monter
pousser
souvrir
se dresser
sattacher, se placer
saligner
entrer, pntrer
monter
descendre
se fermer
commencer
sarrter
se briser, se fendre
mourir
devenir
faire sortir
faire se lever,
rveiller
faire descendre
teindre
renvoyer
rendre
faire monter
faire pousser
ouvrir
lever
attacher, mettre
arranger
insrer, mettre
lever
abaisser
fermer
commencer
arrter
tuer
faire
La forme en dun verbe transitif exprime le rsultat dune action passe. Elle
semploie avec des verbes qui dsignent une action observable, dont le rsultat peut tre
constat. Lobjet logique de laction est not par , et lagent nest pas exprim. Cette
structure sous-entend que quelquun a fait laction a ouvert la fentre , quil la fait
dessein ( On a ouvert la fentre. / On a laiss la fentre ouverte. ).
Il sagit dune forme valeur descriptive demploi limit.
(quelque chose est crit)
Un cadavre pendait , mais la deuxime forme indique clairement que quelquun la
suspendu.
On peut reprendre les constructions vues pour les verbes et :
1. lexistence
2. la localisation
XIXe Leon ( )
I Forme exhortative
1. morphologie :
- verbes godan : radical + :
() ; ; ; ; ; ; ;
;
- verbes ichidan : radical + :
() ;
- verbes irrguliers :
; ()
Dpchons-nous.
Rentrons.
Fixons la chose demain.
Allons-nous descendre la prochaine gare ?
Quallons-nous faire ? Que faire maintenant ?
c. intention :
Reprise du verbe :
XXXI. Forme en
Elle se fixe la base connective du verbe. A la forme conclusive au prsent, elle ne peut
semployer qu la premire personne7.
Avec les verbes transitifs, on peut employer la place de pour souligner lobjet du
dsir :
()
XXe Leon ( )
I La forme conjecturale
1. radical de ladjectif + +
Il sagit dune conjecture base sur lobservation, qui indique que les apparences dun fait
sont runies ( avoir lair de ).
Pour les adjectifs dont le radical ne comporte quune seule syllabe, on insre :
;
Ngation :
Il semble quelle nest pas neuve / Il ne semble pas quelle soit neuve.
Forme dterminante :
2. verbe la forme connective + +
Il sagit dune conjecture subjective fonde sur lapparence, contenant une nuance de
crainte ( tre sur le point de , risquer de ).
Cette forme peut aussi servir exprimer un pronostic sur ce qui peut marriver
(indpendamment de ma volont) :
Ngation de
Jai march sous la pluie, si bien que je me suis enrhum.
2. impression visuelle :
XXIe Leon ( )
I La transmission dune information (denbun ) par
Le locuteur tient linformation dun tiers.
II La forme explicative
Elle transmet lide contenue dans les expressions cest que, il se trouve que, le fait est
que , etc.
XXIIe Leon ( )
I
double prdication
est un adjectif dont la forme dterminante est .
La forme conclusive non-accomplie est lexpression dun dsir. Elle ne sapplique donc
qu la premire personne.
On peut aussi employer la forme verbale (il faut alors utiliser la particule ).
Ne peut semployer dans le sens dune proposition polie, comme en franais : ex.
Dsirez-vous du sucre ? (). Dabord parce que
suppose une forte intimit ; ensuite parce que ce ne serait pas seulement impoli, mais une
faute de langue.
XXXV. La particule conjonctive
relie deux propositions qui saccumulent, sajoutent lune lautre afin dillustrer une
ide gnrale, exprime ou non.
fonctionne un peu comme entre deux phrases. est dailleurs souvent employ
dans une phrase en .
Les deux propositions en expriment la cause de lide gnrale (ici la 3 e proposition) qui
peut tre sous-entendue.