CG Interne
CG Interne
CG Interne
Ce n'est:
Ni une inspection des services, ni un cabinet daudit, ni une structure qui se substitue
aux services
Il nexiste pas dorganisation type du contrle interne des collectivits. Ce dernier est
construit autour dun ensemble de fonctions qui contribuent au processus gnral de
contrle.
Il est rare quune collectivit dispose dun dispositif complet tel que celui dcrit ci-
dessous. En revanche elles ont toutes un systme de contrle interne plus ou moins
labor, cest--dire un ensemble de procdures et de mesures de contrle que lquipe
de direction dfinit, met en place et surveille:
- Conseil juridique
- Audit interne
- Inspection gnrale
- contrle financier
- Conseil et organisation
- contrle comptable
PREMIERE PHASE
Conseil : passer du temps sur cette tape, elle est incontournable, ce n'est qu'une fois la
dmarche acquise dans les esprits que les tapes II, III, IV et V pourront se drouler
avec les moyens qui vont avec.
Mthode: Diffusion dune brochure explicative (ou autre support interne) et prise de
rendez-vous avec les Directions et les services pour un expos est une premire
valuation des besoins.
III. Dfinition prcise de la liste des activits (= missions de services public) des
services.
Mthode:
Mthode:
a/ Formation puis runion de travail courtes avec les responsables. Validation avec la
hirarchie et llu du secteur.
LES OUTILS DU
CONTROLE DE GESTION
Le contrle budgtaire
Le calcul des cots
Les tableaux de bord
La comptabilit analytique
LE CONTROLE BUDGETAIRE
Est une technique qui consiste rapprocher priodiquement les prvisions budgtaires
et les ralisations.
NB : La tenue des tats infra-annuels de contrle des budgets par activit est
grandement facilit par l'usage d'une nomenclature de gestion et l'adoption du vote du
budget en prsentation fonctionnelle... (voir plus loin).
LE CALCUL DES COUTS
LES COUTS INDUITS: En gnral ce sont les cots de fonctionnement gnrs par un
tablissement
Application:
Il est intressant de ne pas les oublier dans lanalyse du cot dun tablissement et den
tenir compte pour toute la dure de vie de ce dernier. De plus, entre les diffrentes
options possibles pour le choix dun investissement, la prise en compte des cots induits
permet dapprcier de manire objective la charge relle que supportera la collectivit,
lment dterminant de la dcision.
LES COUTS CACHES: Cest lensemble des charges dont le cot nest pas identifi de
manire budgtaire, mais que la collectivit supporte du fait de dysfonctionnements ou
de manque de performances:
Erreurs de gestions: - surstock - marchs mal ngocis - emprunts mobiliss trop tt...
A partir des exemples cits indiquer la manire dont ils sont financs l'aide des indications ci-aprs.
Pistes suggres: les travaux en rgie, la communication financire, la politique sociale.
LE CALCUL DES COUTS (en gnral): Charges directes + Charges indirectes (frais de
structure) + Cots cachs = COUT TOTAL
Rem :La prise en compte des charges de structure dans une CT n'est pas trs pertinent
car on a peu ou prou de levier de gestion en la matire. En revanche la prise en compte
des cots cachs et intressante car ils sont couverts par la fiscalit...;-)
LES TABLEAUX DE BORD
Dfinition: Un tableau de bord est un outil de pilotage et de compte rendu permettant au
gestionnaire de ragir en temps rel par rapport un objectif clairement fix.
Cette tape aboutit la production dun petit cahier des charges dcrivant le processus de
fabrication, le circuit de linformation et les tches qui incombent chacun au regard dun
chancier .
IV/ Test du tableau de bord en vrai grandeur et phase de validation tous les niveaux.
LA COMPTABILITE ANALYTIQUE
Le plan comptable gnral dfinit ainsi ses objectifs par rapport la comptabilit
gnrale:
Ceci s'explique par la vocation diffrente de ces deux outils que l'on peut rsumer ainsi:
Informer Analyser
Complte Sectorielle
Annuelle Priodique
Souvent impulse par des consultants bien intentionns, il faut savoir que,
si elle permet effectivement de connatre assez finement les cots, elle est
lourde mettre en place et cote fort chre. En outre elle ne rpond pas
vraiment la problmatique: en effet, quoi cela sert-il de connatre le
cot d'une fiche d'tat civil, ou d'une heure de "service social"?
Cette solution peut largement contenter les besoins d'analyse des collectivits et
le mrite de laisser intacte le systme informatique qui couvrent les besoins
rglementaires : Cette technique est celle de la "Nomenclature de gestion" qui
consiste ouvrir des niveaux plus fin de la nomenclature fonctionnelle M14,
M52... pour y placer les activits propres la collectivit. On s'aidera pour cela de
l'organigramme comme point de dpart et d'un dialogue avec les services pour
nommer les activits. Ceci garantie une relle utilit puisque la nomenclature
refltera au plus prs la ralit du terrain et les besoins d'analyse. La partie
fonctionnelle de la M14, M52 convient tout fait cet usage : la partie
rglementaire reste intacte et la partie dtaille, usage interne, sert les besoins
d'analyses et de ventilations. Laquelle ventilation s'effectue bien entendu au
niveau du pr-mandatement
Il convient ensuite de faire le lien avec l'outil informatique qui acquiert ainsi la
double facette que l'on recherche: rglementaire et gestionnaire. Rendue ce
point on ne saurait que trop conseiller de voter le budget par fonctions et la
prsentation par nature au niveau des comptes deux chiffres. (Voir ce sujet le
CGCT partie rglementaire concernant le budget des communes sur
www.legifrance.gouv.fr)
La cration d'un contrle de gestion interne relve de la stratgie long terme d'une
modernisation de l'administration locale. Non obligatoire, il est cependant lgitim par
l'obligation de performance laquelle sont soumis les services publics. Pour la premire
fois dans son histoire, l'administration est encourage mettre en place ce qu'il convient
d'appeler "un contrle d'opportunit interne priori" volontaire et participatif. Il s'agit
donc bien d'un systme labor ensemble, par l'administration, pour l'administration au
service des dcideurs.
En effet, pour construire le systme il est ncessaire d'adopter les outils de management
participatif que sont la gestion par objectif, l'valuation individuelle, la gestion interne
des comptences, la conduite de runion, la dlgation de responsabilitsetc., qui sont
autant de puissants facteurs de motivation.
3/ Concrtement, les outils mmes du contrle de gestion (la nomenclature de gestion, les
tableaux de bord, l'analyse des cots) ont des rpercussions positives sur
l'administration toute entire : la circulation effective et rgulire de l'information, la
rduction sensible des dlais entre la prise de dcision et sa mise en uvre, une relle
connaissance de l'activit des services sont autant de rponses aux besoins exprims
aujourd'hui St Ouen.
4/ Sur le fond et plus long terme, le contrle de gestion interne est un vritable outil
d'aide la dcision et de prvention du risque.
En effet, l'aide du contrle budgtaire on peut raliser une meilleure allocation des
ressources, la fabrication du budget primitif en un temps beaucoup plus court, ainsi que
la gestion des investissements en AP/CP (Autorisation de Programme/Crdits de
Paiement).
L'accumulation des statistiques issues des tableaux de bord nous permettra ainsi
d'anticiper et de prvoir l'volution de nos services. A titre d'exemple, la ville de x
(respect de l'anonymat) qui a 5 ans de statistiques vote rgulirement son budget au 15
fvrier depuis dj 3 ans.
Ces effet induits ont donc pour consquences de permettre une vritable gestion
prvisionnelle des services publics locaux.
ANNEXE 1
Indicateurs de gestion ils apportent des informations sur les dpenses, les recettes,
lactivit des services ou sur le rythme de certaines oprations.
Indicateurs de moyen terme ils sont destins apporter aux dcideurs, Directeurs ou
services une vision globales de la collectivit, du secteur ou du service considr et de ses
principales activits.
Ils servent apprcier leffet dune politique ou dun service sur les bnficiaires dans le
cadre dune dmarche qualit. Il peut sagir de statistiques classiques mais galement de
rsultats denqute menes auprs de la population ou du groupe dusagers concerns.
EXERCICE :
- la priodicit,
BESOIN Dfinir ici linformation dont on a besoin pour construire le Tableau de bord
DINFORMATION
DEFINITION DE Cest la combinaison des informations qui sexprime le plus souvent en ratios, moyenne ou
LINDICATEUR pourcentage.
REPRESENTATION Dpend de la nature de lindicateur, peut tre visuelle, graphique ou en tableau de chiffres.
Il faut matriser les sources dinformation afin de les fiabiliser et de les automatiser dans un
SOURCES soucis de cohrence globale
DESTINATAIRES Identifie les destinataires et dfini ses besoins sur le fond et la forme.
PERIODICITE Dfini strictement, ce calendrier permet une production rgulire du Tableau.
COLLECTE Qui fait quoi pour collecter et transmettre linformation. Procdure crite.
Dfinition dun seuil dalerte pour lobjectif. Il peut tre quantifi ou subjectif mais il
SEUIL engage ceux qui le dfinissent et fourni un historique. Ex: "Ca va mal". Oui mais depuis
quand?"
ANNEXE 2
ANNEXE 3
LEXIQUE et bibliographie
Activit : c'est le niveau pertinent d'analyse d'une organisation permettant de mettre
en face un objectif et une activit. Ce niveau permet la formulation suivante : "Telle
personne assure telle chose".
Comptabilit Gnrale : ensemble des rgles et procdures qui ont pour objectif
d'enregistrer les diverses oprations de produits et de charges pour dterminer la
rentabilit gnrale de l'entreprise pendant la priode considre (le compte de
rsultat) ou pour prsenter sa situation patrimoniale la clture de l'exercice (le
bilan).
Diagnostic : bilan des forces (pour en tirer partie) et des faiblesses (pour y
remdier) d'une organisation.
Objectif : but, rsultat atteindre et non pas une mission remplir ou une tche
excuter; il rsulte d'une volont : c'est une prvision plus une dcision.
BIBLIOGRAPHIE
Support de cours.
Ed. Dunod
Le champs daction du contrle de gestion externe (qui est, comme son nom ne
lindique pas, un service prestataire interne) toujours sous forme daide la
dcision et de conseils, sexerce principalement dans trois domaines:
N.B.: Les types de services proposs dpendent troitement des besoins des
services et restent spcifiques chaque collectivit. Ce guide se propose de faire
sommairement le tour de la question en proposant quelques illustrations pratiques
et mthodologiques.
Lorsquil sagit de travailler sur les organismes extrieurs qui sont en relations avec
la collectivit on cherchera prvenir les risques financiers et juridiques lis au
surendettement et labsence de compte rendu vis vis des satellites. Cette
dmarche vise garantir le maintien, voir le dveloppement, de ces services
dlgus tout en prmunissant les deux parties des risques lis tel ou tel type de
gestion.
Les formes de contrle utiliss diffrent bien entendue selon le statut et lobjet de
lorganisme considr. Ltendue du contrle (dans les limites lgales) dpendra de
limplication plus ou moins forte de la collectivit envers lorganisme considr.
En tout tat de cause, le premier outil crer en commun est la liste des satellites
avec lesquelles la Ville contractualise en prcisant la nature de ce lien et les
prestations mutuelles qui sont rendues.
une subvention nest jamais attribue doffice elle doit tre sollicite
aider les services valuer les projets des associations sur le plan juridique,
financier et de gestion
Il est par ailleurs important de mieux faire connatre aux services lactivit de ces
socits. En effet, ces derniers ne ralisent pas toujours ltendue de laide et la
valeur ajout que les SEML apportent au service de lintrt gnral local. On
pourra utilement consulter ce titre la Charte de dontologie des SEM ladresse
Internet suivante:
www.fnsem.asso.fr/fnsem/regard/frame.htm
Dassistance:
Dinformation:
Le march public est un contrat par lequel la collectivit se procure une marchandise,
une prestation ou un service. Par rapport lusager, cest la collectivit qui est
lorganisateur du service public et qui encaisse le prix.
La dlgation de service public est un contrat par lequel la collectivit confie
lorganisation du service public un tiers. Ce dernier lexploite ses risques et prils et
est linterlocuteur direct de lusager : cest le dlgataire qui encaisse le prix.
En ce qui concerne le suivi des DSP (concessions, affermages, rgie intresse) on
poursuivra les objectifs suivant en matire de contrle:
Rappel: avant le 1er juin de chaque anne, un rapport dactivit doit tre produit par le
dlgataire, comportant les comptes des oprations et une analyse de la qualit du
service
(loi du 8 janvier 1995 relative aux marchs publics et dlgation de service public - loi
Mazeaud).
Le contrle de gestion peut galement intervenir dans cette matire en tant que
prestataire de service interne:
qui apporte une aide la dcision et des conseils quant au choix du mode de
gestion et qui alerte sur les risques ventuels quant aux solutions envisages
qui aide les services valuer les projets de dlgation sur les plans
juridiques, financiers et de gestion.
le dveloppement de la transparence.
La base de donnes des satellites, par exemple, na pas pour seul vocation de
satisfaire seulement aux obligations de la loi de 1992 1, son intrt est plus large et
reprend les vocations premires dun systme de pilotage et daide la dcision:
savoir une visibilit et une analyse transversale rgulire qui constitue une vritable
assistance aux lus et aux services. Mise jour rgulirement par les services
gestionnaires eux-mmes, cette base de donnes est une source dinformation en
matire de suivi de subvention, suivi des avantages en nature, de garantie
demprunt et dexcution des contrats.
La consultation de lensemble dun dossier est possible ainsi que les recherches
part critres en ce qui concerne llu et le secrtariat gnral. Les services
techniques consultent et mettent jour les avantages en nature attribus aux
associations. Le service finance consulte et valide les budgets, le paiement des
subventions et peut diter facilement les annexes budgtaires. Les services
gestionnaires ralisent la saisie des informations et suivent leurs dossiers et la
prparation de leur budget. Enfin le contrle de gestion peut procder la
vrification des dossiers, des subventions et des avantages en nature en fonction de
critres utiles
En bref, ce type doutil rend la gestion des dossiers plus lisible et par ce fait plus
simple mettre en uvre et estimer. La constitution dune base de donnes
permanente au sein de la collectivit facilite ainsi le travail interne mais galement
la qualit du service externe apport nos satellites et leurs adhrents et usagers.
Par ailleurs si lon souhaite pouvoir extraire des indicateurs il faut savoir que bien
souvent il sagit dagrger des informations qui manent de bases de donnes de
nature et dorigine diffrentes. Il est donc important de runir sur un mme serveur
lensemble des bases de donnes dune collectivit et ce sous un mme standard
sinon la fabrication du moindre indicateur peux se rvler rapidement une tache
monumental.
Il s'agit de rassembler sur une page du serveur Intranet les modles et formulaires
que les services peuvent ensuite utiliser librement pour leur besoins. On retrouvera
ici des modles de contrat (concession, affermage, DSP, conventions associatives),
de dlibration, de procdure (notamment le cahier des procdures), divers cahiers
des charges types, des formulaires (bons comptables, bons de travaux, etc.), des
formulaires d'tat civil, demande de RMI
En outre ce serveur peut constituer le premier pas vers la ralisation d'un entrept
de donnes (Data Warehouse, expliqu en dtail en fin de document car cette outil
ne concerne pas que le contrle de gestion externe proprement parler)
L'analyse du bilan
Le bilan peut tre dfini comme la photographie, la clture de l'exercice, le 31
Dcembre 1997, de la situation patrimoniale de l'entreprise exprim en termes:
d'avoir et de crances, c'est l'actif qui retrace donc l'emploie des ressources,
de dettes, c'est le passif qui montre l'origine des ressources.
A/ La solvabilit
L'tude de la solvabilit permet de rpondre aux question majeures
suivantes:
Ratios Objet
Immobilisation
Amortissements
Ce ratio mesure le degr de vieillissement des
----------------------------------------------- immobilisations productives
Solvabilit
Ressources propres
Ce ratio mesure quelle dprciation moyenne peut
---------------------------- supporter l'actif avant que les tiers soient amens
assumer le risque de l'organisme.
Total du Bilan
Endettement
Performance conomique
Capitaux propres
Stocks
Clients
Fournisseurs
Achats TTC
B/ L'quilibre fnancier
1/ Le fond de roulement
Le financement permanent doit tre suprieur ou gal aux besoins gnrs par les
investissements et le cycle d'exploitation sinon le recours aux financements courts
entrane des frais financiers levs.
3/ La trsorerie
T = FRNG - BFR
Si FR BFR T 0
L'quilibre financier n'est pas ralis, ce qui entrane un recours des emprunts
courts terme (facilit de caisse, billet de trsorerie).
ANNEXE 4
La gestion de fait, diagnostic et remdes
Conditions :
les statuts de lassociation doivent permettre une activit " commerciale "
Respect des dispositions du code des marchs publics : lassociation est un
prestataire comme un autre. Le recours ses services impose une mise en
concurrence conforme au code des marchs publics et aux dispositions de la
loi anticorruption
ANNEXE 5
Le cadre juridique du contrle des associations par les C.T.
L'environnement juridique qui organise les relations collectivits
locales/associations a subi ces dernires annes des mutations significatives, sous
les effet:
I. La capacit de contrle.
Le contrle des associations par les collectivits locales qui allouent des
subventions repose sur un double fondement:
Un encadrement comptable assez prcis
Un pouvoir d'investigation mal dfini.
"Les personnes morales de droit priv non commerantes ayant une activit
conomique dont le nombre de salaris, le montant hors taxes du chiffre d'affaire ou
les ressources et le total du bilan dpassent, pour deux de ces critres, des seuils
fixs par dcret en Conseil d'Etat, doivent tablir chaque anne un bilan, un compte
de rsultat et une annexe. Les modalits d'tablissement de ces documents sont
prciss par dcret;
Ces personnes morales sont tenues de nommer au moins un commissaire aux
comptes choisi sur la liste mentionne l'article 219 de la loi du 24 juillet 1966"
Le chapitre 3 du dcret du 1er mars 1985 fixe les seuil et les modalit suivantes:
Seuil:
Modalits:
Ces pices doivent tre exiges des associations par la collectivit elle-mme, car la
loi ne cre d'obligation qu' son gard.
La production des pices peut intervenir ds la date du dpt du dossier de
demande de subvention , ou ultrieurement, avant tout mandatement de la
subvention accorde.
Il est prcis que la certification peut tre assur par le prsident de l'association,
l'intervention d'un commissaire au comptes agr n'tant pas obligatoire. Toutefois,
dans cette hypothse, le prsident engage sa responsabilit personnelle en
garantissant la rgularit et la sincrit des comptes.
Cette loi impose des obligations comptables certaines associations. Ainsi, toute
association recevant annuellement au moins 1 million de franc de subvention de
l'tat ou d'une collectivit locale est soumise deux obligations:
Cet encadrement comptable, issu des disposition conjugues de la loi ATR et Sapin,
concerne principalement les associations qui reoivent plus de 500 000 F de
subvention d'une mme collectivit. Elles sont donc tenues d'utiliser le plan
comptable 1982, de respecter l'indpendance des exercices, de tenir une
comptabilit d'engagement et d'intgrer leur patrimoine la comptabilit.
NB: Par ailleurs, le principe de libre administration des collectivits locales permet
ces dernires d'dicter leurs propres exigences, ncessaires l'instruction des
demandes de subvention quelque soit le montant de la subvention.
Dans cette esprit il est intressant de proposer une forme de prsentation simplifie
des comptes afin de faciliter et d'unifier le contrle (les associations de petite taille
n'utilisant d'ailleurs que le compte de rsultat simplifi). La collectivit peu donc
utiliser un modle que les associations n'auront plus qu' complter:
ASSOCIATION :
Adresse :
Tl. Responsable :
19.. 19..
Ventes de marchandises
Prestations de service
Collectes
Cotisations
TOTAL I
Achats d'approvisionnement
Rmunrations du personnel
Charges sociales
TOTAL II
Charges financires IV
19 19
Provisions
Immobilisations (1)
Incorporelles
I Corporelles
Terrains
I Constructions
M Inst. tech., Mat., Out.
M Matriel de transport
O Matriel de bureau
B Matriel informatique
I Autres
I Financires
E Titres et participations
Prts
Autres
TOTAL 1
Stocks
A Approvisionnements
C Marchandises
Crances
C Clients
I Etat et collectivits
R Autres
U Disponibilits
L Banque (2)
A Caisse (3)
TOTAL 2
TOTAL 1+2
19 19
19 19
ELEMENTS N N-1
N Rserves
D Rserve statutaire
S Autres rserves
O Report nouveau
Provisions rglementes
TOTAL 1
Emprunts
E
T Dettes
E Dettes fournisseurs
Autres
dettes
TOTAL 2
TOTAL GENERAL
Renvois 1 : annexe 1
complter
Renvoi 10 : annexe 2
complter
ANNEXE COMPTABLE 1
Etat
Rgion
Dpartement du
C.U.
Commune de
Commune de
TOTAL
ANNEXE COMPTABLE 2
AFFECTATION
Excdent : A
Dficit : C
d'acquisition N-1
31.12.N 31.12.N-1
(3)
Caisse
Annexe 6
Lanalyse des risques:
Variation de stocks
Annexe 7
Le compte rendue annuel d'activit des SEM