Introduction:

La plomberie est dfini comme une installation qui comprend des dispositifs,
appareils et canalisations les plus diverses et qui ncessite des techniques parfois
complexes et des ouvriers qualifis.
Par le vocable sanitaire on peut distinguer tous les lments ayant un rapport avec
OK\JLqQHHWOHFRQIRUWGXQEkWLPHQW
/DUWGHODSORPEHULHVDQLWDLUHHVWFHOXLGHFUpHUGHVLQVWDOODWLRQVSHUPHWWDQW

GDVVXUHUHQWRXVSRLQWGXQEkWLPHQWVDQVSROOXWLRQSRVVLEOHXQHDOLPHQWDWLRQHQHDX
de temprature voulue et de dbit suffisant et continu.

dDVVXUHUXQHpYDFXDWLRQUDSLGHGHVHDX[SOXYLDOHVHWGHVHDX[XVpHVFKDUJpHVGH
dchets organiques et autres.

GHPSrFKHUODFFqVGDQVOHVORFDX[GHODLUYLFLpSURYHQDQWGHVpJRXWV
Par ailleurs, une installation sanitaire doit avant tout tre:
+ Salubre (saine et hyginique ) + Silencieuse
+ Commode (pratique, mariable) + Esthtique
+ Robuste (Rsistant et fort ) + conomique
Ce rsultat ne peut tre atteint que par le choix judicieux du schma, du trac, des
DSSDUHLOVGHVPDWpULDX[HWOHVRLQDSSRUWpjOHXUPLVHHQXYUH
I - FDQDOLVDWLRQVGDOLPHQWDWLRQHWGpYDFXDWLRQ
3RXUODGLVWULEXWLRQHWOpYDFXDWLRQGHOHDXRQSHXWXWLOLVHUSRXUOHVJURV
diamtres des canalisations en fonte, amiante ciment, acier, PVC et pour les petits
diamtres des canalisations en acier , en cuivre, et en matire plastiques.
Ces Canalisations doivent tre peu sensibles au choc, au flchissement , la
dilatation, tout en tant facilement dmontable, et doivent tre conues de manire
TXXQHUpSDUDWLRQSXLVVHrWUHHIIHFWXpVDQVDUUrWHUWRXWHODGLVWULEXWLRQHWTXDXFXQH
VWDJQDWLRQVRLWSRVVLEOHORUVTXXQHSDUWLHGXEkWLPHQWHVWKRUVVHUYLFH
II La pose des canalisations
Les canalisations de distribution se posent soit:
a) en apparent sur collier, gches ou crochets FHVWXQHSRVHSHXHVWKpWLTXHHWGLIILFLOH
nettoyer par contre permet le dmontage ventuel. Pour viter la propagation des
EUXLWVGHVFDQDOLVDWLRQVLOHVWSUpIpUDEOHGLQWHUSRVHUXQLVRODQWHQWUHWX\DXHWFROOLHURX
encore utiliser les colliers iso-phonique (lieux publics) ;
b) encastres dans les murs et planchers avec seulement les ttes de la robinetterie
apparente : cette pose est plus esthtique et non accessible, mais les canalisations
ncessites une protection au moment de leur mise en place dans des saignes ou
tranches de la maonnerie par du papier bitumineux pour viter au moment du
rebouchage le contact direct avec le mortier ou le pltre (Appartements) ;

c) places dans des gaines maonnes :la pose est en apparent mais dans des gaines
DYHFGDXWUHVFDQDOLVDWLRQV GHVFHQWHGHDXSOXYLDOHVpYDFXDWLRQVHDX[XVpHVHW
GRWpHVGHWUDSSHVGHYLVLWHSHUPHWWDQWODFFqVDX[URELQHWVSULQFLSDX[ ,PPHXEOHV
III Les canalisations intrieures
*pQpUDOHPHQWOHVFDQDOLVDWLRQVLQWpULHXUHVGDOLPHQWDWLRQRXGpYDFXDWLRQ
GHDXVRQWVRLWHQDFLHUHQFXLYUHRXHQFRUHHQPDWLqUHSODVWLTXH SRO\FKORUXUHGHYLQ\OH
PVC ou PCV: rsine thermoplastique)
III -1 Tubes en cuivre
/HVWXEHVHQFXLYUHFRQYLHQQHQWSRXUOHDXIURLGHHWFKDXGHLOVVRQWIDFLOHVj
PHWWUHHQXYUHHWQHQpFHVVLWHQWTXXQRXWLOODJHUpGXLWHWPRLQVHQFRPEUDQWVHWVRQW
rsistants et lgers.
* Commercialisation : couronnes ou barres de 4.00 ou 6.00 m
* Coupe : scis ou coups au coupe tube
&LQWUDJHVHIDLWjIURLGRXFKDXGJUkFHjORXWLOODJHGHFLQWUDJH
* Assemblage : par soudure au chalumeau ou encore par raccords filets.
III - 2 Tube en acier
&HVWXEHVVRQWSOXVUpVLVWDQWVHWOHXUVPLVHHQXYUHQpFHVVLWHVXQVDYRLU
IDLUH0DLV&RPPHODFLHUVR[\GHIDFLOHPHQWRQSHXW\UHPpGLHUSDUXQHSURWHFWLRQGH
SHLQWXUHpWDQFKHJRXGURQQDJHHQGXLWVRXFRUGRQELWXPLQHX[
Les canalisations en tube fer galvanis (Zingus chaux) sont dsignes par
leurs diamtres intrieurs et extrieurs en millimtres ou par leurs diamtres intrieurs
en pouce. Les canalisations en acier galvaniss sont moins coteuses que celles en
cuivre.
* Commercialisation : barres de 6.00 m (permet de rduire le nombre de joint)
* Coupe : uniquement avec la scie
$VVHPEODJHSDUUDFFRUGVILOHWpV 7pFRXGHPDQFKRQ
ou par soudure

III 3 Tube en P.V.C (polychlorure de vinyle)

Les tubes en P.V.C sont opaques et de couleur beige, grise fonce ou noir, sont
GXQHPSORLEHDXFRXSSOXVSUDWLTXHDXVVLELHQGDQVOHVSDUFRXUVKRUL]RQWDX[TXHSRXU
les parcours verticaux, sont beaucoup moins chres que les autres types de
canalisations, et assure un maximum de scurit et de durabilit et peuvent supporter
XQHWHPSpUDWXUHDOODQWMXVTXDX c .
* Commercialisation : tuyaux rigides, semi rigides et souple selon la
pression de service utilise et de son emplacement.
de 3.00 m 6.00 m selon le diamtre utilis
* Coupe : la scie
* Cintrage : au moyen de tube en caoutchouc enrobant un ressort et
au remplissage au sable sec
$VVHPEODJHSDUHPERvWHPHQWFROOpRXFKDXIIpjODLGHGHVUDFFRUGV
IV - Canalisations extrieures
Les canalisations extrieures ont gnralement de gros diamtres destines
ODOLPHQWDWLRQGHDXSRWDEOHRXjOpYDFXDWLRQGHVHDX[XVpHVHDX[YDQQHVHWHDX[
pluviales, et sont soit en fonte, en amiante ciment, en acier ou encore en PVC.
IV - 1 Tuyaux en fonte
/HVFDQDOLVDWLRQVHQIRQWHVVRQWHPSOR\pHVSDUOHVFDQDOLVDWLRQVGDOLPHQWDWLRQ
principale enterres sous la voirie, dans les galeries souterraines des btiments
,QGXVWULHOV&HW\SHGHFDQDOLVDWLRQHVWGHPRLVHQPRLVXWLOLVpYXHVRQSRLGVHWVD
GLIILFXOWpGHPLVHHQXYUH
* Commercialisation : Tuyaux de 3.00 m
* Coupe : par chalumeau ( chaud)
* Assemblage : par raccords brides interposs par joints en caoutchouc.
IV - 2 Tuyaux en amiante-ciment
Les tuyaux en amiante ciment sont utiliss particulirement pour les
FDQDOLVDWLRQVGDVVDLQLVVHPHQWSRVpVVXUXQOLWGHVDEOHGDQVOHVWUDQFKpHV/HXUV
assemblage se fait par embotement et les joints couverts avec une bande de mortier
formant les bourrelets.
IV - 3 Tuyaux en acier
/HVFDQDOLVDWLRQVHQDFLHUVRQWGXQHPSORLEHDXFRXSSOXVSUDWLTXHHQ
H[WpULHXUHWXWLOLVpHVHQDOLPHQWDWLRQGHDXSRWDEOHXQLTXHPHQW&HVFDQDOLVDWLRQV
VDVVHPEOHQWSDUUDFFRUGVjEULGHVRXSDUEUDVXUHHWOHVMRLQWVVRQWSURWpJpVSDUGHV
feutres bitumineux ou feutres colls.

V - Les appareils sanitaires

/HVDSSDUHLOVVDQLWDLUHVVRQWXWLOLVpHVGDQVOHEkWLPHQWSRXUDVVXUHUOK\JLqQH
SDUOLQWHUPpGLDLUHGHOHDX&HVRQWGHVEDFVGHIRUPHVGLYHUVHVHQIRQFWLRQGHOHXU
XVDJHpTXLSpVGXQGLVSRVLWLIGDOLPHQWDWLRQGHDXHWGHYLGDQJH&HVDSSDUHLOVIRQW
O REMHWGXQHIDEULFDWLRQLQGXVWULHOOHWUqVYDULpHVOHXUPRGqOHVVHGLVWLQJXHQWOHVXQVGHV
autres non seulement par leur nature mais aussi par des caractristiques techniques
FRQQDvWUH$LQVLOHFKRL[GXQDSSDUHLOGpSHQGELHQVRXYHQWGXW\SHGHOHURELQHWWHULHHW
Vice-YHUVD'HQRVMRXUVODVSHFWHVWKpWLTXHGHVDSSDUHLOVVDQLWDLUHVHVWWUqVUHFKHUFKp
FHVWODUDLVRQSRXUODTXHOOHOHPDUFKpSUpVHQWHXQHJUDQGYDULpWpGHFRXOHXUVHWGH
formes pour mieux les adapter leur usage. Les appareils existe en cramique
( faence, grs, porcelaine),en tle maille(appareils des trains) ou encore en acier
LQR[\GDEOH 7LPEUHGRIILFH
Les appareils sanitaires couramment utilises dans la construction sont les
suivant:
a - Les lavabos (Fig. 2)
Des appareils bien connu, il sont placs sur pied ou colonne ou suspende sous
rserve que le mr supporte la fixation, de plus en plus on emploie des vasques
encastrs dans des tablettes en bois, en marbre ou encore en bton. Ces appareils sont
utiliss dans les salles de bain, les toilettes et on peut mme les rencontrer dans bien
GDXWUHOLHX[WHOTXHKDOOHWVpMRXU2QWURXYHDXVVLGHVODYDERVFROOHFWLIVXWLOLVpVGDQV
OHVOLHX[SXEOLFVWHOVXVLQHVpFROHVFDVHUQHVHWF/pWDQFKpLWpHQWUHOHODYDERHWOH
mr doit tre assure par un cordon souple (silicone).
 En cas de pose suspendu, il faut prvoir un joint en caoutchouc entre le lavabo
HWODFRQVROHVXSSRUWDQWODSSDUHLOVDILQGHUpGXLUHODWUDQVPLVVLRQGHVEUXLWV/HV
lavabos sont tous dots de :
- une alimentation en eau (froide et chaude)
- un trop SOHLQSRXUOpYDFXDWLRQGHOH[FqGHQWGHOHDX
- XQGLVSRVLWLIGHYLGDQJHPXQLGXQGLVSRVLWLIGHYLGDQJHFRPSRUWDQWXQH
bonde (bouchon) en caoutchouc relie avec une chanette pour vacuation
GHOHDXXWLOLVpH
b - Les baignoires (Fig. 3)
L aussi, les modles sont trs varis, mais se sont des lments dont le
transport est difficile par suit de leur poids et de leur en encombrement. Les baignoires
sont tous dots de :
- XQHDOLPHQWDWLRQHQHDX IURLGHHWFKDXGHPXQLGXQGLVSRVLWLIGHGRXFKH
avec pomme mobile alimente par tuyaux flexible et un inverseur permettant
GHGLULJHUOHDXPpODQJpHjYRORQWp
- un trop SOHLQSRXUOpYDFXDWLRQGHOH[FqGHQWGHOHDX
- un dispositif de vidange comportant une bonde (bouchon) en caoutchouc
UHOLpHDYHFXQHFKDvQHWWHSRXUpYDFXDWLRQGHOHDXXWLOLVpH

C Les bidets (Fig. 4)

Les bidets sont soit poss sur le sol, soit suspendu sur des consoles ou
FDUUpPHQWSLYRWDQWSRXUpYLWHUOHQFRPEUHPHQW7RXVOHVGLVSRVLWLIVVRQWDQDORJXHVj
ceux des appareils prcits.
d - Les douches (Fig. 5)
,QVWDOODWLRQGXQHGRXFKHHVWPRLQVFRWHXVHTXHFHOOHGXQHEDLJQRLUHV/D
douche est le moyen le plus rapide, le plus simple et le plus hyginique parce que la
GRXFKHXWLOLVHOHDXFRXUDQWH/DGRXFKHHVWFRQVWLWXpHSDUXQUHFHYHXUGHGRXFKH
FDQQHOpHQFDVWUpGDQVOHVROXQPpODQJHXUGRWpGXQWX\DX[IOH[LEOHRXIL[HHWXQH
SRPPHjMHWGHDXUpJODEOHFRPSOpWpSDUGHVVXSSRUWVSHUPHWWDQWODIL[DWLRQj
GLIIpUHQWHVKDXWHXUHWVRXVGLYHUVHVRULHQWDWLRQVDLQVLTXXQVLSKRQSRXUOpYDFXDWLRQ
/HQVHPEOHpWDQWIDFLOHHWUDSLGHjQHWWR\HUWRXWHQH[pFXWDQWXQHOpJqUHSHQWHYHUVOH
receveur de douche. Dans le march, on peut aussi trouver des douches prt
OHPSORLH
e - Les siges des W.C
Les siges des W.C sont en gnral en grs maill en tle maille, en
porcelaine ou en acier inoxydable, on distingue :
e 1 Les siges la turque (Fig. 6)
Ces appareils sanitaires sont plus hyginique et leur usage peut tre faciliter
par la fixation des barres de relevage de chaque ct du sige. Il comprennent une
cuvette avec repose-pieds cannels complts par un siphon indpendant et une
FKDVVHGHDXjUpVHUYRLUHQFpUDPLTXHRXHQSODVWLTXHFRPSRUWDQWXQURELQHW
GDOLPHQWDWLRQjIORWWHXUHWXQGLVSRVLWLIGHIRQFWLRQQHPHQW&HVDSSDUHLOVVHQFDVWUHQW
dans une forme en bton ou une estrade.
e - 2 /HVVLqJHVjODQJODLVH (Fig. 7)
/HVVLqJHVjODQJODLVHFRPSUHQQHQWGHVFXYHWWHVSURIRQGHHQFpUDPLTXH
UHFRXYHUWHVGXQDEDWWDQWHQPDWLqUHSODVWLTXHRXHQFpUDPLTXH,OVRQWVRLWSRVpVVXU
OHVROVRLWVXVSHQGXVPXQLGHFKDVVHVjUpVHUYRLUVKDXWRXEDVGXQHFDSDFLWp
GHQYLURQjOLWUHVDYHFURELQHWjIORWWHXUVHWGHVGLVSRVLWLIVGDPRUoDJHRXFDUUpPHQW
des robinets de chasse ( alimentation en eau sous pression ) pour les lieux public.

f - Les urinoirs (Fig. 8)

Se sont des appareils utiliss dans les lieux publiques tels que coles, cinma,
VWDGHVHWSOXVSUpFLVpPHQWGDQVOHVWRLOHWWHVGHVKRPPHV/HVXULQRLUVVRQWIL[pVDX
PURXSRVpVVXUFRORQQHVVpSDUpVRXQRQSDUGHVpFUDQVSRXUOLQWLPLWpDOLPHQWpVDYHF
robinets poussoir et il sont soit individuels soit collectifs.
g - /HVpYLHUVGHFXLVLQHRXWLPEUHVGRIILFH (Fig. 9)
Les viers de cuisine sont en grs maill, porcelaine, tle maille, acier
LQR[\GDEOHPDWLqUHSODVWLTXHHWF0DLVOHSOXVXWLOLVpHVWODFLHULQR[\GDEOHHQUDLVRQ
GHVRQHQWUHWLHQIDFLOHGHVDOpJqUHWpGHVDPLVHHQXYUHDLVpHWVDVRXSOHVVHTXL
permet de rduire la casse au moment du lavage de vaisselle. Il sont tous dots de :
- une alimentation en eau (froide et chaude);
- un trop SOHLQSRXUOpYDFXDWLRQGHOH[FqGHQWGHOHDX
- un dispositif de vidange comportant une bonde (bouchon) en caoutchouc
UHOLpHDYHFXQHFKDvQHWWHSRXUpYDFXDWLRQGHOHDXXWLOLVpH
/HVpYLHUVVLQVWDOOHQWVXUSDLOODVVHRXFRQVROHDYHFXQHOpJqUHSHQWHGHOHXU
WDEOHVOLVVHVRXFDQQHOpVSRXUSHUPHWWUHXQpFRXOHPHQWIDFLOHGHVJRXWWHVGHDX
provenant de la vaisselle.
VI La Robinetterie

2QDSSHOOHURELQHWODSSDUHLOTXLSHUPHWGHUpJOHURXGLQWHUURPSHjYRORQWpOH
GpELWGHOHDX/HURELQHWHVWXQPpFDQLVPHGRQWODFRPSOH[LWpYDULHVHORQTXLO
FRPPDQGHODSSRUWGHDXIURLGHGHDXFKDXGHRXXQPpODQJHUpJODEOHGHVGHX[/HV
URELQHWVGRLYHQWUpSRQGUHjGHVFULWqUHVGHVWKpWLTXHGHTXDOLWpGpWDQFKpLWp
GHQGXUDQFHHWGDFRXVWLTXH2QGLVWLQJXHOHVFDWpJRULHVVXLYDQWHV
a) Robinet simple : il comporte une seule alimentation, et une seule sortie et grce sa
WrWHRQUqJOHOHGpELW URELQHWGDUURVDJHURELQHWGHSXLVDJH
b) 5RELQHWGDUUrWURELQHWSODFpGDQVOHFRXUDQWGXQHFDQDOLVDWLRQHWFRPPDQGH
le circuit.
c) Robinet mlangeur : il comporte deux alimentations chacune avec un robinet, mais
une seule sortie (soit bec dverseur, soit pomme de douche).
d) Robinet mitigeur : il comporte deux alimentations et une seule sortie, la commande
HVWDVVXUHUSDUXQHVHXOHPDQHWWHHWGRQQHXQPpODQJHGHDXjOD
temprature dsire.
e) Robinet mitigeur thermostatique : analogue au prcdent, il comporte en plus un
dispositif qui permet de rgler et de maintenir la
WHPSpUDWXUHGHOHDXjXQHYDOHXUDIILFKp
f) Robinet de chasse : utilis dans les WC, permet une forte pression, un dbit
important, et une disponibilit immdiate aprs chaque usage.
*pQpUDOHPHQWSODFpGDQVOHVVDQLWDLUHVSXEOLFVFDUFHVWXQH
VROXWLRQDQWLYDQGDOLVPHHWGXQHJUDQGHILDELOLWpHWGpFRQRPLH
GHDX

VII /DGLVWULEXWLRQLQWpULHXUHGHDX
/HDXSRWDEOHHVWGLVWULEXpHjSDUWLUGXQHFDQDOLVDWLRQJpQpUDOHSODFpHVRXVOD
voie publique, quip et entretenue par une compagnie (RADEEO / ONEP). Cela
SHUPHWXQHVXUYHLOODQFHDWWHQWLYHGHODTXDOLWpGHOHDXIRXUQLH
Un rseau interne se compose des lments suivants:

1-%UDQFKHPHQWGHDXJpQpUDOFRQGXLWHDPHQDQWOHDXGXUpVHDXGLVWULEXWHXUDX
FRPSWHXURXURELQHWGDUUrW
2- Compteur gnral SODFpVXUOHEUDQFKHPHQWGHDXJpQpUDOHQUHJLVWUHOD
consommation du branchement.
3- 5RELQHWGDUUrWJpQpUDOSODFpVXUOHEUDQFKHPHQWGHDXJpQpUDOFRPPDQGDQW
ODUULYpHGHOHDXGXEkWLPHQW
4- &RQGXLWHGDOLPHQWDWLRQWRXWWX\DXWUDQVSRUWDQWGHOHDXGHODSSDUHLOGHPHVXUDJH
RXURELQHWGDUUrWjXQDSSDUHLOGXWLOLVDWLRQ
5- Ceinture principale
ou conduite principale 7X\DXGDOOXUHKRUL]RQWDOHSDUWDQWGXFRPSWHXUSULQFLSDOHHW
VXUODTXHOOHVRQWEUDQFKpVOHVSULVHVSDUWLHOOHVGDOLPHQWDWLRQ
des diffrents services.
6- Nourrice 5HQIRUFHPHQWGXGLDPqWUHGXQHWX\DXWHULHGDOLPHQWDWLRQGHDXVXU
laquelle sont groupes des prises partielles des divers services, ainsi que
OHXUVURELQHWVGDUUrWHWGHYLGDQJHDILQGHFHQWUDOLVHUHQXQSRLQWOHXUV
PDQXYUHV
7- Colonne montante FRQGXLWHGDOOXUHYHUWLFDOHEUDQFKpVXUXQHFHLQWXUHSULQFLSDOHRX
une nourrice et sur laquelle sont branches les canalisations
alimentant les tages.
8- Robinet de vidange FHVWXQURELQHWGHSXLVDJHSHUPHWWDQWDSUqVIHUPHWXUHGXQ
URELQHWGDUUrWGpYDFXHUOHVWX\DXWHULHVUHPSOLHVGHDX
9- &HLQWXUHGpWDJHFRQGXLWHGDOOXUHKRUL]RQWDOHpWDEOLHDXQLYHDXGXVRORXSODIRQGHW
alimentant les appareils de cet tage.
10- Distribution dite en parapluie : systme de distribution dans lequel la ceinture
SULQFLSDOHHVWUHSRUWpHjOpWDJHOHSOXVpOHYpGX
btiment. Les colonnes alimentant les diffrents
tages prennent ainsi le nom des colonnes
descendantes.
11- Anti-blier ODUUrWEUXVTXHGXQHFRQGXLWHGHDXHQPRXYHPHQWDPqQHGHVFKRFV
des fois violent. Cette surpression engendre des coups de blier dont on
SHXWGDLOOHXUVOLPLWHUOHVHIIRUWVSDUOHPSORLGXQHERQQHURELQHWWHULHj
fermeture progressive, des diamtres appropris et des coudes allongs.
0DLVFRPPHOHDXHVWLPSpULVVDEOHLOVHSHXWPDOJUpFHVSUpFDXWLRQV
SULVHVGHVYLEUDWLRQVSHUVLVWHQWWRXMRXUVHWTXLOIDXWXWLOLVHUGHVDQWL-
blier. Ce sont des bocaux (vase) tanches connects au rseau, l o
ORQGRLWDPRUWLUOHVFRXSVEpOLHU$OLQWpULHXUGHFHERFDOXQHPHPEUDQH
RXYHVVLHHQFDRXWFKRXFFRPSUHVVLEOH UHPSOLHGDLURXGHOD]RWH
VpSDUDQWOHDXHWODLUSRXUDWWpQXHUOHVFKRFVSURGXLWSDUOHVEUXVTXHV
YDULDWLRQVGHSUHVVLRQGHOHDX

12- 3URGXFWLRQGHDXFKDXGHOHDXFKDXGHVDQLWDLUHHVWXQpOpPHQWQpFHVVDLUHSRXUOH
confort, donc elle doit tre en quantit suffisante et la
bonne temprature avec un cot de production le plus bas
SRVVLEOH3RXUFKDXIIHUOHDXLOIDXWGHOpQHUJLHJD]IXHO
pOHFWULFLWpRXPrPHOpQHUJLHVRODLUH/HDXSHXWrWUH
chauffer instantanment, au fur et mesure de la
FRQVRPPDWLRQVDQVVWRFNDJHGHDXFRPPHHOOHSHXWrWUH
chauffer lentement la temprature dsire grce un
thermostat dans un rservoir.
VIII Evacuation des eaux uses et pluviales
Les eaux vacuer des btiments sont de deux type :
Les eaux uses : sont les eaux ayant servi usage quelconque sont vacues en
dehors des btiments, et se divisent en deux :
eaux vannes : SURYLHQQHQWXQLTXHPHQWGHVFDELQHWGDLVDQFH VLqJHVGH:&
eaux mnagres : proviennent de tout les appareils sanitaires sauf siges de WC
Les eaux pluviales : VRQWOHVHDX[GRULJLQHPpWpRURORJLTXH SOXLH

Terminologie
1 Vidange de siphon : dispositif de petit diamtre recueillant les eaux uses des
DSSDUHLOVSRXUOHVFRQGXLUHDXFROOHFWHXUGDSSDUHLO
2 7X\DX[GHFKXWHGHDXPpQDJqUHFDQDOLVDWLRQYHUWLFDOHVHUYDQWjOpYDFXDWLRQGHV
viers, lavabos, baignoire, bidets, urinoirs et
douche.
3 &ROOHFWHXUVGDSSDUHLOVVDQLWDLUHVFDQDOLVDWLRQGDOOXUHKRUL]RQWDOHUHFXHLOODQWOHV
eaux uses et raccordant les diffrents appareils
sanitaires aux tuyaux de chutes.
4 Boite de branchement : ouvrage de raccordement en bton arm recouvert par un
tampon (regard).
5 7X\DX[GHGHVFHQWHGHDXSOXYLDOHFDQDOLVDWLRQYHUWLFDOHVHUYDQWjOpYDFXDWLRQGHV
eaux de pluie (E.P).
6 Siphon REWXUDWHXUK\GUDXOLTXHGRQWOHU{OHHVWGHPSrFKHUODFRPPXQLFDWLRQGH
ODLUYLFLpGHVpJRXWVDYHFODLUGHVORFDX[KDELWpVVDQVJrQHUSRXUFHOD
OpYDFXDWLRQGHVVROLGHVHWGHVOLTXLGHV
7 *DUGHGHDXKDXWHXUGHDXWHQXHHQUpVHUYHGDQVOHVVLSKRQVHWIRUPDQWIHUPHWXUH
hydraulique.
8 Collecteur principal FDQDOLVDWLRQGDOOXUHKRUL]RQWDOHFROOHFWDQWOHVHDX[GHVFKXWHV
HWGHVFHQWHVSRXUOHVFRQGXLUHjOpJRXWSXEOLF
9 %UDQFKHPHQWGpJRXWFDQDOLVDWLRQKRUL]RQWDOHUHOLDQWOpJRXWSXEOLFjODSURSULpWp
et permettant la visite du collecteur principale.
10 Ventilation primaire SURORQJHPHQWGHVWX\DX[GHVFKXWHVGHDX[XVpHVHQOHV
PHWWDQWHQFRPPXQLFDWLRQOLEUHDYHFODWPRVSKqUHSRXU
IDFLOLWHUOpFRXOHPHQWGHVHDX[XVpHV
11 Ventilation secondaire WX\DXDPHQDQWODLUQpFHVVDLUHSHQGDQWOpYDFXDWLRQHW
HPSrFKDQWODVSLUDWLRQGHODJDUGHGHDXGHVVLSKRQV

SCHEMA DE PRINCIPE DES EVACUATIONS

Chute unique : les eaux mnagres et les eaux vannes sont vacues par la
mme chute.

Chutes spares : les eaux mnagres et les eaux vannes sont vacues par des
chutes spares.

Systme sparatif : les eaux uses sont vacues dans un collecteur et les eaux
pluviales sont vacues dans un autre collecteur.

Systme unique : les eaux uses et les eaux pluviales sont vacues dans un
mme collecteurs.
 SCHEMA DE PRINCIPE DES EVACUATIONS

Systme unitaire Systme sparatif

E.P E.U

E.P E.U

Chutes uniques
gout E.P

gout public unitaire gout E.U

E.P E.M E.V

E.P E.M E.V

Chutes spares
gout E.P

gout public unitaire gout E.U

IX - Calorifugeage

Les canalisations encastres traversant les cloisons, les mrs, les plafonds, et
les planchers doivent tre protges contre la corrosion, le gel, le bruit, et les
dperditions calorifiques (perte de chaleur) pour assurer un maximum de rsistance, un
HQUREDJHLQVRQRUHFDODJHDPRUWLVVHXUGHEUXLWVXQHpWDQFKpLWpH[HPSODLUHetc
Pour cela, plusieurs techniques sont disponibles tels que les feutres
ELWXPLQHX[MXWHGDVSKDOWHWX\DX[FRQFHQWULTXHVDYHFDQWLJHOLVRODWLRQDYHFODLQHGH
YHUUHetc

Bande de calorifugeage
en laine minrale
Les lments de calcul

1 /DSUHVVLRQGRULJLQHGHOHDX :

&HVWODSUHVVLRQGHVHUYLFHSURYHQDQWGHODFRQGXLWHSXEOLTXHVH[SULPHHQ
0&( PqWUHFRORQQHGHDX0&( EDU
2 Longueur de canalisation :

Obtenue par mesurage sur place des canalisations (plan de distribution),

VH[SULPHHQ0/ PqWUHOLQpDLUH
3 Simultanit des puisages :

+\SRWKqVHVGHVLPXOWDQpLWpSRXUOHFDOFXOGHVGpELWVGDOLPHQWDWLRQ ;
OHGpELWVHUYDQWGHEDVHDXFDOFXOGXGLDPqWUHGXQHFDQDOLVDWLRQSRXUOHV
appareils autre que les robinets de chasse est obtenue en multipliant la somme
des dbits minimaux des appareils (Tableau I), par un coefficient . Cette
VLPXOWDQpLWpVHUDLVRQQHSDUWURQoRQHQIRQFWLRQGXQRPEUHGDSSDUHLOVTXXQ
tronon doit desservir.
/RUVTXLOHVWSUpYXXQHDOLPHQWDWLRQSRXUXQHRXSOXVLHXUVPDFKLQHVjODYHU
GDQVOHPrPHKDELWDWLOQHVWSULVHQFRPSWHTXXQHVHXOHGHFHVPDFKLQHVGDQV
le calcul de la somme des dbits des appareils.

0.8 Y : le coefficient de simultanit a appliquer

Y= sur le dbit de base.
x1 x : 1RPEUHGDSSDUHLOVLQVWDOOpV[ 2

4 La Vitesse :

Selon la formule de FLAMANT, ODYLWHVVHGpFRXOHPHQWjSUHQGUHHQFRQVLGpUDWLRQSRXUOHFDOFXOGHV

diamtres est la suivante :

V = 2 m/s : pour les canalisations horizontales en sous sol, RDC

ou vide sanitaire.
V = 1,5 m/s : pour les colonnes montantes.

5 Perte de charges :

3URYLHQWGHVHIIRUWVGHIURWWHPHQWjOLQWpULHXUGHVFDQDOLVDWLRQV

Jm = 0.92 4 V7
10 D5
Jm : Perte de charge
V : Vitesse
D : Diamtre intrieur

6L-Pprvoir un suppresseur
6L-Pcalcul au Jm
6L-Pcalcul la vitesse
6 Le Diamtre :
/HGLDPqWUHHVWFKRLVLVXUODEDTXHGHDARIES en fonction du dbit demand et la vitesse fixe
ou encore, on tablira un avant SURMHWGHGLDPqWUHIL[pDSSURSULpTXRQYpULILHUDHWPRGLILHUDHQIRQFWLRQ
de calcul de perte de charge.

N.B :
&HVGLYHUVpOpPHQWVRQWXQHUHODWLRQHQWUHHX[DLQVLOHGpELWGXQHFRQGXLWHHVWHQIRQFWLRQGHOD
YLWHVVHGHOHDXHWODVHFWLRQGXWX\DXHWODYLWHVVHHOOH-mme est en fonction de la pression.
Mthode de calcul
/DPpWKRGHGHFDOFXOGHVGLDPqWUHVGHVFDQDOLVDWLRQVGDOLPHQWDWLRQFRQVLVWHj :

a) Dterminer les dbits de base par robinet et par appareil sanitaire (l/s) ;
(se rfrer au tableau n I)

b) Dterminer les dbits de base cumuls des appareils par niveau en

partant du haut vers le bas ;

c) 'pWHUPLQHUOHQRPEUHFXPXOpGDSSDUHLOVSDUQLYHDX ;

d) Calculer la simultanit par niveau

0.8
Y= x : 1RPEUHGDSSDUHLOVLQVWDOOpV[ 2
x1

e) Dterminer le dbit probable ou dbit de pointe maximale de consommation par niveau :

Q P = Qb x Y
QP : Dbit probable Qb : Dbit de base Y : Coefficient de simultanit

f) $GRSWHUOHVYLWHVVHVGpFRXOHPHQW :

V = 2 m/s : pour les canalisations horizontales en sous sol, RDC

ou vide sanitaire.
V = 1,5 m/s : pour les colonnes montantes.

g) Dterminer le diamtre thorique intrieur de la canalisation (mm),

SDUWLUGHODEDTXHGHDARIES connaissant le dbit probable et la vitesse
ou le dbit et la perte de charge ;

h) Choisir le diamtre normalis (se rfrer au tableau n II) .

 ',0(16,211(0(17'(6&$1$/,6$7,216'(9$&8$7,21
Mthode de calcul
1 &DOFXOGHVGLDPqWUHVGHVGHVFHQWHVGHDX[SOXYLDOHV :

/HGLDPqWUHGHODGHVFHQWHGHDX[SOXYLDOHVHVWHQIRQFWLRQGHODVXUIDFHGHVVHUYLHHQSODQHW
de la nature de la couverture. Le diamtre minimal des descentes est fix 60 mm. On distingue :

1er Cas &RXYHUWXUHQHFRPSRUWDQWSDVGHUHYrWHPHQWGpWDQFKpLWp WXLOHSODTXHVRQGXOpHVDUGRLVH

Tableau n 3 et Tableau n 4 : Pour les surfaces des terrasses collecter

2eme Cas &RXYHUWXUHFRPSRUWDQWXQUHYrWHPHQWGpWDQFKpLWp pWDQFKpLWpPXOWLFRXFKHVDVSKDOWH

Tableau n 5 et Tableau n 6 : Pour les surfaces des terrasses collecter

2 'pWHUPLQDWLRQGHVGLDPqWUHVGHVFKXWHVGHDX[XVpHV :

/DFKXWHGHVHDX[XVpHVHVWHQIRQFWLRQGXQRPEUHGDSSDUHLOV
desservis : se rfrer au tableau n 2

3 'pWHUPLQDWLRQGXGLDPqWUHGXFROOHFWHXUGHDX[SOXYLDOHV :

Le diamtre du collecteur est dtermin partir du dbit. Le dbit de base prendre en compte
est de 3l/mn/m2 , pour une surface S en plan on a :

Q= S x 3 l/s
60
Pour la valeur du diamtre se rfrer au Tableau n 8

4 'pWHUPLQDWLRQGXGLDPqWUHGXFROOHFWHXUGHDX[XVpHV :

Le diamtre est calcul partir du dbit probable. Ce dernier est fonction des dbits des
diffrents appareils sanitaires desservis et du coefficient de simultanit. Se rfrer au tableau n 1 pour
les dbits de base des appareils

0.8
Y= x : 1RPEUHGDSSDUHLOVLQVWDOOpV[ 5
x1

QP = Qb x Y

QP : Dbit probable Qb : Dbit de base Y : Coefficient de simultanit

Pour dterminer le diamtre des collecteurs des eaux uses en systme sparatif se rfrer au
tableau n 7, dans la cas contraire se rfrer au tableau n 8, en fonction de la pente considre.

Important :
A) /RUVTXRQREWLHQWXQGpELWTXLQHILJXUHSDVGDQVOHVWDEOHDX[1 7 et 8, il faut prendre un
dbit lgrement suprieur celui donn par le calcul pour dterminer le diamtre.

B) Lorsque le calcul donne un diamtre du collecteur infrieur celui de la chute ou descente,

on prend pour diamtre du collecteur celui de la chute ou descente.

5 Dtermination du diamtre du collecteur principal :

Le diamtre du collecteur principal est donn en fonction du dbit global et la pente

considre dans le tableau n 8.
 /HVWXEHVHQFXLYUHV

Faire un collet battu grce

la matrice et la toupie

Couronne de tube en
cuivre Assemblage des tubes en cuivre avec
raccords

Tube en cuivre sci cintrage du tube en cuivre

au coupe - tube

/HVWXEHVHQDFLHU

Raccords en acier

Colliers isophoniques

Parcours horizontale sur colliers

isophoniques

Alimentation en rseau extrieur

 /HVWXEHVHQ39&

Tube en PVC souple (flexible

& extensible)
Raccords en PVC pour alimentation

culotte

Assemblage de tubes en PVC pour Coude 67o Coude 87o

vacuation Raccords en PVC pour
vacuation
/HVWXEHVHQIRQWH &DQDOLVDWLRQHQDPLDQWH
FLPHQW

Assemblage de tuyaux en fonte par

raccords brides

/DVVHPEODJHSDU
embotement

/HVDSSDUHLOVVDQLWDLUHV
'HIRUPHGLYHUVHVHQIRQFWLRQGHOHXUXVDJHLOVDVVXUHQWK\JLqQHSDUOLQWHUPpGLDLUHGHODX

Les lavabos sur colonne

Les vasques encastrer

Les laves mains

Les baignoires hydromassantes

Les diffrentes formes de baignoires selon le
EHVRLQHWOHVSDFH

/pWDQFKpLWpHQWUHODSSDUHLOHWOHPUHVWDVVXUp
par un cordon souple silicone-
 /HVDSSDUHLOVVDQLWDLUHV

Bidet suspendu Bidet pos sur sol La colonne de

douche

Sige pos Sige suspendu

/HVVLqJHVjODQJODLVH

Les receveurs de
douche
Les siges la turque

/HVDSSDUHLOVVDQLWDLUHV

Mcanisme de chasse
GHDX

Les urinoirs collectif

individuel

Les viers de cuisine

 8QHQVHPEOHGDSSDUHLOVVDQLWDLUHVSRXUSHUVRQQHV
invalides quips de barres d'appui tout autour permettant
d'y entrer et d'en sortir en scurit

/D5RELQHWWHULH

Les mlangeurs

Les mitigeurs

Les mitigeurs thermostatique

5RELQHWGDUUrW

5RELQHWGDUURVDJH

Robinet de chasse
 DISTRIBUTION INTERIEURE

Ceintures tages

montante
Colonne
%UDQFKHPHQWGHDXJpQpUDOH
Compteur gnral

Ceinture principale

5RELQHWGDUUrWJpQpUDO

Conduite publique

montantes
Colonnes

Robinets de vidange 5RELQHWVGDUUrW

LA NOURRICE
montante
Colonne

Colonnes descendantes

DISTRIBUTION EN PARAPLUIE
 $QWLEpOLHU

3URGXFWLRQGHDXFKDXGH

Chauffe eau accumulation

Chauffe eau instantan

*DLQHG DpUDWLRQ

9HQWLODWLRQSULPDLUH

9HQWLODWLRQVHFRQGDLUH

9LGDQJHGHVLSKRQ

'HVFHQWHG HDXSOXYLDOH
6LSKRQ

&KXWWHG HDX[XVpHV

&ROOHFWHXUG DSSDUHLOVVDQLWDLUHV

7X\DXGHFKXWHG (8

%RLWHGHEUDQFKHPHQW
UHJDUG

%UDQFKHPHQWG pJRXW &ROOHFWHXUSULQFLSDO

(JRXWSXEOLF

(YDFXDWLRQGHVHDX[XVpHVHWSOXYLDOHV
 &$/25,)8*($*(

Bande de calorifugeage en laine

minrale

L'vacuation d'une salle de bain et

aeration primaire
 shd/KE/E/s/h>>WWZ/>^
Dbits de base des appareils 'LDPqWUHPLQLPXPGHVFKXWHVGHDX[
uses

E

^

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D >

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6DQVUHYrWHPHQWGpWDQFKpLWp
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$YHFUHYrWHPHQWGpWDQFKpLWp

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Dbit minimal des appareils
Y

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