L'Invasion Juive
L'Invasion Juive
L'Invasion Juive
(1) c'était une vieille et ferme croyance répandue dans tout l'Orient, que
l'empire du monde appartiendrait aux hommes partis de la Judée à cette
8 REVUE DU MOXDE CATHOLIQUE
époque. (Suétone, les Douze Céstrs, Vespasien, iv.) Le plus grand nombre
était persuadé que, d'après les anciens livres des prêtres, l'Orient devait/
à cette même époque, remporter sur le reste du monde et que la toute-puis-
sance serait dévolue aux Juifs. (Tacite, Histoires, v-13.)
L'INVASION JUIVE 0
mentaires rabbiniques sur les prophètes. Elles ont été traditionnel-
lement transmises et inculquées dans les esprits de cette nation, et
ainsi se sont préparés de tout temps les Israélites à cet événement,
terme suprême des aspirations de la race juive.
M. l'abbé Chabauty nous apprend que les Orientaux ne cessent
point d'espérer pour un avenir peu éloigné de voir Jérusalem CAPI-
TALE D E TOUTES LES NATIONS sous UN CHEF JUIF. « Pour la première
moitié du dix-neuvième siècle, ajoute-t-il dans son livre, les Juifs,
nos maîtres (page 148), nous avons l'affirmation précise du rabbin
Drach (Juif converti), dont l'autorité en ce point est irrécusable. Voici
ce qu'il nous apprend des idées et des espérances de sa nation et de
ses chefs à cette époque, d'après les enseignements de leurs doc-
trines et de leurs rabbins :
« Le Messie doit être un grand conquérant qui rendra toutes les
nations du monde esclaves des Juifs. Ceux-ci retourneront dans la
Terre-Sainte, triomphants et chargés des richesses enlevées avx
infidèles. L'objet de sa mission sera de délivrer Israël dispersé, de la
ramener dans la Terre-Sainte, d'établir et de consolider un règne
temporel dont la durée sera celle du monde. Toutes les nations alors
seront assujetties aux Juifs, et les Juifs disposeront alors à leur gré
des individus qui les composent et de leurs biens. »
En 1861, M. Crémieux*, depuis membre du gouvernement de la
Défense nationale, garde des sceaux et l'un des alliés de la franc-
maçonnerie, M. Crémieux, président de F Alliance israélite univer-
selle et, par conséquent, porte-parole officiel des Juifs, disait :
<c Israël ne finira pas. Cette petite peuplade, c'est la grandeur de
Dieu... Un messianisme de nouveaux jours doit éclore et se déve-
lopper... Une Jérusalem de nouvel ordre, saintement assise entre
l'Orient et l'Occident, doit se substituer à la double cité des Césars
et des Papes. »
En 1864, un Juif français de Nancy, M. Lévy Bing, écrivait, dans
les Archives Israélites, « qu'il faudrait avoir recours, pour juger les
différends entre nations, à la nation juive qui deviendrait ainsi le
Tribunal suprême et jugeant en dernier ressort (1) ».
(J) M. Ed. Drumont nous apprend, dans la France Juive, que ce Lévy Bing,
auteur de Méditations religieuses, a été incarcéré pour une banqueroute de
douze millions, qui avait un caractère frauduleux et qu'il a été réhabilité
en dehors de tout droit légal.
10 REVUE DU MONDE CATHOLIQUE
II
Non, Si les Juifs ont été honnis de tous, ce n'est point un esprit
de suspicion et d'injustice qui les a fait repousser, c'est leur inso-
ciabilité. Sans doute ils ont été odieux aux chrétiens parce qu'ils
sont le peuple qui a crucifié Jésus, mais ne sont-ils pas également
odieux aux Musulmans, aux Arabes, aux Perses, ne l'étaient-ils pas
aux païens? ne l'étaient-ils pas aux Grecs, aux Égyptiens, aux
Romains ?
C'est la prodigieuse ambition des Juifs, c'est leur religion rétro-
grade et insociable qui les a fait repousser de partout; ce n'est
point la nécessité qui les a rendus commerçants, c'est leur esprit
de lucre; ce n'est point au commerce qu'ils doivent leur fortune^
c'est à l'usure. Qu'ils ne fassent donc retomber que sur eux-mêmes
la responsabilité des persécutions qu'ils ont encourues.
Partout les Juifs ont laissé voir leur haine des peuples et partout
ils ont agi en ennemis, en envahisseurs, en usuriers accapareurs,
accumulant le3 richesses dans leurs coffres et, peu à peu, minant,
comme des termites, toute une contrée jusqu'au jour où, las de leur
misère, les foules se soulevaient contre le Juif.
Nous en appelons là-dessus à un homme de la race juive, au
R, P. Ratisbonne, qui connaît bien ses anciens coreligionnaires :
« Le torts des Juifs et leur malheur, dit-il, c'est de ne pas
ouvrir les yeux sur la cause de ces persécutions séculaires et sans
exemple. On a vu dans le cours des âges bien des peuples devenus
la proie des autres peuples. Mais ces injustes agressions avaient des
bornes; elles ne souillaient que certaines époques et certaines con-
trées; elles ne duraient qu'un temps; elles ne s'accomplissaient pas
simultanément ou alternativement dans tous les pays du monde.
Les persécutions des Juifs ont eu ce double caractère; la perpétuité
et l'universalité. C'est un phénomène unique, qu'on ne saurait
expliquer humainement; il est trop vaste pour le faire sortir d'une
cause restreinte. Si vous l'attribuez à l'intolérance, il faudrait
remonter à la cause de cette intolérance, et non pas en rendre res-
ponsable le catholicisme tout seul; car les mêmes persécutions ont
été incessantes chez les païens, chez les protestants, chez les grecs,
chez les musulmans, en tous temps, en tous lieux, sous toutes les
formes de gouvernement.
« Si l'on ne veut pas ouvrir l'Évangile pour pénétrer ce lugubre
mystère, qu'on lise les prophètes d'Israël. Nous ne citerons que
Moïse : Si vous rendez mon alliance vaine et inutile^ je briserai la
I.'INVASION JUIVE 13
dureté de votre orgueil, le ciel sei*a pour vous comme le fer, et
la terre comme de F airain. Je ravagerai votre pays; je le ren-
drai Fétonnemcnt de vos ennemis mêmes; je vous disperserai
parmi les nations*-. Et s'il en demeure an petit nombre parmi
vous, ils- sécheront au milieu de leurs iniquités, dans la terre de
leurs ennemis, et ils seront accablés d'afflictions, à cause des
péchés de leurs pères et de leurs propres péchés, jusqu'à ce qu'ils
confessent leurs iniquités et celles de leurs ancêtres (1), »
Nous en appelons encore de M. l'abbé Lémann à MM. les abbés
Lémann qui, dans leur brochure, Rome et lez Juifs, ont écrit :
« Israélites de Rome, nous connaissons les aptitudes de notre
nation, si le droit de propriété que vous réclamez vous était
accordé, eh bien! nous en faisons le pari dans trente ans, dans
cinquante ans au plus Rome n'appartiendrait plus aux catholiques,
Rome serait entre.vos mains. »
C'est, précisément cet esprit d'absorption, de domination, d'en-
vahissement qui ne peut avoir pour base et pour moyen que l'usure,
qui a toujours rendu les Juifs odieux. Or, aujourd'hui, cet envahis-
sement est plus formidable que jamais.
Jamais le projet du Juif n'a semblé plus près de l'accomplisse-
ment. En réalité, nous croyons que jamais la fortune juive n'a été
plus considérable et l'audace des Hébreux plus insolente ni plus
perfide, mais les peuples ouvriront les yeux et nous craignons,
hélas! que le châtiment ne soit proportionné à l'attentat. Mille fois
la race juive a été frappée et punie, elle le sera de nouveau, et peut-
être d'une manière terrible.
111
société moderne, mais, ainsi que nous l'avons vu plus haut, n'aban-
donnant jamais leur projet de domination religieuse, intellectuelle
et politique sur tous les peuples et plus riches que jamais, rêvant de
s'arroger toutes les richesses, ils sont une force redoutable et sans
équivalent. Leur-ancienne audace, leur vieil esprit de lucre, leur
instinct usurier, s'aident aujourd'hui de tous les droits que la Révo-
lution a mis entre leurs mains, ils ont mille fois plus de moyens
qu'autrefois de faire fortune et de dominer, ils sont mieux armés
contre nous — qui, en revanche, nous sommes désarmés complète-
ment.
IV
Ce qui|rend la crise nouvelle infiniment plus grave que toutes
celles qui l'ont précédée, c'est quelle a été longuement élaborée par
les Juifs eux-mêmes, c'est eux qui ont inspiré la Révolution de 1789.
Ce peuple a parfaitement compris qu'un formidable obstacle se
dressait devant lui, qu'il s'opposait à son entrée dans la société
moderne et par conséquent à sa marche envahissante, cet obstacle
c'était la religion chrétienne sur laquelle reposaient toutes les insti-
tutions séculaires qui ont créé la civilisation moderne, il fallait dès
lors saper cette base, c'est ce que les Juifs ont fait avec un achar-
nement de sectaire, avec la force latente d'une haine longtemps
concentrée, avec cet élan que donne à l'homme de lucre la perspec-
tive d'un immense butin à conquérir.
Mais pour détruire la religion chrétienne et surtout la religion
catholique, bases de nos sociétés civilisées, il fallait que le Juif dissi-
mulât son jeu, qu'il tît agir les autres sans montrer sa main à bon
droit détestée, il fallait qu'il lançât à l'assaut des troupes autres
que les siennes et qu'il fît tomber la citadelle chrétienne au nom de
la liberté.
C'est ce qu'il a fait.
M. des Mousseaux, dans son livre le Juif, nous a dit :
<( Les cabalistes appellent les Juifs : nos pères dans la foi, et leurs
chefs sont les chefs de la grande association cabalistique connue en
Europe sous le nom de maçonnerie. »
Dans son livre, il prend le Juif déicide à sa sortie de Jérusalem,
emportant, à travers les siècles et les peuples, la malédiction divine,
qu'il a lui-même attirée sur sa tête, il le montre associé depuis
dix-huit siècles à l'œuvre ténébreuse de l'esprit du mal. Successive-
L'INVASION JUIVE 17
ment il nous le fait voir pratiquant les théories gnostiques et les
sortilèges de Simon le Magicien ; astrologue au moyen âge et propa-
gateur des criminelles illusions de la cabale; plus tard, l'inspirateur
de la Franc-Maçonnerie, aujourd'hui fauteur de la libre-pensée.
M. l'abbé Chabauty dit, de son côté, dans les Juifs nos maîtres
(p. 139), « par leur ongue expérience, leur génie naturel, leurs
richesses inépuisables, l'habileté et l'adresse de leurs agents immé-
diats, les Juifs ont pu s'emparer de la Franc-Maçonnerie, de toutes
ses branches et affermir leur domination absolue sur le monde entier
des associations occultes.
L'invasion a donc commencé par la Franc-Maçonnerie, les Juifs
se sont peu à peu emparés de cette société secrète, et ils l'ont
dirigée à leur gré quoique restant dans Fombre, et ce n'est que
par quelques révélations involontaires que Ton est parvenu à
connaître leur rôle occulte, mais prépondérant dans cette association.
M. des Mousseaux nous assure de source certaine que le conseil
souverain de la Franc-Maçonnerie se compose de neuf individus,
iont cinq au moins doivent être de nationalité judaïque.
Après cela, il importe peu que les Juifs aient longtemps été
exclus de certaines loges, ils avaient les leurs, ils ne s'opposaient
pa3 directement à leur exclusion de grades inférieurs, ils se réser-
vaient la direction, sachant bien qu'un jour viendrait où ils vaincraient
les répugnauces de leurs dupes de la petite Franc-Maçonnerie. En
effet, aujourd'hui le Juif est entré dans toutes les loges.
Le grand moteur, le bélier dont se servent les Juifs pour abattre
le christianisme, sous ses diverses formes ou du moins pour le
frapper sans cesse", espérant un événement qui arrivera sans doute
en même temps que leur Messie, cet instrument puissant de
destruction se nomme la Franc-Maçonnerie.
« L'origine juive de la Maçonnerie est manifeste, dit M. Drumont,
et les Juifs ne peuvent être accusés de beaucoup de dissimulation
dans cette circonstance. Jamais but plus clair, en effet, ne fut
indiqué sous une plus transparente allégorie. 11 a fallu toute l'ingé-
nuité des chrétiens pour ne pas comprendre qu'en les conviant à
s'unir pour Tenverser l'ancienne société et reeonstruire le temple de
Salomon, on les conviait à assurer le triomphe d'Israël.
« Ouvrez n'importe quel rituel, et tout vous parle de la Judée :
Kadosch, le plus haut grade de la Franc-Maçonnerie, veut dire
saint, en hébreu. Le chandelier à sept branches, l'Arche d'alliance»
1" JANVIER (N° 43). 4° S É R I E . T. I X . 2
18 BEVUE DU MONDE CATHOLIQUE
(1) L'emploi du bois de sétim ou d'acacia est prescrit par Moïse pour la
construction du tabernacle et de l'arche d'alliance.
L'INVASION JUIVE 19
suivante : Juif de Nazareth conduit par Raphaël en Judée, interpré-
tation qui ne fait plus de Jésus-Christ qu'un Juif ordinaire emmené
par le Juif Raphaël à Jérusalem pour y être puni de ses crimes.
« Dès que les réponses de l'aspirant ont prouvé qu'il connaît le
sens maçonnique de l'inscription INRI, le vénérable s'écrie : MES
FRÈRES, LA PAROLE E S T RETROUVÉE 1 et tous applaudissent à ce trait de
lumière par lequel le .-. Frère leur apprend que celui dont la' mort
est le grand mystère de la religion chrétienne ne fut qu'un simple
Juif crucifié pour des crimes. De peur que cette explication ne
s'efface de leur mémoire, de peur que toute la haine dont elle les
anime contre le Christ ne s'éteigne dans leur cœur, il faudra que
sans cesse ils l'aient présente à leur esprit. Le maçon Rose-Croix la
redira lorsqu'il rencontrera un frère de son grade, c'est à ce mot
INRI qu'ils se reconnaîtront. Les mots de passe franc-maçonnique
sont Judas et Benjamin, le grand mot de passe Schibboleth est une
indication plus significative et plus expressive encore. 11 rappelle ce
passage du chapitre xn des Juges que les gens de Galaad menacèrent
au passage du Jourdain ceux d'Ephraïm qui ne pouvaient bien pro-
noncer le mot Schibboleth. Les Juifs ont fait, de ce sinistre souvenir,
une menace pour quiconque n'est pas des leurs. »
Ce sont là des preuves certaines, indéniables de l'origine Juive de
la Franc-Maçonnerie.
En France, en Allemagne, en Angleterre, aux États-Unis, à Rome,
il existait et il existe encore des loges exclusivement juives.
« A Rome, nous dit M. Chabauty (p. 133), il existe une loge
entièrement composé de Juifs, où se réunissent tous les fils des
trames révolutionnaires ourdies dans les loges chrétiennes. Cette
loge est le tribunal suprême de la Révolution. De là sont dirigées
les autres loges, comme par des chefs secrets; de sorte que la
plupart des. révolutionnaires chrétiens ne sont que des marionnettes
aveugles mises .en mouvement par des Juifs, au moyen du mys-
tère. »
« En 1781, écrit M. l'abbé Lémann, dans son livre : l'Entrée des
Israélites dans la Société française, une assemblée clandestine se
tenait à Wilhemsbad, à trois lieues de Francfort-sur-le-Mein; elle
devait prendre dans l'histoire le nom de couvent de Wilhemsbad.
A ce convent, toutes les sociétés secrètes se trouvent réunies. Elles
sont appelées, d'un bout de la terre à l'autre, comme des oiseaux
sinistres auxquels on aurait fait comprendre que le cadavre de
20 REVUE OU MONDE CATHOLIQUE
entrave tous les efforts du gouvernement impérial, que les Juifs ont
également accaparé la presse prussienne.
MM. les abbés Lémann, dans Rome et les Juifs, brochure écrite
en 1S73, disent qu'à cette époque, les trois journaux ministériels en
Italie : TOpinione, la Liberia, la Nuova Roma, appartenaient aux
Juifs, c'est-à-dire à MM. Dina, Arbib et Lévi, et que ces journaux
n'ont jamais cessé de déverser l'injure et la calomnie sur le Pape,
sur les prêtres et sur la religion. Pie IX disait d'eux : ils dirigent
contre moi toute la presse révolutionnaire. MM. Lémann ajoutent
(p. 28), que l élément juif s'est fondé avec télément révolution-
naire en Autriche et en Italie, et MM. les abbés Lémann, qui
connaissent bien leurs anciens coreligionnaires, nous tracent ce
tableau de la démocratie romaine :
« A part M. Alatri et quelques autres noms honorables, nous
avons trouvé toute la communauté juive de Rome sous le poids de
la réprobation publique. Nous croyons, nous, que c'est une minorité
turbulente, révolutionnaire, qui fait loi au Ghetto. Mais pourquoi la
majorité honnête n'a-t-elle pas protesté? En laissant faire, elle se
montre intéressée au crime. On nous a résumé ainsi la triste situa-
tion de Rome : « Ce qui forme la populace, le bas peuple, parmi les
« Israélites» est disposé à tous les coups de main. On compte
u actuellement, dans les murs de Ptome, de huit à dix mille individus
« régulièrement payés par l'Internationale, pour qu'ils se tiennent
« prêts à tout entreprendre aussitôt qu'un ordre leur est envoyé. Ils
« sont toujours prêts; la paie régulière les tient en laisse. Or,
« parmi ces huit ou dix mille individus, figurent beaucoup de Juifs;
« ceux qui forment la lie du Ghetto. Ceux-là allient au mépris de
« l'ordre social la haine du christianisme innée dans leur cœur.
« C'est tout ce qu'il y a de plus bas. Aussi les Israélites honnêtes
« gémissent de leur présence et de leur solidarité! »
Le tableau de la démocratie romaine qu'on vient de voir, est
celui de l'Europe tout entière. Partout et toujours une minorité
turbulente et criminelle conduit une tourbe plus ou moins compacte
dans laquelle grouillent tous les éléments malsains de la société,
hommes vicieux, repris de justice, ivrognes, coquins, fous, tout le
rebut du mode, gens prêts à tout et qui exécutent tous les ordres
qu'un pouvoir occulte leur transmet.
Or, ce pouvoir occulte, nous venons de le voir, est composé de
Juifs et mené par les Juifs.
L'INVASION JUIVE 25
Aveugle, qui ne le voit pas; faible d'esprit, qui ne peut le com-
prendre.
V
Nous avons voudu montrer l'ambition maladive, insensée du Juif,
son esprit rétrograde en face de la Religion civilisatrice, sa haine
toujours persistante, son orgueil injustifiable, nous avons fait voir ce
peuple ennemi de tous les peuples, détesté de tous à cause de son
instinct oppresseur, de ses habitudes usurières et de sa marche
envahissante; nous avons vu que l'Église catholique l'a toujours
traité avec mansuétude, se bornant à circonscrire son action et à
protéger la catholicité contre ses entreprises. Nous avons vu que les
rois, chaque fois qu'ils ont laissé le Juif s'installer dans une province
ou dans un État, ont dù bientôt le chasser ou lui faire rendre gorge.
La crise actuelle n'aurait donc rien de plus redoutable ni de plus
anormal que les autres, si un fait nouveau ne s'était produit dans le
monde : les Juifs ont renversé l'obstacle qui arrêtait leur invasion;
eux-mêmes ils ont détruit les remparts qu'on leur opposait et les
voilà nos maîtres, car nous ne pouvons plus nous défendre. Ils
dirigent depuis un siècle la Révolution en Europe, et en France ils
sont au pouvoir.
Il nous reste à constater la force de leur invasion en France et à
mesurer l'étendue de ce désastre national.
Hélas 1 c'est bien une invasion, car en 1791 nous n'avions qu'un
petit nombre de Juifs sur notre territoire, ils étaient quelques cen-
taines et les voilà plus de 60,000, 100,000. peut-être. C'est une
autre race, regardez leurs visages; c'est une autre langue, ce sont
d'autres moeurs, ce sont d'autres noms durs à prononcer et qui
semblent barbares aux oreilles françaises. D'où viennent-ils ? Qui le
sait? Les uns de Hongrie, les autres de Pologne, ceux-ci de Franc-
fort, ceux-là de Hambourg; ceux-ci de Rome et ceux-là de Portugal;
ils sont partis de tous les points du globe comme pour prendre
possession d'un pays conquis par eux.
Ils entraient, en 1791, par longues bandes affamées; en 1793, ils
étaient déjà nombreux, peut-être étaient-ils attirés comme des
oiseaux de proie par l'odeur du sang chrétien qui coulait sur les
guillotines, et certainement par la perspective de trafiquer des
dépouilles de la noblesse et du clergé, et d'acheter leurs biens boa
marché pour les revendre cher.
24 REVUE DU MONDE CATHOLIQUE
VI
VII
(1) M. Ed. Drumont pense que M. Paul Bert était d'origine juive et
Allemand.
L'INVASION JUIVE Sî
Juif Dreyfus. La Paix est au Juif Dreyfus. Le Journal officiel est
imprimé par le Juif Wittersheim. Le Grand Journal a été fondé par
le Juif David. La Police illustrée, par le Juif Meyer. Le Rappel est
le journal des Juifs Meurice et Lockroy, celui-ci actuellement
ministre du commerce et chargé d'organiser la grande manifestation
du centenaire de 1789.
Le XIX" Siècle a été fondé par une société dans laquelle figurent
deux Juifs, MM.Cernuschi et Crémieux et de nombreux francs-
maçons.
La Ligue, de M. Andrieux, l'exécuteur de l'article 7 contre les
religieux, a été créée par le Juif Crémieux.
Il existe dans le Ghetto de la rue du Croissant de véritables
fabriques de journaux radicaux, libres penseurs, antireligieux.
Ces feuilles sont créées, éditées, mises en vente par les Juifs
Dreyfus, Strauss, Madré, Simon Heymann, e t c . .
On est vraiment effrayé du nombre de ces journaux et de leur
variété, ce sont : la Caricature, le Tam-Tam, la République illus-
trée, le Journal des Abrutis, la Science pour tous, la Médecine
pour tous, le Journal des Voyages, la Nouvelle Lune, le Monde
Comique, la Libre-pensée, etc., e t c . .
L'éclosion des journaux pornographiques, qui a scandalisé même
des journaux républicains, s'est produite dans l'officine juive de la
rue du Croissant.
Citons encore la Revue bleue et la Revue Rose, éditées par
M. Félix Alcan, Juif.
Les Israélites ne se contentent pas de soudoyer, de créer des
publications radicales, ils les répandent, ils leur font distribuer des
réclames financières et des annonces par leurs agences.
Paris ne possède que 80 éditeurs; sur ce nombre, 20 sont Israé-
lites. Ce sont eux qui lancent les publications révolutionnaires et
antireligieuses. C'est le Juif Strauss qui édita les œuvres impies de
M. Léo Taxil; c'est le Juif Picard-Bernheim qui édite les œuvres
antireligieuses de M. Paul Bert; c'est le Juif Alcan qui répand les
traductions des matérialistes allemands; c'est un éditeur juif qui a
lancé les Blasphèmes où toutes les religions sont bafouées, le Christ
honni et maudit et dont le fond est nihiliste; c'est un éditeur juif
qui a repris dans les collections secrètes les livres les plus obscènes
et qui les a réédités pêle-mêle avec des livres antichrétiens.
32 REVUE DU MONDE CATHOLIQUE
Les théâtres de Paris, dit M. Ed. Drumont, sont entre les mains
des Juifs directeurs et auteurs.
Les Juifs sont relativement très nombreux au Sénat et à la
Chambre; on en compte une vingtaine pour représenter 60,000 co-
religionnaires. Si, en proportion, les chrétiens s'y trouvaient repré-
sentés autant qu'eux, le Parlement devrait être composé de
40,000 sénateurs ou députés et non de moins d'un millier. On voit
que les Juifs tendent à accaparer toutes les positions (1).
Quant aux sénateurs et députés francs-maçons, on peut affirmer
Sans crainte qu'ils comptent pour les deux tiers parmi les répu-
blicains.
Il n'est donc pas étonnant que les députés et sénateurs juifs,
disposant à la fois de la fortune, de la presse républicaine de toutes
nuances, de la Bourse, de 100 journaux de finance sur les 150
existant avant le krach, aient exercé sur les Chambres un ascendant
considérable.
Nous allons maintenant les voir à l'œuvre et chercher à dissoudre
une à une les institutions, les mœurs, les lois, l'esprit chrétien et
français.
C'est le Juif Naquet qui propose, soutient, fait voter par le Parle-
ment la loi anticatholique du divorce.
C'est le Juif Armand Lévy qui organise le congrès anticlérical.
Ce sont les Juifs Naquet, Lockroy, Spuller et une foule de députés
francs-maçons qui fondent à Paris l'Union démocratique de pro-
pagande anticléricale.
C'est dans les bureaux du Juif Rothschild que Cousin, l'employé
de ce haut et puissant baron, grand maître de la Franc-Maçonnerie,
prépare et dirige cette guerre anticléricale .dont Gambetta vient de
donner le mot d'ordre.
C'est pour cette guerre que s'agitent les Juifs Dreyfus, Hérold,
Mayer, Naquet, Spuller, Lockroy, Ollendorff, entraînant à leur suite
MM. Constans, Andrieux, Ferry, Paul Bert, Cazot, tous francs-maçons.
Parmi les plus impitoyables, parmi les persécuteurs des chrétiens
se signalent les fonctionnaires juifs Hérold, préfet de la Seine;
Hendlé, préfet de Saône-et-Loire; Schnerb, chef de la police de
sûreté; Isaïe Levaillant, ancien élève rabbin, préfet de la Haute-
Savoie.
(1) On compte près de deux cents préfets et sous-préfets ou receveurs
généraux juifs, d'après M. l'abbé Chabauty.
L'INVASION JUIVE 35
C'est un Juif, Sée, qui organise les lycées de jeunes filles d'où
l'instruction chrétienne est bannie.
C'est le Juif Gîedroye qui mutile stupidement nos chefs-d'œuvre
classiques pour en retirer le nom de Dieu avant de les offrir aux
enfants des écoles.
C'est un Juif, Lyon-Alemand, qui, au mois de mars 1885, dénonce
au Conseil municipal et fait révoquer brutalement un professeur de
Chaptal coupable d'avoir constaté, dans son livre Leçons de l'Anti-
quité chrétienne, l'influence bienfaisante du christianisme.
C'est un Juif, Benoît Lévy, qui publie, chez l'éditeur juif Léopold
Cerf, un livre Manuel pratique de la loi scolaire, dans lequel il
approuve pleinement l'enlèvement des crucifix de nos écoles.
« Le h septembre, dit M. Drumont, la révolution mit au pouvoir
les Juifs de France, les Gambetta, les Simon, les Crémieux, les
Picard, les Magnin, auxquels, s'il faut en croire M. de Bismarck,
qui passe pour assez bien informé, il faudrait joindre Jules Favre.
C'estun financier juif, Edmond Adam, qui prend possession de la
préfecture de police. Camille Sée, le secrétaire général du ministère
de l'intérieur, est Juif.
« L'ouvrage de M. Busch, le Comte de Bismarck et sa suite
pendant la guerre de France, est très explicite à ce sujet. Le
10 février, en parlant de Strousberg, M. de Bismarck dit :
« Presque tous les membres ou au moins beaucoup de membres
du gouvernement provisoire sont Juifs. Simon, Crémieux, Magnin
et Picard, qu'on ne croyait pas Juif, et très probablement aussi
Gambetta; d'après le type de son visage, j'en soupçonne même
Jules Favre. »
On avouera que six Juifs dans un gouvernement d'une douzaine
d'hommes, c'est une véritable invasion, une usurpation dans un
pays où les Juifs sont en si petit nombre.
« La Commune a également compté un grand nombre de Juifs :
Gaston Dacosta, féroce ennemi des prêtres; Léo Frantkel, Juif hon-
grois; Isidore Lefrançois, Vermesch, Hollandais, Juif d'origine;
Lisbonne, ce cabotin juif qui essaya de créer une brasserie dans
laquelle des filles de joie, habillées en religieuses, auraient servi les
consommateurs; Kremer; Sim m Mayer, qui donna le signal de la
démolition de la colonne Vendôme, était Juif également.
« Depuis la Commune nous avons constamment en France des
Juifs dans le gouvernement : Crémieux, Raynal, Magnin, Lockroy,
tT Û
i JANVIER (N° 43). 4 S É R i E . T. IX. 3
34 REVUE DU MONDE CATHOLIQUE
sans compter les hommes alliés aux Juifs par leurs femmes, comme
les Ferry, les Floquet, ou inféodés à eux, comme M. Léon Say, le
grand intendant des Rothschild.
« Le rôle des Juifs pendant la guerre a été déplorable. C'est le
gouvernement des Gambetta, des Crémieux, qui a si inutilement
prolongé la résistance ou plutôt complété la défaite et^amené la
grande déroute finale, en proportion de laquelle les exigences des
Prussiens vainqueurs se sont accrues. 11 est absolument prouvé
aujourd'hui que cette résistance a coûté deux départements et
3 milliards de plus.
« C'est pendant la guerre que l'emprunt Morgan s'est effectué avec
un agio effrayant.
« C'est pendant la gestion de Gambetta que 80 millions disparais-
sent des caisses publiques sans que jamais on soit parvenu à jus-
tifier cette disparition.
« C'est pendant la guerre que des multitudes de Juifs allemands
s'abattent sur notre malheureux pays, servant d'espions et volant
de toutes parts.
« Quant à notre colossale rançon de guerre, la plus formidable
qu'on ait fait peser sur un peuple, elle a été réglée entre deux ban-
quiers juifs, MM. Bleichrœder, de Berlin, et Rothschild, de Paris (1).»
Nous n'ajouterons qu'un mot :
En 1781, le Juif Adam Weishaupt donnait à Mirabeau et aux
autres francs-maçons français le signal de la Révolution de 1789,
et en 1791 les francs-maçons Grégoire, Rœderer, Duport, Barnave
émancipaient les Juifs; dès lors ils entraient en France par longues
er
bandes; en 1807, Napoléon 1 reconnaissait et organisait leur culte;
sous Louis-Philippe, ils dirigeaient déjà la Bourse et la finance; en
1848, ils mettaient un des leurs au gouvernement; sous Napoléon III,
ils augmentaient prodigieusement leurs richesses, en même temps
ils donnaient à Gambetta l'ordre de renverser l'empire en face de
l'ennemi, et ce crime monstrueux mettait les Juifs au pouvoir; dès
ce jour, se servant de la Franç-Maconnerie comme d'un bélier, ils
renversaient les couvents, détruisaient les chapelles, proscrivaient
le Christ des écoles, puis votaient la loi scélérate qui rend l'école
athée obligatoire. En 1886, ils se préparent à fêter le centenaire
de leur Révolution, et pour qu'on n'oublie point que c'est bien leur
( I ) La Fiante Jvice.
L'INVASION JUIVE 35
propre triomphe qu'ils vont célébrer, ils mettent les leurs, MM. Loc-
kroy, Ollendorff, Alphan trois Juifs, à ia tète du comité du cente-
naire de 4889, qui a été appuyé par toute la finance juive.
CONCLUSION