Expose Bourse

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L’année 2007/2008

Structure
&
Performance
Du
Marché
boursier
marocai
n

Préparé par
J BENDAHAN
Chapitre 1:la Structure du marché boursier marocain

Introduction

1 : la structure organisationnelle du marché boursier


Historique

La nature des marchés


A/ Marché primaire et marché secondaire
B/ De la cote officielle au marché hors-cote
C/ Le marché au comptant et le marché à terme
D/ Le marché central et le marché des blocs
Organes de décision, de surveillance et de contrôle

I) La société gestionnaire
II) Les sociétés de bourse
III) L'Autorité de Contrôle : CDVM
IV) L'Association Professionnelle des Sociétés de Bourse : APSB

La Structure du Marché Boursier Marocain

I) Anatomie du marché boursier marocain


II) Renforcement de la structure du marché boursier

2 : la structure fonctionnelle du marché boursier

-Allocations de fond
- allocation de risque
- fonction informationnelle du marché

3 La fiscalité des instruments financiers

Chapitre 2 : Performance du marché boursier marocain

1 Caractéristiques
2 La bourse de Casablanca
3 Les indices de performance
4 la place de la bourse de Casablanca dans le monde arabe
5 La performance : étude comparatif depuis 2004 jusqu’au fin 2007
6 Tableau : Structure des OPCVM par type et actifs totaux de 2008

Conclusion
Bibliographie
Introduction
La Bourse de Casablanca est une société anonyme en charge de l’organisation
et de la gestion du marché boursier au Maroc ; Créée en 1929 ; Elle est placée sous la
tutelle du Ministère des Finances et de la Privatisation et ses parts sont détenues à
parts égales par les sociétés de bourse.

Sa gestion est définie par un cahier des charges et concerne principalement


l’organisation des introductions en bourse, la gestion des séances de cotation, la diffusion
des cours et des indices et l’administration d’un système de compensation et de garantie.
Le périmètre et le contenu de ses actions sont définis, sous forme de règles de marché,
dans un Règlement Général .

Plus généralement, la Bourse de Casablanca veille à la promotion et au


développement du marché boursier marocain.

Elle a connu plusieurs réformes, La première, en 1948, a attribué à la Bourse des


valeurs la personnalité morale. La seconde, en 1967, a permis de la réorganiser
juridiquement et techniquement et de la définir comme un établissement public. Depuis
1993, la Bourse de Casablanca vit une seconde jeunesse suite à la promulgation d'un
ensemble de textes de lois, portant réforme du marché financier et création des cadres
réglementaire et technique indispensables à son émergence.

Pour plus de détail Ce Document traite de la microstructure dans le premier temps et


dans un deuxième temps il traite la performance du marché boursier marocain suivant ce
sommaire :
1 Structure du marché
boursier marocain

HISTORIQUE

Les différentes étapes de modernisation de la bourse de Casablanca depuis


1993 telle que chronologiquement avancées par le factbook 2000 publié par la
SBVC sont :
 septembre 1993 : Promulgation de trois textes de loi sur
le marché financier :
 Dahir1 portant loi n° 1-93-21 relatif à la Bourse des
Valeurs.
 Dahir portant loi n° 1-93-212 relatif au Conseil
Déontologique des Valeurs Mobilières et aux
informations exigées des personnes morales faisant
appel public à l'épargne.
 Dahir portant loi n° 1-93-213 relatif aux Organismes de
Placement Collectifs en juillet 1994 : Création du Conseil
Déontologique des Valeurs Mobilières.
 octobre 1994 : Agrément des onze premières sociétés
de Bourse.
 février 1995 : Création de l'Association Professionnelle
des Sociétés de bources « APSB ».
 mai 1995 : Autorisation d'intervenir sur le marché
boursier aux sociétés de Bourse agréées par le Ministère
des Finances.
 juin 1995 : Création de l'Association des Sociétés de
Gestion et Fonds d'Investissements Marocains "ASFIM".
 juillet 1995 : Signature du Protocole de Place.
 août 1995 : Création de la Société de la Bourse des
Valeurs de Casablanca "SBVC" (signature du cahier des
charges).
 novembre 1995 : Création des OPCVM.

1 Texte de loi marocain généralement promulgué par le Roi.


 mai 1996 : signature d'un protocole de coopération
entre la Bourse de Casablanca et la Bourse de Paris.
 septembre 1996 : Intégration de la Bourse de
Casablanca dans l'indice IFC Global Index des pays
émergents de la Société Financière Internationale "SFI",
avec une pondération de 0,75%.
 décembre 1996 : La loi de 1993 est amendée et
complétée par la loi n°35-96 instituant le Dépositaire
Central Maroc Lear.
 4 mars 1997 : Démarrage du système de cotation
électronique.
 25 mars 1997 : Inauguration du nouveau siège de la
bourse.
 novembre 1997 : Intégration de la Bourse de
Casablanca dans l'indice IFC Investable Index des pays
émergents de la SFI, avec une pondération de 0,91%.
 16 mars 1998 : Baisse de 40% du taux de commission
sur les transactions (de 0,39% à 0,24% pour les
actions).
 juin 1998 : Généralisation de la cotation électronique à toutes
les valeurs du compartiment actions.
 août 1998 : Publication de l'arrêté du Ministre de
l'Economie et des Finances approuvant le règlement
général de Maroc Lear dans le Bulletin officiel.
Basculement des obligations dans le système de cotation
électronique.
 19 octobre 1998 : Démarrage effectif de Maroc Lear
(dématérialisation des titres cotés en Bourse) et
réaménagement des procédures de dénouement.
 2 novembre 1998 : Mise en place du marché central et
du marché de blocs en remplacement respectivement du
marché officiel et du marché des cessions directes.
 14 décembre 1998 : Nouvelle baisse du taux de
commission sur les transactions (0,24% à 0,14% pour
les actions et instauration pour les obligations d'une
commission forfaitaire de 0 à 350 MAD).
 mai 1999 : Délocalisation des stations de consultation.
I* la structure organisationnelle
1- la nature des marchés

A/ Marché primaire et marché secondaire :


- Le marché primaire assure la collecte des ressources ou le
drainage de l'épargne par la cession de tissu nouvellement
émis. Le marché est appelé aussi marché du neuf. C'est le
marché primaire qui est indicateur de la capacité de
financement directe des entreprises et du volume d'épargne
drainée ou intéressée par ce type de financement.
Cependant, il faut bien noter que le dynamisme du marché primaire est
conditionné par celui du marché dit secondaire.
- Le marché secondaire résulte des échanges de titres entre
opérateurs, en seconde main, et assure ainsi la liquidité de l'épargne et des
placements réalisés, dans des conditions de transparence,
d'équité et de coût d'agences optimales.

B/ De la cote officielle au marché hors-cote :


Une distinction doit également être apportée entre le marché de la
cote officielle qui accueille les entreprises grandes et moyennes
remplissant les critères de taille et de liquidités de base ; le second
marché, qualifié de marché des moyennes entreprises ne remplissant pas
dans l'immédiat les critères d'accès au marché officiel et devant les
atteindre à terme ; enfin le marché hors-cote ou troisième marché, ouvert
aux entreprises petites et moyennes à potentiel de développement
important mais à risque également élevé.
En général, seuls les spécialistes et investisseurs institutionnels
interviennent sur ce marché particulièrement risqué.

C/ Le marché au comptant et le marché à terme :


Le marché au comptant accueille et exécute les ordres d'achats et de
ventes avec paiement et dénouement de l'opération immédiate.
Le marché à terme, n'est toujours pas opérationnel sur la place de
Casablanca. Il accueille les ordres d'achats et de vente à terme
(généralement à un mois ou 3 mois) avec liquidation mensuelle, de
l'ensemble des opérations réalisées au cours du mois, à la fin du mois à
une date fixe prédéterminée. Le paiement et le dénouement des
opérations s’effectuent à cette date. Le marché à terme est animé par les
anticipations et le comportement spéculatif des opérateurs.
D/ Le marché central et le marché des blocs :
Le marché central accueille les ordres de ventes et d'achats de titres
exprimés généralement en petite quantité ou faible volume. En fait, toute
transaction sur une valeur mobilière cotée doit passer par le marché
central, sauf translation de blocs.
Le marché des blocs n’accueille que les opérations portant sur des
quantités de titres dépassant un seuil minimum fixé par la réglementation
de la place. C’est en général un marché sur lequel les ordres d gros
opérateurs institutionnels sont exécutés sans perturbation du
fonctionnement du marché central.

E/ Les six intervenants institués par la réforme 1993, modifiée et complétée


en 1996 :

La réforme de 1993, amendée et complétée en 1996, a institué cinq


intervenants :

La société gestionnaire ; Le capital de la Bourse de Casablanca, société


gestionnaire de la Bourse de Casablanca est détenue, à parts égales, par
l'ensemble des sociétés de Bourse. Sa principale mission est la gestion et
le développement de la Bourse de Casablanca.

Les sociétés de Bourse, agréées par le Ministre des Finances, et ayant


le monopole de la négociation en Bourse ; Aujourd'hui au nombre de
quatorze, les sociétés de Bourse ont pour objet, outre la négociation en
Bourse, la garde des titres, le placement des titres émis par les
personnes morales, la gestion de portefeuilles en vertu d'un mandat, et le
conseil de la clientèle. Ces sociétés sont le vecteur directeur du
professionnalisme et du dynamisme du marché boursier

Les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM)


pour canaliser l'épargne vers le marché ; Créés en 1995, les OPCVM
marocains ont connu un essor important et continuent à jouer un rôle
significatif dans le développement du marché. Quelques chiffres suffisent
à illustrer le rapide développement des OPCVM au Maroc :
 1995 : lancement des premiers OPCVM pour un montant initial de 500 milliards de dirhams.
 1996 : le total de l'actif géré par les 20 OPCVM commercialisés est de l'ordre de 2,7 milliards de dirhams.
 1997 : le nombre des OPCVM est passé à 40, et l'actif géré a triplé (plus de 10 milliards de dirhams).
 1998 : le nombre des OPCVM est de 64 et l'actif géré est de l'ordre de 25 milliards de dirhams.
 1999 : Le nombre des OPCVM agrées est de 125 et l'actif géré est de l'ordre de 45,5 milliards de Dirhams.
Cette croissance des actifs gérés est essentiellement due à :

 la performance continue du marché depuis 1995;


 l'intérêt croissant des épargnants et des investisseurs institutionnels;
 la baisse des taux d'intérêts.

Le Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) en tant


qu'autorité de contrôle ; Le Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières
(CDVM). La création effective du CDVM a eu lieu en juillet 1994. Le CDVM est
un établissement public doté de la personnalité morale et de l'autonomie
financière. Il a pour mission de veiller au bon fonctionnement,
à la transparence, à l'intégrité et à la pérennité des marchés de valeurs
mobilières. Il est également chargé d'assurer la protection des épargnants.
Le CDVM est administré par un Conseil d'Administration, présidé par le
Ministre des Finances et composé par le Ministre de la Justice, Le
Gouverneur de Bank Al-Maghrib ou leurs représentants. Il comprend
également trois personnalités désignées par le Ministre des Finances pour
leur compétence dans le domaine économique et financier.

l'Association Professionnelle des Sociétés de Bourse


(APSB).L'Association Professionnelle des Sociétés de Bourse (APSB) qui
regroupe l'ensemble des Sociétés de Bourse, a pour mission de veiller au
respect par ses membres des dispositions légales, de les représenter et
d'étudier les questions relatives à l'exercice de la profession.

Maroc clear : La loi n° 35-96 du 9 janvier 1997 relative à la


dématérialisation des titres à institué un sixième intervenant : le
dépositaire central, Maroc Lear. Le dépositaire central a pour missions
d'assurer la conservation des valeurs mobilières admises à ces opérations,
d'en faciliter la circulation et d'en simplifier l'administration pour le
compte de ses affiliés.

II : la structure fonctionnelle du marché boursier


-L’allocation des fonds :
dans un univers certain de concurrence pure et parfait ou il n’y a pas de
coût de recherche d’information pas de coût de transaction, et la
rencontre des offreurs et les demandeurs détermine un prix d’équilibre
qui théoriquement allouent l’investissement aux projet les plus rentable et
les plus sure dans ce cas le marché est un bon indicateur est un moyen
d’allouer les fonds et même on pourrait ajouter c’est allocation optimale
- allocation de risque
On s’introduisant en bourse on partage le risque avec les autres
agents économique on parlent de la mutualisation de risque permet
aux actionnaire de partager le risque
- fonction informationnelle du marché
Consiste à diffuser l’information sur la valeur des actifs, on considère
théoriquement que le prix transmet toute l’information
On distingue deux principales thèses
1- les anticipations rationnelles
Dans un marché parfait le prix comporté tous les information, les agents
sont basés sur ces informations, théoriquement il y a une cohérence sur
la rationalité des agents, si ils sont rationnels les agents utilisent toute
l’information disponible, calculent l’espérance conditionnelle à cette
information, s’ils font des erreurs systématiquement, ils modifieraient les
méthodes
2- les marchés efficients
Un marché est efficient si les prix reflètent toutes les informations
pertinentes disponibles, toutes informations passées mais aussi
nouvelles

qui sont rapidement intégré sans délais
imperfection du marché : l’inefficient
Les condition de marché efficient ne sont jamais réunie, l’information
est coûteuse les agents ne sont pas égaux devant l’information les uns
sous informer les autres surinformer donc il y a toujours des distorsions,
la fonction de marché ne conduit pas à des condition de l’optimum
3- l’exécution des stratégies
La bourse sert à exécuter des stratégies
Fusion acquisition
*offre publique d’achat OPA
*offre publique de vent OPV
*offre publique de rachat OPR

III* La fiscalité des instruments financiers

La fiscalité des instruments financiers au Maroc concerne


essentiellement deux taux; "la taxe sur les produits des placements à
revenu fixe", et "la taxe sur les produits des actions parts sociales et
revenus assimilés", les dispositions réglementaires de ces deux
textes précisent en outre, le traitement fiscale des revenus des
valeurs mobilières au niveau de l'IS et l’IGR.
La fiscalité des instruments financiers concerne aussi la taxe sur
la valeur ajoutée des commissions d'intermédiation.

* 5-1 la taxe sur les produits des placements à revenu fixe :

L'article 6 de la loi de finances pour l'année 1992 a abrogé, à compter


du 01-01-1992, les dispositions de l'article 2 de la loi de finance de
l'année 1987, qui a institué la taxe sur les intérêts des dépôts à terme et
des bons de caisse et l'a remplacé à compter de la même date par la taxe
sur les produits des placements à revenu fixe.
La taxe sur les produits des placements à revenu fixe est prélevée à la
source par les organismes bancaires et de crédit, les sociétés et les
entreprises qui versent les intérêts et autres produits similaires des
placements et des prêts.

* 5-2 Taux de la taxe :

La taxe est prélevée au taux de 20% ou de 30% selon les cas ci-après :

Taux de 30% libératoire :


Le taux de 30% est applicable aux intérêts et autres produits similaires
servis aux porteurs d’obligation, de bons ou billets de caisse anonymes
qui ne déclinent pas leur identité lors de l’encaissement des intérêts ou
de leurs inscriptions en compte. La taxe prélevée au taux de 30% est
libératoire de l’IS et de l’IGR .

Taux de 20% non libératoire :


Le taux de 20% est applicable sur option aux intérêts et produits
similaires servis aux porteurs d’obligation, de bons ou billets de caisse
anonymes.
Dans le cas soumis au taux de 20%, les bénéficiaires doivent, au
moment de l’encaissement ou de l’inscription en compte, décliner leur
identité.

c -Taux transitoire de 10% :


Ce taux s’applique exclusivement aux intérêts et aux produits
similaires des obligations et autres titres d’emprunts émis par l’Etat ou
sous sa garantie servis à des personnes physiques.
Aux termes de l’article 14 II de la loi de finances pour l’année 1994, ce
taux est transitoire, son application étant limitée aux émissions faites
durant la période du 1ier Mars au 31 décembre 1994.

* 5–3 Taxe sur le produit des actions parts sociales et revenus assimilés :

A-les revenus imposables :

Le champs de la loi 18-88 comprend les produits des actions ou

parts sociales et revenus assimilés. Cette catégorie concerne les revenus

distribués essentiellement par les sociétés obligatoirement assujetties à


l’IS et les sociétés de personnes ayant opté pour le dit impôt. On peut

citer essentiellement les produits de l’espèce suivants :

1-Les dividendes :

Il s’agit habituellement du premier dividende qui rémunère le capital


sous forme d’intérêt statutaire et le superdividende qui peut être
distribué après la constitution des réserves extraordinaires et
rémunération des conseils d’administration.

2-Les intérêts de capital et autres produits de participation similaires :

Il s ‘agit entre autres des produits des revenus des parts de fondateurs :

 les sommes prélevées sur les bénéfices pour l’amortissement du capital ou rachat
d’actions, des parts bénéficiaires ou de parts de fondateur des sociétés autre que celles
qui sont concessionnaires de service public.
 L’amortissement du capital ou rachat d’actions, de parts bénéficiaires ou de parts de
fondateurs de sociétés, doit s’effectuer par prélèvement sur les bénéfices ou réserves
disponibles.
 Le boni de liquidation augmente des réserves constituées depuis
Moins de 10 ans.

B-le taux de la taxe :


Le taux de la taxe était en 1998 de 15% perçu par voie de retenu à
la source par des sociétés débitrices des produits imposables ou par les
établissements bancaires délégués par lesdites sociétés. Le paiement
de ladite taxe libératoire de l’IS ou de l’IGR. En 1999
Ce taux est de 10% pour niveler le taux marginal de l’IGR avec le
cumul des autres prélèvements fiscaux.

* 5- 4 La fiscalité des plus values des valeurs mobilières

La fiscalité des plus values et profits réalisés par les sociétés lors de
cession de valeurs mobilières, est régie par la loi 24-99 relatives à l’IS
et par la loi relative à l’IGR. Les personnes physiques sont exonérées.
La loi 24-99 dans l’article 9 consacre la notion de valeur mobilière ;
expression qui désigne des titres négociables, représentatifs de droits
sociaux des actions. Toutefois, les valeurs mobilières sont génératrices
de plus values, le traitement des plus values est régi par l’article 19 de
la loi 24-99.
L’article 19 différencie entre 2 situations ; les cessions en cours
d’exploitation et les cessions en fin d’exploitation.

 Cessions réalisées en cours d’exploitation :

La société bénéficie d’abattements appliqués au plus values nets


globaux.
Cet abattement est de 25%, si le délais écoulé entre l’année
d’acquisition de la valeur mobilière est égale au moins 4ans et inférieur
à 8ans, l’abattement passe à 50% si le délais est supérieur à 8ans.
Toutefois, la société qui s’engage par écrit à réinvestir en
immobilisation ou en titres de participation dans des sociétés soumises
à l’IS, dans délais max. de 3ans suivant la date de clôture de l’exercice
dans lequel la cession a été faite, et qui s’engage en outre à garder
lesdites actif durant 5ans. Dans ce cas l’exonération est totale.

 Cessions réalisées en fin d’exploitation :

Le taux d’abattement applicable sur la plus value net global est de


50%, si le délai écoulé entre l’année de constitution et celle de la
cession de la valeur mobilière est égale à 4ans au moins et inférieur à
8ans. Le taux d’abattement est de deux tiers, si ce délai est supérieur
ou égal à 8 ans. Les profits sont comptés dans les produits
d’exploitation des sociétés après abattement.

Au niveau des personnes assujetties à l’IGR l’article 18 de cette loi


consacre un traitement des profits des valeurs mobilières similaires à
celui consacré par l’article 19 de la loi 24-99.

* 5-5Profits sur cession de valeurs mobilières réalisés par les sociétés étrangères :

La fiscalisation des revenus générés par les valeurs mobilières


détenues au Maroc par des sociétés étrangères obéit à des règles
spécifiques liées à la nature même de ces valeurs mobilières et à
l’existence de convention fiscales conclues entre le Maroc et le pays de
résidence de la sociétés étrangères considérée. En effet :
S’agissant des revenus par les titres de créances, ils sont soumis
à l’IS par voies de retenue à la source au taux de 10% conformément
aux disposition de l’article 12 de la loi 24-99 relative audit impôt.
S’agissant des revenus générés par les titres de capital, ils sont
soumis à la T.P.A au taux de 15% en application des dispositions de
l’article 4 de la loi 18-99 relative à ladite taxe et ce, par voies de
retenus à la source .
Cette retenue ; opérée à la source lors du paiement de ces revenus,
est libératoire de tous les autres impôts et taxes.
Or , nonobstant le fait que les revenus générés par les valeurs
mobilières détenues par les sociétés étrangères soient soumis à une
imposition par voies de retenues à la source libératoire de tout autre
impôt ou taxe , la cession de ces valeurs mobilières entraînait pour les
dites sociétés toutes les obligations relatives à la déclaration du résultat
et au versement de l’IS ( CM) prévues par la loi n° : 24-99 prés citée .

Pour encourager l’investissement étranger et dynamiser la bourse


des valeurs la loi de finance pour 1999 a institué l’exonération de ces
profits de cession .Aussi , à compter de cette date, ces profits ne sont
plus soumis à l’IS .
Chapitre 2 : Performance du marché boursier marocain

Cacarctéristique

En général ,Une bourse performante c’est une bourse

* connectée au marché internationale ; et n’est pas limité à son territoire précis


elle doit être ouverte et attaché au changement rapide de
l’environnement international
* liquide ; une bourse qui permet le financement total et à tous
moment dans ce cas en parle de la liquidité disponible
* la gestion du risque très important pour la gestion de porte feuilles des
investisseurs
C’est en remplissant tous ces condition qu’on peux dire que c’est une
bourse performante ; par exemple les bourse de TOKYO
Pour la bourse de casablanca en peut parler de cette caractéristique
mais pas par le même degré de ces autres bourses internationales

Les indicateurs de la bourse :

La performance d’une bourse est habituellement mesurée par plusieurs


indices ; des uns sectoriels qui mesurent la performance d'un sous-
ensemble de compagnies ayant des caractéristiques communes ; ces
indices sont calculés à partir des entreprises incluses dans le sous-
ensemble visé (par exemple, les entreprises d'un secteur d'activité
comme les télécommunications ou les entreprises de taille semblable
comme les PME).
Un indice principal qui mesure la performance globale de la bourse ; cet
indice est calculé à partir de la majorité de compagnies inscrites à cette
bourse ou à tout le moins la majorité des grandes compagnies inscrites
à la bourse ;

Historique des indices

1986 : Création de l'IGB

2002 : Création des indices MASI, MADEX, leurs sous-jacents et les


indices sectoriels

2004 : Adoption de la capitalisation flottante dans le calcul des indices


Caractéristiques des indices

 Date de création : 02 Janvier 2002


 Référence : 31 décembre 1991
 Base : 1 000 Composition :

* MASI: Indice global composé de toutes les valeurs de type action.

* MADEX: Indice compact composé des valeurs les plus liquides.

Au 31 décembre 2007, MASI a enregistré une hausse annuelle de 33,92% pour


se situer à 12 694,97 points.

* Indices Sectoriels : Indice compact composé des valeurs


appartenant au même secteur d'activité.les plus liquides.
* cours d’une action : c’est le prix
* capitalisation boursière indique la bonne santé financière
de l’entreprise
On distingue trois types de capitalisation
*Capitalisation sur la base du cours moyen du 31/12
*capitalisation des dernières cours
*capitalisation boursière sur la base des entreprises ayant
distribués les dividendes.

Au 31 décembre 2007, la capitalisation boursière de la Bourse de Casablanca s'est


établit à 586,3 milliards de Dirhams contre 417,1 milliards de Dirhams à fin 2006,
soit une hausse de 40,5%.

* les ratios de valorisation : PER est le ratio idéal pour la constitution et


la gestion d’un portefeuille, c’est un ratio très utilisé apprécier la valeur
d’une société, c’est le cours d’une action par le bénéfice net, c’est ce que
peut rapporter une action.
-** valeur de transaction : le nombre de titres échangé pendant
une séance boursière.

- Le Volume de transactions réalisé au 31 décembre 2007 s'est établit à


359,7 milliards de Dirhams contre 166,4 milliards de Dirhams au 31
décembre 2006, soit une augmentation de 116,1%.

la place de la bourse de casablancais dans le monde arabe

La bourse de Casablanca qui à un très grand potentiel est l'une des


bourses les plus performantes dans le monde arabe, souligne l'agence
Bloomberg dans un article repris dimanche par le Washington Post.
"C'est un marché en plein essor qui offre beaucoup de potentiel",
assure l'article citant Henry Azzam, PDG de la division du Proche-
Orient et de l'Afrique du Nord de Deutsche Bank, qui assure que
"Casablanca est le centre d'affaires du Maghreb".

Lui faisant écho, Badr Alioua, responsable des transactions sur les
actions et valeurs à revenu fixe de la Banque Attijariwafa, soutient que
Casablanca est l'endroit le plus formidable et le plus recherché pour les
affaires dans le monde arabe.

Grâce aux réformes initiées par SM le Roi Mohammed VI, les jeunes
Marocains instruits ne quitteront pas leur pays, affirme M. Alioua qui
assure que "le facteur jeunesse de ce marché est d'une
importance capitale pour la poursuite de nos succès".
Avec une capitalisation de 47,2 milliards dollars représentant 69
entreprises, la Bourse de Casablanca, vieille de 77 ans, est bien modeste par rapport
à la capitalisation boursière de 13,4 billions US dollars (un billion équivaut
à 1000 milliards) des entreprises qui composent l'indice S&P 500, mais il
reste que les Bourses de Casablanca et du Koweït sont celles qui offrent la
meilleure performance parmi les 10 Bourses du monde arabe, souligne
l'article.

La performance : étude comparatif depuis 2004 jusu’au fin 2007

2004- 2006
Le montant global des investissements étrangers en actions cotées à la
Bourse de Casablanca a atteint en 2006 quelque 124 milliards de dirhams,
enregistrant ainsi une hausse de 37,8 pc par rapport à 2005, a indiqué le
Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM).
Cette progression s'explique aussi bien par la performance générale de la
place de Casablanca, qui a affiché une évolution de positive de 71%, que
par les nouvelles prises de participations réalisées par les groupes
français, Arcelor et Caisse d'épargne respectivement dans le capital de
Sonasid et du CIH, a précisé le CDVM dans une note sur les titres
détenus par les étrangers et les marocains résidant à l'étranger (MRE).

La part de l'investissement étranger dans la capitalisation boursière s'est


élevée en 2006 à 29,7%, contre 35,6 pc en 2005. Ce recul résulte d'une
sous performance du portefeuille des étrangers inférieur à la performance
globale réalisée par la Bourse des valeurs de Casablanca en 2006.

L'analyse de ces titres par nationalité révèle que l'investissement étranger


conservé au Maroc reste dominé à hauteur de 77% par les personnes
morales françaises, qui détiennent 22% de la capitalisation boursière.

L'essentiel de l'investissement étranger en actions cotées est réalisé


sous forme de participations stratégiques, a noté le CDVM ajoutant que
ces participations représentent 93% de l'investissement étranger en
2006, contre environ 87% les années précédentes.

Suite à cette évolution, le flottant détenu par les étrangers et les MRE
demeure faible et sa part dans la capitalisation boursière est en recul dans la
mesure où elle ne représente que 2% à fin décembre 2006, contre 4,6% à
fin décembre 2005 et 3,6% à fin 2004, a souligné le Conseil.

Par ailleurs, l'investissement étranger en titres d'OPCVM (organismes de


placement collectifs en valeurs mobilières) s'est élevé à 690 millions de
dirhams au terme de l'année écoulée, un montant en hausse de 21,9%
par rapport à 2005. Cet investissement est réalisé à hauteur de 51%
par les MRE.

2006 –fin 2007


La place casablancaise fait le point sur ses performances au titre
du deuxième semestre 2007.
- Côté volumes, les six derniers mois de 2007 ont battu tous les records.
Les transactions ont drainé la coquette somme de, tenez vous bien…
260 milliards de DH, soit le double du volume annuel réalisé en 2006
(136 milliards de DH). Introductions en Bourse, afflux des investisseurs
étrangers et retours des particuliers sont les principaux vecteurs de cet
exploit. Dans le détail, le marché central a engrangé près de la moitié de
ce chiffre d’affaires (125 milliards de DH). L’afflux des allers/retours
durant les cinq dernières semaines a porté le volume sur le marché de
blocs à 106,4 milliards de DH. Le reste se répartit entre les introductions
(16,2 milliards de DH), les apports en titres (10,4 milliards) et les offres
publiques (1,6 milliard).
- Côté indices, les corrections multiples ont sensiblement cassé le
rythme de progression conservé au début du semestre. C’est ce qui a
limité les performances des indices à +10,68 pour le Masi et + 11,49%
pour le Madex.
Cette croissance cache derrière elle une forte fluctuation. Après une
relative stagnation en début juillet, la hausse a repris de plus belle durant
tout l’été, profitant de l’introduction de CGI à la cote. Un trend qui a
permis à l’indice global d’atteindre un pic de 13.527 points début
septembre. Cette tendance s’est rapidement estompée à la rentrée,
puisque les indices ont accumulé les baisses tout au long du mois. Ce qui
a ramené le Masi à 12.670 points. Durant les trois derniers mois de 2007,
le marché a évolué en dents de scie avec une correction brusque à fin
octobre et une tendance baissière durant les deux dernières semaines de
décembre. Finalement le marché a donné raison à ses analystes, qui
tablaient sur une progression annuelle aux alentours de 30%. Les deux
indices ont légèrement sur performé cette prévision, ayant pris 33,9 et
35,1% à 12.695 et 10.464 points respectivement.
Après avoir multiplié son cours par 2 ,5 en réalisant le volume le plus
important du semestre (20,1 milliards de DH), CGI a incontestablement
été la valeur phare de 2007. Depuis son introduction en août dernier, la
deuxième valeur immobilière de la place a retenu l’attention aussi bien
des particuliers que des institutionnels. En cinq mois de cotation, son
cours est passé de 952 à 2.340 DH. Des performances spectaculaires,
certes. Mais elles demeurent incomparables aux réalisations inégalées
d’Addoha durant son premier semestre de cotation (juillet/décembre
2006). Les opérateurs s’accordent à dire que cette opération a
déclenché l’euphorie boursière qui n’est pas prête de s’estomper.
La Bourse de Casablanca a clôturé en hausse lundi 31 décembre 2007, dans
un marché globalement calme, déserté par beaucoup d’investisseurs pour
cette dernière séance de l’année, à l’exception de certains institutionnels qui
ont procédé aux derniers arbitrages de l’année. Sur le marché central, ce
sont 4 milliards de DH qui ont fait l’objet d’allers-retours, contre 15 milliards
environ sur le marché de blocs.
Après une matinée plutôt prudente, la place casablancaise a accéléré sa
performance pour clôturer la dernière séance de l’année dans le vert. En
effet, le Morrocan all shares index (Masi) a pris 77,13 points pour clôturer
l’année à 12.694,97 points, soit +0,61%. L’indice des valeurs les plus
liquides a engrangé, quant à lui, 0,62% à 10.464,34 points. Sur
l’ensemble de l’année, 2007 reste certes loin du record de 2006 en
termes de performance annuelle. Pour rappel, en 2006, les indices ont
clôturé les transactions en progression supérieure à 70%. Alors que les
estimations des investisseurs tablaient sur 50 à 60% de hausse au
maximum. Mais 34% de hausse sur toute l’année 2007 n’est pas
négligeable et reste en conformité avec les pronostics des analystes.
Interrogés sur l’évolution en 2008, les analystes se disent optimistes sur
l’orientation du marché et sur le niveau actuel des cours en Bourse. «Les
dernières corrections ont été salutaires et très profitables pour toute la
place», affirme un analyste senior. Pour l’année 2008 qui débute,
plusieurs introductions en Bourse sont dans le pipe. «Le marché attend
avec impatience de grosses opérations comme Chaâbi Liliskane, RMA
Watanya…, ces IPO boosteront certainement le marché des actions»,
poursuit-il. Les mêmes causes produisent généralement les mêmes
effets, l’année 2008 se présente sous les meilleurs auspices.
Globalement, le marché a évolué dans un cycle à trois temps. D’abord,
une forte croissance durant les quatre premiers mois suivie d’une
correction salutaire en mai et juin, puis une relance progressive dopée
par les performances de la CGI et les nouvelles introductions.
Par ailleurs, sur le marché international, la Bourse de Paris a terminé en
baisse lundi pour la dernière séance de l’année, le CAC 40 cédant 0,23%
dans un volume d’échanges peu significatif, laissant derrière lui une
année 2007 contrastée. Londres a reculé de 0,31%, et l’Eurostoxx de
0,11%. Francfort, comme de nombreuses Bourses dans le monde, avait
clôturé l’année dès vendredi

Tableau : Structure des OPCVM par type et actifs totaux de 2008


DROITS VALEUR
LIQUIDATI PERFORMANCE
GESTIONNAIR MAXIMUM
OPCVM VE
ES Entrée Sortie 25/01/20 depuis début 1 an 2 ans 3 ans
08 de l'année glissant glissant glissant
s s
OPCVM ACTIONS 31 7,76% 28,51% 102,85 173,49
FCP
ALISTITMAR Al Istitmar Chaabi BANQUE 1,50% 1,00%
CHAABI POPULAIRE 058,44 % %
ACTIONS 387,90 6,75% 41,42% 119,71 194,78
FCP KENZ BANQUE
Al Istitmar Chaabi 1,50% 1,00%
ACTIONS POPULAIRE % %
ATLAS ATLAS Atlas Capital 3,00% 1,50% 378,26 8,92% 15,68% 92,37% 188,02
PREMIUM Management Management %
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 211,41 6,80% 28,59% - -
BMCE 1,00% 0,50%
ACTIONS GESTION
1 105,95 6,16% - - -
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 2,00% 1,00%
IMMOBILIER GESTION
46 8,77% 37,40% 145,71 261,21
FCP CAPITAL
BMCE CAPITAL
IMTIYAZ BMCE 0,02 0,01
GESTION 783,92 % %
EXPANSION
2 947,96 8,56% 30,97% 109,95 200,95
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 2,00% 1,00%
INDICE GESTION % %
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 0,02 0,01 2669,75 6,29% - - -
MAGHREB GESTION
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 3 611,77 8,43% 32,71% 117,50 210,93
PARTICIPATIO BMCE 2,00% 1,00%
GESTION % %
NS
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 176,82 7,53% 29,52% - -
BMCE 0,01 0,005
SELECTION GESTION
MAROC BMCE CAPITAL 5 434,57 7,36% 25,46% 96,29% 180,79
BMCE 2,00% 1,00%
VALEURS GESTION %
BMCI 4524,36 9,25% 32,50% 65,84% 152,67
EPARGNE BMCI Gestion BMCI 0,02 0,0075
%
VALEURS
EMERGENCE 2 415,97 -1,18% - - -
PERFORMANC Capital Gestion Capital 3,00%
1,50%
Gestion
E
EMERGENCE Capital Gestion Capitale 0,03 366,36 5,40% 25,47% 121,42 237,57
0,015
EQUITY FUND % %
CDG Gestion 1 976,53 9,58% 31,45% - -
PERFORMANC CD2G 1,50%
E
CDG CD2G CD2G 3,00% 4698,97 8,87% 35,20% 118,05 211,66
0,01
CROISSANCE % %
CFG CFG Gestion CD2G 0,01 242 3,46% 33,89% 96,97% 180,41
0,85%
EMERGENCE 310,48 %
CFG GROUP 0,85%
CFG 662,98 8,45% 31,76% 114,00 214,78
PERFORMANC CFG Gestion et Dar Tawfir 0,0085
% %
E CFG GROUP 0,0085
CFG VALEURS CFG Gestion et Dar Tawfir 461,00 8,86% 31,14% 110,13 205,97
0,85%
% %
CFG GROUP 0,85%
AFG DYNAMIC 101,03 172,73
GESTAR et Dar Tawfir 0,015 37458,97 7,43% 46,14%
FUND % %
SG ACTIONS GESTAR AFAM 0,02 3 806,65 8,92% 24,88% 113,91 187,69
1,50%
PLUS % %
SG SGMB 2,00% 101,37 185,38
GESTAR 0,015 36595,8 9,19% 31,53%
EXPANSION % %
FAISAL SGMB 0,02 2 790,02 8,98% 39,30% 106,28 192,88
INVESTMENT Marogest 0,60%
% %
FUND
MSIN et CIH 2,00%
FCP MAROC Marogest MSIN et CIH 0,02 0,006 191,85
2720,39 8,58% 31,26% 93,96%
ACTIONS %
2 783,97 6,80%
UPLINE UPLINE Capital UPLINE 2,00% 1,00% 34,28% 116,68
ACTIONS Management SECURITIES 195,33 %%
2229,04 6,33%
UPLINE UPLINE Capital UPLINE
VALEURS 0,03 0,03 - - -
Management SECURITIES
PLUS 819,97 6,40%
ATTAKAFOUL* Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,00% 0,00% 67,42% 269,41
FA BANK 421,58 %%
429,87 8,61%
ATTIJARI ATTIJARIWA 27,79% 127,35 233,47
Wafa Gestion 0,012 0,005
ACTIONS FA BANK % %
5 347,90 8,61%
CAP AL Wafa Gestion ATTIJARIWA 1,20% 0,50% 22,30% 117,06
MOUCHARAKA FA BANK 212,01 %%
5922,97 8,67%
CAP
ATTIJARIWA 27,62% 115,16 206,10
OPPORTUNITE Wafa Gestion 0,012 0,005 % %
FA BANK
S 3 182,40 8,51%
CDM Wafa Gestion CREDIT DU 1,50% 0,50% 29,78% 123,83 230,38
EXPANSION MAROC % %
402,57 8,41%
CDM PROFIL Wafa Gestion CREDIT DU 0,015 0,005 33,53% 139,95
DYNAMISME MAROC 246,42 %%
724,46 8,63%
PATRIMOINE Wafa Gestion ATTIJARIWA 3,00% 1,50% 40,90% 154,73 263,54
ACTIONS FA BANK % %
464,08 8,43%
PATRIMOINE ATTIJARIWA 24,48% 160,72 264,38
AL Wafa Gestion 0,03 0,01 % %
FA BANK 352,82 6,39%
MOUSSAHAMA
PROFIL Wafa Gestion ATTIJARIWA 1,20% 0,50% 30,29% 121,91
DYNAMIQUE FA BANK 197,51 %%
3 220,52 4,66%
OPCVM DIVERSIFIES
AL ISTITMAR BANQUE
CHAABI Al Istitmar Chaabi 1,00% 0,00% 14,22% 47,21% 66,85%
POPULAIRE
DIVERSIFIE
FCP KENZ Al Istitmar Chaabi BANQUE 288,52 4,40% 119,24
1,00% 0,10% 20,73% 75,56%
RENDEMENT POPULAIRE %
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 2 947,95 4,83% 138,23
2,00% 1,00% 24,92% 89,17%
BALANCE GESTION %
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 32 2,47% 146,18
13,63% 83,57%
IMTIYAZ BMCE 1,50% 0,75% 020,27
GESTION %
CROISSANCE
236,88 2,21%
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL
MULTI- BMCE 2,00% 1,00% - - -
GESTION
GESTION
504,29 3,60%
FCP BMCE CAPITAL
MEDERSAT.C BMCE 3,00% 1,50%
43,62% 211,49 356,08
GESTION % %
OM
2 552,41 4,42%
BMCI
EPARGNE BMCI Gestion BMCI 1,25% 0,50% 18,50% 49,39% 92,99%
CROISSANCE
EMERGENCE CAPITAL 1 998,52 -1,78%
CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% - - -
CROISSANCE GESTION
1 062,99 0,90%
EMERGENCE CAPITAL
EQUILIBRE CAPITAL GESTION 3,00% 1,50% - - -
GESTION
FUND
2 107,78 2,84%
CDG IZDIHAR CD2G CDG-CD2G- 0,30% 0,25% 8,22% 35,24% 54,56%
DAR TAWFIR
2 803,88 3,17%
CDG CD2G CD2G 1,00% 1,00% 18,65% 64,22% 93,27%
PATRIMOINE
5 512,85 5,18%
CFG CFG Gestion CFG GROUP 0,50% 0,50% 14,54% 56,26% 93,72%
CROISSANCE et Dar Tawfir
395,86 1,99%
PATRIMOINE CFG Gestion Wafa 3,00% 1,00% 50,82% 132,87 191,78
AVENIR Patrimoine 26 3,08% % %
332,87 108,05
AFG OPTIMAL GESTAR AFAM 1,00% 0,75% 17,08% 68,89%
FUND 5 086,39 5,22% %
SICAV 101,75
13,97% 62,94%
PERSPECTIVE GESTAR SGMB 2,00% 1,50%
%
S 3 645,96 3,37%
MAROC Marogest MSIN et CIH 2,00% 0,50% 19,08% 66,67%
109,48
CROISSANCE %
HORIZON UPLINE Capital UPLINE 3,00% 1,50% 24 3,34% 23,82% 74,10% 114,91
EXPANSION Management SECURITIES 856,72 %
ATTIJARI Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,85% 0,20% 3 599,64 3,46% 11,20% 42,21% 66,70%
RENDEMENT FA BANK
ATTIJARI ATTIJARIWA 125,77
SICAV DES Wafa Gestion 0,85% 0,20% 2 715,65 6,34% 28,12% 91,51%
FA BANK %
SICAV
ATTIJARI Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,85% 0,25% 2 665,30 5,28% 16,73% 69,35% 108,64
SOLIDARITE FA BANK %
CAP Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,85% 0,25% 3 032,91 5,42% 14,58% 71,53% 114,15
EQUILIBRE FA BANK %
CAP Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,00% 0,00% 619,97 3,12% 102,38 291,27 376,31
GENEROSITE* FA BANK % % %
CAPITAL Wafa Gestion ATTIJARIWA 2,50% 1,00% 2 942,45 4,53% 24,89% 103,69 152,92
GARANTI FA BANK % %
CDM OPTIMUM Wafa Gestion CREDIT DU 1,50% 0,50% 3 545,32 5,46% 15,48% 69,53% 111,00
MAROC %
CDM PROFIL Wafa Gestion CREDIT DU 1,50% 0,25% 347,47 3,84% 23,14% 121,01 183,88
EQUILIBRE MAROC % %
PATRIMOINE ATTIJARIWA 123,56
MULTIVALEUR Wafa Gestion 3,00% 1,50% 335,87 4,71% 22,25% 79,16%
FA BANK %
S
PROFIL Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,85% 0,25% 298,68 4,35% 27,68% 94,90% 129,52
HARMONIE FA BANK %
SICAV ATTIJARIWA 106,15 156,89
Wafa Gestion 0,85% 0,00% 3 549,37 6,01% 27,75%
SELECTION FA BANK % %

EVOLUTION
OPCVM RESEAU Droits Valeur DES
HEBDOMADAI GESTIONNAIRE maximu liquidativ VALEURS
PLACEUR
RE m e LIQUIDATIV
ES

OPCVM OBLIGATION MOYEN ET LONG TERME (OMLT)


ASSANAD Al Istitmar Chaabi BANQUE 0,50% 0,20% 2 200,43 0,74% -0,74% 8,08% 13,24%
CHAABI POPULAIRE
FCP AL
IDDIKHAR BANQUE
CHAABI Al Istitmar Chaabi 0,40% 0,20% 111,26 0,25% -0,97% 6,53% 9,96%
POPULAIRE
KASSIR AL
MADA
FCP AL
IDDIKHAR BANQUE
CHAABI Al Istitmar Chaabi 0,40% 0,20% 115,69 0,23% -2,63% 8,74% 13,71%
POPULAIRE
MOUTAWASSI
T AL MADA
FCP AL
IDDIKHAR Al Istitmar Chaabi BANQUE 0,40% 0,20% 118,15 0,09% -3,39% 9,71% 15,89%
CHAABI TAWIL POPULAIRE
AL MADA
FCP KENZ Al Istitmar Chaabi BANQUE 0,50% 0,20% 145,25 0,15% -3,64% 7,65% 14,64%
OBLIGATIONS POPULAIRE
ATLAS ATLAS Atlas Capital 1,00% 0,50% 145,68 1,01% 0,41% 18,53% 21,31%
HARMONIE Management Management
CAPITAL BMCE CAPITAL
OBLIGATIONS BMCE 3,00% 1,50% 1 053,50 1,15% 0,09% 3,65% 6,02%
GESTION
PLUS
FCP CAPITAL
BMCE CAPITAL 16
IMTIYAZ BMCE 1,00% 0,50% 0,79% -0,20% 12,01% 17,44%
GESTION 631,00
SECURITE
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 0,50% 0,25% 1 454,79 0,74% -7,37% 1,15% 5,72%
INSTITUTIONS GESTION
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 3,00% 1,50% 1 439,09 0,31% 2,69% 6,21% 9,32%
RENDEMENT GESTION
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 1,00% 0,50% 102,90 2,15% 2,18% - -
TERME GESTION
BMCE CAPITAL 1,00% 2 690,35 -0,26%
SICAVENIR BMCE 2,00% -7,65% 6,42% 10,57%
GESTION
BMCI 0,25% 3 140,43 -0,67%
EPARGNE BMCI Gestion BMCI 0,50% -1,41% 11,73% 17,28%
OBLIGATIONS
EMERGENCE Capital 3,00%
Capital Gestion 1,50% 1 012,73 0,37% - - -
CAPITAL FUND Gestion
3,27% 15,74% 23,92%
EMERGENCE 1,50% 1 045,45 0,34%
Capital Gestion Capitale 3,00%
FUND
-0,73% - -
CDG Gestion
CD2G 1,50% 1 088,04 0,54%
RENDEMENT - - -
CDG OBLIG CD2G 3,00% 1,50% 1 012,26 0,40%
CD2G
SELECTION
CDG TAWFIR CD2G CD2G 3,00% 0,00% 1 777,98 0,60% -1,53% 9,96% 15,55%
FONDS CDG-CD2G- 0,50% 1,50% 117,02 0,46%
COMMUN DE DAR TAWFIR
CD2G 1,40% 13,03% -
PLACEMENT
SOLIDARITE CDG-CD2G 0,00%
CFG 0,05% 242,99 0,56%
CFG Gestion -0,71% 11,49% 16,27%
RENDEMENT
CFG GROUP 0,05%
AFG INCOME 0,25% 13 -1,01%
GESTAR et Dar Tawfir -3,24% 11,64% 19,32%
FUND 606,11
SG OPTIMAL AFAM 1,00% 0,10% 1 088,50 -0,74%
GESTAR - - -
OBLIG
SICAV OBLIG SGMB 0,50% 0,10% 26 0,55%
GESTAR -1,52% 11,63% 18,67%
PLUS 363,98
FCP MAROC SGMB 0,50% 0,30% 1 945,65 -0,73%
Marogest -2,23% 10,63% 19,09%
OBLIGATIONS
UPLINE UPLINE Capital MSIN et CIH 1,50% 3,00% 995,08 -0,30%
- - -
AVENIR Management
UPLINE 3,00% -2,92% 9,71% 14,59%
UPLINE UPLINE Capital 0,25% 1 590,46 0,53%
RENDEMENT SECURITIES
Management 0,50% 9,10% 13,61%
ATTIJARI UPLINE 0,50% 0,00% 2 065,89 0,12%
Wafa Gestion SECURITIES
OBLIGATIONS
0,53% 4,15% 6,85%
CAP ATTIJARIWA 0,50% 0,00% 181,56 0,64%
Wafa Gestion
OBLIGATIONS
FA BANK -0,52% 7,56% 12,03%
CAP 0,00% 2 511,15 0,76%
Wafa Gestion
REGULARITE
ATTIJARIWA 0,50% 0,29% 7,69% 11,77%
CAP 0,10% 1 360,37 0,89%
RENDEMENT Wafa Gestion FA BANK
PREMIERE
ATTIJARIWA 1,00%

FA BANK

ATTIJARIWA 1,00%

FA BANK
CAP Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,00% 0,00% 148,59 0,60%
0,30% 5,07% 11,54%
SOLIDARITE* FA BANK
CDM CREDIT DU
Wafa Gestion 1,00% 0,50% 2 034,50 0,23% -1,02% 7,77% 12,65%
GENERATION MAROC
CDM PROFIL Wafa Gestion CREDIT DU 0,50% 0,00% 153,47 0,58% 1,21% 15,20% 19,48%
SERENITE MAROC
CDM TRESOR CREDIT DU 0,13% 4,13% 7,42%
Wafa Gestion 1,00% 0,50% 1 142,70 0,05%
PLUS MAROC
PATRIMOINE Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,50% 0,00% 231,63 1,00% -3,59% 10,43%
OBLIGATIONS FA BANK
18,00% 1,41% 16,57%
PROFIL ATTIJARIWA
Wafa Gestion 1,00% 0,00% 182,50 0,72%
SERENITE FA BANK 23,15%
OPCVM OBLIGATION COURT TERME (OCT)

CDG
MONETAIRE CD2G CD2G 0,50% 0,00% 1 312,88 0,38% 2,58% 5,88% 8,47%
PLUS
SG TRESOR GESTAR SGMB 0,00% 0,00% 1 228,01 0,35% 2,78% 6,14% 8,83%
PLUS
UPLINE Capital UPLINE
UPLINE OBLIG 0,50% 0,25% 1 290,66 0,31% 1,51% 4,87% 8,25%
Management SECURITIES
FCP CAP Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,00% 0,00% 393 0,33% 2,27% 4,94% 7,53%
INSTITUTIONS FA BANK 707,38

OPCVM GESTIONNAIRE RESEAU Droits Valeur EVOLUTION


QUOTIDIEN PLACEUR maximu liquidativ DES
m e VALEURS
LIQUIDATIV
ES

OPCVM OBLIGATION COURT TERME


AL AMAL Al Istitmar Chaabi BANQUE 0,00% 0,00% 1 818,19 0,48% 0,82% 1,49% 2,63%
POPULAIRE
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL BMCE 0,00% 0,00% 1 393,90 0,41% 0,55% 1,19% 2,27%
DYNAMIQUE GESTION
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 10
IMTIYAZ BMCE 1,00% 0,50% 0,36% 0,57% 1,30% 2,32%
GESTION 360,41
LIQUIDITE
BMCI CASH BMCI Gestion BMCI 0,00% 0,00% 1 251,45 0,12% 0,95% 1,59% 2,64%
BMCI TRESO BMCI Gestion BMCI 0,00% 0,00% 1 092,75 0,12% 0,80% 1,44% 2,42%
PLUS
EMERGENCE Capital Gestion Capitale 0,00% 0,00% 1 344,81 0,40% 0,99% 1,99% 3,59%
BOND FUND Gestion
CFG LIQUIDITE CFG Gestion CFG GROUP 0,00% 0,00% 141,71 0,36% 0,71% 1,31% 2,29%
et Dar Tawfir
AFG LIQUIDITY GESTAR AFAM 0,00% 0,00% 11 0,33% 0,66% 1,42% 2,45%
FUND 548,99
ATTIJARI ATTIJARIWA 13
MONETAIRE Wafa Gestion 0,00% 0,00% 0,42% 0,64% 1,24% 2,15%
FA BANK 990,01
PLUS
FCP CDM Wafa Gestion CREDIT DU 0,00% 0,00% 25 0,33% 0,50% 1,02% 1,71%
LIQUIDITES MAROC 594,08
OPCVM MONETAIRE
FCP
ALISTITMAR BANQUE 0,00% ATTI 370
Al Istitmar Chaabi JA 0,00%
CHAABI POPULAIRE 783,90
TRESORERIE RI
W
FCP KENZ BANQUE 0,00%
Al Istitmar Chaabi A 0,00% 125,67
PLUS POPULAIRE
FCP CAPITAL BMCE CAPITAL 0,0
BMCE 1,00% 0,50% 1 076,56
MONETAIRE GESTION
0%
BMCE CAPITAL
IRAD BMCE 0,00% 0,00% 1 656,97
GESTION FA
BMCI 428
BMCI Gestion BMCI 0,00% BA 0,00%
TRESORERIE 320,60
EMERGENCE NK
MONEY Capital Gestion Capitale 0,00% 0,00% 1 225,75
MARKET FUND
Gestion
CDG
CD2G 0,00% 1 350,03
TRESORERIE
CDG-CD2G- 0,00%
360
CDG CASH CD2G DAR TAWFIR 0,00%
643,14
CFG CD2G 0,00%
CFG Gestion 0,00% 1 604,96
SECURITE CFG GROUP 0,00%
AFG CASH 11
GESTAR et Dar Tawfir 1,50%
MANAGEMENT 784,25
SICAV SG AFAM 2,00% 135
GESTAR 0,00%
VALEURS 890,79
MAROC SGMB 0,00%
Marogest 0,00% 1 162,88
LIQUIDITE
UPLINE Capital MSIN et CIH 0,00% 14
UPLINE CASH 0,00%
Management 424,21
UPLINE 0,00%
UPLINE UPLINE Capital 12
SECURITIES 0,00%
TRESORERIE Management 145,66
ATTIJARI UPLINE 0,00%
Wafa Gestion SECURITIES 0,00% 3 613,08
TRESORERIE
CAP ATTIJARIWA 0,00%
125
MONETAIRE Wafa Gestion 0,00%
FA BANK 633,37
PREMIERE
CAP 818
Wafa Gestion ATTIJARIWA 0,00% 0,00%
TRESORERIE 328,96
FA BANK
0,24% 0,77%
1,48% 2,71%
0,32% 0,84%
1,67%
2,97%

0,30% 0,85%
1,67%
2,97%

0,29% 0,86%
1,70%
3,14%

0,30% 0,75%
1,51%
2,77%

0,25% 0,73%
1,44%
2,62%

0,38% 1,01%
2,11%
3,95%

0,31% 0,74%
1,47%
2,72%

0,26% 0,74%
1,45%
2,78%

0,26% 0,76%
1,46%
2,61%

0,29% 0,68%
1,44%
2,51%

0,32% 0,73%
1,48%
2,78%

0,26% 0,71%
1,41%
2,59%

0,29% 0,75%
1,46%
2,68%

0,32% 0,82%
1,56%
2,78%

0,36% 0,80%
1,57%
2,78%

0,25% 0,73%
1,48%
2,59%
CDM CASH Wafa Gestion CREDIT DU 0,00% 0,00% 376 0,32% 0,81% 1,56% 2,71%
MAROC 838,38
CDM CREDIT DU
SECURITE Wafa Gestion 0,00% 0,00% 1 362,36 - - - -
MAROC
PLUS
SECURITRESO Wafa Gestion ATTIJARIWA 3,00% 3,00% 100 0,29% - - -
FA BANK 769,71

NB: (*) Fonds Humanitaires : les rendements réalisés par ces Fonds sont irrévocablement
distribués à des oeuvres humanitaires, caritatives et/ou d'intérêt général

Avertissement: Les performances passées d'un OPCVM ne présagent en rien ses performances à venir.

SOURCES : journal économiste janvier 2008

Conclusion...

Depuis une quinzaine d'années, l'économie marocaine vit de profondes


mutations : libération de plusieurs secteurs, libération des prix,
déréglementation et dérégulation bancaire, décloisonnement bancaire,
privatisation des entreprises publiques, convertibilité partielle du dirham
... Ainsi, le pays s'adapte progressivement au nouveau contexte
économique international marqué par la libération, la globalisation et
la mondialisation des échanges.

De tels changements allaient contraindre à l'Etat à revoir en profondeur la


bourse de Casablanca qui n'avait de bourse que le nom puisqu'elle était
totalement absente du système de financement de l'économie nationale. La
réforme de 1993 est donc venue à point. Cinq années après, les statistiques
sont là pour confirmer que d'énormes progrès ont été réalisés dans le
domaine. Néanmoins, la bourse de Casablanca n'est pas pour autant
devenue une place financière émergente à l'instar des pays européens,
américains ou asiatiques. Il reste beaucoup à faire pour qu'elle puisse
pleinement faire partie du club des places financières émergentes
Bibliographie

Présentation du Marché Boursier Marocain Cycle préparatoire de l’ENA Le


18 octobre 2004 Intervenant : Mme Rabha Zeidguy, Professeur à l’ENA

L'Economiste - Mercredi 30 janvier 2008


Document : Introduction à l'analyse technique

Auteur : École des Hautes Études Commerciales

ARCHIVE ALBAYANE 28/03/2007

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