Schema Electrique
Schema Electrique
Schema Electrique
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SOMMAIRE
1. définitions
4. système de repérage
5. Techniques de câblage
6. Installations industrielles
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1. DEFINITIONS
Définition 1
Un schéma électrique est la représentation graphique d'un circuit électrique, basée sur des
conventions. Il montre les composants du circuit sous forme de symboles normalisés, ainsi que
l'alimentation et les signaux reliant ces composants.
Définition 2
Un schéma électrique représente, à l'aide de symboles graphiques, les différentes parties d'un
réseau, d'une installation ou d'un équipement qui sont reliées et connectées fonctionnellement.
Un schéma comporte :
− des traits, qui représentent des connexions électriques entre les composants;
− des repères, qui permettent d’identifier des bornes, des appareils ou organes
d’appareils.
On appelle symbole tout signe figuratif conventionnel visant à représenter de façon simple mais
précise un élément, un système ou un caractéristique particulière.
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- informer un utilisateur sur les caractéristiques ou sur les performances d’un réseau,
d’un dispositif ou d’une machine.
Les symboles d’identification des circuits ne sont jamais employés isolément. Ils s’inscrivent à
côté d’autres symboles d’appareils, de machines ou de lignes pour préciser la nature d’un
courant, le mode de connexion d’un enroulement ou le genre d’un système de distribution :
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- Machines électriques
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- Transformateurs
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Notes techniques
Les plans et les schémas électriques peuvent être accompagnés des notes techniques.
La légende donne des renseignements sur:
Une légende à pour objet de déterminer et d’identifier les composants ou les éléments utilisés
dans un schéma.
- Table des matières qui se trouve au début d’un volume, elle indique par ordre de
pagination croissant, le contenu de chacun des chapitres, des sections ou des parties
du volume. Une brève description ou des titres et sous-titres renvoient aux pages de
contenu.
- Index alphabétique qui peut être situé au début ou à la fin du manuel. La liste de
tous les produits est classifiée par ordre alphabétique croissant.
- Index de section, s’il existe, sert à subdiviser le manuel général par gamme de
produits. Qu’il soit numérique ou alphabétique, la plupart des manuels qui en
possèdent ont une partie de leur tranche colorée vis-à-vis cette même section.
- Index de produits qui servent à guider notre recherche par numéro de série du
manuel ou numéro de modèle du composant.
- Liste des distributeurs qui se trouve à la fin des manuels, une fois le composant
identifié dans le manuel du fabriquant, il est primordial de connaître l’endroit où
adresser le bon de commande. Cette liste peut être adressée par province ou par pays.
Plans électriques
Un plan donne une description complète et détaillée des travaux à réaliser, indique clairement
comment l’installation à exécuter doit être mise en oeuvre et définit les types des travaux, les
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matériaux à utiliser et les modes d’installation. Selon le métier le plan se diffère, il y a par
exemple le plan d’installation électrique, le plan d’architecture, le plan de plomberie, le plan
mécanique…..etc.
• Des symboles représentant des installations, des machines, des appareils, etc.…
• Des traits qui représentent des connexions électriques, des liaisons mécaniques ou
des conditions d’interdépendance entre les différents éléments,
• Des renseignements généraux sur les matériaux, les produits, l’équipement, les
dimensions des divers éléments, l’identification des produits, les tableaux et les listes
des matériaux de finition.
a) Représentation unifilaire :
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Deux ou plus de deux conducteurs sont représentés par un trait unique. On indique sur ce trait le
nombre de conducteurs en parallèle. Cette représentation est surtout utilisée en triphasé.
b) Représentation multifilaire
multifilaire :
Chaque conducteur est représenté par un trait
Exemple de schéma : démarrage direct d'un moteur triphasé (circuit de puissance).
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Selon l'emplacement des symboles
Représentation assemblée :
Les symboles des différents éléments d'un même appareil, ou d'un même équipement, sont
représentés juxtaposés sur le schéma.
Représentation rangée :
Les symboles des différents éléments d'un même appareil ou d'une même installation sont séparés et
disposés de façon que l'on puisse tracer facilement les symboles des liaisons mécaniques entre
différents éléments qui manoeuvre ensemble (la bobine K2 et ses contacts sont dessinés juxtaposés).
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Représentation développée :
Les symboles des différents éléments d'un même appareil ou d'une même installation sont séparés et
disposés de manière que le tracé de chaque circuit puisse être facilement suivi. C'est la tendance
actuelle dans tous les schémas de commandes.
elle est fondée sur une notation alphanumérique employant des lettres majuscules et des chiffres
arabes.
Les lettres I et O ne doivent pas être utilisées (pour éviter les confusions I 1 et O 0).
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Pour un groupe d'élément :
Pour un groupe d'éléments semblables, les extrémités des éléments seront désignés t par des lettres
de référence qui précéderont les nombres de référence indiqué au paragraphe (a).
Exemple : U, V, W pour les phases d'un système alternatif triphasé.
Lettres de référence
les lettres de référence seront choisies :
- en courant continu dans la première partie de l'alphabet,
- en courant alternatif dans la seconde partie de l'alphabet.
Contacts principaux :
les bornes sont repérées par un seul chiffre de 1 à 6 (tripolaire), de 1 à 8 (tétrapolaire).
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Contacts auxiliaires :
ils sont repérés par un nombre de deux chiffres. Le chiffre des unités indique la fonction du contact.
Le chiffre des dizaines indique le numéro d'ordre de chaque contact auxiliaire de l'appareil.
Organe de commande :
on utilise A1 et A2. Pour deux enroulements (ex : relais bistable) on utilisera A1-A2 et B1-B2.
Marquages particuliers :ils concernent les bornes raccordées à des conducteurs bien définis
4. Système de repérage
Repérage équipotentiel
C'est le plus simple à mettre en oeuvre. Tous les conducteurs toujours soumis au même potentiel
portent un même numéro. Le numéro change lorsqu'il y a possibilité d'ouverture du circuit.
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Exemples:
La méthode consiste à affecter aux conducteurs les numéros de repères donnés aux matériels par les
constructeurs. Un adressage est nécessaire pour ne pas confondre les conducteurs raccordés sur du
matériel similaire.
Exemples:
Le repérage individuel des conducteurs est généralement nécessaire pour un schéma des connexions,
pour un schéma explicatif détaillé et pour un schéma général des connexions.
Le repérage peut être fixé lors de l'étude du schéma ou dans les cas simples, choisi lors de la pose des
conducteurs ; on doit alors reporter les repères sur le schéma ou sur un document annexe.
Repérage dépendant : Le repère du conducteur reproduit les marques des bornes ou des équipements
auxquelles les deux extrémités de ce conducteur doivent être raccordées.
Repérage indépendant : il utilise le même repère généralement simple tout le long du conducteur.
Généralement un schéma ou un tableau de connexions doit être employé.
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Repérages particuliers
5. Techniques de câblage
Un câble d’alimentation est toujours connecté en bas à gauche de l’armoire de câblage sur des
bornes « puissance ». La connexion doit être rigide. Si le câble est souple, il faut obligatoirement sertir
des embouts rigides.
Pour garantir la connexion, tous les conducteurs souples doivent être sertis d’embouts adaptés à la
section (0,75 mm² 1,5 mm² ou plus)
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L’armoire électrique
Toute l’armoire doit être conforme à l’IP imposé par l’environnement. Par exemple IP 55.Donc toutes
les entrées et sorties de câbles doivent répondre à l’étanchéité exigée. Chaque câble est obligatoirement
rond et pénètre dans l’armoire par un « Presse étoupe » adapté au diamètre du câble.
A l’intérieur de l’armoire, tous les appareils doivent être repérés avec leur nom de schéma et leur
fonction Par exemple : Q2 – protection primaire transformateur T1
Toutes les bornes doivent être repérées par un numéro. Tous les conducteurs commande doivent
également être repérés par un numéro. Chaque borne ne peut recevoir que 1 ou 2 connexions, jamais
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plus. Toutes les connexions doivent être IP2, et serrées dans le sens horaire et de manière à enfoncer
le conducteur dans son logement.
Dénuder le conducteur de la longueur de la cage de la borne sans entamer le cuivre ! Torsader les
brins souples dans le sens de toronage.
Dévisser entièrement la vis et engager tous les brins souples dans la borne sans pince l’isolant, ni
laisser dépasser du cuivre. S’il n’y a qu’un seul conducteur, l’engager en haut à droite mais en bas à
gauche pour favoriser la connexion. S’il y a deux conducteurs, les engager de part et d’autre de la vis.
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Ne pas tendre le conducteur, mais laisser quelques millimètres de « mou » pour les écarts de
températures et pouvoir refaire la connexion le cas échéant.
Tous les conducteurs doivent être exclusivement verticaux et en vis-à-vis de l’alvéole de la goulotte.
Connexion PE (terre) ou liaison équipotentielle.
Tous les éléments métalliques sont reliés à la terre : grille porte d’armoire tous les appareils classe I.
Les bornes de terre sont spéciales, de couleur Vert/jaune et reliées à la masse par le rail : Il faut autant
de bornes de terre que de câbles alimentant des appareils classe I Toutes les bornes sont
interconnectées en amont. Un seul conducteur doit sortir en aval.
Le bornier
Le bornier sépare la partie câblage d’armoire des extérieurs du système. Très souvent, deux personnes
distinctes peuvent intervenir.
- Un autre électricien câble sur le chantier les extérieurs et l’aval du bornier (l’installateur)
Il est évident que le bornier doit donc être repéré parfaitement et chaque borne doit avoir une
destination connue, un tenant et un aboutissant conforme au schéma.
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Les extérieurs
Photo des gaines et câbles possibles + détail du presse étoupe. Chaque élément extérieur, que ce soit
un moteur, un capteur, une boite à boutons, des voyants… est relié par une canalisation de type câble
ou de type gaine.
L’indice de protection doit être conforme du départ de l’armoire à l’arrivée sur l’appareil. Les presse-
étoupe et embouts d’étanchéité sont obligatoires en amont comme en aval.
Implantation du matériel.
Lors de la mise en place du matériel sur la platine, il est conseillé de respecter les règles suivantes,
qu'il s'agisse d'un câblage en torons ou d'un câblage en goulottes.
- Câblage sous goulottes, laisser de 3 à 4 cm entre les goulottes et les appareils, le bas des
goulottes et le haut des borniers.
Il est préférable de placer l'un à coté de l'autre les contacteurs ayant des fonctions analogues, telles que:
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- gauche (GA) - droite (DR)
Lors de l'implantation des contacteurs (auxiliaires ou de puissance), il faudra que la tension des
bobines puisse être lue par le dessus de la platine.
1) Contacts.
2) Boîte à boutons.
Entrées à gauche
Sorties à droite
3) Bobines.
Les connexions.
- Régler la pince à dénuder, pour ne pas marquer le conducteur s'il est rigide ou ne pas
couper de brins s'il est souple.
- Dénuder suffisamment le conducteur, de telle sorte que l'isolant arrive au ras de la borne
de raccordement.
- Dévisser suffisamment les bornes pour éviter les brins à l'extérieur de la connexion.
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Pour la mise en place de deux conducteurs : il faut placer les conducteurs de part et d'autre de la borne,
afin de repartir les efforts de serrage.
Remarque: raccorder au maximum deux conducteurs par borne, il est toujours possible de se reprendre
sur une borne où est raccordé un seul conducteur.
Règles de câblage.
Ce paragraphe s'applique principalement au câblage en goulottes. Les règles suivantes devront être
impérativement respectées.
- Commencer par câbler, pour le circuit de commande, le retour des récepteurs, puis la
boite à boutons ou la porte d'armoire et enfin l'intérieur platine.
- Laisser du mou dans les goulottes et arrondir les conducteurs entre la sortie de la goulotte
et l'appareil.
Procédure de câblage.
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Repasser sur toute la longueur le conducteur câblé afin de savoir à tout moment ou l'on
se trouve.
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Le matériel
Dans une armoire industrielle, l’implantation des équipements est déterminante car elle conditionne la
réussite et la qualité du câblage. Les matériels sont généralement encliquetés directement sur des
profilés standards, «rails oméga» ou «rails DIN».
La fixation peut se réaliser sur grille perforée, sur châssis, montage sur barreau ou sur platine.
La goulotte a pour rôle d'organiser le passage des conducteurs entre les différents appareils d'une
armoire électrique
Elles peuvent être montées, rivetées sur une plaque ou vissées sur des écrous s'adaptant aux profilés
métalliques. Elles sont choisies en fonction de la section et du nombre de conducteurs qu'elles doivent
accueillir. Il est souvent recommandé de prévoir 10 à 30 % de réserve lors du choix des profilés.
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Méthode de montage
3. Positionner le matériel afin de repérer l'emplacement des rails et des goulottes (tracer le repérage
au crayon).
4. évaluer la longueur et débiter les goulottes et les rails en faisant attention de monter le bon type de
rail.
5. Fixer les rails et les goulottes en évitant de laisser un espace trop restreint entre l’appareillage et la
goulotte sinon il est difficile de câbler. Parfois sur un même rail les appareils encliquetés ont des
pas différents, dans ce cas l’espace utile doit être prévu en fonction du plus encombrant.
7. Réaliser le câblage après avoir insérer la grille ou la platine équipée dans l’armoire.
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Connexions
Ils sont très souvent utilisés car ils améliorent la qualité de la connexion, ils évitent les brins hirsutes
causes de courts-circuits.
Le sertissage des embouts doit normalement se faire avec une pince spéciale. Si l’on ne possède pas
cette pince, on peut agir, de façon modérée, à la pince coupante.
Les cosses :
Pour les circuits de puissance (jeux de barres) ainsi que pour les conducteurs de terre l'utilisation de
cosses fermées est fortement conseillée.
Le sertissage doit se réaliser exclusivement à la pince à sertir. Dans tous les cas, la longueur de
dénudage doit correspondre à la longueur conductrice de l’embout ou de la cosse
Serrage
Pour réaliser un travail de qualité il est nécessaire d’utiliser des tournevis adaptés aux tailles et aux
empruntes des vis.
Conducteur de protection
Les conducteurs de protection sont repérés par leur couleur vert-jaune. Les connexions de conducteurs
de protection sur le conducteur principal de protection doivent être réalisées individuellement de
manière à ce que, si un conducteur vient à être interrompu, la liaison de tous les autres conducteurs de
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protection au conducteur principal demeure assurée. Les masses des matériels ne doivent pas être
connectées en série sur un conducteur de protection. (Câblage en étoile à partir d'un répartiteur de
terre).
Tout câblage est un travail qui demande une certaine réflexion. Avant de se lancer tête baissée dans le
raccordement, il est conseillé de lire attentivement le schéma, de prendre note des spécificités du
raccordement de certains appareils (couple de serrage, plan de bornier de raccordement etc.), des
sections à utiliser et des consignes de câblage issues du cahier des charges.
La section minimale utilisable en puissance est le 2,5 mm². Attention, respecter le repérage
technologique si celui-ci est porté sur le schéma. Placer les repères de fil au fur et à mesure du
raccordement. (lecture de gauche à droite ou de bas en haut)
N.B. : En principe, la puissance est en noir.
Technique du toron
o Confectionner ensuite le toron en maintenant la position des fils les uns par
rapport aux autres et en attachant environ tout les 2 à 3 cm. Lors d'une liaison
avec une partie mobile (porte par exemple), on réalise une boucle en vue de
faciliter le mouvement.
o A l'autre extrémité, par exemple sur une boite à boutons, les fils sont peu à peu
dispatchés en les faisant partir si possible sur l'arrière du toron (face non visible).
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6. Installations industrielles
Circuit de commande
Il comporte l’appareillage nécessaire à la commande des récepteurs de puissance. On trouve :
o La source d’alimentation
o Un appareil d’isolement (sectionneur).
o Une protection du circuit (fusible, disjoncteur).
o Un appareil de commande ou de contrôle (bouton poussoir, détecteur de grandeur
physique).
o Organes de commande (bobine du contacteur).
La source d’alimentation et l’appareillage du circuit de commande ne sont pas nécessairement celle du
circuit de puissance, elle dépend des caractéristiques de la bobine.
Circuit de puissance
Il comporte l’appareillage nécessaire aux fonctionnements des récepteurs de puissance suivant un
automatisme bien défini. On trouve :
o Une source de puissance (généralement réseau triphasé)
o Un appareil d’isolement (sectionneur).
o Une protection du circuit (fusible, relais de protection).
o Appareils de commande (les contacts de puissance du contacteur).
o Des récepteurs de puissances (moteurs).
Les appareils de commande, de signalisation et de protection
Disjoncteur
C’est un appareil de protection qui comporte deux relais, relais magnétique qui protège contre les
courts-circuits et un relais thermique qui protège contre les surcharges.
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Sectionneur
Sa fonction : Assurer le sectionnement (séparation du réseau) au départ des équipements. Dans la
plupart des cas il comporte des fusibles de protection
Interrupteur sectionneur
Interrupteur sectionneur Symbole L’interrupteur sectionneur a un pouvoir de coupure, peut être
manipulé en charge.
Fusible
C’est élément comportant un fil conducteur, grâce à sa fusion, il interrompe le circuit électrique
lorsqu’il est soumis à une intensité du courant qui dépasse la valeur maximale supportée par le fil.
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Il existe plusieurs types de fusibles :
Relais thermique Le relais de protection thermique protège le moteur contre les surcharges.
Le contacteur
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Capteur de fin de course
Les blocs auxiliaires temporisés servent à retarder l'action d'un contacteur (lors de sa mise sous
tension ou lors de son arrêt)
Le bloc de contact auxiliaire est un appareil mécanique de connexion qui s’adapte sur les
contacteurs. Il permet d’ajouter de 2 à 4 contacts supplémentaires au contacteur. Les contacts sont
prévus pour être utilisés dans la partie commande des circuits. Ils ont la même désignation et
repérage dans les schémas que le contacteur sur lequel ils sont installés (KA, KM...).
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Contacteur auxiliaire
Lampes de signalisations
Signalisation visuelle du fonctionnement normal du système, ou défauts.
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7. Moteurs asynchrones triphasés
Principe de fonctionnement
Explication :
Le champ magnétique tournant, produit par l’aimant en rotation, induit dans le disque conducteur en
cuivre des courants de Foucault. Ceux-ci d’après la loi de Lenz doivent s’opposer à la cause qui leur a
donné naissance. Comme les courants induits ne peuvent empêcher la rotation de l’aimant, ils
entraînent le disque en rotation, ce qui diminue le déplacement relatif du champ , mais, en aucun cas,
le disque ne peut atteindre la vitesse du champ sinon il y aurait suppression du phénomène qui est à
l’origine des courants induits. Création d’un champ tournant en triphasé (figure 2) Si on alimente 3
bobines identiques placées à 120° par une tension alternative triphasée :
Une aiguille aimantée, placée au centre, est entraînée en rotation ; il y a donc bien
création d’un champ tournant.
Un disque métallique en aluminium ou en cuivre est entraîné dans le même sens que
l’aiguille aimantée.
En inversant deux des trois fils de l’alimentation triphasée, l’aiguille, ou le disque
tourne en sens inverse.
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Ce principe est appliqué au moteur asynchrone en remplaçant la partie tournante par élément
cylindrique appelé rotor qui comporte un bobinage triphasé accessible par trois bagues et trois balais,
ou une cage d’écureuil non accessible, à base de barres en aluminium. Dans les deux cas, le circuit
rotorique doit être mis en court-circuit
Détermination du couplage
A partir de les indications données par la plaque signalétique et le réseau d’alimentation l’utilisateur
doit coupler adéquatement les enroulements du stator soit en triangle soit en étoile.
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Si la plus petite tension de la plaque signalétique du moteur correspond à la tension
entre phases du réseau on adopte le couplage.
On utilise des barrettes pour assurer le couplage choisi des enroulements sur la plaque à bornes du
moteur.
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Principe Dans ce procédé de démarrage, le moteur asynchrone est branché directement au réseau
d’alimentation le démarrage s’effectue en un seul temps. Le courant de démarrage peut atteindre 4 à 8
fois le courant nominal du moteur. Le couple de décollage est important, peut atteindre 1,5 fois le
couple nominale.
Circuit de puissance
Circuit de commande
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Démarrage direct semi-automatique à deux sens de marche
On veut démarrer un moteur asynchrone triphasé dans deux sens de rotation, par un bouton poussoir
S1 pour le sens 1, par un bouton poussoir S2 pour le sens 2 et un bouton poussoir S0 pour l’arrêt.
Circuit de puissance
Circuit de commande
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Démarrage direct semi-automatique à deux sens de marche avec butées de fin de course On veut
démarrer un moteur asynchrone triphasé dans deux sens de rotation par l’action de deux boutons
poussoirs, S1 pour le sens 1, S2 pour le sens 2. Chaque sens est arrêté par une butée de fin de course,
respectivement S3 pour le sens 1 et S4 pour le sens 2. Un bouton poussoir S0 arrête le moteur à
n’importe quel instant.
Circuit de puissance : Même circuit de puissance
Circuit de commande
Démarrage direct semi-automatique à deux sens de marche avec butées de fin de course et inversion
de sens de rotation Dans ce cas de démarrage, la butée S3 ou S4, une fois actionnée, elle change le
sens de marche du moteur. Circuit de puissance : Même circuit de puissance
Circuit de commande
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Limitation du courant de démarrage
Contrairement au démarrage direct, le démarrage des moteurs moyennes et fortes puissances nécessite
l’utilisation de procédés de limitation de courant de démarrage tout en maintenant les performances
mécaniques de l’ensemble « moteur-machine entraînée ». Il existe deux types d’actions :
Action sur le stator : Consiste à réduire la tension aux bornes des enroulements statoriques.
o Couplage étoile-triangle,
o Elimination des résistances statoriques,
o Utilisation d’un autotransformateur.
Démarrage étoile-triangle
o 1er temps : chaque enroulement du stator est alimenté sous une tension réduite
en utilisant le couplage Y. Il est le temps nécessaire pour que la vitesse du moteur
atteigne environ 80% de sa vitesse nominale.
o 2ème temps : chaque enroulement du stator est alimenté par sa tension nominale
changeant le couplage au triangle.
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Ce type de démarrage est utilisé pour les moteurs à couplage lors de leur fonctionnement normal.
Exemple :
Un moteur 400V/690V sur un réseau 230V/400V
Circuit de puissance
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Circuit de commande
Solution1 :
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Démarrage étoile-triangle semi-automatique à deux sens de marche IV.3.1. Circuit de puissance
Circuit de commande
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Démarrage par élimination de résistances statoriques
Circuit de puissance
Circuit de commande
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Démarrage par élimination de résistances statoriques à deux sens de marche
Circuit de puissance
Circuit de commande
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Démarrage par élimination de résistances rotoriques
VI.1. Principe Ce type de démarrage est utilisé pour les moteurs à rotor bobiné dont les enroulements
sont couplés en Y, et les trois sorties sont soudés à des bagues fixées sur l’arbre du moteur auxquels on
peut insérer des résistances à l’aide de balais frotteurs.
Ce démarrage consiste à alimenter le stator du moteur par la tension nominale et éliminer les
résistances rotoriques en plusieurs temps (3 temps au minimum).
1er temps : On insère la totalité des résistances dans les enroulements du rotor.
2ème temps : On diminue la résistance du circuit rotor en éliminant une partie des résistances insérées.
3ème temps : On élimine toutes les résistances rotoriques en court-circuitant les enroulements du rotor.
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Circuit de commande
Solution 1 :
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Solution 2 :
Démarrage par élimination de résistances rotoriques, deux sens de marche (démarrage en deux
temps)
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Circuit de commande
Démarreurs électroniques
Fonction
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Exemple (démarreur de type ATS)
Introduction Il existe plusieurs procédés de freinage pour moteurs asynchrones; il faut distinguer :
o Le freinage avec arrêt immédiat obtenu à l'aide de moteurs spéciaux (moteur frein),
o Le freinage par ralentissement applicable à tous les types de moteurs asynchrones.
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A manque de courant : le frein est actionné mécaniquement (système de ressorts au repos), il est
souvent utilisé pour des raisons de sécurité : lorsque le moteur n’est pas alimenté (arrêt normal ou arrêt
d’urgence) le freinage est réalisé.
L’électroaimant est alimenté en triphasé, branché en parallèle sur les enroulements statoriques.
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Moteur frein à appel de courant
Remarques - C’est un mode de freinage très efficace. Le ralentissement est violent. - Ce freinage doit
être interrompu dès l’arrêt du rotor sinon risque de redémarrer dans le sens inverse. - Il n’y a pas de
blocage.
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Schémas de puissance et de commande dans le cas d’un moteur en court-circuit
Schémas de puissance et de commande dans le cas d’un moteur à bagues Tout comme pour le
démarrage, les résistances rotoriques sont mises en service, durant le freinage, afin de limiter le
courant absorbé par le moteur.
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Schémas des circuits de puissance et de commande
Principe On déconnecte les enroulements du stator, puis on les alimente avec une source de tension
redressée. Le champ tournant est remplacé ainsi par un champ fixe (créé par la source de tension
redressée) qui provoque le ralentissement du rotor.
Remarque
Critique
Avantage : pas de risque de démarrage dans l’autre sens.
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Schémas des circuits de puissance et de commande
Dans un grand nombre d'applications, l'arrêt du moteur est obtenu simplement par décélération
naturelle. Le temps de décélération dépend alors uniquement de l'inertie de la machine entraînée. Mais
il est souvent nécessaire de réduire ce temps. Le freinage électrique apporte dans ce cas une solution
efficace et simple. Par rapport aux freinages mécanique, il offre l'avantage d'être régulier et de ne
mettre en oeuvre aucune pièce d'usure.
Le moteur asynchrone est capable de fonctionner dans les quatre quadrants. Il développe un couple
moteur dans l'un et l'autre sens dans les quadrants Q1 et Q3 et un couple de freinage dans les quadrants
Q2 et Q4. L'inversion du sens de rotation s'obtient en intervertissant deux des trois phases
d'alimentation du moteur, ce qui a pour effet d'inverser le sens du champ tournant.
Lorsque la sécurité l'exige, le freinage doit permettre d'obtenir un temps d'arrêt plus court que celui
obtenu par un simple appui sur le bouton d'arrêt.
Ainsi, prenons l'exemple d'une scie circulaire machine réputée dangereuse. Le freinage doit être
immédiat lors de l'appui sur AU (bouton Arrêt d'Urgence).
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10. Travaux à entreprendre lors de la recherche de panne
Suite à l’arrêt non désiré d’une machine et avant toute intervention il faut se mettre en sécurité. La
machine est susceptible de se remettre en marche instantanément :
• Du fait d’une action de soi-même ou d’une autre personne (déblocage d’un capteur
de position bloqué,…).
Il faut être d’autant plus vigilant que plusieurs opérateurs sont susceptibles de rechercher et résoudre le
problème. La consignation de la machine est obligatoire avant toute intervention. Pour toutes les
opérations d’ordre électrique décrites ci-après, il est rappelé qu’elles nécessitent de disposer des
habilitations électriques correspondantes.
Notamment :
Le premier point à contrôler est le déclenchement d’un arrêt d’urgence (intentionnel ou intempestif).
Des changements de température peuvent provoquer une dilatation suffisante du câble et donc la
détection. On vérifiera aussi l’ouverture éventuelle de carters, trappes, grilles de protection à capteurs
d’ouverture (fonctionnant comme des arrêts d’urgence).
• Électricité,
• Air comprimé,
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• Pression hydraulique,
• Gaz, fuel,
• …
En cas de déclenchement d’un de ces dispositifs, un seul ré-enclenchement sans recherche de cause est
autorisé. En cas de coupure à nouveau, il faudra faire appel à un électricien pour déterminer et traiter la
cause des déclenchements.
Il est interdit de modifier le réglage des dispositifs de sécurité (disjoncteurs, relais thermiques,
différentiels,…). Ces pratiques peuvent effectivement permettre la remise en marche de la machine
mais peuvent aussi provoquer la mise en danger des personnes et la casse de matériel.
Il faut ensuite vérifier que la machine dispose des matières ou fournitures nécessaire à son
fonctionnement.
Ces étapes préliminaires ont l’avantage de ne nécessiter aucun moyen technique et ne prennent que
quelques minutes :
• Vérification générale
La dernière étape rapide, quant elle est possible, consiste en la lecture des codes « défaut » signalés par
la machine.
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• De simples références (par exemple alphanumérique) auquel cas il faudra se référer à
la documentation ou au service technique du constructeur.
Ils récupèrent des informations sur l’état de la machine, sur l’environnement et sur les matières traitées
ainsi que les consignes utilisateur :
• Position,
• Température,
• Humidité,
• …
La fonction des informations remontées depuis les capteurs (mesure de grandeurs physiques et
consignes utilisateur), la « partie commande » fait fonctionner les actionneurs :
• Moteur,
• Vérin,
• Électrovanne,
• Résistance,
• …
• …
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Pour la détermination des actionneurs à activer en fonction de l’état des capteurs, la partie commande
conduit un algorithme (cycle de travail).
Dans le diagramme Capteurs -> Partie commande -> Actionneurs, la recherche se fera dans l’ordre
suivant :
Cet ordre n’est pas obligatoire, il est dicté par les statistiques d’occurrence de panne et la complexité
de recherche :
• Les capteurs sont simples à tester (en général) et sont les plus susceptibles de pannes
(constat statistique)
• La partie commande est très compliquée à contrôler (nécessité d’une expertise dans
le domaine) et beaucoup moins sujette aux pannes (notamment en automate programmable
ou ordinateur)
Cet ordre préférentiel de recherche pourra être remis en question si une information quelconque donne
une « piste » de recherche préférentielle :
Les capteurs « tout ou rien » se comportent pratiquement comme des interrupteurs commandés par une
grandeur physique :
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• capteur de position, capteur « fin de course », commutent lors de la détection d’une
position physique,
• …
Une bonne majorité des capteurs utilisés dans l’industrie est de type « tout-ou-rien ».Leur
fonctionnement peut donc être tester à l’aide d’un multimètre en fonction ohmmètre ou continuité :
Il sera nécessaire de connaitre les tensions d’alimentation d’un actionneur pour le tester.
• Placer la partie commande dans un état où elle alimente l’actionneur (par exemple
avec la fonction de marche forcée),
En présence des tensions requises et sans réaction de l’actionneur, celui-ci peut être incriminé. En
l’absence de tension, on orientera les recherches sur les capteurs et la partie commande.
Certaines parties commande dispose d’une carte électronique commandant les actionneurs munie de
voyants permettant de contrôler directement si un actionneur est sollicité ou non.
Une autre méthode consiste à alimenter en direct l’actionneur pour vérifier son bon fonctionnement :
• Dé-câblage de l’actionneur,
On prêtera attention au fait que lors de l’alimentation directe, les arrêts d’urgences n’opèrent plus.
Il faudra aussi juger de la possibilité technique de « forcer » l’actionneur sans provoquer de dégâts
autres (ex: la mise en marche d’un seul moteur sur un tapis normalement entrainé par 4 moteurs peut
provoquer une surcharge violente sur celui-ci et donc sa destruction).
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Contrôle des conditions initiales requises pour démarrage
Il faut se référer :
pour remettre la machine dans un état où la partie commande autorise le redémarrage. (Par exemple, la
présence d’un moule dans l’unité de coulée peut empêcher le démarrage, le manque d’une tuile cassée
et enlevée mais non remplacée peut provoquer une erreur de comptage)
Il faudra éventuellement, en marche manuelle, repositionner la machine dans un état compatible avec
le redémarrage automatique.
Sur certains systèmes il sera nécessaire « d’acquitter » le défaut par utilisation de la commande
appropriée sur l’interface de commande. En cas de refus de redémarrage, on peut aussi provoquer un «
reset » ou remise à zéro de l’électronique :
Lorsque la panne est hors du cadre des opérations que l’équipe de production peut réaliser :
• Nom de l’intervenant,
• Téléphone de l’intervenant,
• Localisation de la panne,
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• Descriptif précis de l’intervention,
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11. LECTURE DE SCHEMAS
ELECTRIQUES
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Schéma de commande et de puissance Frein à appel de courant
La mise en fonctionnement ou l’arrêt normal du moteur se fait par respectivement S1 et S3.La mise en fonctionnement du frein se fait par
l’intermédiaire de S2 (et KM2). Il faut ce faisant arrêter le moteur. Le frein doit, en plus, être auto-maintenu et s’arrêter en cas de redémarrage du
moteur.
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