Ce document long et complexe traite de la topologie du discours et de la façon dont le réel se constitue à travers le langage. L'auteur explique comment certaines coupures dans le discours peuvent modifier sa structure fondamentale.
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Ce document long et complexe traite de la topologie du discours et de la façon dont le réel se constitue à travers le langage. L'auteur explique comment certaines coupures dans le discours peuvent modifier sa structure fondamentale.
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L ÉTOURDIT
du propos d'articuler topologiquement le discours lui-même,
c'e§t du défaut dans l'univers qu'il prorede, à condition que pas lui non plus ne prétende à le suppléer. De cela " réalisant la topologie ", je ne sors pas du fantasme même à en rendre compte; mais la recueillant en fleur de la mathé mathique, cette topologie, - soit de ce qu'elle s'inscrive d'un discours, le plus vidé de sens qui soit, de se passer de toute méta phore, d'être métonymiquement d'ab-sens, je confirme que c'eft du discours dont se fonde la réalité du fantasme, que de cette réalité ce qu'il y a de réelse trouve inscrit. Pourquoi ce réel ne serait-ce pas le nombre, et tout cru apres tout, que véhicule bien le langage? Mais ce n'est pas si simple, c'e§t le cas de le dire (cas que je me hâte toujours de conjurer en disant que e'eft le cas). Car ce qui se profere du dire de Cantor, c'est que la suite des nombres ne représente rien d'autre dans le transfini que l'inacces sibilité qui commence au deux, par quoi .d'eux se constitue l'énu�é rable à l'infini. Des lors une topologie se nécessite de ce que le réel ne lui revienne que du discours de l'analyse, pour. ce discours, le confir mer, et que ce soit de la béance que ce discours ouvre à se refermer au-delà des autres discours, que ce réel se trouve ex-sifter. C'eát ce que je vais faire maintenant toucher.
Ma topologie n'eát pas d'une subátance à poser au-delà du réel
ce dont une pratique se motive. Elle n'eft pas théorie. Mais elle doit rendre compte de ce que, coupures du discours, il y en a de telles qu'elles modifient la §truéhire qu'il accueille d'origine. C'eft pure dérobade que d'en extérioriser ce réel de ftandards, átandards dits de vie dont primeraient des sujets dans leur exiftence, à ne parler que pour exprimer leurs sentiments des choses, la pédanterie du mot " affe8: " n'y changeant rien. Comment cette secondarité mordrait-elle sur le primaire qui là se subfütue à la logique de l'iaconscient? Serait-ce effet de la sagesse qui y iaterviendra? Les §tandards à quoi l'on recourt, y contredisent juftement. Mais à argumenter dans cette banalité, déjà l'on passe à la théo-