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REPUBLIQUE DE GUINEE

Travail - Justice - Solidarité

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT UNIVERSITAIRE ET DE LA RECHERCHE


SCIENTIFIQUE

INSTITUT SUPERIEUR D’ARCHITECTURE ET


D’URBANISME (ISAU)

Mémoire de fin d’études


supérieures

Thème : Projection d’un complexe sportif


à Fria

Professeur consultant Etudiants

Arch. TOURE M. Rachid ANKILIDINE Abdou Hadji


DIALLO Abdoul AZIZ
William Koideur Nahim
SOMMAIRE

Partie I : Partie orientative


Chapitre I : Approche orientative
I. Introduction générale
II. Problématiques générales
III. Hypothèses de travail
IV. Méthodologies de travail
Partie II : Partie opérative
Chapitre I : Approche de l’état des lieux
I.1. Etat des lieux (zone d’études)
I.2. Problématiques spécifiques
Chapitre II : Approche thématique
II.1. Choix du thème
II.1.1. Critères subjectifs
II.1.2. Critères objectifs
II.2. Analyse du thème
II.2.1. Définitions
II.2.2. Historique du thème
II.3. Analyse des composantes du thème
II.4. Etablissement du préprogramme 1
II.5. Analyse des exemples du thème
II.5.1. Exemples nationaux
II.5.2. Exemples internationaux
II.5.3. Etablissement du préprogramme 2

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Partie I : Partie orientative

Chapitre I : Approche orientatitve

I. Introduction générale

Dans un monde ou le sport prend de plus en plus d’ampleur dans les sociétés humaines,
que ce soit dans le cadre culturel, récréatif, éducatif ou de la cohésion sociale, le rôle unificateur
de ce secteur parait évident. Le sport permet non seulement de cultiver des valeurs morales telles
que le respect de l’autre, la tolérance, le sens du partage, la solidarité, le dépassement de soi, la
compétitivité mais également le corps et l’esprit. De ce fait, il tient une place de premier choix
dans l’entretien de la santé tant physique que mentale comme l’a si bien écrit Juvénal : « Un esprit
sain dans un corps sain ».

Au 21 e siècle, la place que tient le sport est indéniable tant il est l’élément moteur pour une nation
peu connue d’affirmer son identité à l’international lors de compétitions et d’être visible sur le plan
touristique. Ainsi, les pays disposant d’infrastructures sportives adéquates seront plus aptes à
former des sportifs de haut niveau, à recevoir des compétitions internationales et donc à profiter
de la rente touristique qu’offre cette reconnaissance. Tel est le cas de l’Afrique du Sud qui a vu sa
croissance économique augmentée de plus de 5 milliards de dollars et la création de 1,3 millions
d'emploi, notamment dans la construction des stades, des routes, dans le tourisme et d'autres
industries connexes lors de la coupe du monde de 2010.

En Guinée, un pays de plus de 14.6 millions de personnes, bien que le sport soit ancré dans la
culture, il ne bénéficie pas des privilèges et avantages dû à son rang. En effet, après
l’indépendance du pays en 1958, il n’existait que 35 terrains de football dans tout le pays, 6 pistes
d’athlétismes et 3terrains de hand-Ball. Des terrains de Basket, Volley-ball et de Tennis existaient
dans quelques villes du pays, mais les sols, dans la majorité des cas étaient de mauvaise qualité,
parce que fissurés et affaissés en maintes endroits. Sur ces 35 terrains de football qui recevaient
les matches de championnat et de la coupe nationale, hormis le stade du "28 Septembre", les
terrains de Sangarédi (Boké) et de Gbenko (Kérouané), il n'existait aucun autre qui soit gazonné,
ou même stabilisé mécaniquement. Il faut noter que les deux derniers ne comportaient pas de
tribunes pour les spectateurs. Au niveau des disciplines aquatiques, le pays ne dispose que de
deux piscines dont olympique à Conakry et l’autre semi-olympique à Fria. De ces deux piscines,
seule celle de Conakry, la piscine de Marocana, est toujours en état de marche mais a été
privatisée. Ce n’est qu’en 1993 que l’Etat promulgua sa première politique en faveur de la
jeunesse. Politique dont les objectifs prioritaires visaient à promouvoir la jeunesse et à garantir la
pratique de l’éducation physique et des sports à la base, à favoriser l’enseignement de l’EPS à
l’école et l’émergence d’une élite sportive qui représentera la Guinée dans les compétitions
internationales. Cependant le manque de concertation de tous les acteurs (jeunes, sociétés
civiles) et l’absence d’un plan d’action concrète et de stratégies de mobilisation des ressources et
du budget pour la réalisation des objectifs prévus ont freiné cette politique. On estime à
200.000.000.000 fg le budget alloué au sport en 2018 soit 1% du budget de l’Etat. Ce dernier a
même été revu à la hausse de 17%, par rapport aux années précédentes, dans l’optique de
l’organisation de la CAN 2023. En comparaison, le Sénégal et la Cote d’Ivoire allouent, chacun
plus de 2% de leur budget national au développement des infrastructures sportives

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II. Problématiques générales

Le développement du sport et d’une localité (voire d’un pays) sont liés. En effet,
l’organisation d’évènements sportifs génère des revenus pour l’économie locale que ce soit dans
les logements, l’alimentation ou les activités touristiques annexes. Ces équipements constituent
également un vecteur non négligeable d’intégration sociale et d’affirmation identitaire locale.
Malheureusement, en Guinée, les équipements sportifs existants sont dans un état vétuste, non
règlementaires et ne permettent pas de recevoir des compétitions internationales. Face à cela,
les réflexions qui devront être faites en premier lieu seront les suivantes :

- On voit de plus en plus proliférer dans nos commune la pratique du sport de rue alors comment
faire pour encourager davantage la jeunesse guinéenne qui n’arrive plus à se trouver d’espaces
adéquats pour la pratique du sport ?

- Le sport ne se résume pas qu’au football ou à l’athlétisme, comment élargir et diversifier les
établissements sportifs dans nos collectivités locales ?

- La formation sportive est un défi énorme en Guinée, comment pouvons-nous encourager, en


tant qu’architecte, la jeunesse guinéenne dans son épanouissement et dans la pratique des
différentes disciplines sportives ?

III. Hypothèses générales

A la lumière de tout ce qui précède, il devient primordial voire nécessaire d’émettre quelques
hypothèses afin de mieux cerner les contours de cette situation inquiétante. Pour ce faire, il
faudrait admettre que :

- Le développement intellectuel et physique de la jeunesse doit être une priorité pour les pays en
voie de développement car il ne peut être assuré à l’absence d’équipements permettant
l’émancipation de celle-ci ;

- Le pays doit penser à disposer chaque localité d’équipements sportifs spécifiques par rapport
aux besoins de cette localité. Ainsi la projection d’un complexe sportif contribuera grandement à
l’amélioration des conditions sportives et à la jeunesse de cette localité.

- Le sport est le premier rempart contre l’oisiveté, la délinquance, la désintégration sociale et les
problèmes liés à la santé grâce à son rôle libérateur, préventif et de cohésion sociale. La
projection d’un complexe sportif jouera un rôle non seulement bénéfique à la jeunesse mais
également à toute la population tant sur le plan sanitaire que sociale.

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IV. Méthodologie de travail
Notre méthode de travail s’accentuera sur deux grandes phases à savoir :
 La phase orientative permet de faire un aperçu général sur l'existent, et le fonctionnement
d’une piscine olympique dans un cadre bien défini. Ensuite faire apparaitre les différents
constats dans des problématiques générales et spécifiques qui nous servirons de pilote
dans la résolution des problèmes posés. Mais dans la préoccupation d’obtenir une idée
claire des réponses sommaires, les hypothèses précitées nous faciliteront dans ce travail
qui serait escortées d’une méthode de résolution architecturale appropriée qui sera sans
doute réponse définitive du thème escomptée. Cette partie permettra de nous orienter sur
la résolution théorique de problématiques posées.
 La phase opérative, elle n'est autre que la résolution conceptuelle et architecturale avec
l'usage d'une démarche comportant les différentes approches à savoir :
-L'état des lieux : qui est une étude visant à faire une analyse du point de vue fonctionnelle et
architecturale de l'existant dans l'objectif de faire ressortir les parties positives et négatives du
thème afin d'établir des problématiques propres à la zone d'étude.
-L'approche thématique : cette partie est une étude de décomposition du thème pour la
compréhension de ses composantes ; mais est précédée par des critères du choix qui ne sont
que subjectifs et objectifs afin de mieux appréhender notre thème et établir un programme. Elle
permettra d'analyser d'autres exemples tant nationaux qu'internationaux dans le but de mieux
comprendre le fonctionnement à travers l'organisation spatiale, dans l'objectif d'avoir un
programme complémentaire mais aussi de voir dans quel style ces projets ont été conçus dans
leurs aires de projet pour imiter afin d'innover.
-L'approche urbaine : elle jouera un rôle important dans l'analyse de la zone d'étude et du l'aire
du projet en utilisant les cartes. Cette approche servira à connaitre les éléments urbanistiques et
naturels pouvant agir sur notre projet à travers une analyse détaillée. Car les résultats de cette
analyse seront utilisés comme des concepts ayant des impacts sur l'approche projectuelle et
programmatique en ce sens qu'elle permettra de faire un programme annexe appelé
programme3.
-L'approche programmatique : Cette étape est une analyse du programme final obtenu par les
différente approche thématique et urbaine. Elle de l'organiser en des fonctions et aussi par la
répartition des niveaux dans l'objectif d'obtenir un organigramme.
-L'approche formelle : Elle est une étude amenant à obtenir l'enveloppe architecturale qui
devait accueillir le programme du thème. Cela les différents concepts issus du thème et de
l'analyse de l'aire du projet.
-L'approche projectuelle : Elle se servira du programme définitif et de l'enveloppe
architecturelle pour donner naissance à l'œuvre architecturale. Elle est le soutient qui développe
le projet de fin d'études.
-L'approche technique : Elle est l'étude des corps d'état, donnant vie à l'œuvre architecturale.

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Chapitre I : Approche de l’état des lieux

I.1. Etat des lieux


La préfecture de Fria est située environ entre les 10°14’ et 10°42’ de latitude Nord et 13°13’ et
13°53’ de longitude Ouest, presque au centre de la Basse Guinée. Elle est limitée au Nord et à
l’Est par la préfecture de Télimélé, à l’Ouest par celle de Boffa, au Sud et à l’Est par Dubréka.
Les fleuves Fatala et Konkouré sont les limites naturelles de Fria respectivement avec Boffa et
Dubréka.
Avec une superficie d’environ 2311 km2, la préfecture de Fria est composée de quatre sous-
préfectures (Baguinet, Banguigny, Tormélin et Fria centre). En 1983, la population se chiffrait à
70 413 habitants. Aujourd’hui, elle se chiffre à 96.700 habitants (RGPH 2014), dont 46077
hommes et 50623 femmes, soit une croissance démographique de 6,02%. D’une densité brute
de 42 hab/km2, cette préfecture est la plus dense en basse Guinée (Conakry non compris).
Fria est la seule préfecture de la Guinée (moins Conakry) où le taux d’urbanisation était
supérieur à 50% en 1983. Environs 3% seulement de la population urbaine pratique
l’agriculture. La prospérité de cette préfecture est due à la présence du complexe minier
Friguia.
L’activité minière constitue aujourd’hui le secteur majeur de l’économie de la préfecture. Fria a
connu les moments les plus difficiles de son histoire en 2012 quand la compagnie d’extraction
de bauxite (Friguia) a décidé de fermer ses portes. Avec la relance, depuis avril 2018, de cette
même unité industrielle, la préfecture commence a regagné son cadre et sa place
historiquement économique en Guinée.
Fria Centre constitue l’agglomération principale de ces sous-préfectures. Elle regroupe la
plupart des activités économiques de la préfecture dont l’usine et est constitué de 5 quartiers :
Katourou 1, Katourou 2, Sabendè-Gueya, Tabossy et Tigué où se trouve l’usine. C’est la
première ville en Afrique qui a vu jour entièrement autour d’une industrie. L’urbanisation et les
activités économiques se sont organisées autour de cette usine.

La ville est reliée à la capitale par une route bitumée (la nationale 21) en excellent état et une
ligne de chemin de fer permettant de transporter l'alumine vers le port de Conakry et de
remonter les matières premières vers l'usine. L'usine d'alumine, la première usine de ce type en
terre africaine, a été construite en 1957 par Péchiney.

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Dans le centre urbain, dès le démarrage de l’usine, les équipements sportifs ont été prévus
dans le schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme (SDAU) dessinés par Pechiney. La
société a pris en charge l'aménagement des équipements, lesquels couvrent une superficie
d'environ 2,5ha. Ces équipements sont tous localisés dans le quartier Sabendè-Gueya et sont
constitués notamment d’un stade, d’une piscine semi-olympique, d’un terrain de tennis, d’un 2e
terrain de football (place de l'indépendance), d’un terrain de volleyball, d’un terrain de
basketball, d’espaces de jeux de pétanque et d’un parc avec jeux d'enfants.

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A Fria, le problème des infrastructures sportives se pose avec une grande acuité. Les
équipements existant sont en majorité au stade embryonnaire et ne correspondent pas aux
normes exigibles en la matière.
.
A- Le Stade Conko Sylla :
 
Sur le long de la nationale Conakry- Fria, en plein centre-ville, nous avons le stade de
l’indépendance communément appelé stade Conko Sylla. Il s’agit d’une pelouse à ciel ouvert,
stabilisé en terre battu, non gazonnée et qui ne bénéficie pas de traitement de sol. Il faut noter
que c’est un terrain sans tableaux électro-magnétiques d’affichage, qui n’a ni tribune ni gradin
digne de nom pour les téléspectateurs.

Stade de l’indépendance

B- Le Stade Préfectoral :

Le second terrain de football, répondant sous le nom de stade régional est loin d’être à
dimension international. C’est une pelouse en terre battu non couvert, et à dimension
normale (105x72m). Orienté suivant la nationale Conakry-Fria, elle abrite une piste
d’athlétisme en terre battue de quatre mètre (4m) de profondeur, et sans revêtement
synthétique implantée. Sa tribune en état de dégradation poussé ne bénéficie ni d’un
panneau publicitaire ni d’un tableau électromagnétiques pour les affiches officielles.

Stade préfectoral de Fria

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C- La Piscine :

Avec un bassin de 25m sans plongeoir, La piscine semi-olympique de Fria a été l’une
des premières en Guinée et demeurait la vitrine de la ville à l’époque. A l’heure
actuelle, elle est hors d’usage. On remarque la dégradation de tous ses équipements
que ce soit au niveau de la peinture, de la rouille et du site lui-même. Le restaurant et
le bassin sont actuellement vides. Les vestiaires sont en état dégradé, et le système
d’alimentation en eau n’est plus fonctionnel.

Etat de la piscine avec ses gradins en état de délabrement

Vestiaires et restaurant dans un état critique

D- Les terrains de tennis :

Parmi les sports pratiqués, à la préfecture, le tennis fait figure de parent pauvre. Pour
l'ensemble de la préfecture, il n'y a que trois terrains, dont deux réglementaires
construits avec l'aide de la mission de coopération Russe et l’autre à la place des
Martyres.
Au total, nous avons deux courts de tennis dont l’une est installée dans la cour de la
piscine et l’autre au périphérique de la cité de démarrage. Toutes les deux sont
opérationnelles mais ne bénéficient pas entretient.
Le sol ne répond pas aux normes car affaissé, on y retrouve des ‘’ nids de poules ‘’.

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Le Terrain de Tennis dans un état de vétusté

D- Le terrain de Volley-ball :
Il partage le même espace avec le champ de tennis. Les deux terrains se distinguent
par les aménagements intérieurs et les tracés.

Ce terrain qui favorise des entrainements de plein air, peut aussi recevoir des
compétitions nationales malgré ses fissures, et ses revêtements de sol inappropriés et
de mauvaise portance.

Le Terrain de Volley-Ball

E- Le terrain de Basket-ball :

Tout comme les autres villes du pays, il existe un terrain de Basket-ball à Fria,
construit au même rythme que le terrain de football. Dallassé en béton maigre aux
années cinquante, son sol de mauvaise portance et qualité ne garantis pas un
confort aux usagers. Son bordure en manque d’enrobage ne rassure ni la
durabilité ni la qualité de l’ouvrage.

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Terrains de Basket-Ball laissés à l’abandon

Il est peu probable qu’en l’absence d’un minimum infrastructurel, on arrive à un niveau de
pratique généralisée du sport, que ce soit dans le but de garantir la santé de la populations
par ce moyen, ou pour atteindre des résultats sportifs de haut niveau.
Cela revient à dire, que la variable infrastructure et équipement a un fort impact sur le
développement du sport , et demeure une véritable problématique. Il nous faut donc nous
armer d'une volonté inébranlable pour obtenir quelques résultats.

I.2. Problématiques Spécifiques


A travers l’état de lieux de l’existant, nous pouvons ressortir les constats et difficultés majeurs
suivantes :
- manque d’entretien de l’existant

- un problème d’ordre, d’agencement, et de fonctionnalité des espaces

- un problème d’harmonisation spéciale 

- absence d’équipements sanitaires

- manque d’espace de parking et de stationnement

- équipement sportif hors normes à l’échelle internationale

- manque de complémentarité et de cohérence des disciplines sportives

- problème de circulation

- problème d’insertion socio-professionnelle du sport d’élite

- Beaucoup de disciplines sportives sans résultat parfait et concret

- Manque de salles de sport et d’établissement d’enseignement sportif

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Dans son ensemble, les équipements sportifs de Fria se laissent à désirer Il affiche une
image non appréciable.
Construites il y’a plus d’un quart de siècle, ces infrastructures de nos jours, ne remplissent
d’aucune exigence des équipements sportifs normatifs reconnu à l’échelle l’international.
Cependant, pour réussir ce parie, sauver l’honneur et redorer le blason de la ville, le choix
D’un Complexe sportif bien équipé semble être nécessaire pour relever le défi et satisfaire
plusieurs problèmes liés à la jeunesse.

II-APPROCHE THEMATIQUE

II-1-CHOIX DU THEME

La préfecture de Fria, reconnue en Guinée et dans la sous-région par ses talents sportifs
travers de nos jours, des nombreuses difficultés, liés à la gestion de l’infrastructure sportive,
et du personnelle

Notre choix dans l’exécution de ce présent mémoire portant sur << la projection d’un
complexe sportif à Fria >> est fondé sur deux critères :

II-1-1.CRITERES SUBJECTIFS

- Rendre la jeunesse de Fria compétitive dans la sous-région et à l’internationale


- Renforcer la cohésion et le tissu social
- Promouvoir l’intégration et l’émancipation de la jeunesse
- Promouvoir les sports en salle au niveau national.
- Promouvoir l’équilibre urbain en matière d’équipements au niveau national
- Elargir les champs d’action de la formation des jeunes pour un bon avenir de la
génération future
- Promouvoir une bonne santé physique et mentale en vers la population
- Amélioration les conditions de vie et de la population et une bonne gestion du
patrimoine sportif de la ville
-

II-1-2.CRITERES OBJECTIFS

- Résoudre un certain nombre de problèmes liés au sport, par l’amélioration des


disciplines et infrastructures sportives.
- Renforcer la cohésion et le tissu social
- Promouvoir de l’esprit collectif des jeunes en les élaborant un programme sportif riche
et varié bien défini.
- Favoriser l’éducation, la sensibilisation et l’information de la population à travers les
salles de sport et les salles omnisport

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