Graphe G3
Graphe G3
Graphe G3
I.1.1. Définitions
u = (x,y) : x y
extrémité extrémité
initiale de u terminale de u
Si on fait abstraction à cette orientation, cet arc devient une arête c’est-à-dire
qu’une arête est un arc non orienté.
v=(x,y)=(y,x)
x y
extrémité extrémité
initiale de v terminale de v
Boucle : u =(x,x) x
Remarques :
u6
X2
G = (X,u) est un 1-graphe d’ordre 6
u7
u3
X3 u4 X6
X4
u5
X5
u2 u3
a
b
G = (X,u) est un 3-graphe d’ordre 6
u1
- Les arcs u1 et u2 sont de la même forme car
u11 u12 u1=(a,b) et u2=(a,b)
u4 - Les arcs u8,u9 et u10 sont aussi de la même
d
u6 u10
f forme.
e
u7 u9
u5 u8
c
THEOREME 1 :
Preuve :
En effet, il est trivial que ∀ u , v ∈u , u et v sont de forme
différente ssi G = (X,u) est un 1-graphe d’ordre n.
Si par contre G = (X,u) est un p-graphe d’ordre n, avec p=1, c’est qu’alors
qu’il existe dans u au moins 2 arcs de même forme, dès lors u n’est plus un
sous-ensemble de XxX mais plutôt une famille d’éléments XxX.
NOTA :
Nous allons nous arranger de façon à avoir toujours des 1-
graphes, donc u sera toujours un sous-ensemble de XxX.
a) Définitions :
Un sommet y est dit voisin d’un sommet x dans G = (X,u) ssi y est dit
soit :
- un successeur
- un prédécesseur
+
Notons par : Γ G ( x ) =l’ensemble des successeurs du sommet x dans G.
−
Γ G ( x ) =l’ensemble des prédécesseurs du sommet x dans G.
Γ G ( x ) = l’ensemble des voisins du sommet x dans G.
b) THEOREME 2 :
+ −
Γ G=Γ G ( x )∪Γ G ( x )
Exemple :
X2
X1
G = (X,u) est un 2-graphe d’ordre 5
S(x1) = (x2,x2)
X3 S(x2)=(x3,x5,x1)
X4
S(x3)=(x2,x5)
S(x4)=(x1,x4,x5)
S(x5)=(x3,x5)
X5
Remarques :
+
d G (i)=4
−
2°Le Demi-degré intérieur du sommet i note d G (i) : c’est le nombre d’arcs
ayant i comme extrémité terminale (c’est-à-dire c’est le nombre d’arcs
aboutissant à i).
i
−
d G (i)=5
+ −
3° Le Degré de i dans G noté d G (i)=dG (i )+d G (i) ; c’est le nombre d’arcs
admettant i comme extrémité.
b) Adjacence et incidence
1°) Adjacence
x y
Deux arcs u et v ∈ u sont dits adjacents s’ils ont une extrémité
commune.
b
a u
w
v
c
2°) Incidence
+ −
On définit les ensembles suivants : ω ( A ) et ω ( A ) .
ω+ ( A ): c’est l’ensemble des arcs ayant leur extrémité initiales dans A
et leur extrémités terminales dans A= X− A .
ω− ( A ): c’est l’ensemble des arcs ayant leur extrémités terminales dans
A et leurs extrémités initiales dans A= X− A
+ −
On note ω( A )=ω ( A )Uω ( A ): l’ensemble des arcs incidents à A ⊂ X .
NOTA :
a) Graphe simple
c) Graphe anti-symétrique
d) Sous-graphe de G = (X,u)
f) Graphe biparti
Autrement dit, un graphe complet est un graphe où chaque sommet est relié à
tous les autres ou un graphe est dit complet si tous les nœuds (sommets) sont
adjacents 2 à 2. C’est-à-dire ( x , y ) ∈U ⇒ ( y , x ) ∈U .
Exemple : Contre-exemple :
b c
a a
b
c
A= (a iu )=¿ 1 si ∈ u¿¿¿¿
{
u1 u 2 u3 u 4 u 5 u 6 u 7 u 8
i
1
A=( a j )=2
3
4
[ 1 1 0 0 0 0 1 1
0 1 1 0 0 1 0 0
0 0 0 0 1 0 0 1
0 0 0 1 0 1 1 0
]
2) Matrice d’incidence sommets – arcs
a) Chaîne
u4
u1 u6
u2
X3
u5
X1 u7 L 4=(u1,u3,u6,u7) est une chaîne de
X4
longueur 4.
NOTA :
- Une chaîne simple est une chaîne qui ne contient pas 2 arêtes
égales ;
- Une chaîne élémentaire est une chaîne qui en le parcourant on ne
rencontre pas 2 fois le même sommet.
Exemple :
L4=(u1,u3,u6,u7) est une chaîne simple (et est aussi une chaîne élémentaire).
L4=(u2,u3,u4,u7) est une chaîne élémentaire (et simple)
Contre-exemple :
L5=(u2,u3,u4,u7, u6) n’est pas une chaîne élémentaire car on rencontre x5 2 fois
dans son parcours.
THEOREME 3 :
b) Cycle
u4
u1 u6
u2
X3
u5
X1 u7
X4
NOTA : Un cycle sera simple s’il résulte d’une chaîne simple et un cycle
élémentaire est une chaîne élémentaire dont les 2 extrémités coïncident.
u2 u4
a u1 u5
e G = (X,u) est un graphe connexe
d
u8 u6
u7
u9 g h
f
La relation ℜ définie sur X par :
∀ i,j
∈X:iℜ j⇔¿ {−soit i=j¿ {ou¿¿¿
Est une relation d’équivalence. Les classes d’équivalence modulo ℜ (induite
par ℜ sur X) de x:x1,x2,…,xr forme une partition de X.
d
i k
Exemple :
c
b g3
X h
a b f
j
e j
Le graphe ci-haut possède 3 composantes connexes dont un sommet isolé.
r=3.
Remarques :
THEOREME 4 :
« G = (X,u) est un graphe connexe ssi son nombre de connexité r est égale à 1.
C’est-à-dire ssi G = (X,u) n’a qu’une seule composante connexe ».
a) Chemin et circuit
Exemple et contre-exemple : X4
u1 X 2 u2
u3
Soit G = (X,u) X 1 u4
X 5
u7 u5 u6
X 3
X 6
(u1,u2,u3,u6) est un chemin simple mais (u1,u2,u3,u4) n’est pas un chemin
simple car il passe 2 fois par l’arc u2.
(u1,u2,u3,u6) est un chemin élémentaire mais (u1,u2,u3,u4) n’est pas un
chemin élémentaire car il passe 2 fois par sommet x2.
THEOREME 5 :
Exemple : u1 X 2
u2
X 1
X 3
u4
u5
u3
X4
NOTA :
Exemple :
b
a u2
u6
c
(u2,u4,u5,u1) est un chemin simple
u1 u3
u4 (u1,u2,u6,u7,u5) est aussi un chemin simple et
u7
aussi un chemin élémentaire.
d u5
e
THEOREME 6 : « Tout circuit élémentaire est simple mais la réciproque est
fausse ».
u1 b u3
a c
u2 u4
u5
G = (X,u) est un graphe fortement connexe d’ordre 3.
THEOREME 7 : « G = (X,u) est fortement connexe ssi r=1 G = (X,u) n’a
qu’un seule composante fortement connexe. C’est-à-dire ∀i , j∈ X , ∃ un
circuit passant par i et j ; En notant que si i=j, le circuit passant par i et j est
de longueur 0 (la réflexibilité de l’Algèbre) ».
Remarques :
d) Point d’articulation
u5 c f u8
g
G = (X,u) est un graphe d’ordre 8, il est connexe (car il n’a qu’une seule
composante connexe) c’est-à-dire G = (X,u) est un graphe connexe d’ordre 8.
Le nombre de connexité vaut 1.
Si on supprime le sommet d G = (X,u) est non- connexe car le nombre de
connexité vaudra r=2.
I.6.1. Arbres
a) Définition
Exemple :
Les 3 graphes suivants sont des arbres. Pris ensemble ils constituent une
forêt.
b) Les notions de branches et de cordes
Soit G = (X,u) un graphe et notons part T= (X,u’), un arbre qui
est un graphe partiel de G, alors :
- Les arêtes appartenant à u’ sont appelées les branches de T (ou
relativement T)
- Les arêtes de u ∉ u’ (c’est-à-dire (u/u’) sont appelées cordes
relativement T.
b
c
f
d Est un arbre extrait du graphe G = (X,u)
e
précédent.
c) Quelques propriétés caractéristiques des arbres
Considérons un graphe G = (X,u) d’ordre n alors ces propriétés
de caractérisation d’un arbre sont équivalentes :
(1) G est connexe et ne possède pas de cycle ;
(2) G est connexe et possède exactement (n-1) arcs (ou arêtes) ;
(3) G ne contient aucun cycle et possède exactement (n-1) arcs (ou
arêtes) ;
(4) G est connexe, mais perd cette propriété si n’importe qu’elle arête (ou
arc) est supprimé.
Etc.
NOTA : G = (X,u) admet un graphe partiel T=(X, u’) qui est un arbre ssi G =
(X,u) est connexe.
I.6.2. Arborescence
a) Définition
Exemple : a
b
c j
d
k
i
e h
f
l
g
C’est une arborescence de racine a.
i
- Toute arborescence (arbre ayant une racine) est un graphe quasi
–fortement connexe. l
THEOREME 8 :
1) Graphe pondéré
Soit G = (X,u)
2) Réseau
(1).
ℜ = (X,u,) : un graphe pondéré sans boucle ni circuit à valeur
négative
3) Réseau de transport
I.7.1 GENERALITES
a) Introduction
ℓμ = ∑ C ij
0 (1)
(i , j )∈ μ0
soit
NOTA :
1. L’interprétation de ce problème ainsi énoncé est déterminée par le
sens physique des nombres (pondération) Cij .
En effet, si le Cij est le temps nécessaire pour passer du sommet i au
sommet j alors (1) est l’itinéraire du temps minimum pour aller de x à y.
Si Cij est le prix (coût) du trajet entre i et j alors le problème de PCC
consiste à trouver le chemin le moins cher entre x et y.
Si Cij est la distance entre i et j alors (1) est le problème de trouver le chemin
le plus coût entre x et y.
ℓμ =
0
∑ C ij (2)
(i , j )∈ μ0
soit
Au début on pose:
PCC PLC
ℓj=¿{0,si j=1¿ {C1j,si (1, j )∈u¿ ¿¿¿ ℓj=¿{0, si j=1¿ {C1j,si (1, j)∈u¿ ¿ ¿
Où M>>0
I.7.2.2. Principe d'optimalité de Richards BELLMAN
NOTA:
La démonstration de ce principe se fait trivialement par l'absurde.
Ce principe comprend l'énoncé direct et sa réciproque.
PCC PLC
Nota {:ℓ =0 ¿ ¿¿
(1)¿ (1b) ¿ { ℓ1=0 ¿ ¿¿
1
avec j=2,3,…,n j=2,3,…,n
- A chaque itération on ne considère que les sommets qui peuvent être
amélioré à cette itération c'est-à-dire on ne considère que le sommet
dont les étiquettes sont déclarées provisoire.
- Le système (1) pour le PCC ou le système (1b) pour le PLC constitue les
équations de Richards BELLMAN. Tous les algorithmes Tree builder se
base sur ses équations pour trouver les étiquettes déclarer définitives.
¿
Une fois les étiquettes définitives trouvées on le note ℓ j ou ℓ j .
Après l’analyse prospective on ordonne les étiquettes comme suit :
ℓ ¿j < .. .<ℓ ¿i ¿ ℓ¿i1 ¿ ℓ¿j
2 .
a) Principe
PCC PLC
Nota :
Remarque :
A chaque itération, l’algorithme de FORD et ses variantes entre- autres :
BELLMAN KALABA, DIJKSTRA, BELLMAN-FORD, … ne considèrent que les
sommets dont les étiquettes peut être améliorer à cette étape c'est-à-dire
ne considèrent que les successeurs de sommet dont les étiquettes ont été
déclarées définitive à l’itération précédente.
L’algorithme de DIJKSTRA
- Un graphe G =(x,u) ;
- Un sommet de départ s. on associe à chaque sommet x le coût du
meilleur chemin connu appelé poids(x). on mémorise également pour
chaque sommet le voisin par lequel on « arrive » pour réaliser le
meilleur chemin connu ;
- Soit s l’ensemble de tous les sommets ;
- Π l’ensemble des sommets optimaux.
Initialisation
poids (s )←0
poids (x )←+∞ pour x≠s
Π ←φ
Début
tant que Π≠s
Choisir un sommet x ∉ Π de poids minimum
Π ← Π∪ { x }
pour tout voisin y de x ∉ Π
Si poids(x)+valeur (x,y)<poids(y)
Alors poids(y) ← poids(x)+valeur(x,y)
Mémoriser en y que l’on vient de x
finsi
fin pour tout
fin tant que
Fin
Cet algorithme donne tous les plus courts chemins de s vers tous les autres
sommets.
I.8. PROBLEME D’ORDONNANCEMENT : METHODE
MPM ET METHODE PERT
A. Objectif de l’ordonnancement
B. Contraintes
i j
C. Le P.C.O
La solution aux P.C.O est donnée par le graphe potentiel (MPM) pondéré et
aussi un réseau de transport quasi-fortement connexe, un cas particulier du
réseau de transport.
Exemple :
3
a b
Exemple :
X P(x) Durée de x
a - 4
b a 6
c - 4
d - 12
e b,c,d 10
f b,c 26
g a 7
h e,g 10
i f,h 3
Notation:
P(x) est l’ensemble des tâches qui précède immédiatement les tâches
qui sont dans x.
+
Γ G ( x) est l’ensemble des successeurs de x.
−
Γ G ( x) est l’ensemble de prédécesseurs de x.
− −
Dans l’exemple précédent, Γ G (b) =a ; Γ G (e) =b,c,d.
Nota : Dans la construction du graphe potentiel il est nécessaire pour des
raisons de clarté d’ordonner les différentes tâches par niveau.
Niveau
Niveau 0 : C0 : C’est l’ensemble des tâches de niveau zéro (0). Ce sont les
tâches n’ayant pas de prédécesseurs, tâches non soumises à des contraintes
d’antériorités.
Dans l’exemple précédent, C0= {a,c,d}.
Niveau 1 : C1 : Pour obtenir les tâches de niveau 1 on doit rayer dans le
tableau de précédent toutes les tâches de niveau 0 de la colonne P(x). Les
tâches x correspondant aux lignes P(x) entièrement rayées sont de niveau 1.
Dans l’exemple précédent, C1= {b,g}.
NOTA :
- Les ensembles Ck, (k=0,1,2,…)sont 2 à 2 disjoints.
- Les sommets du graphe potentiels seront placés de gauche à droite en
fonction de leur niveau. Les sommets de même niveau seront placés de
gauche à droite à un même niveau sur un vertical de manière aussi à
limiter les nombres d’intersection entre arcs.
Tx Tx*
X
Où :
- X : est le sommet qui désigne le nom de la tâcvhe ;
- Tx : désigne la date de début de la tâche x ;
- Tx* : désigne la date au début au plus tard de la tâche x.
NOTA :
o L’intervalle [Tx,Tx*] se nomme intervalle de flottement pour la
tâche x.
o Pour tracer le graphe potentiel, autres les éléments cités, on doit
introduire une tâche supplémentaire qui n’est pas dans le
dictionnaire de précédent z. c’est une tâche relié à toutes les
sommets quoi n’ont pas de successeurs c'est-à-dire sommet
suivant cette tâche permettra de dater la fin de travaux.
Niveau 0 : T a=T c =T d =0
Niveau 1 : T g =T a +4=4 ; T b =T a +4=4
T f =max ¿ {T c +4=4 ¿ ¿ ¿
Niveau 2 :
T i =¿ {T f +24=34 ¿ ¿¿¿
Niveau 4 :
Niveau final : (C5 =C f ) : T z =T +3=37i
NOTA : z désignant la tâche finale d’où Tz est la date à laquelle l’ensemble
des travaux peut s’achever au plus tôt.
NOTA :
- L’ensemble des arcs ayant contribués à la détermination de T z constitue
le chemin critique.
- Les tâches situées sur le chemin critique sont appelées les tâches
critiques.
Niveau 0 : C0= {a,c,d} ; niveau 1 : C1= {b,g} ; niveau 2 : C2={e,f} ; niveau 3 :
C3={h} ; niveau 4 : C4={i} ; niveau final : Cf={z}.
0 0
4
a 6
4
4 1
24
4 0
4 b 3
1
0 6 6 7 0 2 10 3 3
6 2 4 7
c f
4 10
17
4g 3
7
2 2 4
d
4
i
1 h
4
Le chemin critique est celui en rouge et les tâches critiques sont : a,b,f,i.
MT x = T ¿x −T x
C'est-à-dire MTx est le retard maximum que l’on peut prendre
dans la mise en exécution de la tâche x sans remettre en cause les dates au
plus tard de succession ou suivante (fin des travaux).
a. Historique
- 250 fournisseurs
- 9 000 sous-traitants
- 7 ans de réalisation
Exemples :
1. Succession des opérations
x y
2 3
1 2 3
L’opération y de durée 3 unités de temps ne peut débuter
qu’avant que l’opération x de durée 2 unités de temps puisse être achevée.
Cela veut dire que y débute nécessairement à la fin de x sinon il n’y aura pas
de souplesse.
2. simultanéité des opérations
2
x
2 y
1 3
6
z 3
t
x
X
l’événement x.
tx* : désigne la date limite ou la date au plus tard de l’événement x.
NOTA :
- La notion de niveau (voir la méthode MPM) n’a pas de sens pour la
méthode PERT car les tâches sont représentées par les arcs dans la
méthode PERT alors que les niveaux correspondaient à des sommets
dans la méthodes MPM.
- Dans la méthode PERT ce qui est souhaitable c’est l’ordonnancement
des arcs.
- Dans la méthode PERT on ajoute toujours un sommet initial d’où partent
les tâches (opérations) dont la mise en route n’est soumise en aucune
contrainte d’antériorité et on ajoute aussi un sommet final auquel
aboutissent toutes les tâches (opérations) n’ayant plus des successeurs.
Ce sommet est l’événement qui marque la liaison ou la fin de l’œuvre.
- Dans cette méthode on est souvent obligé d’ajouter une tâche virtuelle
de durée 0. cette tâche virtuelle n’a qu’un seul but celui de traduire la
relation d’antériorité. Cette opération se note par un arc en pointillé.
- Bien que pour la méthode PERT la notion de niveau est sans objet, le
dictionnaire de précédent est quand même nécessaire ; c’est pour
traduire la contrainte d’antériorité et les durées de chaque tâche
(opérations).
- L’objet de la méthode PERT est la construction du graphe PERT dans le
but de trouver les tâches critiques, le chemin critique, les dates
optimales, le début au plus tôt et le début au plus tard de chaque
opération.
11 ¿
On pose t z =t z
22 ¿
∀ sommet x dont les successeurs ont leurs t x calculées par :
t ¿x = min ( t ¿y −d k ) ; où d k ¿ C xy
y ∈ Γ +G ( x ) (cfr analyse rétrospective de
BELLMEN).
f. Détermination des marges
Dans la méthode PERT, les tâches critiques sont celles qui sont
comprises entre les sommets dont tx*=tx et le chemin critique est le chemin qui
passe par ces tâches critiques.
Exemple :
X P(x) Durée de x
a - 4
b a 6
c - 4
d - 12
e b,c,d 10
f b,c 26
g a 7
h e,g 10
i f,h 3
d 12
0 14
0 4
12
1 e
a 10
22
4 0 24
7 5
X
4 4
4 g
h 10
2
c 37
i 37
b 7
34
6 34 3
f 6
24
10
10
3
Les tâches critiques sont : a,b,f,i et le chemin critique est le chemin en rouge.
Remarques :