Les Opérations Avec L'étranger: Master: Management, Audit Et Contrôle/finance
Les Opérations Avec L'étranger: Master: Management, Audit Et Contrôle/finance
Les Opérations Avec L'étranger: Master: Management, Audit Et Contrôle/finance
Comptabilité
Préparer par :
IRAQUI-H-
Mohssine
OBAID Khalid
Année universitaire
2010/2011
PLAN
Introduction :
Valeur à l’entrée
Valeur au bilan
a) Les titres
b) Les stocks
Valeur à l’entrée
Valeur au bilan
Conclusion
INTRODUCTION
Ainsi, l’entreprise peut dans plusieurs cas de figure être obligée d’effectuer ces échanges
commerciaux et financiers via de la monnaie étrangère, et notamment de la devise. Dans ces
dits cas, l’entreprise se voit devant une multitude d’éventualités à savoir ; un taux de change
favorable ce qui inclut un gain ou un taux de change défavorable qui constitue pour
l’entreprise une perte éventuelle.
Bien que ce cas n’étais pas traités durant les premières décennies du 20eme siècle,
l’effondrement du système de B-W à compromis la quasi stabilité dont bénéficié les
entreprises opérantes avec l’étranger.
Ce qui indique, que ces opérations avec l’étranger et ce, via le risque de change, doivent être
gérées par la comptabilité. Et c’est dans ce cadre que le CGNC a prévu les écritures
comptables des opérations effectuées avec l’étranger et les écritures pour contrecarrer les
éventuels risques liés à ces opérations.
Ce travail scindé en deux parties va permettre de traiter dans la première, les différentes
opérations comptables avec l’étranger prévues par le CGNC et dans la deuxième les méthodes
prévues pour faire face aux fluctuations des taux de changes.
A) L'évaluation des immobilisations corporelles et
incorporelles acquise en devise
a) Les immobilisations corporelles:
i. valeur d'entrée
Cela signifie que ces immobilisations acquises en devises seront traitées de la même manière
que les immobilisations acquises en monnaie locale à savoir :
o Du prix d'achat augmenté des droits de douane et autres impôts et taxes non
récupérables et diminué des réductions commerciales obtenues et des taxes
légalement récupérable;
o Des charges accessoires d'achat y afférentes, tels que : Transports, frais de transit,
frais de réception, assurances de transport…à l'exclusion des taxes légalement
récupérables.
o Des charges d'installation qui sont nécessaires pour mettre le bien, en état
d'utilisation à l'exclusion des frais d'essais et de mise au point qui sont à classer dans
les charges de l'exercice ou, le cas échéant, susceptibles d'être répartis sur plusieurs
exercices.
Toutefois, dans le cas exceptionnel d'un délai d'acquisition supérieur à un an, les frais
financiers spécifiques de préfinancement se rapportant à cette période peuvent être inclus dans
le coût d'acquisition de ces immobilisations.
o Sont cependant à exclure des charges accessoires d'achat des immobilisations les
frais d'acquisition d'immobilisations qui consiste en: Droits de mutation, Honoraires
et commissions, frais d'actes.
A noter, que le CGNC stipule qu’en cas d’avance, chose qui est généralement appliqué, et qui
se fait avant la réception de ladite immobilisation. Cette avance ou acompte qui constitue un
premier versement à la signature du contrat, et qui implique un engagement ferme sera imputé
du montant de la facture comportant le prix global du bien. Et c’est la différence qui
constituera le solde à payer. Ladite avance sera intégrée en comptabilité par le cours à sa date
de paiement. La valeur d’entrée de ce bien dans l’actif, sera composée du montant de l’avance
payée à la signature du contrat convertie au cours de change a cette date, et du restant solde à
payer converti au cours d’entrée du bien.
Exemple de comptabilisation:
30,00
5141 Banque
01/03/N
233. ITMO 100,00
2397 Avances et ac omptes…
30,00
La valeur d'entrée au bilan est maintenue en écritures. Les amortissements et les provisions
pour dépréciation sont calculés sur cette valeur
Le CGNC préconise que ces écritures d'inventaire se font sur la base du coût historique
enregistré au niveau de la valeur d'entrée.
Notons que les provisions ne concernent que celle liées aux écarts de conversion dus au mode
de paiement. Sur ce on distingue plusieurs façons de paiement de l'immobilisation.
A leurs différences ces modes de paiement donnent lieu aussi à des différentes écritures
comptables:
X 233x ITMO
5141 Banq
X ue
o Un crédit fournisseur.
233x ITMO X
Le CGNC stipule que la cession des ce type d’immobilisation ce fait selon les mêmes
écritures que celle des immobilisations acquise en monnaie nationale.
Le CGNC n’a prévu aucune différence entre ces éléments de l’actif immobilisé et les autres
éléments. Dés lors, la comptabilisation se fait selon les mêmes écritures citées en dessus.
5141 Banque
Les titres de participation : Sont réputés titres de participation, les parts des sociétés
acquises avec l'intention de les maintenir plus de douze mois au moins dans le portefeuille,
et qui confèrent à l'entreprise détentrice un pouvoir économique spécifique à son avantage,
ou une influence dans la gestion ou le contrôle de la société émettrice.
Les autres titres immobilisés : Ce sont les titres, autres que ceux pouvant rentrer dans l'une
des catégories précédentes, et dont l'entreprise n'a pas l'intention de procéder à la cession
dans un avenir proche.
o Titres et Valeurs de Placement :
Ce sont les titres et valeurs acquis par l'entreprise en vue de les céder à court terme et réaliser
ainsi un gain à brève échéance. Leur possession ne vise donc à exercer, en général, aucun type
de contrôle économique.
Les titres de participation, les autres titres immobilisés et titres de placement acquis en
monnaie étrangère sont convertis en dirhams au cours de change à la date d'entrée.
Par respect du principe du coût historique, la valeur des titres reste inchangée malgré la
fluctuation des cours des titres durant l’année.
o 2/ Valeur d’inventaire :
Les provisions pour dépréciation sont à calculer par rapport à la valeur d’entrée sur la base :
- du cours du titre à l’étranger converti au cours de change à la date d'inventaire pour les titres
cotés seulement à l’étranger ;
Application :
La société a réalisé durant l’année N, des opérations de cession de titres, comme c’est indiqué
dans le tableau suivant :
Action « A »
TVP :
Informations complémentaires :
- Les dates d’acquisition des titres ainsi que le cours de change lors de ces dates
sont :
15/06/N
Banque
Gains de change
7331 32000
Cession TP A
I
d
VNA des immob fin cédés
6514
28000
0
titres
de
2510 participation 28000
Reprise sur provision
08/09/N
Banque
5141
Pertes de change propre à l’exercice 12600
0
6331
Charges nettes sur cession de TVP
14000
6385
Titre
de 10000
3510 participations
150000
2510
augmentation de 22400
créances 0
1710
immobilisées
224000
inventaire de TP A
-
31/03/2009
2710 16000
0
TP
2510 160000
Inventaire de TP B
31/12/2009
DAP pour
60000
4506 100000
Prov pour perte de change
Inventaire de TP B
31/12/2009
TVP
3510 44000
Augmentation des
créances
44000
circulantes
TVP Alpha
4701
31/12/2009
TVP
3510
60000
4701 Circulantes
60000
TVP Béta
i. Valeur d’entrée :
Le Code Général de Normalisation Comptable stipule dans sa partie relative aux stocks que
les stocks détenus à l’étranger et dont le coût est exprimé en devises font l’objet d’une
conversion en dirhams par catégorie de marchandises ou produits sur la base du cours moyen
de change à leur d’achat ou d’entrée (moyenne pondérée des cours de change pendant la
période d'achat ou d'entrée) ou sur la base d'un cours estimé aussi proche que possible de ce
cours moyen.
iii. Application :
de change
Nous avons choisi de traiter uniquement le bien X car le traitement des stocks se fait
par catégorie de produit, et donc le même traitement s’applique aux 3 biens.
Le prix unitaire est exprimé en Euros.
Le Coût unitaire de sortie est à déterminer selon la méthode du CMUP après chaque
entrée.
Le cours des sorties est à déterminer selon la méthode du cours de change moyen pondéré
Solution :
Dans cette application, et pour le calcul du coût de stockage, nous avons traité les entrées
et les sorties avec la méthode de Coût Moyen Unitaire Pondérée après chaque entrée.
Quant au cours de change, nous avons utilisé le cours de change moyen pondéré (Comme
prescrit par le CGNC), calculé comme suit :
: Valeur du 25 Janvier :
Nous avons pondéré les différents cours de la période par le Prix Total.
Valeur du 25 Janvier :
Nous constatons que le cours de change à la date de clôture de l’exercice est inférieur à la
dernière opération, ce qui nous amène, toujours selon le CGNC à constater une provision, et
ce de la manière suivante :
Nous constatons une dépréciation de la valeur du stock, car la valeur actuelle est inférieure
à la valeur initial
i. L’enregistrement comptable :
31/12
Des stocks
31/12
de Marchandises
Remarque
Dans la pratique quotidienne, les dispositions du CGNC peuvent être utilisées et adaptées
selon la méthode suivie par l’entreprise dans la valorisation de ses stocks (FIFO, LIFO,
CMUP Mensuel…). En outre, les entreprises ayant des difficultés à appliquer ces
méthodes, vue la fréquence de leurs opérations à l’étranger, peuvent se procurer une
méthode propre à leur situation, à condition qu’elle n’affecte pas les résultats de
l’entreprise.
A titre d’exemple, nous citons que certaines entreprises pour la valorisation de leurs
stocks détenus en monnaie étrangère distinguent entre les stocks payés et ceux non
encore payés, pour les premiers la comptabilisation se fait au cours du jour de
paiement, pour les deuxièmes, elle se fait au cours du jour de clôture. D’autres
sociétés, et pour faciliter la comptabilisation, choisissent de fixer un cours interne de
période.
C) Evaluation des créances et dettes en devises :
Selon le CNCG, les créances et les dettes libellées en monnaies étrangères sont converties et
comptabilisées en dirhams à leur date d'entrée, en retenant le cours de change du jour où à eu
lieu l’opération : date de facturation en général, date de l’accord des parties ou date de
paiement en ce qui concerne les avances et acomptes reçus ou donnés. Le cours à utiliser est
pour les devises cotées le cours indiqué par la Banque Centrale (Bank Al Maghrib), et pour
les autres devises, le cours moyen mensuel établi par cette même banque.
Lorsque la naissance et le règlement des créances ou des dettes s’effectuent dans le même
exercice, les écarts constatés par rapport aux valeurs d’entrée en raison de la variation des
cours de change, constituent des pertes ou des gains de change à inscrire respectivement dans
les charges financières ou les produits financiers de l’exercice.
Les différences entre les valeurs initialement inscrites dans les comptes (valeurs historiques)
et celles résultant de la conversion à la date de l’inventaire majorent ou diminuent les
montants initiaux et constituent :
Des pertes latentes dans le cas de majoration des dettes ou de minoration des
créances ;
Des gains latents dans le cas de majoration des créances ou de minoration des dettes.
Ces différences ou « écarts de conversion » sont inscrits en contrepartie des variations des
créances et dettes :
A l’actif du bilan pour les pertes latentes dans les rubriques « écarts de conversion –
Actif » de l’actif immobilisé ,au poste 270 et de l’actif circulant, au poste 370 ;
Au passif du bilan pour les gains latents dans les rubriques « écarts de conversion –
Passif » du financement permanent et du passif circulant, au poste 470.
Remarque : En application des principes de clarté et de prudence :
Il n’est pas opéré de compensation, sauf exception prévue dans le CGNC (code
national de normalisation comptable), entre gains latents et pertes latentes (les pertes
et gains latents compensés par « couverture de change » et figurant dans les rubriques
« écarts de conversion » doivent être mentionnés distinctement dans l’ETIC.
Les gains latents ne sont donc pas inscrits dans les produits, car ils ne sont pas encore
réalisés.
Exemple 1 :
Le 01/10/2008, une société a commandé des marchandises des Etats-Unis, pour une valeur de
200 000 USD, au cours de 1USD = 9,10 DH, à réceptionner le 1/12/2008, et payables le
31/03/2009.
A la date du règlement le cours de change était de 1USD = 9,15 DH. Au 31/12/2008 il était de
9,30 DH/USD.
01/12/2008
Achat de m/ses
A la clôture de l’exercice :
31/12/2008
Fournisseurs 40.000
31/12/2008
6393 40.000
Dotations aux provisions pour risques et charges
financières
4506 40.000
Provision pour perte de change
Constatation de la provision
01/01/20
09
4411 Fournisseurs 40.000
31/03/20
09
4411 Fournisseurs 1.820.000
Banque
5141 Dénouement de l’opération 1.830.000
31/03/2009
Exemple 2 :
L’entreprise X a vendu à un client A ses produits le 1/10/N pour 25.000 $ au cours de 10dh/$.
Le 1/11/N elle a vendu aussi à un client B des marchandises pour 50. 000$ au cours de 11dh/$
Les deux opérations seront dénouées le 03/03/N+1, le taux de change relative à cette date est
10,5dh/$.
1/10/N
(50000*11)
A la clôture de l’exercice :
Pour le cas du client A on remarque que le taux a augmenté (de 10 à 10,8) donc c’est un écart
de conversion passif : augmentation des créances circulantes.
31/12/N
Pour le cas du client B on remarque que le taux a baissé (de 11 à 10,8) donc c’est un écart de
conversion Actif : Diminution des créances circulantes
Client B
34212 (11-10,8)*50000 10000
4506 10.000
Provisions pr perte de
change
Constatation de la provision
A la réouverture du bilan, les écritures des écarts de conversion doivent être contre passées
Le 03/03/N+1 date du dénouement des 2 opérations, le taux de change est de 10,5 dh/$
03/03/N+1
(25000*10,5)-(25000*10)
Dénouement de l’opération du client A
Le plan comptable général prévoit des dispositions particulières pour certaines créances et
dettes libellées en monnaie étrangères, lorsque les circonstances suppriment en tout ou partie
le risque de perte, les provisions pour risque sont ajustées en conséquence.
La couverture de change est une opération dont le but est de protéger une créance ou une dette
en monnaie étrangère contre une variation de change défavorable à l’entreprise.
Généralement, une couverture totale de créance consiste à emprunter la même somme dans la
même devise pour une échéance identique à celle de la créance. Celle d’une dette est réalisée
par l’achat d’une créance libellée dans les mêmes conditions.
Une perte de change sur l’une est compensée par un gain de change de même montant sur
l’autre. Cependant l’entreprise à la possibilité de ne couvrir que partiellement son risque de
change, dans ce cas la provision n’est constituée qu’à concurrence du risque non couvert.
Il est à mentionner que les écarts de conversions relatifs à une couverture de change peuvent
être compensés sous réserve d’une mention sur l’ETIC.
Lorsque l’opération traitée en devises est assortie par l’entité d’une opération symétrique
destinée à couvrir les conséquences de la fluctuation du change, elle doit être enregistrée en
comptabilité en retenant le cours de change figurant dans les contrats et qui est fixé par
l’instrument de couverture.
Dans ce cas, et afin de donner une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et
des résultats de l’entreprise, les pertes latentes ne sont pas provisionnées ou sont partiellement
provisionnées, et la provision n’est constituée qu’à concurrence du risque non couvert.
La provision éventuelle pour la perte n’est à constituer qu’à concurrence du risque non
couvert.
Exemple :
Cours du GBP :
01/11/2008 : 17,50 DH
31/12/2008 : 17,38 DH
28/02/2009 : 17,57 DH
TAF : Comptabiliser ces opérations chez Drapor ainsi que les régularisations au 31/12/2008.
N.B : les commissions de change et l’intérêt de l’emprunt seront négligés.
Solution :
01/11/2008
01/11/2008
31/12/2008
31/12/2008
01/01/2009
3701 01/01/2009
28/02/2009
28/02/2009
1481 Emprunts auprès des établissements de crédit 1.050.00
0
6331 Pertes de change propre à l’exercice 4.200
31/03/2009
Exemple
Le 15/12/N, elle se couvre par un achat à terme de 100.000 ME au cours de 10,05 DH,
à échéance du 15/01/N+1.
18/10/N
15/12/N
Les avances et acomptes sur une créance en devise sont enregistrés au cours du jour de leur
versement.
La constatation d’une provision pour dépréciation sur le montant initialement comptabilisé est
préconisée par le conseil national de la comptabilité au Maroc, l’écart de conversion devant
être limité à la partie de la créance jugée recouvrable.
Cette proposition maintient, par conséquent, la partie douteuse ou litigieuse à son montant
initialement comptabilisé.
Exemple :
La société Alpha possède depuis le 01/09/2008, sur un client français, une créance de 10.000
EUR enregistrée au cours 1 EUR = 10,65 MAD.
Le 31/12/2008 cette créance est considérée comme douteuse ; la société Alpha espère
récupérer en euros 60% de cette créance. Le cours de l’euro au 31/12/2008 est de
1 EUR = 11,35.
TAF : Comptabiliser la dépréciation ainsi que les écritures de régularisations sur devises, au
31/12/2008, sachant qu’aucune provision n’avait été constatée au 31/12/2007 et que les écarts
de conversion sont contrepassés à l’ouverture de l’exercice.
Solution :
01/09/2008
31/12/2008
31/12/2008
et comptes rattachés
31/12/2008
3701 ECA- Diminution des créances circulantes 420
0
3424 Clients douteux et litigieux 4.20
0
Inventaire : écart de conversion sur 60% de
la créance au cours de 11,35DH/Euro
31/12/2008
Les disponibilités et exigibilités des devises sont converties en dirhams immédiatement, lors
de leur acquisition, au cours de change à la date d’opération ; dans le bilan, à la clôture des
comptes elles sont converties en monnaie nationale sur la base du dernier cours de change.
Les écarts de conversion constatés sont comptabilisés dans les produits et le charges de
l’exercice (gain de change ou perte de change).
Cela signifie que les devises en caisse ne donnent lieu ni à l’enregistrement de différences de
conversion, ni à celui de provisions pour risques. Les écarts éventuels de conversion sur ces
devises à la clôture de l’exercice sont enregistrés directement soit dans le compte « gains de
change », soit dans le compte « pertes de change ». Ils sont incorporables au résultat
comptable de l’exercice.
Exemple :
Le 31/12/N, le caissier verse les montants chez la banque de la société, les cours de change
relatifs à la fin de l’exercice sont : 1$=9dh et 1Euro= 12dh
TAF : Comptabiliser ces opérations.
14 /12/N
(100*10) + (500*11)
A la clôture de l’exercice, on doit constater les gains et les pertes de change liés à chaque
devise
31/12/N
caisse
5161 100
(10-9)*100
31/12/N
NB: Selon le principe de la clarté, les compensations entre les gains et les pertes latentes ne
sont pas autorisées.
Conclusion
Pour en conclure, il est impératif d’avouer que malgré, les efforts déployés par notre
CGNC afin d’appréhender l’impact majeur qu’exercent les opérations étrangères sur les
systèmes comptables des entreprises marocaines. Certaines lacunes demeurent au niveau
du code général de la normalisation comptable.
i. valeur d'entrée...................................................................................5
a) Les titres...............................................................................................9
i. Valeur d’entrée.................................................................................14
iii. Application.......................................................................................15
Conclusion...................................................................................................34
Bibliographie................................................................................................35