Cours IEVS ENCG C
Cours IEVS ENCG C
Cours IEVS ENCG C
(GFC1 et GFC2) S9
OBJECTIFS du cours:
• Compétences requises:
– Relationnel;
Savoirs :
Savoir-faire :
Savoir-être :
Communication et négociation;
Méthodologie de travail :
• Synthèse d’articles;
• Etudes de cas;
Bibliographie Indicative :
• D. Guerraoui & Xavier Richet « IE et veille stratégique : défis et stratégies pour les économies
émergentes » L’harmatan 2005
Syllabus :
• Notions de base
• IE et management stratégique
• IE et management de la connaissance
• IE au Maroc
Travaux de recherche :
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• Comment contribue t-il à la compétitivité de l’organisation (E/se, Administration
publique ou Association)?
– Types
– Etapes
– Lien avec IE
– Cas pratiques
– Alliances stratégiques
– Benchmarking
– Knowledge management
Lien liris.cnrs.fr/~cnriut08/actes/articles/1009.pdf
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INTRODUCTION :
Contexte :
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Statut du nouveau dirigeant :
Selon M. Porter, l’IE consiste à : « Donner la bonne information, à la bonne personne, au bon
moment pour prendre la bonne décision »
« L’IE est la maîtrise et la protection de l’information stratégique pour tout acteur économique. Trois
domaines d’action sont identifiés :
« l’IE peut être définie comme l’ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de
distribution, en vue de son exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques. Ces diverses
actions sont menées légalement avec toutes les garanties de protection nécessaires à la préservation
du patrimoine de l’entreprise, dans les meilleures conditions de délais et de coûts ».
La notion d’IE implique le dépassement des actions partielles désignées par les vocables de
documentation, de veille (scientifique et technologique, concurrentielle, financière, juridique et
réglementaire …), de protection du patrimoine concurrentiel, d’influence.
O. Boizard 2006 :
• Le champ de l’IE est donc élargi et inclut désormais « la stratégie de l’entreprise, ses réseaux
d’influence puis, plus récemment les systèmes de gestion des connaissances, d’apprentissage
collectif et de coopération ».
1. IE de niveau primaire
2. IE de niveau secondaire
3. IE tactique
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4. IE stratégique
IE tactique : où l’accès à l’information est plus difficile, elle exige un effort de compréhension et de
traitement plus important.
3 - Utilité de l’IE
• L’IE s’intéresse donc aux responsables (leurs intentions) ainsi qu’aux processus de décision
des concurrents.
• Veille scientifique
• La connaissance des carrières des personnes impliquées dans les nouveaux projets
technologiques de l’entreprise.
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Intention crédible Intention non Pasd’intention
crédible
• « Mémos » conçus par des cadres, des employés, des dirigeants … soit au sein de l’entreprise
ou au cours de leurs déplacements contenant « ce qui a étonné la personne ».
• Contrairement à la veille qui peut être réalisée par une seule personne, l’IE est nécessairement
une démarche organisationnelle d’où l’importance de la dimension managériale.
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• Maîtriser l’information stratégique;
Système d’information :
• Actif immatériel présentant des avantages concurrentiels pour l ’E/se mais aussi vecteur de
menaces et de dépendance.
• Le système d'information doit être organisé, finalisé, construit, animé et contrôlé, ce qui
constitue un moyen d'optimisation de la performance de l'entreprise.
• C’est une science en perpétuelle évolution en raison des nouveaux métiers émergents dans les
systèmes d’information ». Wikipédia
Veille :
• Correspond à «un dispositif d’attention et d’observation par lequel l’entreprise est à l’affût
d’informations concernant (…) les changements de son environnement socio- économique
dans le but de se créer des opportunités d’affaires, de réduire les risques liés à l’incertitude et
d’agir vite et au bon moment.» Lesca et Castagnos, 2000.
Veille stratégique :
– Veille technologique;
– Veille concurrentielle;
– Veille commerciale;
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– Veille sociétale;
– Veille réglementaire.
• Son but est de renseigner l’organisation sur les changements pouvant se produire dans son
environnement pertinent (car une Direction d’E/se prend ses décisions en fonction de
l’environnement tel qu’elle le perçoit, et non pas en fonction de ce qu’il est intrinsèquement).
• 3- Opportunité identifiée;
• 4- Réponse appropriée;
• 5- Résultat de l’action.
Rappel :
Igor Ansoff (1918 – 2002), né en Russie, il émigre aux Etats-Unis où il a exercé des activités
de conseil auprès de grandes entreprises tout en poursuivant une carrière d’universitaire.
• La matrice d’Ansoff offre des choix stratégiques pour atteindre les objectifs de l’organisation.
• Elle est l’une des plus utilisées dans le cadre de décision sur des stratégies visant la croissance.
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Matrice d’Ansoff : produit / marché
VEILLE TECHNOLOGIQUE :
« Elle est constituée par l’ensemble des techniques visant à organiser de façon systématique la
collecte, l’analyse, la diffusion de l’exploitation des informations techniques utiles à la sauvegarde et
à la croissance des entreprises »
Rivelli 1998
To think out of the box : éviter les contraintes du passé, éviter le nombrilisme (ne pas se scléroser).
VEILLE CONCURRENTIELLE :
Permet de « pister les démarches actives, actions de développement, déploiement vers d’autres
secteurs et domaines d’activité, fausses pistes et leurres destinés à égarer les curieux, intrusions
diverses, dépôts de brevets, travaux de recherche, et ceci de la part de concurrents directs et
indirects » Rouach 1996
« Ton savoir n’est rien si les autres ignorent ce que tu sais». Aphorisme persan
Contexte :
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• Environnements incertains et turbulents
Contrainte Contrat
Obéissance Responsabilité
Ordre Désordre
Discipline Projet
Enjeux :
Il faut être en perpétuel mouvement et innover sans cesse, la connaissance joue un rôle moteur.
Problématique :
Définition :
Les enjeux majeurs de la compétitivité reposent désormais très largement sur de nouvelles ressources
intangibles liées à la capacité d’innovation et à la maîtrise de compétences stratégiques.
L’entreprise est caractérisée par sa capacité d’absorption, c.à.d. ses dispositions à assimiler de grandes
quantités d’informations, à les rendre pertinentes afin de créer de l’innovation et donc des
connaissances.
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Quelle différence entre information et connaissance?
• La connaissance est créée et organisée par un flux d’informations codées, elle s ’enracine dans
le système de valeur de l’individu et elle suppose des actions stratégiques. Nonaka ,1994
• Information : ensemble de données non structurées qui sont organisées pour donner forme à
un message résultant d’un contexte donné et donc parfaitement subjectif.
“L’intelligence économique est l’ensemble des moyens qui, organisés en système de management de la
connaissance, produit de l’information utile à la prise de décision dans une perspective de
performance et de création de valeur pour toutes les parties prenantes”, (AFDIE, 2001).
L’enjeu de l’IE :
• L’aide à la décision;
• La performance.
• Le savoir -quoi
• Le savoir –pourquoi
• Le savoir –comment
• Le savoir – qui
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• Le savoir –où
Les connaissances explicites sont les connaissances transmissibles dans un langage formel /aisément
diffusables.
Elles sont capturées dans les bibliothèques, des archives et des bases de données.
Les connaissances tacites ont un aspect personnel qui les rend difficiles à formaliser et à
communiquer. / incorporés, résultent d’apprentissages en action.
Elles comportent, d’une part, un volet cognitif, à savoir les modèles mentaux que les humains se
forment sur le monde et, d’autre part, un volet technique, à savoir le savoir-faire concret, des habiletés
s’appliquant dans des contextes spécifiques.
Pr.Jamila AYEGOU
Notion de l’A.O :
« Les organisations apprennent lorsqu’elles codent dans des routines, qui guident les pratiques, et
enseignements de leur histoire ». Levitt et March (1988)
«Nous apprenons quand nous détectons une erreur et que nous la corrigeons. Une erreur correspond
à un écart entre ce que nous attendons d’une action et ce qui se produit effectivement, une fois l’action
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engagée. Une erreur, c’est l’écart entre l’intention et le résultat obtenu. Nous apprenons également
quand nous obtenons pour la première fois une concordance entre l’intention et le résultat». Argyris
et Schön
• L’intention stratégique
• INNOVATION
• BENCHMARKING
• C’est une société dans laquelle les deux extrémités de la chaîne de valeurs, à savoir la
conception du bien d’une part, et de l’autre sa commercialisation et sa prescription, tendent à
prendre une place prépondérante au détriment du troisième segment, la fabrication elle-même.
Notion d’innovation : « Mise en marché réussie d’un produit ou d’un procédé nouveau »
Joseph Schumpeter place l’innovation au cœur de la stratégie industrielle et explique les cycles par
les phases pauvres ou riches en innovations.
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Elles sont au cœur non seulement du processus de croissance, mais aussi de transformations
structurelles plus importantes.
• La faisabilité technique
L’avantage compétitif :
Lancer une technologie ou un produit réellement innovant avant ses concurrents donne à la firme un
avantage considérable.
Innovation :
Les formes d’innovation : L’innovation peut provenir de plusieurs sources et peut prendre plusieurs
formes. La réduire à la seule innovation technologique c’est se fermer des portes et brider la capacité
d’innovation de son organisation
Définition de l’OCDE :
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Quatre grands types d’innovation :
• l’innovation produit
• l’innovation processus
• l’innovation marketing
• l’innovation organisationnelle
L'innovation de rupture
• L'innovation d'application
• L'innovation Marketing
• L'innovation structurelle
• L'innovation de rupture : C'est la notion associée le plus souvent à l'innovation ; elle est
généralement basée sur une nouvelle technologie. On peut citer l'exemple des standards
HTTP/HTML qui ont créé le Web.
• L'innovation continue dans un produit : trouver de nouvelles approches pour améliorer son
produit. Par exemple, le multicœur pour les processeurs.
• L'innovation dans les Process : gagner en améliorant ses processus métiers. Exemple :
automatisation, dématérialisation.
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• L'innovation de Business Model : modifier les modalités de vente. Exemple : système
d'enchères publicitaires chez Google.
• Geoffrey Moore consultant high-tech de la Silicon Valley avance sa théorie « crossing the
chasm » (franchir le gouffre)
Pr.Jamila AYEGOU
• technoenthousiastes.
• Conservateurs « mainstream »
L'un des points clés est le chasm (abîme), décrit par Geoffrey Moore au début des années 90 et adapté
aux produits high-tech : ce moment où l'adoption d'une innovation de rupture par les pragmatiques la
propulse - ou pas - dans le marché de masse.
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Un moment délicat, où l'enthousiasme généré par un décollage prometteur des ventes peut se
transformer en cauchemar. Car, selon Moore - et contrairement à ce que peut laisser penser la courbe
du cycle de vie d'un produit -, il n'y a pas continuité entre les adopteurs précoces et les pragmatiques.
Mais rupture.
En savoir plus sur : http://archives.lesechos.fr/archives/2014/Enjeux/00313-006-
ENJ.htm#ufvAfsci2Ar1sH2f.99
– Incrémentale, de rupture, isolée, systémique (mettant en jeu des ensembles non rapprochés avant),
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• On sait ce qu’est l’intelligence économique :
– «Quand on épouse une tendance, il est déjà trop tard. » (Robert SALMON, ancien Vice-
Président de L’OREAL)
• Comment les rapprocher et voir comment l’IE peut aider à accroître la capacité d’innovation des
acteurs économiques ?
Pourquoi breveter?
• Arme défensive, il protège les droits des inventeurs et des entreprises innovantes.
• Arme offensive, il donne à tous les opérateurs économiques les moyens de gagner des
marchés.
Faire appel aux méthodes de l‘intelligence économique c'est : savoir maîtriser ses connaissances et
protéger son environnement interne et externe (son métier, ses produits, son marché, ses ressources
humaines et matérielles…).
Avant la mise en route du projet d’innovation, l’intelligence économique peut participer au succès
d’une innovation :
• Les actions de veille mises en place permettent de s’assurer de l’existence d’un marché pour la future
innovation,
• Inversement, une veille régulière d’un marché ou de l’environnement d’une entreprise peut mettre en
évidence l’existence d’un besoin nouveau se traduisant par une innovation ad hoc
• Préparer le marché: diffusion d’informations choisies sur le projet en cours et surtout sur les
améliorations que l’innovation apportera aux clients.
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• S’assurer de la cohérence de l’innovation avec la réglementation en vigueur
– Elle orchestrera aussi la présence d’informations sur les medias de référence du secteur.
Etudes de cas :
• Partenariats : JVC avait réussi à imposer son standard de magnétoscope VHS face au Betamax
de Sony, pourtant supérieur technologiquement, en octroyant rapidement des licences de
fabrication à un grand nombre de constructeurs.
– Chercher à inonder rapidement le marché en sacrifiant le profit à court terme et en s'appuyant sur des
partenariats.
Essilor :
http://www.essilor.com/centres-R-D
Renault :
• Culture de l'entreprise
• Obligation d'innover
• Volonté permanente
Banque :
• Multiplication des services aux particuliers tels que le DAB, l'interrogation des comptes à
distance, la passation des ordres de bourse par Internet,
• Aujourd’hui, la banque sur mobile, les services à la personne, relation-client très développée
BENCHMARKING
2. Outils du benchmarking
3. Enjeux du benchmarking
4. Acteurs du benchmarking
5. Processus du benchmarking
6. Performances du benchmarking
7. Benchmarking et éthique
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8. Etude de cas
Notion : Démarche ouverte et formalisée qui consiste à se comparer dans un domaine précis. Exp:
groupe PSA a développé la culture de « regarder ailleurs »
• A la base de l’IE
• Pratique très ancienne, qui a connu un engouement au cours des années 80, à travers la
reconnaissance en Europe et aux USA des performances de certaines entreprises japonaises
(ex : Toyota avec les systèmes du JAT et qualité totale)
• CAS DE XEROX
– Ex : British airways
– L’étalonnage peut se faire aussi en interne : identifier les meilleures pratiques de ses propres
divisions ou unités (cas des grandes entreprises)
Benchmarking = 4 types
• * Benchmarking interne
• * Benchmarking compétitif
• * Benchmarking fonctionnel
• * Benchmarking générique
2. Outils du benchmarking
• Prédisposition
• Choix de la mesure
3. Enjeux du benchmarking
4. Acteurs du benchmarking
• Direction générale
5. Processus du benchmarking
Phase de pré-benchmarking
Phase de benchmarking
Phase de post-benchmarking
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• Établir des priorités et déterminer le sujet et l’objet du benchmarking
6. Performances du benchmarking
7. Benchmarking et éthique
* principe de préparation
* principe de contact
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* principe d’échange
* principe de confidentialité
* principe d’utilisation
* principe de légalité
* prince d’achèvement
• CARAYON L’IHESI IHEDN à L’école militaire sur « IE une nouvelle P. publique »( Institut
des Hautes Etudes de Défense Nationale)
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d’une politique d’IE par la compétitivité- attractivité, influence, la sécurité économique et la
formation. »
• La dimension nationale n’a plus de sens : selon CNUCED, en 1996 la moitié du commerce
mondial relevait d’échanges entre filiales d’un même groupe
Mots-clés de l’IT :
• Définition de l’échelle
• Vigilance
• Diagnostic
• Partenariats
• Réseaux
• Préservation
L’intelligence territoriale :
• Permet « une évolution de la culture du local fondée sur la collecte et la mutualisation entre
tous ses acteurs des signaux et informations, pour fournir au décideur, et au moment opportun,
l’information judicieuse » (Herbaux, 2002)
• * «un processus informationnel et anthropologique, régulier et continu, initié par des acteurs
locaux physiquement présents et/ou distants qui s’approprient les ressources d’un espace en
mobilisant puis en transformant l’énergie du système territorial en capacité de projet. De ce
fait, l’intelligence territoriale peut être assimilée à la territorialité qui résulte du phénomène
d’appropriation des ressources d’un territoire puis consiste dans des transferts de
compétences entre des catégories d’acteurs locaux de culture différente» (Bertacchini, 2004).
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• « Ensemble d’actions d’IE conduites de manière coordonnée par des acteurs publics et privés
localisés sur un territoire, afin de renforcer la performance économique et, par ce moyen,
d’améliorer le bien- être de la population locale ». Marcon& Moinet 2011
• Approche nipponne
• Approche allemande
• Approche de l’UK
• Approche des pays émergents (Approche suédoise, Approche coréenne, Approche indienne,
Approche russe, Approche chinoise, Approche de l’Europe latine, Approche française)
• Etat fédéral
• NSA (Echelon)
• CIA
• Thinks Tanks
• Partenariat public-privé
• GE
• Prestataires d’IE
Approche nipponne
• Stagiaires et missionnaires
Approche allemande
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• Une culture du Vaterland
• Un réseau à la « Hanse »
• Mariage Industrie-Finance
Approche de l’UK
• Cercle de connivence
• Business Links
• Global Watch
• Think Tank
• IRES
• L’approche descendante
• L’approche ascendante
Dispositifs d’IT
Rôles de l’IT
Pôles de compétitivité
• Districts industriels
• Clusters
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La collaboration est d’abord La collaboration est reconnue et renforcée
voulue par les acteurs eux mêmes par les pouvoirs publics (vocabulaire et
registre de l’action publique)
(vocabulaire et registre
industriels)
organisations variées :
entreprises, universités,
etc.
IT & PC
• Capacité à bâtir des avantages comparatifs sur les marchés dits « stratégiques » car
générateurs d’influence et de puissance.
• « … sur ces marchés, ce ne sont pas la qualité ou le prix des produits et services qui font
« seulement » la différence, mais bien la volonté politique d’accompagnement des Etats qui
permet de les conquérir … » B. Carayon
Au plan national, l’IE peut être définie comme un « … mode de gouvernance dont l’objet est la
maîtrise de l’information stratégique et qui a pour finalité la sécurité de l’économie et la compétitivité
des entreprises » A. Juillet 2004
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Les pôles de compétitivité au Maroc
le Maroc a lancé un programme baptisé « Emergence » qui a pour objectifs de capter des
opportunités majeures dans un contexte de fortes délocalisations, impulser l’émergence et le
développement de nouveaux métiers et de nouveaux secteurs, et stimuler la croissance.
Les pôles de compétitivité au Maroc sont créés autour de la notion de réseaux, mettant ainsi en
relation les réseaux de compétence, les plateformes technologiques, l’environnement
concurrentiel et l’international.
En moins de deux ans après le lancement de la stratégie pour l’offshoring, deux zones dédiées
sont déjà opérationnelles : Casanearshore et Technopolis
Le gouvernement a retenu l’idée d’un pôle de compétitivité dédié aux industries automobiles,
implanté à proximité du port Tanger Med
Par nature, les pôles de compétitivité sont des acteurs clés pour la mise en place de démarches
d’intelligence économique car ils sont à l’origine de la production et de la circulation d’une
grande masse d’informations souvent à forte valeur ajoutée, qui ne peut être diffusée sans
contrôle.
les pôles de compétitivité peuvent susciter des convoitises chez des concurrents étrangers, et il
est indispensable que la gestion de leurs flux d’informations soit assurée dans de bonnes
conditions de sécurité : règles de classification de l’information, utilisation de plateformes
numériques sécurisées d’échanges d’informations, garantie des modalités de stockage.
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