Cours 2 Assan Annaba

Module découverte Master I
Hydraulique Urbaine & Ressources en Eaux
Diagnostic & réhabilitation des réseaux
Partie 1 : Ouvrages visitables
Dr. BOUTAGHANE Hamouda

Mail du cours : diagnostic.rehabilitation@gmail.com
Mail enseignant: boutaghane.hamouda@univ-annaba.org
Pathologie des collecteurs
Le dossier d’ouvrage et les risques

associés aux ouvrages souterrains
Alger - Mai 2013

Le dossier d’ouvrage et les risques associés aux
ouvrages souterrains
Constitution d’un dossier d’ouvrage

 Plans de l’ouvrage (vue en plan, profil du collecteur)
 Données générales et contraintes liées à l’ouvrage,
 Historique de l’ouvrage (études, travaux.…)
 Relevé d’état physique de l’ouvrage,
 Profil géologique et hydrogéologique de l’ouvrage,
 Environnement de surface,
 Concessionnaires,
 Contraintes d’exploitation
Alger - Mai 2013

Géologie – Hydrogéologie
et risques associés
Alger - Mai 2013

Environnement géologique / hydrogéologique
Enquête géologique / hydrogéologique

Objectifs : Identifier la nature des sols qui sont au contact direct de
l’ouvrage et si l’ouvrage est concerné par un niveau d’eau.
Moyens : Réaliser une enquête bibliographique (carte géologique, carte

hydrogéologique, bases de données, etc.). Corréler l’enquête avec les
résultats de sondages et d’essais réalisés.
Résultats : Compréhension des
mécanismes d’interaction sol/structure qui
participent à la pathologie de l’ouvrage
par une analyse des risques et prise en
considération sur les travaux à préconiser.
Alger - Mai 2013

Risques géologiques et hydrogéologiques
Entrainements de fines
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Tassements
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Dissolution
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Effondrement de vide
Alger - Mai 2013

Gonflement - retrait
Alger - Mai 2013

Glissement de terrain
Alger - Mai 2013

Sismicité
Alger - Mai 2013

Mouvements tectoniques
Alger - Mai 2013

Éboulements rocheux
Alger - Mai 2013

Marnage
Alger - Mai 2013

Exemples de coupes
Alger - Mai 2013

Profil en long
Alger - Mai 2013

Type de notation
Risque négligeable (matrice < 2 // attention, un risque n’est jamais nul)
Risque faible (2 < matrice <4)
Risque modéré (4 < matrice < 8) Risque fort (matrice >8)
Risque avéré (risque dont les conséquences ont été observées)
Exemple de matrice de risque
Gravité
1 2 3 4
Faible Moyenne Grave Très grave
4x 4 = 16
4x 1 = 4 4x 2 = 8 4x 3 = 12 Risque fort
4Très probable (avéré en
Risque faible Risque modéré Risque fort
général(
3Probable 3x 1 = 3 3x 2 = 6 3x 3 = 9 3x 4 = 12
Risque faible Risque modéré Risque fort Risque fort
Probabilité 2x 1 = 2 2x 2 = 4 2x 3 = 6 2x 4 = 8
2Improbable Risque Risque faible Risque modéré Risque modéré
négligeable
1Très 1x 1 = 1 1x 2 = 2 1x 3 = 3 1x 4 = 4
improbable Risque Risque Risque faible Risque faible
négligeable négligeable
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Risque d’impact du milieu
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Environnement concessionnaires
Impact
La présence de concessionnaires peut augmenter
très sensiblement le coût des travaux et donc
forcer le Maître d’Ouvrage à changer de
méthodologie de travaux (sans tranchée par
exemple).
Alger - Mai 2013

Environnement concessionnaires
Concessionnaires types
À l’intérieur ou à l’extérieur de l’ouvrage (voire même, structures fusionnées)
Réseaux courants:
Réseaux de distribution d’électricité basse ou moyenne tension (y compris éclairage public).
Réseaux de distribution de gaz basse ou moyenne pression.
Réseaux d’assainissement non visitable.
Réseaux de distribution d’eau .
Réseaux télécom (hors fibre optique)
Réseaux sensibles:
Réseaux de transport d’électricité haute et très haute tension.
Réseaux de transport de gaz haute et très haute pression.
Réseaux d’assainissement visitable et émissaires.
Réseaux de transport d’eau.
Réseaux télécom (fibre optique).
Réseaux de transport d’hydrocarbures.
Réseaux ferrés ou routiers (tunnels)
Réseaux d’ouvrages souterrains (stations de pompage, galerie d’accès, etc)
Réseaux divers (caméras ,etc).
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Anomalies, défauts,
désordres de la structure
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Inspection visuelle des ouvrages visitables
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Alger - Mai 2013

Alger - Mai 2013

Exemple de traitement codifié selon la norme européenne NF EN 13508-2
Alger - Mai 2013

Principales familles de désordres
 Les cassures,
 Les déformations,
 Les défauts d’étanchéité,
 Les anomalies ponctuelles,
 Les dégradations de parement.
Alger - Mai 2013

Le cas des tunnels
Alger - Mai 2013

Le relevé d’état physique
Alger - Mai 2013

Relevé d’état physique (exemple)
Alger - Mai 2013

Alger - Mai 2013

Alger - Mai 2013

Réglementations – Normes
Recommandations relatives aux
travaux de réhabilitation
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Réglementations – Normes - Recommandations
 L’application des textes dans les marchés publics

Textes Application dans Marché
public
.1Règlementations nationales – lois, décrets Obligatoire
.2Normes nationales transposant des Obligation de «référence»

normes européennes (NF EN xxxx( aux Normes (Art 6 du code
Normes nationales (NF xx-xxx) Ex DTU des marchés publics(
.3C.C.T.G. ex Fascicule 70 Non obligatoire (Art 13 du
code des marchés publics(
.4Guides techniques publiés par les Volontaire
laboratoires publics : LCPC, SETRA...
.5Recommandations des associations Volontaire
techniques : ASTEE, AFTES, ASQUAPRO…
Alger - Mai 2013

 La référence aux normes est obligatoire dans les marchés

publics (Art 6 du CMP.(
-Sauf à définir les spécifications techniques en terme de
performances ou d’exigences fonctionnelles.
-Dérogation possible : En cas d’innovation par exemple
 Mais il faut identifier les normes pertinentes
- Les normes ne sont pas d’application automatique ((1
- Il faut les citer explicitement dans les spécifications.
- Si la norme prévoit plusieurs options ou classes de
performances, ne pas oublier de les préciser.
- Citons les Fascicules du CCTG qui référencent les normes.
(1(A l’exception des normes rendues d’application obligatoire par la

réglementation.
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 Fonction actuelles des C.C.T.G.

- La référence aux Fascicules du CCTG n’est pas
obligatoire (Art. 13 CMP(
- Définition de spécifications techniques contractuelles
Par référence et identification des normes applicables et
des certifications.
En apportant des indications sur l’application des normes.
En complément ou en absence de normes applicables.
- Définition de stipulations contractuelles
non ou peu techniques:
Gestion de la Qualité…
- Guide et recommandations non contractuels, sous
forme de : Annexes informatives, documents types…
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 Produits faisant l’objet d’une norme (NF, ISO, DIN …)
La conformité du produit à la norme doit être prouvée par le

fournisseur:
- par la certification NF ou par une certification étrangère reconnue
équivalente.
- à défaut par un certificat de conformité délivré par un organisme de
certification accrédité (par ex le CSTB.(
- à défaut, au moyen d ’une réception par lot sur chantier sur la base d’un
échantillonnage. Cette réception porte sur toutes les caractéristiques
figurant dans la norme et sur les critères d ’aptitude à la fonction définis
dans la norme NF EN .476
La justification de la conformité incombe au fournisseur, la

vérification incombe à l’acheteur.
Alger - Mai 2013

 La marque de certification NF
- La marque NF est gérée par l ’AFNOR (ou un organisme mandaté
ex: CSTB), elle atteste de la conformité des produits aux exigences
figurant dans le référentiel de certification et donc aux normes en
vigueur (mais aussi à d ’autres spécifications.(
- Un marquage spécifique est apposé sur les produits.
- Ex (Tube PVC NF 055) : Marque commerciale, N° agrément du site
de production, logo NF A, PVC, DNxeN, classe de rigidité, date de
fabrication.
 Exemple de marques NF:
- Tuyaux et accessoires en Fonte (référentiel NF 016 suivie
par CSTB(
- PVC assainissement (référentiel NF 055 suivie par CSTB(
- Éléments en Béton pour réseaux d ’assainissement (Référentiel NF
120suivie par le CERIB(
- Grès (référentiel NF 121 suivie par CSTB(
- Voirie (référentiel NF (110
Alger - Mai 2013

 Produits ne faisant pas l’objet d’une norme
Lorsqu’un produit utilisé est innovant (ou lorsqu’il ne fait pas

l’objet d ’une norme) celui-ci peut faire l’objet d ’un « Avis
Technique » (ATec(
- L’avis est formulé par une commission interministérielle (arrêté du 2
décembre 1969) qui constitue des groupes spécialisés dont la
fonction est d ’instruire les demandes. Le GS 17 s ’occupe du
domaine de l ’assainissement.
- Aucun caractère réglementaire particulier.
- Le CSTB rapporte les demandes d ’Avis et les publie (la validité est
limitée dans le temps.(
- L’avis technique définit les performances du produit, les conditions
de mise en œuvre, les règles de dimensionnement...
- Le site de fabrication du produit doit être titulaire d ’un certificat
CSTBat associé à l ’Avis technique.
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• Produits ne faisant pas l’objet d’une norme
La marque CSTBat
- La marque CSTBat est gérée par le CSTB (Centre Scientifique et
technique du Bâtiment.(
- Certifie la conformité du produit au référentiel technique décrit dans
l’Avis Technique.
- Le référentiel de certification est basée sur l ’Avis Technique et les
règles générales de la marque CSTBat.
- La liste des produits certifiés et les sites de fabrication peut être
consulté sur le site www.cstb.fr
Alger - Mai 2013

 Le marquage CE
La directive produit 89/106/CE a instauré l ’obligation

réglementaire du marquage CE (droit de Circuler en Europe( pour
tous les produits de construction.
6exigences à respecter (spécifiées dans l ’annexe ZA des
normes européennes harmonisées: (
– Résistance mécanique et stabilité;
– Feu;
– Hygiène, santé et environnement;
– Bruit;
– Énergie;
– Durabilité.
De manière générale la conformité est établie sur la

base d’une simple déclaration par le fabricant.
Alger - Mai 2013

 Produits ne faisant pas l’objet d’une norme
L ’Agrément Technique Européen

 Est une spécification technique harmonisée au sens de la directive
communautaire sur les produits de construction (DPC n(°89-106
 Il constitue, pour certains produits non normalisés et qui ne sont pas
inscrits au programme du CEN et notamment les produits innovants, le
support de référence indispensable à l ’apposition du marquage CE.
 Il s ’applique à un produit pour un usage déterminé et est valable 5 ans.
 Il est délivré à la demande de l ’industriel.
-Procédure exceptionnelle pour les produits du secteur de l ’eau
(pas d ’exemple.(
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 Normes Européenne, exemple:
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 ATec, exemple
Alger - Mai 2013

 Les Normes dans le domaine de la réhabilitation des réseaux

d’assainissement
Travaux Normes applicables
NF EN : 13508-1
Diagnostic NF EN 13508-2 : Système de codage
NF EN 13380 (septembre 2001) : Prescriptions générales pour les

Prescriptions composants utilisés pour la rénovation et la réparation des branchements
générales et des réseaux d’assainissement
Produits
Mise en œuvre NF EN 13566-1 à 7 (2003) : Systèmes de canalisations plastiques pour la
Contrôles rénovation des réseaux d’assainissement enterrés sans pression.
Définitions, XP P 16-106 (décembre 2005) : Gestion et contrôle des opérations de

méthodes… réhabilitation des réseaux d’évacuation et d’assainissement.
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 NF EN 13566 : Système de canalisations plastiques pour la

rénovation des réseaux d’assainissement enterrés sans
pression (mai 2003)
- Partie : 1 Généralités
- Partie : 2 Tubage par tuyau continu avec espace annulaire
- Partie : 3 Tubage par tuyau continu sans espace annulaire
- Partie : 4 Chemisage continu polymérisé en place
- Partie : (*( 5 Tubage par tuyaux courts avec espace annulaire
- Partie : (*( 6 Insertion de gaine souple
- Partie : 7 Tubage par enroulement hélicoïdal avec espace
annulaire.
*Norme non homologuée.
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 NF EN 13566- 4 : Chemisage continu polymérisé en place.

(septembre (2003
 A compléter par un document technique d’application D.T.A
(équivalent de l’ATec(
 La marque NF 390 certifie la conformité à la norme NF EN .13566-4
Alger - Mai 2013

 Norme concernant le béton projeté

Spécification NF EN 197- 1: Ciments – composition, spécification et critères de conformité.
NF EN 206-1 (avril 2004) : Béton - Spécification, performances, production et
conformité.
NF P 18-500 (juin 1995) : Béton de sable.
NF EN 14487-1 (mars 2006) : Définitions, spécifications et conformité.
Exécution NF EN 14487-2 (août 2007) : Exécution.
NF P95-102 (avril 2002) : Ouvrages d’art – Réparation et renforcement des
ouvrages en béton et en maçonnerie – Béton projeté – Spécifications relatives à
la technique et aux matériaux utilisés.
Essais NF EN 14488-1 (octobre 2005) : Échantillonnage de béton frais et de béton durci.
NF EN 14488-2 (octobre 2006) : Résistance à la compression au jeune âge.
NF EN 14488-3 (juillet 2006( : Résistance à la flexion d’éprouvettes
parallélépipédiques en béton renforcé de fibres.
NF EN 14488-4+A1 (mai 2008) : Adhérence en traction directe sur carottes.
NF EN 14488-5 (juillet 2006( : Capacité d’absorption de l’énergie.
NF EN 14488-6 (août 2006( : Épaisseur du béton sur un support.
NF EN 14488-7 (juillet 2006) : Teneur en fibres du béton renforcé par des fibres.
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 Normes concernant les produits et systèmes pour
la projection et la réparation des structures en
béton
NF EN 1504-1 (2005) : Définition, prescriptions, maîtrise de la qualité et évaluation de la conformité
Partie 1 : définitions..
NF EN 1504-2 (2005) : Définition, prescriptions, maîtrise de la qualité et évaluation de la
conformité – Partie 2 : système de protection de surface pour le béton.
Partie 3 : réparation structurale et réparation non structurale.
Partie 4 : collage structural.
Partie 5 : produits et systèmes d’injection du béton.
Partie 7 : protection contre la corrosion des armatures.
NF EN 1504-10 (2006) : Définition, prescriptions, maîtrise de la qualité et évaluation de la
conformité – Partie 10 : application sur site des produits et systèmes et contrôle de la qualité des
travaux.
Alger - Mai 2013

 Normes concernant la réparation et le renforcement
des ouvrages d’art (en béton ou en maçonnerie(
NF P95-101 (1993) : Ouvrages d’art – Réparation et renforcement des ouvrages en béton et en

maçonnerie – Reprise du béton dégradé superficiellement – Spécifications relatives à la technique
et aux matériaux utilisés.
NF P95-102 (avril 2002) : Ouvrages d’art – Réparation et renforcement des ouvrages en béton et
en maçonnerie – Béton projeté – Spécifications relatives à la technique et aux matériaux utilisés.
NF P95-103 (1993) : Ouvrages d’art – Réparation et renforcement des ouvrages en béton et en

maçonnerie – Traitement des fissures et protection du béton – Spécifications relatives à la
technique et aux matériaux utilisés.
NF P95-107 (1993) : Ouvrages d’art – Réparation et renforcement des maçonneries –

Spécifications relatives à la technique et aux matériaux utilisés.
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 Guides techniques - recommandations

Guide -TSM N°7/8 2008, Inspections visuelles des réseaux d’assainissement.
technique de -TSM N°2 2004, Recommandations pour la réalisation des contrôles préalables à
l’ASTEE la réception des travaux de réhabilitation des réseaux d’assainissement.
-TSM Hors série 1998, Recommandations pour la réhabilitation des réseaux
d’assainissement.
Guides -Guide technique LCPC/SETRA : choix et application des produits de réparation
techniques du et de protection du béton.
LCPC/SETRA -Guide technique LCPC/SETRA : Protection des bétons par application de
produits à la surface du parement.
Guides Guide technique du STRRES (Syndicat des Entrepreneurs Spécialistes de
techniques Travaux de Réparation et de Renforcement de Structures: (
autres -Guide N°6 : Renforcement des maçonneries.
- Guide N°5 : Béton projeté.
-Guide technique de l’ASQUAPRO (Association pour la Qualité de Projection des
mortiers et bétons: (
- Mise en œuvre des bétons projetés ((2007
- Formulation ((2010
- Contrôles – partie A et B
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 Recommandations de l’AFTES
TOS N°131, Les méthodes de diagnostic pour les
tunnels revêtus.
TOS N°146, Mars/Avril 1998 – L’emploi des
injections pour la réhabilitation d’ouvrages
souterrains.
TOS N°187, Janvier/Février 2005 – Méthodes
d’auscultation des ouvrages souterrains.
TOS N°189, Mai/Juin 2005 – Opérations
préalables à la réception des travaux de
réhabilitation des ouvrages souterrains par
injection.
TOS N°191, Septembre/Octobre 2005 – Catalogue
des désordres en ouvrages souterrains.
TOS N°194-195, Mai/Juin 2006 - Traitement
d’arrêts d’eau dans les ouvrages souterrains
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 Guides techniques du PN RERAU (Réhabilitation

des réseaux d’assainissement urbains(
Restructuration des collecteurs visitables – Tome 1
Chapitre 1 : Anomalies, défauts, dégradations,
désordres de la structure des collecteurs.
Chapitre 2 : Auscultation, diagnostic.
Chapitre 3 : Rôle respectif des différents acteurs dans le
déroulement des opérations. Mode d’intervention.
Chapitre 4 : Techniques disponibles.
Restructuration des collecteurs visitables – Tome 2
Chapitre 5 : Performances à imposer à la restructuration
et méthodes de justification associées.
Chapitre 6 : Choix des techniques : critères, priorités.
Chapitre 7 : Assurance qualité.
Chapitre 8 : Hygiène et sécurité.
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 Synthèse des références essentielles pour la

réparation et le renforcement des collecteurs
d’assainissement
Spécifications Guides techniques RERAU Tome 1 et .2
TOS N°146, Mars/Avril 1998 – L’emploi des injections pour la

réhabilitation d’ouvrages souterrains.
TOS N°194-195, Mai/Juin 2006 - Traitement d’arrêts d’eau dans les
ouvrages souterrains.
Contrôles des TSM N°2 2004, Recommandations pour la réalisation des contrôles
travaux préalables à la réception des travaux de réhabilitation des réseaux
d’assainissement.
TOS N°189, Mai/Juin 2005 – Opérations préalables à la réception des
travaux de réhabilitation des ouvrages souterrains par injection.
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Constitution d’un dossier d’ouvrage

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Enquête géologique / hydrogéologique

Moyens : Réaliser une enquête bibliographique (carte géologique, carte

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Exemple de matrice de risque

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Risque d’impact du milieu

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Principales familles de désordres

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Le relevé d’état physique

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 L’application des textes dans les marchés publics

.2Normes nationales transposant des Obligation de «référence»

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 La référence aux normes est obligatoire dans les marchés

(1(A l’exception des normes rendues d’application obligatoire par la

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 Fonction actuelles des C.C.T.G.

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 Produits faisant l’objet d’une norme (NF, ISO, DIN …)

La conformité du produit à la norme doit être prouvée par le

La justification de la conformité incombe au fournisseur, la

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 Produits ne faisant pas l’objet d’une norme