Brouillon de Texte Argumentatif

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Thèse : La prison en Colombie, elle n’est pas utile pour réduire les chiffres du

crime.

A1. En prison il n´est pas possible de réparer la victime. 

En particulier dans le cas d'un crime « par absence alimentaire », le dommage est
l'absence du père dans l'éducation de l'enfant. Normalement le père doit travailler pour
obtenir les ressources nécessaires pour son fils ou fille. Si le père est condamné par
l’absence alimentaire, en prison le condamné ne pourra pas travailler pour payer les
dommages qu'il a causé. Pour conclure, si le condamné n’a pas répondu avec les
responsabilités de père, en prison, l’enfant ne pourra pas recevoir l'aide de son père.

A2. Dans la prison, les citoyens condamnés peuvent apprendre d'autres manières
plus graves de violenter les normes et la société.

La crise des prisons en Colombie est évidente avec le niveau d’occupation des lieux de
réclusion. La majorité des prisons est pleine, situation qui cause que les criminels avec
des peines de sévérité différente soient mélangés. Cette situation, avec les organisations
criminelles qui cherchent des nouveaux membres en prison, a causé que les condamnés
doivent travailler pour ces organisations dans les prisons pour trouver un lit dans lequel
dormir. 

A3. Le citoyen condamné n’est pas réintégré à la société, au contraire il y a l‘effet de


stigmatisation.
 
Avant que nous parlions de la prison, il est pertinent que nous nous rappelions le but de
cette institution pénitentiaire. Il y a beaucoup d’approximations à ce sujet, mais le Court
Constitutionnel de la Colombie a accepté la suivante : « la prison comme l’institution dans
laquelle le condamné récupère la relation avec la société, laquelle a été brisée avec
l’action criminelle. Ce procès s’appelle « réintégration »». Par contre, dans notre réalité,
dans les prisons se cachent les problèmes (les condamnés) de la société. Ils n’ont pas de
solution.
 
En effet, nous disons que dans la prison se cachent les condamnés car, n’y a aucune
activité liée avec le procès de « réintégration », les prisons n’ont pas des programmes
d’éducation ou professionnalisation.  Au contraire, un lieu plein de personnes qui ont fait
un délit avec toute la journée libre, c’est la situation parfaite pour que de nouvelles
alliances criminelles apparaissent. 

Alors, nous avons dit sur la prison que dans cette institution n’a aucun procès de “
réintégration ”,  une opinion que partagent  le 83% des Colombiens, selon l'enquête
publiée par l'entreprise enquêteuse Polimetrica. Cet avis a comme conséquence que la
majorité des Colombiens croient que les ex-condamnés sont dangereux pour la société,
situation que cause la stigmatisation. Et pour finir, la stigmatisation est la perception
négative d’une personne, d'un groupe ou d'une collectivité.   

Conclusion
La prison comme institution ou les condamnés sont confinés, il n’a pas une résultante
positive selon l’opinion publique, plusieurs études universitaires, et aussi pour la Courte
Constitutionnelle. Cette opinion est la conséquence de premier, dans les prisons n´a
aucune possibilité de réparer la victime, deuxième, dans la prison, les citoyens
condamnés peuvent apprendre d'autres manières plus graves de violenter les normes et
la société et, troisième, le citoyen condamné n’est pas réintégré à la société.

Avec ce diagnostique est possible dire que la prisons comme institution de réclusion a un
moment critique, car, cette institution n’attendre pas sa fonction constitutionnel et légal.
Nous sommes surs qui est nécessaire une modification radicale dans la politique
criminelle de la Colombie. Dans ce change du nord ou du but a comme principal
modification le type de justice pénale, avec major exactitude la substitution du droit qu’a la
prison comme principal mesure contre le délit, par le droit qui pense dans la victime et le
condamné comme personnes. Un droit pénal qui pense dans la réparation de la victime et
la réintégration du condamné.

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