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République algérienne démocratique et populaire

Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche


scientifique

Département de génie mécanique

Système énergétique industrielle

Constantine 1

Thème :

Machine à courant alternatif

Présent par : groupe 2


 Benotmane walid 1M-SEI
 Belaid tayeb
 Yahaoui ouassim
 Boualita abderraouf
 Benfadel abdelghani
 Mehimdati younes

Année universitaire : 2020 – 2021


I. Introduction

Les machines à courant alternatif sont les machines employées le plus fréquemment
dans l'industrie. Elles possèdent en effet plusieurs avantages par rapport aux machines à
courant continu : simplicité, robustesse, prix peu élevé et entretien facile. Les forces
d'attraction ou de répulsion au sein des machines électriques sont dues à l'interaction de deux
champs magnétiques, l'un créé par l’enroulement du stator et l'autre par l’enroulement du
rotor. La différence entre les types des machines venant de la façon dont sont créés ces
champs magnétiques et de la manière dont on les fait agir l'un sur l'autre. Pour les machines
synchrones et asynchrones, il est créé un champ magnétique, tournant dans l'espace du stator.
Dans le présent chapitre, nous étudierons les principes fondamentaux de ces deux types de
machines à courant alternatif triphasés lorsqu'ils fonctionnent à fréquence fixe

2. Principe de fonctionnement de machines à courant alternatif

Les machines électriques à courant alternatif (alternateurs, moteurs synchrones et


asynchrones) reposent en grande majorité sur le principe du champ tournant, il est donc
impératif de bien comprendre cette notion et ses caractéristiques avant d’aborder les différents
types.

La première idée qui vient pour créer un champ tournant dans l'air est de prendre un
aimant en fer à cheval et de l'entraîner en rotation autour de son axe vertical (figure I.1). Entre
les pôles nord et sud de cet aimant nous observons que le champ magnétique est lui-même
entraîné en rotation.
Figure I.1. Exemple d’un champ tournant dans l'air

3. Action d’un champ tournant sur une aiguille aimantée

Soit une aiguille aimantée (pouvant tournée autour d’un pivot) est soumise au champ
magnétique de l’aimant en fer à cheval comme il est montré par la figure I.2. En faisant
tourner l’aimant avec un dispositif d’entraînement, l’aiguille tournera elle aussi à la même
vitesse que l’aimant. Chaque pôle de l’aiguille suit le pôle inverse de l’aimant (Il y a attraction
mutuelle des pôles de noms contraires: développement d’un couple moteur). Si l’aiguille est
soumise à un couple résistant, elle continuera à tourner à la même vitesse que l’aimant mais
avec un retard. Ainsi, un champ tournant peut entraîner à la même vitesse que lui (vitesse dite
de synchronisme) une aiguille aimantée, un aimant permanant ou un électro-aimant. Ceci est
le principe de la machine synchrone.
Figure I.2. Action d’un champ tournant sur une aiguille aimantée

4. Action d’un champ tournant sur un disque métallique

Dans ce cas, nous remplaçons l’aiguille aimantée par un disque métallique en cuivre
ou en aluminium (pouvant tourner aussi autour d’un pivot) comme il est montré par la figure
I.3. Supposant que le disque est fixe. La variation du champ de l’aimant produit dans la masse
pleine du disque des courants dits de Foucault d’après Lenz doivent s’opposer à la cause qui
leur a donné naissance. Cette cause est le déplacement relatif de l’aimant par rapport au
disque.

Ces courants induits ne peuvent empêcher la rotation réelle de l’aimant. Ils entraînent
le disque dans un mouvement permettant de diminuer le déplacement relatif du champ, soit
une rotation. Un couple moteur est donc créé entre les pôles de l’aimant et les pôles créés par
les courants induits. Si le disque est soumis à un couple résistant, il continuera à tourner dans
le même sens mais à une vitesse plus réduite par rapport au cas sans couple résistant. Le
disque ne peut jamais tourner à la même vitesse de l’aimant (vitesse de synchronisme). Car
dans ce cas, le disque est relativement immobile par rapport à l’aimant. Donc, il n’y aura plus
des courants dits de Foucault l’origine du mouvement du disque. Ainsi, un champ tournant
peut entraîner un disque métallique à une vitesse différente à celle de l’aimant en fer à cheval.
Ceci est le principe de la machine asynchrone.
Figure I.3. Action d’un champ tournant sur un disque métallique

Remarque :

Un champ tournant peut être créé par un aimant permanant ou un électroaimant


alimenté en continu en utilisant un dispositif d’entraînement ou un bobinage polyphasé
alimenté en alternatif.

5. Force électromotrice produite par un champ tournant

Faisons tourner un aimant droit ou un électroaimant en face d’une surface délimitée


par le contour d'une spire (figure I.4), tel que le pôle nord de l'aimant soit au début
perpendiculaire à la surface de la spire (𝜃 = 0) puis parallèle de sorte que le pôle nord sera en
face au conducteur AA' (𝜃 = 𝜋 2 ). Ensuite le pôle sud qui sera perpendiculaire à la surface
(𝜃 = 𝜋) puis parallèle de sorte que le pôle nord sera en face au conducteur BB' (𝜃 = 3𝜋 2 ).
Ensuite, l’aimant revient à son état initial (𝜃 = 2𝜋).

En supposant que la vitesse de rotation de l’aimant est constante, le flux traversant la


surface droite de la spire est alternatif. La variation du champ magnétique de l’aimant
applique une force sur les électrons de la bobine créant ainsi une tension électrique dite force
électromotrice. D’après Faraday, tout circuit soumis à une variation de flux, voit apparaître à
ses bornes une force électromotrice donnée comme suit : 𝑒 = − 𝑑𝜙 /𝑑𝑡
La forme d’onde de la f.é.m est donc aussi alternative et est en quadrature arrière par
rapport au flux

Remarque : Les machines industrielle sont conçues afin que leurs f.é.m. soit
sensiblement sinusoïdale. Nous supposerons donc par la suite que la répartition du flux est
sinusoïdale et sa pulsation ω est constante comme suit : 𝜙 = 𝜙𝑚𝑎𝑥 cos 𝜔𝑡

Avec 𝜔 = 2𝜋𝑛 et n est la fréquence de rotation de l’aiment en [tr/s].

6. Champ tournant produit par des courants alternatifs

1. Cas du monophasé

Nous exposons une aiguille aimantée en regard d’une bobine à noyau de fer alimenté par une
source de tension alternative u(t)de fréquence fixe f

En présence du courant alternatif, l’aiguille vibre mais ne tourne pas d’elle-même. Si nous
lançons l’aiguille aimantée dans un sens, elle continue à tourner dans ce sens à une vitesse
égale la fréquence f de la source de tension. Dans le cas d’un disque métallique au lieu d’une
aiguille aimantée. Il reste également au repos. Lancé dans un sens, il continu à tourner dans ce
sens à une vitesse inférieure à la fréquence f

2. Cas du triphasé

Alimentons par une source de tension triphasée (u1, u2, u3) équilibrée de fréquence fixe f,
trois bobines identiques dont les axes sont à 120° l’un de l’autre

L’aiguille aimantée se met à tourner spontanément et atteint une fréquence de rotation égale à
la fréquence d’alimentation f (n=f). De même que pour le cas d’un disque métallique au lieu
de l’aiguille aimantée, le disque se met à tourner à une fréquence de rotation inférieure à la
fréquence d’alimentation f

3. Théorème de LEBLANC

Un champ magnétique produisant une induction sinusoïdale de direction fixe (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠
𝜔𝑡 est équivalent à deux champs tournants en sens inverse l’un par rapport à l’autre à la
vitesse angulaire 𝜔 et d’induction qui a pour valeur 𝐵𝑚𝑎𝑥 2 . Nous pouvons vérifier ce
théorème par projection sur les axes vertical et horizontal de l'équation vectorielle suivante :

(𝑡) = 𝑏 1 + 𝑏 2
4. Application du Théorème de LEBLANC dans le cas du triphasé

Soit un système triphasé de trois bobines identiques décalées l’une de l’autre d’un angle 120°
et alimenté par un système de tension triphasé équilibré directe. Les inductions produites par
chaque bobine sont alignées sur leurs axes et de valeurs instantanées respectivement

𝑏𝑎 (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠 𝜔𝑡

𝑏𝑏 (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠 𝜔𝑡 − 2𝜋/ 3

b𝑐 (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠 𝜔𝑡 − 4𝜋/ 3

Représentons la décomposition de LEBLANC de chaque induction au centre des trois bobines


à un instant donné (Figure I.11.a, b, c). La somme des trois vecteurs d’induction sinusoïdales
𝑏𝑎 (𝑡) , 𝑏𝑏 (𝑡) et 𝑏𝑐 (𝑡) égale à la somme des six vecteurs 𝑏𝑎 1 , 𝑏𝑎 2 , 𝑏𝑏 1 , 𝑏𝑏 2 , 𝑏𝑐 1 et 𝑏𝑐
2 qui sont tournants est ayant la même amplitude 𝐵𝑚𝑎𝑥 2 .

5. Champ tournant en diphasé

Les deux bobines des deux phases sont décalées géométriquement de 90° l’une de l’autre,
alors que leurs champs sont en quadrature comme suit :

𝑏𝑎 (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠 𝜔𝑡

𝑏𝑏 (𝑡) = 𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑐𝑜𝑠 𝜔𝑡 − 𝜋 2

Représentons la décomposition de LEBLANC de chaque induction à l’intersection des axes


des deux bobines à un instant donné (Figure I.13). Nous voyons immédiatement que ba 2 et
bb 2 s’ajoutent et forment un vecteur de module constant ayant pour valeur 𝐵𝑚𝑎𝑥 tournant à
la fréquence de rotation 𝑛 = 𝜔 2𝜋 dans le sens directe. Alors que les deux autres vecteurs ba 1
et bb 1 s’annulent.

7. Enroulement des machines à courant alternatif

1. Enroulement de machine triphasé

Ce qui caractérise essentiellement le bobinage, c’est le nombre ′𝑚′ d’encoche par

pôle et par phase 𝑚 = 𝑁

, avec ′𝑁′ est le nombre total d’encoche. Donc, on a


′6𝑚′ pas dentaires correspondant à une double distance polaire (un angle de 360°

électrique). Chaque phase couvre ′2𝑚′ pas dentaires pour chaque double distance

polaire. Les bobines des trois phases sont identiques mais décalées l’une par rapport

à l’autre d’un angle de 120° électrique (donc d’une distance de ′2𝑚′ pas dentaires).

L’ouverture d’une bobine (la distance entre les faisceaux de l'allée et les faisceaux

du retour d’une phase) est de 180° donc de ′3𝑚′ pas dentaires.

Le développement panoramique de l’enroulement est réparti comme suit :

- ′𝑚′ encoche des faisceaux de l’allée de la phase 1 : 0°

- ′𝑚′ encoche des faisceaux du retour de la phase 3 : 60°

- ′𝑚′ encoche des faisceaux de l’allée de la phase 2 : 120°

- ′𝑚′ encoche des faisceaux du retour de la phase 1 : 180°

- ′𝑚′ encoche des faisceaux de l’allée de la phase 3 : 240°

- ′𝑚′ encoche des faisceaux du retour de la phase 2 : 300°

Ceci est réalisé pour une paire de pôle. Il faut répéter ceux-ci ′𝑝 − 1′ fois.

On distingue deux types d’enroulement à savoir concentrique et enchevêtré.

1. 1. Enroulement Concentrique

L’enroulement est dit concentrique lorsqu’on relit les sections d’une bobine de telle

sorte qu’ils auront le même axe mais de sections différentes (figure I.16.a).

1. 2. Enroulement enchevêtré

L’enroulement est dit enchevêtré lorsqu’on relit les sections d’une bobine de telle

sorte qu’ils auront la même section mais d’axes différents

3. Force magnétomotrice crée par un enroulement triphasé

Soit un enroulement d’une machine triphasée dont les bobines sont parcourues par

un courant triphasé équilibré. Cherchons donc la f.m.m qu’il produit le long de


l’entrefer. En supposant que les f.m.m sont à répartition sinusoïdale et les courants

sont sinusoïdaux.

La première phase est parcourue par le courant 𝑖1 = 𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡). Alors que la f.m.m

crée par ce courant à l’axe de la première phase est "𝐾𝑖1".

"𝐾" dépend du nombre de spires et du nombre d’encoches par pôle et par phase.

La f.m.m crée par ce courant à une distance angulaire ′𝜃′ de l’axe de la première

phase est 𝜀1 = 𝐾𝑖1𝑐(𝜃).

De même pour la f.m.m de la deuxième et la troisième phase 𝜀2 = 𝐾𝑖2𝑐𝑜𝑠 𝜃 −

2𝜋/3 et 𝜀3 = 𝐾𝑖3𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 4𝜋/3 .

La f.m.m résultante crée par les trois phases en un point "𝑀" de l’entrefer situé à une

distance angulaire ′𝜃′ de l’axe de la première phase est :

𝜀 = 𝜀1 + 𝜀2 + 𝜀3 = 𝐾𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡) 𝑐𝑜𝑠 𝜃 + 𝐾𝐼𝑚 𝑐𝑜𝑠(𝜔𝑡 − 2𝜋/3) 𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 2𝜋/3 +

𝐾𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡 − 4𝜋/3) 𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 4𝜋/3 .

En simplifiant cette équation nous aboutissons à :

𝜀 =32

𝐾𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡 − 𝜃) (I.8)

Si un point de l’entrefer tourne à la vitesse angulaire 𝜔 d’où θ = 𝜔𝑡 + θo

, la f.m.m

totale dans ce point sera égale à 32

𝐾𝐼𝑚 𝑐𝑜𝑠(𝜃𝑜 ). Il est clair qu’elle est constante. Ceci

montre que la f.m.m crée par un enroulement triphasé alimenté par un courant

triphasé équilibré est répartie sinusoïdale le long de l’entrefer et tournante à une

vitesse angulaire égale à la pulsation de l’alimentation.

Remarque :
Un enroulement polyphasé (q phases) d’une machine de constitution symétrique

alimenté par un système de courant de q phases équilibré crée une f.m.m à

répartition sinusoïdale le long de l’entrefer et d’amplitude constante et tournante à

une vitesse angulaire égale à la pulsation des courants d’alimentation.

En effet : 𝜀1 = 𝐾𝑖1𝑐(𝜃), 𝜀2 = 𝐾𝑖2𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 2𝜋/𝑞 , 𝜀3 = 𝐾𝑖3𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 4𝜋/𝑞 , …,

𝜀𝑗 = 𝐾𝑖𝑗 𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 2𝑗𝜋/ , …, 𝜀𝑞 = 𝐾𝑖𝑞 𝑐𝑜𝑠 𝜃 − 𝑞 − 1 2𝜋/𝑞 .

La f.m.m résultante sera égale à :

𝜀 =𝑞2

𝐾𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡 − 𝜃) (I.9)

VI. 4. Force magnétomotrice crée par un système multipolaire

Nous allons utiliser ′𝑝𝜃′ dans ce cas car les grandeurs magnétiques (flux, induction

et f.m.m) se reproduisent chaque double distance polaire. L’angle ′𝜃′ est l’angle

mécanique et l’angle ′𝑝𝜃′ est l’angle électrique.

Dans un système multipolaire, les f.m.m des trois phases créent en un point M de

l’entrefer distant de θ degrés mécanique par rapport à l’axe de la première phase

sont :

𝜀1 = 𝐾𝑖1

𝑐(𝑝𝜃), 𝜀2 = 𝐾𝑖2

𝑐𝑜𝑠 𝑝𝜃 − 2𝜋/3 et 𝜀3 = 𝐾𝑖3

𝑐𝑜𝑠 𝑝𝜃 − 4𝜋/3 .

La f.m.m résultante sera donc :

𝜀 =32

𝐾𝐼𝑚 𝑐(𝜔𝑡 − 𝑝𝜃) (I.10)

Si un point de l’entrefer tourne à la vitesse angulaire Ω = 𝜔/𝑝 d’où 𝑝θ = 𝜔𝑡 + θo,


la f.m.m totale dans ce point sera égale à 32

𝐾𝐼𝑚 𝑐𝑜𝑠(𝜃𝑜 ). Il est clair qu’elle est

constante. Ceci montre que la f.m.m crée par un enroulement triphasé multipolaire

alimenté par un courant triphasé équilibré est répartie sinusoïdale le long de

l’entrefer et tournante à la vitesse angulaire ′Ω′.

Conclusion

Une machine électrique est un dispositif électromécanique fondé sur


l'électromagnétisme permettant la conversion d'énergie électrique par exemple
en travail ou énergie mécanique. Ce processus est réversible et peut servir à produire de
l'électricité :

 Les machines électriques produisant de l'énergie électrique à partir d'une énergie


mécanique sont communément appelées
des génératrices, dynamos ou alternateurs suivant la technologie utilisée.
 Les machines électriques produisant une énergie mécanique à partir d'une énergie
électrique sont communément appelées des moteurs.

Cependant, toutes ces machines électriques étant réversibles et susceptibles de se


comporter soit en « moteur » soit en « générateur » dans les quatre quadrants du plan couple-
vitesse la distinction moteur/générateur se fait « communément » par rapport à l'usage final de
la machine.

Les moteurs rotatifs produisent une énergie correspondant au produit d'un couple par
un déplacement angulaire (rotation) tandis que les moteurs linéaires produisent une énergie
correspondant au produit d'une force par un déplacement linéaire.

En dehors des machines électriques fonctionnant grâce à l'électromagnétisme il existe


aussi des machines électrostatiques et d'autres utilisant l'effet piézoélectrique.

Les transformateurs sont aussi classifiés comme des machines électriques4,5. Ils
permettent de modifier les valeurs de tension et d'intensité du courant délivrées par une source
d'énergie électrique alternative, en un système de tension et de courant de valeurs différentes,
mais de même fréquence et de même forme.

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