0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
51 vues11 pages

Sarra Recherche

Transféré par

chaima mlik
Copyright
© © All Rights Reserved
Nous prenons très au sérieux les droits relatifs au contenu. Si vous pensez qu’il s’agit de votre contenu, signalez une atteinte au droit d’auteur ici.
Formats disponibles
Téléchargez aux formats PDF, TXT ou lisez en ligne sur Scribd
0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
51 vues11 pages

Sarra Recherche

Transféré par

chaima mlik
Copyright
© © All Rights Reserved
Nous prenons très au sérieux les droits relatifs au contenu. Si vous pensez qu’il s’agit de votre contenu, signalez une atteinte au droit d’auteur ici.
Formats disponibles
Téléchargez aux formats PDF, TXT ou lisez en ligne sur Scribd
Vous êtes sur la page 1/ 11

Ministère de l’Agriculture, des

Ressources Hydrauliques et de la Ministère de l’Enseignement Supérieur


Pêche et de la Recherche Scientifique
Institution de la Recherche et de
l’Enseignement Supérieur Agricoles Université de Carthage

Ecole Supérieure d’Agriculture de Morgane

RECHERCHE PEDOLOGIE

Présenté par : Sarra KEKLI

Le 22/10/2021

Année universitaire : 2021-2022


"Les impacts environnementaux de l'eau en bouteille sont plus
élevés que ceux de l'eau du robinet"
Un produit très polluant
Les bouteilles en plastique PET (Polytéréphtalate d’Ethylène, issu du pétrole) représentent la
principale source de pollution de la planète. En Tunisie, le programme ECOLEF, géré par
l’ANGED, permet le ramassage et le recyclage d’une partie de ce plastique. La quantité collectée
est d’environ 6 000 tonnes. Ceci ne représente que15% des bouteilles d’eau commercialisées.
85% des bouteilles non recyclées (soit environ 34 000 tonnes de plastique) sont jetés dans la
nature ou enfouis dans les décharges. Ce plastique se dégrade très lentement. Il ne cesse de
s’accumuler et sera présent partout sous forme de microparticules (dans l’air que nous respirons,
les aliments que nous consommons, le sol, l’eau, la mer et les océans…) pour nous empoisonner
ainsi que les générations à venir. Une bouteille en plastique met environ 1 000 ans pour se
décomposer complètement.
La mise en bouteille, l’emballage et le transport sont également des activités polluantes,
consommatrices d’énergie fossile et génératrices de gaz à effet de serre (GES).

Une eau qui revient cher


Le prix de l’eau embouteillée est variable selon la marque, le lieu d’achat, les promotions… Elle
revient en moyenne à 0,400 DT/litre.
Moyennant une consommation d’eau en bouteilles de 200 l/an/personne, le prix d’achat serait de
80 DT. Pour une famille de 5 personnes, le budget réservé à l’eau embouteillée devait être de 400
DT/an. Ce ci représente une charge importante, d’environ un mois du salaire d’un ouvrier non
qualifié, surtout que le consommateur se plaint de plus en plus de la dégradation de son pouvoir
d’achat.
Le prix de l’eau du robinet est de loin beaucoup moins élevé. La SONEDE la facture à 0,200
DT/m3 pour une consommation de 20 m3/trimestre.

Une eau pas toujours aussi saine qu’on l’imagine


Malgré les nombreux contrôles (autocontrôles et contrôles externes), et un cahier des charges très
strict qui régit l’activité de la mise en bouteilles de l’eau, de nombreux cas de contaminations par
des microorganismes ont été rapportés. Des retraits de lots plus ou moins importants de bouteilles
contaminées et la fermeture d’unités de production ont été effectués ces dernières années par les
autorités compétentes.
Des conditions de conservation et de transport non conformes, des erreurs lors des processus de
conditionnement et un relâchement du contrôle peuvent être à l’origine de la détérioration de la
qualité de l’eau embouteillée. Il est fréquent de voir des bouteilles d’eau longtemps exposées, lors
du transport ou le stockage, à la lumière et à la chaleur du soleil avant d’arriver au
consommateur.
Enfin, le plastique, de la bouteille elle-même, libère des éléments toxiques dans le contenu
liquide. Des études ont montré que l’eau en bouteilles comprend deux fois plus de
microparticules que l’eau du robinet.

Gros consommateur, gros pollueur


Le Tunisien se place parmi les plus gros consommateurs au monde d’eau embouteillée (presque
200 l/personne/an). Malheureusement on ne dit pas que plus on consomme d’eau embouteillée et
plus on jette dans l’environnement des bouteilles en plastique vides. Cet emballage, en plus des
sacs en plastique et autres déchets du même genre, ne cesse de s’accumuler. Il est impossible à
éliminer et polluera durant de longues années notre environnement et tout ce qui nous entoure.
Pousser à outrance vers la consommation de l’eau en bouteilles jetables en plastique n’est
certainement pas la meilleure option pour préserver notre environnement et la santé de nos
concitoyens. Cette démarche risque de coûter très cher à la collectivité.

Bergaoui, Ridha. “Tunisie: Doit-on Arrêter de Boire l’Eau Du Robinet ?” Leaders, 19 Jan. 2021,
www.leaders.com.tn/article/31294-tunisie-doit-on-arreter-de-boire-l-eau-du-robinet.
Les services éco-systémiques du sol
Au-delà de ses propriétés, le sol se caractérise aussi par son stock de matière organique et de
biodiversité, ainsi que par les flux qui le traversent et dont il est à l'origine. Il constitue en cela un
véritable capital naturel pour lequel on peut discerner des caractéristiques intrinsèques qui ne
varient pas à l’échelle d’une génération humaine (p. ex. type de sol, épaisseur, texture…) et des
caractéristiques modifiables par l’homme et ses pratiques (p. ex., teneur en matière organique ou
pH).

Production, habitat… le sol assure ainsi un certain nombre des fonctions essentielles pour
l’environnement et les sociétés. Elles décrivent les processus au sein du sol et les interactions
avec les autres compartiments de l’écosystème et peuvent être classées en quatre groupes que
sont les fonctions support, filtre, tampon et réservoir. A noter que l’existence même de ces
fonctions, dans une approche multifonctionnelle, est à l’origine de mesures de protection,
notamment juridiques, qui permettent de maîtriser les phénomènes de dégradation qui affectent
de façon croissante les sols sur l'ensemble de la planète.

Le sol rend ainsi un certain nombre de services qui répondent à des besoins humains, qu’ils soient
physiologiques, concernent la santé, la sécurité ou les relations sociales ou touchent le
développement personnel. Ces services que l’on qualifie d’éco-systémiques sont regroupés en
quatre grandes catégories que sont les services de support, d’approvisionnement, de régulation et
les services culturels.

Pour dépasser cette diversité de fonctions et rendre plus engl


obante la caractérisation des fonctions des sols, on parle désormais de santé ou de qualité des
sols, notamment dans le monde anglo-saxon (en anglais, Soil Health).

Catherine, Foucaud-Scheunemann. “Les Sols, Des Propriétés Aux Services Écosystémiques.”


INRAE Institutionnel, 4 Dec. 2020, www.inrae.fr/actualites/sols-proprietes-aux-services-
ecosystemiques. Accessed 17 Oct. 2021.
Le Semis-Direct sous Couverture Végétale
Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail du sol et mise
en place de la couverture du sol. C’est, aujourd’hui, la forme la plus aboutie de l’agriculture de
conservation. Cette pratique est récente et encore très peu répandue en France, alors qu’elle est
monnaie courante dans les pays tropicaux et de plus en plus adoptée aux Etats-Unis et au Brésil. Le
Semis-Direct (SD) est, par opposition au labour, une technique conduisant à un non retournement
du sol et à un non mélange de la terre. Le SD se définit par un travail uniquement sur la ligne de
semis et non sur la largeur du semoir. Il existe deux catégories de couverture végétale et donc de
SDCV :

 La couverture peut être vivante ou permanente, on parle alors de semis-direct sous couverture
permanente vivante.
 La couverture du sol peut être assurée par des résidus de cultures ou de cultures intermédiaires
détruites, on parle alors de couverture végétale morte.

Les agriculteurs mettent en place ce système principalement pour gagner du temps et pour préserver
leur sol des risques d’érosion1. L’objectif est d’allier les avantages connus de la couverture du sol à
ceux du non travail du sol tout en bénéficiant des interactions positives de la combinaison de ces deux
pratiques.

Fonctionnement d’un sol en SDCV

La minéralisation est ralentie et régulière car il n’y plus le pic d’oxygénation provoqué par le labour.
De plus, les agrégats qui protègent la Matière Organique (MO) ne sont plus détruits par les outils de
travail du sol (en particulier ceux branchés sur la prise force). Elle reste donc protégée par ces
agrégats. La MO fraîche est présente en abondance dans la litière, ce qui sert de substrat aux
organismes du sol. Le travail du sol représente une perturbation pour la vie biologique du sol, son
arrêt permet de stabiliser la structure du sol et de maintenir la vie biologique. La couverture végétale
protège le sol et représente une barrière physique. L’effet « splash » des gouttes d’eau est atténué par
les couverts ou résidus, les particules de sol sont donc moins facilement détachées et emportées par
l’eau de pluie. Le sol n’étant jamais nu, les couverts réduisent les risques de pertes de nitrates par
lixiviation en piégeant l’azote. Les résidus empêchent le ruissellement. Le SD et les racines des
couverts créent une porosité biologique qui permet une meilleure infiltration. Par ailleurs, les
mycorhizes se développent et facilitent l’accès à l’eau, par ailleurs grâce à la porosité le volume de sol
prospecté par les racines augmente. La température de surface diminue quand il y a des résidus ou des
couverts, ce qui limite l’évaporation du sol. Les couverts vivants évapotranspirent et utilisent donc
l’eau du sol. Dans les systèmes à bas niveau d’intrants, l’utilisation de légumineuses comme couvert
permet aussi une fixation symbiotique d’azote.

De Tourdonnet, Stéphane, et al. “OSez l’AgroÉcologie : Semis-Direct Sous Couverture Végétale.”


OSAE, osez-agroecologie.org/semis-direct-sous-couverture-vegetale.
STRATEGIES DE CHAULAGE
L’acidification des sols est un phénomène naturel dû aux exportations des cultures et au lessivage

des nitrates durant l’hiver. D’autres phénomènes comme l’acidité des pluies, la nitrification de

l’azote ammoniacal provenant des engrais azotés et l’activité biologique (minéralisation de l’humus

et production d’acides par les organismes du sol) contribuent également à l’acidification des sols. En

moyenne, un sol perd 0.05 point de pH/an, soit 1 point en 20 ans (Source Arvalis). Le chaulage

d’entretien a pour but de compenser ces pertes et de maintenir un état calcique satisfaisant c’est à-

Ca/CEC < 50% 50 à 65% 65 à 75% 75 %e plus

pH eau < 5.4 5.4 - 5.8 5.8 – 6.2 > 6.2

Prairies permanentes Redressement Entretien Impasse Impasse

Prairies temporaires- Redressement Redressement Entretien Impasse


maïs- céréales
Orge et luzerne Redressement Redressement Entretien Entretien

dire un pH > 5.8 pour des cultures soit un ratio Ca/CEC voisin de 70% (cf. tableau ci-dessous).

CHAULAGE D’ENTRETIEN

En moyenne, en situation d’entretien (compensation des pertes) et avec un travail du sol classique

pour des sols non calcaires on préconise d’apporter entre 200 et 300 kg de CaO/ha/an . C’est la

quantité moyenne de CaO perdue chaque année par les différents phénomènes d’acidification. Cela

revient à apporter par exemple 1000 kg CaO/ha tous les 4 ans. Dans ce cas, mieux vaut choisir un

produit plus grossier avec une action plus lente qui permettra de remonter tout autant le pH mais dans

un délai un peu plus long et pour un coût plus faible. Pour connaître la quantité d’amendement à

apporter, il faut diviser le nombre d'unités neutralisantes nécessaires par la valeur neutralisante du

produit. Ainsi, pour apporter 1000 kg CaO/ha avec un carbonate ayant une valeur neutralisante de 54,

il faudra apporter 1000/0,54 soit 1850 kg de carbonate par ha.


CHAULAGE DE REDRESSEMENT

Dans le cas d’un pH faible, c’est-à-dire inférieur à 5.8 en culture et à 5.4 en prairies, les doses

d’amendement à apporter doivent être plus importantes : c’est le chaulage de redressement. Pour

rappel, en dessous d’un pH de 5.5 l’aluminium devient soluble dans le sol et entraine une toxicité

pour les plantes qui peuvent l’assimiler, synonyme de perte de rendements. Cette situation de

redressement peut donc justifier l’utilisation de produits à action rapide comme les chaux. Selon des

résultats d’essais conduits à l’échelle nationale, voici les quantités de Cao à apporter pour augmenter

le pH de 0.5 unité sur une profondeur de sol de 0-25 cm en fonction de 3 niveaux de CEC Metson.

GUERIN, Fabien. PRATIQUES de CHAULAGE. SOLAG, 2 May 2017.


La formation d'une croûte de battance
La croûte de battance : C'est la croûte superficielle compacte formée par l'action des gouttes de
pluie et le fractionnement des agrégats à la surface du sol. La formation de croûtes entraîne une
baisse de l'infiltration de l'eau dans le sol et ainsi une augmentation du ruissellement. Une croûte
de battance a aussi pour conséquence des problèmes de germination et de levée des cultures.

La battance se forme sous l'action des gouttes de pluie (énergie cinétique). Elles cassent et ainsi
fragmentent les agrégats du sol. Ces fragments d'agrégats sont déplacés, et comblent les espaces
inter-agrégats du sol par accumulation. La porosité à la surface du sol est ainsi comblée, et une
croûte de battance apparaît.

Les mécanismes de désagrégation des agrégats sont principalement les mécanismes d'éclatement
des agrégats en sol sec et d'éclatement par arrachement mécanique. La fragmentation couplée au
déplacement des fragments d'agrégats est due à l'action des gouttes de pluie, que l'on nomme
l'effet splash.

Tous les sols ne réagissent pas de la même façon à l'action des gouttes de pluie. L'intensité de
désagrégation et de fractionnement est conditionnée par une propriété physique des sols :
la stabilité structurale. Plus les agrégats sont stables, moins ils seront désagrégés, et
inversement.

Lors de la formation d'une croûte de battance, on peut distinguer deux types de croûtes,
apparaissant successivement :

1. La croûte structurale : elle correspond à la désagrégation des agrégats sur place, sans
déplacement des particules issus de cette désagrégation.

2. La croûte sédimentaire : elle résulte du déplacement des particules et surtout d'une


ségrégation et sédimentation des particules, suivant leur taille, dans les flaques dues à
l'excès d'eau non infiltrée en raison de la formation de la croûte structurale

PEIGNE, Joséphine. “Processus Écologiques - Battance.” Www.supagro.fr.


Hétérosis et variétés hybrides
L’hétérosis est l’augmentation de vigueur observée au niveau de la descendance du croisement
entre deux individus génétiquement éloignés. De façon plus précise, il correspond à la supériorité
de l’hybride par rapport au meilleur parent. Il a pour corollaire

la baisse de vigueur chez les individus issus de croisements entre apparentés. C’est une
manifestation biologique universelle chez les organismes supérieurs qui traduit un avantage de
l’hétérozygotie du génome. Bien que les grandes hypothèses pour expliquer cet avantage,
dominance et superdominance, aient été formulées au début du xxe siècle, il est encore difficile
aujourd’hui de conclure avec précision sur l’importance relative de ces deux mécanismes ;
l’hétérosis est même parfois considérée comme un phénomène mystérieux. Pourtant, de
nombreux travaux pour en comprendre les bases génétiques ont été réalisés en près d’un siècle de
recherches, avec des approches de génétique des populations, de génétique quantitative et des
expériences de sélection. à partir des années 1990, le développement des marqueurs moléculaires
a permis une étude plus analytique par l’identification de locus impliqués, alors que les
expériences de génétique quantitative « statistique » et les expériences de sélection ne
permettaient de conclure que de façon globale au niveau de l’ensemble de tous les gènes
intervenant. Aujourd’hui, avec les progrès de la génomique fonctionnelle, les outils d’analyse
sont devenus plus puissants et permettent d’étudier le fonctionnement des gènes en cause ; des
pistes nouvelles apparaissent alors pour expliquer ou reformuler l’avantage de l’état hétérozygote
à des locus particuliers ou sur l’ensemble du génome.
Des cultures hors sol sont possibles en Tunisie
La Tunisie est l’un des pays les plus touchés par les effets des changements climatiques. Elle fait
face aujourd’hui à un grand enjeu, celui de la rareté des ressources en eau, qui se fait de plus en
plus sentir dans le contexte du réchauffement de la planète.
L’hydroponie, technique de culture hors sol pourrait en partie être la solution à ce problème,
d’après des jeunes promoteurs du Cap Bon, qui ont réussi à lancer leur propre projet de culture
hydroponique.
En effet, cette agriculture hors sol et sans pesticides utilise 95% moins d’eau et elle est 2 fois plus
rapide à donner ses fruits que l’agriculture traditionnelle, a expliqué à l’Agence TAP, Salem
Darej, chercheur doctorant en biologie des systèmes aquatiques et l’un des 4 jeunes entrepreneurs
du projet de la première et plus grande ferme des cultures hydroponiques « Souaqi
Farms » .Cette ferme, située à Hammamet et qui s’étend sur une superficie de 800 m2, est dédiée
à la culture des légumes à feuilles, herbes fines et plantes aromatiques.
Cette technique, qui utilise des solutions nutritives renouvelées et un substrat inerte (minéral ou
végétal) pour se passer du support et des apports d’un sol, n’est pas très connue des agriculteurs
tunisiens, mais des jeunes entrepreneurs investissent désormais dans cette approche moderne.
Il s’agit d’une agriculture innovante adaptée aux évolutions climatiques et respectueuse de
l’environnement d’autant qu’elle offre la meilleure solution pour optimiser la consommation
d’eau, des pesticides et des engrais, selon Darej.
Les promoteurs de « Souaqi Farms » assurent, aujourd’hui, des formations pour les jeunes
voulant se spécialiser dans cette technique nouvelle en Tunisie, a-t-il ajouté à TAP.
L’objectif est de leur permettre de contrôler le système d’irrigation des cultures hydroponiques et
les apports optimaux en substances nutritives dans des conditions idéales (oxygène, pH, etc.).
Car, l’intérêt de l’hydroponie réside dans le contrôle total des conditions de développement des
plantes, très utile pour la recherche végétale ainsi que pour la production, puisqu’elle permet de
surmonter les aléas météorologiques et les variables pédologiques.

Vous aimerez peut-être aussi