Reussir Son Epreuve de Mathematiques Au Baccalaureat: Tome 1
Reussir Son Epreuve de Mathematiques Au Baccalaureat: Tome 1
Reussir Son Epreuve de Mathematiques Au Baccalaureat: Tome 1
1 1 𝑛 𝑥
∫0 𝑛! (𝑥 𝑒 )
𝒚′′ + 𝟐𝒚′ + 𝒚 = 𝒙 + 𝟑
TOME 1
AVANT PROPOS
Ce document est conçu pour aider les élèves de terminale des séries A, B,
C, D et E à se préparer au Baccalauréat.
Par une sélection de sujets particuliers, j’ai voulu atteindre un double objectif :
d'une part aider les professeurs qui continuent, envers et contre tous, à être
exigeants, dans l'intérêt même des élèves ; d'autre part, offrir aux élèves
curieux, comme à ceux qui sont sensibles au plaisir des Maths - et il en existe
beaucoup - le bonheur de s'entraîner à des sujets de session de remplacement.
Sans pour autant se substituer aux professeurs dans leurs travaux, ce livre se
veut le catalyseur qui permettra le bon déroulement de l’enseignement, de la
recherche et qui offrent à ses usagers de plus grande chance de réussite au
bac.
Le philosophe Alain Badou évoque parfois que ‟ la pensée est asséchée’’
devant la complexité des mathématiques mais ‟ quand on arrive à surmonter
cet état, il y’a réellement une joie’’. Francis Bacon (1561 – 1626) ajoute « si
l’esprit d’un homme s’égare, faites-lui étudier les mathématiques car
dans les démonstrations, pour peu qu’il s’écarte, il sera obligé de
recommencer ».
C’est le souci de résoudre cet épineux problème qui gangrène la
génération actuelle, assoiffée du savoir et passionnée des mathématiques qui
nous a conduit à écrire ce document combien fois important car contenant des
potentialités créatrices des hommes que sont les mathématiques. Si l’on en
croit René Descartes dans le discours de la méthode : « les mathématiques
me plaisent à cause de leur évidence et de leur certitude ».
L’auteur
NDONG MBA Alphonse.
SOMMAIRE
1
∫0 𝑥𝑒 𝑥 dx ETUDE DE FONCTIONS
Exponentielle + logarithme + intégrale + suite+ Equation
REVISION
différentielle
BAC 2020 Terminale A, B, C, D & E (32 EXERCICES)
A tout entier non nul n, on associe la fonction 𝑓𝑛 définie sur ]-1, +∞ [ par :
𝒇𝒏 (𝒙) = 𝒙𝒏 𝐥𝐧(𝟏 + 𝒙).
On désigne par (Շ𝑛 ) la courbe représentative de 𝑓𝑛 dans le repère orthonormé (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗) d’unité
graphique 2 cm.
1. Etude de la convergence
𝑙𝑛2
a) Montrer que pour tout entier n ∈ ℕ*, 0≤ 𝑢𝑛 ≤ 1+𝑥 𝑑𝑥.
𝑆𝑛 = ∑(−1)𝑘 𝑥 𝑘 (1).
𝑘=0
1 𝑥 𝑛+1
a) Justifier que 𝑆𝑛 = − (−1)𝑛+1 𝑑𝑥. (2).
1+𝑥 1+𝑥
On note (C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère orthonormé.
1. a) Déterminer les limites de f en 0 et en +∞.
b) Interpréter graphiquement ces résultats.
𝑔(𝑥)
2. a) Justifier que f est dérivable sur ]0 ; +∞ [ et vérifier que 𝑓(𝑥) = .
𝑥2
PARTIE C : Suite
𝟏 𝒍𝒏𝒙
On considère la fonction f définie sur ]0, +∞ [ par 𝒇(𝒙) = − 𝟐 𝒙 + 𝟏 + . (ℂ) sa courbe
𝟐𝒙
représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé (O ;𝑖⃗; 𝑗⃗) avec OI = 4cm et OJ = 4cm.
PARTIE A : Fonction auxiliaire g.
Soit g d définie sur K = ]0 ; +∞ [ par 𝒈(𝒙) = −𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒍𝒏𝒙.
1. a) Calculer les limites de g aux bornes de K.
b) Calculer g’(x) pour tout x ∈ K.
2. Etudier le sens de variation de g puis dresser son tableau de variation.
3. a) Calculer g(1)
b) Déduire le signe de g(x) suivant les valeurs de x.
PARTIE B : Fonction f.
1. Calculer la limite de f lorsque x tend vers. Interpréter graphiquement le résultat
obtenu.
2. Calculer la limite de f lorsque x tend vers + ∞.
𝟏
3. Soit (∆) : 𝒚 = − 𝟐 𝒙 + 𝟏.
5. Montrer que l’équation f(x) = 0 admet deux solution α et β dans l’intervalle ]0, + ∞ [.
(α<β) et justifie que 0,4 < α < 0,5. Et 2,3 < β < 2,4.
B.2
+1 1 𝛽+𝛼
1. Démontrer que ∫−1 𝑔(𝑡)𝑑𝑡 = ∫ 𝑓(𝑢)𝑑𝑢.
𝛼 𝛽−𝛼
1 2𝑘+1
2. On se place dans le cas ou 𝛂 = 2𝑛 et 𝛃 = , k ∈ {0,1, … 𝑛 − 1} établir que :
2𝑛
𝑘+1
1 𝑛 1 2𝑘+1 1
− 12𝑛2 ≤ ∫ 𝑘 𝑓(𝑢)𝑑𝑢 − 𝑓( )≤ .
𝑛 2𝑛 12𝑛3
𝑛
Le plan est rapporté au repère orthonormé (O, 𝑖⃗ , 𝑗⃗). On désigne par (ℂ) la courbe représentative
de la fonction u : ℝ → ℝ
x ↦ lnx.
PARTIE A :
1. Dresser le tableau des variations de u puis construire sa courbe (ℂ) avec soin.
2. Soit α un réel de l’intervalle ]0 ; 1[. On désigne par Dα le domaine délimité par la courbe (ℂ),
l’axe des abscisses, et les droites d’équations x = α et x =1. La rotation de Dα autour de l’axe des
abscisses, engendre un solide Sα.
a) Démontrer que la fonction U définie sur ]0 ; + ꚙ [ par : U(x) = x(lnx)2 – 2x lnx + 2x
est une primitive sur ]0 ; + ∞ [ de la fonction x→ (ln x)2.
b) Calculer le volume V(α) du solide Sα.
c) Déterminer la limite de V(α), lorsque α tend vers 0 par valeur supérieure.
PARTIE B :
1. On considère la fonction
g:ℝ→ℝ
x ↦ x2 + lnx.
a) Etudier les variations de g.
b) Démontrer que l’équation g(x) = 0 admet une solution unique β et que
PARTIE C :
1. a) Démontrer que, pour tout entier naturel non nul n, on a :
𝑛+1
1 𝑑𝑥 1
≤ ∫ ≤ .
𝑛+1 𝑛 𝑥 𝑛
1 1 1 1 1
b) En déduire que : 𝑛+1 ≤ ln(𝑛 + 1) − ln 𝑛 ≤ 𝑛 𝑒𝑡 ln(𝑛 + 1) ≤ 1 + 2 + 3 + ⋯ + 𝑛 .
1 1 1
2. On pose 𝑉𝑛 = 1 + 2 + 3 + ⋯ + 𝑛, pour tout n ∈ ℕ*.
𝒍𝒏𝒙
Soit f la fonction définie sur ]0, +∞ [ par 𝒇(𝒙) = .
𝒙
𝑥𝑛
Pour tout entier nature n (n ≥ 2), on considère la fonction fn définie sur ℝ par : 𝑓𝑛 (𝑥) = si x
𝑒 𝑥 −1
PARTIE B :
x↦ g(x) = f(x)
a) Démontrer que g admet une application réciproque g-1.
b) Déterminer l’intervalle K sur lequel g-1 est dérivable.
3. On désigne par (Г) la courbe représentative de g-1 dans le repère (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
PARTIE A :
On considère le polynôme P défini par P(x) x4 – x3 - 7x2 +x + 6.
1. Déterminer un polynôme Q tel que P(x) = (x2 – 1)Q(x).
2. Résoudre dans ℝ l’équation P(x) = 0.
3. Résoudre dans ℝ, les équations suivantes :
a) ln (Q(x) +6) = ln2 + ln3 (ou ln désigne le logarithme népérien).
3
b) lnx + ln(x – 1) = 2ln3 - ln2
c) 𝑒 8𝑥 − 𝑒 6𝑥 − 7 𝑒 4𝑥 + 𝑒 2𝑥 = −6
PARTIE B :
On note (Ꞇ) la courbe représentative d f dans le repère (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗), d’unité graphique 1cm.
𝑥 2 − 3𝑥+3
A1. Soit f la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = .
𝑥−1
1. Montrer que la suite (Vn)n∈ℕ* est une suite arithmétique dont on précisera la raison et le
premier terme.
2. Soit : 𝑆𝑛 = 𝑉0 + 𝑉1 + ⋯ + 𝑉𝑛 . Exprimer Sn en fonction de n.
PARTIE A :
1. (E0) désigne l’équation différentielle : 𝒚′′ + 𝟐𝒚′ + 𝒚′ = 𝟎. Déterminer les solutions générales
de (E0).
2. (E) est l’équation différentielle : 𝒚′′ + 𝟐𝒚′ + 𝒚 = 𝟐𝒆−𝒙 .
a) Vérifier que la fonction h définie sur ℝ par ℎ(𝑥) = 𝑥 2 𝑒 −𝑥 est une solution particulière
de (E).
b) Démontrer que φ est une solution de (E) si et seulement si g = φ – h est solution de
(E0).
c) Déterminer toutes les solutions de (E).
d) Déterminer la solution de 𝑓0 de (E) satisfaisant aux conditions initiales :
𝑓0 (0) = 4 𝑒𝑡 𝑓0 ′ (0) = 0.
PARTIE B :
On considère la f définie par : 𝒇(𝒙) = (𝒙 + 𝟐)𝟐 𝒆−𝒙 .
On désigne par (Ꞇ) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormal, l’unité
graphique étant égale à 1cm.
1. Etudier les variations de f et tracer (Ꞇ) avec soin.
2. En remarquant que f est une solution de l’équation différentielle (E). Déterminer une primitive
de F de f sur ℝ.
𝑥
(On calculera∫0 (𝑓 ′′ + 2𝑓 ′ + 𝑓(𝑡)𝑑𝑡).
𝑛
3. Pour tout entier naturel n, on pose : 𝐼𝑛 = ∫0 𝑓(𝑡)𝑑𝑡.
a) Exprimer In en fonction de n et en donner une interprétation géométrique.
b) Etudier la convergence de la suite (In), puis en déduire l’aire de l’ensemble des points
M(x ; y) du plan tels que : x ≤ 0 et 0 ≤ y ≤ f(x).
PARTIE C :
On se propose d’étudier la convergence de la suite (un) définie, pour tout entier naturel n non nul
1 2 𝑛 𝑘
1 1
par : 𝑢𝑛 = [(1 + 2𝑛)2 𝑒 −𝑛 + (2 + 2𝑛)2 𝑒 −𝑛 + ⋯ + (𝑛 + 2𝑛)2 𝑒 −𝑛 ] = ∑𝑛𝑘=1(𝑘 + 2𝑛)2 𝑒 −𝑛
𝑛3 𝑛3
1 4𝑒−9
3. Démontrer que, pour tout entier naturel non nul n, on a : 𝑢𝑛 ≤ ∫0 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 ≤ 𝑢𝑛 + .
𝑛𝑒
4𝑒−9
4. En déduire que pour tout entier naturel non nul n, on a : 𝐼𝑛 − ≤ 𝑢𝑛 ≤ 𝐼1 .
𝑛𝑒
5. Etudier la convergence de la suite un, puis préciser sa limite.
𝑒
On notera 𝑓1 −1 la bijection réciproque de 𝑓1 . Calculer 𝑓 −1 (√2 ).
𝑒
c) Soit S l’aire en cm2 du domaine de plan limité par les droites d’équations : x = 0, x = √2,
1
y = -2 et la courbe 𝑓 −1 . Donner un encadrement de S à 10-2 près.
𝑛+1
III. Soit (Un) la suite définie par : pour tout n ∈ ℕ, Un = ∫𝑛 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
1. Déterminer que pour tout réel x de l’intervalle [n ; n+1], on a : f(n+1) ≤ f(x) ≤ f(n). En déduire
que : ∀ n ∈ ℕ, f(n+1) ≤ Un ≤ f(n).
2. Démontrer que la suite (Un) est décroissante et convergente. N.B : On prendra : e = 2.72 ;
√𝑒 = 1.65.
PARTIE A :
Dans cette partie, on se propose de résoudre le problème suivant : trouver toutes les fonctions f
définies et dérivables sur l’intervalle ]0 ; + ∞ [, s’annulant pour x = 1 et vérifiant la propriété :
pour tout x > 0, 𝑥𝑓 ′ (𝑥) − 3𝑓(𝑥) = 3𝑙𝑛𝑥 (𝐸).
1. Trouver toutes les fonctions polynomes de degré 3 telles que pour tout réel x,
𝒙𝒑′ (𝒙) − 𝟑𝒑(𝒙) = 𝟎.
2. Soit une fonction f définie et dérivable sur ]0 ; +∞ [ telle que f(1) = 0 et soit h la fonction
définie sur ]0 ; +∞ [ par la relation 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 ℎ(𝑥).
a) Calculer h(1).
b) Calculer 𝑓 ′ (𝑥) en fonction 𝑑𝑒 ℎ′ (𝑥)𝑒𝑡 ℎ(𝑥).
c) Montrer que f vérifie la propriété (E) si et seulement si pour tout x > 0,
3
ℎ′ (𝑥) = 𝑙𝑛𝑥.
𝑥4
d) On suppose que f vérifie la propriété (E), montrer que h est définie par
𝑥
3
ℎ(𝑥) = ∫ 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑡.
1 𝑡4
3. On suppose qu’il existe une fonction f et une seule solution du problème posé et en
donner l’expression.
PARTIE B :
1 1
Soit f la fonction définie sur l’intervalle ]0 ; +ꚙ [ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 − 𝑙𝑛𝑥 − 3.
3
4. Soit (Un) la suite définie par : U0 = 3, Un+1 = g(Un) pour tout entier naturel n.
a) Montrer que pour tout entier naturel n, on a : Un ∈ [3 ; +∞ [.
2
b) En déduire que, pour tout entier naturel n, on a : |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼|.
3
2
c) Montrer que, pour tout entier naturel n, on a : |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ (3)𝑛 .
d) Déterminer alors la limite de la suite (Un). Déterminer le plus petit entier naturel p tel
que Up soit une valeur approchée de α à 10-1 près.
𝟒𝒆𝒙
Soit la fonction f de ℝ vers ℝ définie par : 𝒇(𝒙) = 𝒙 + 𝟐 − 𝒆𝒙 +𝟏. (Ꞇ) désigne sa courbe
b) En déduire que la droite (∆2) d’équation y = x – 2. Est une asymptote à (Ꞇ) en +ꚙ.
PARTIE A :
Soit f la fonction de la variable réelle x définie sur ℝ par : 𝒇(𝒙) = (𝟐 − 𝒙)𝒆𝒙 − 𝒌 où k est un
réel fixé qui vérifie : 0 < k <e.
1. Déterminer les limites de f en -ꚙ et en +ꚙ.
2. Calculer 𝑓′(𝑥). Déduis-en le tableau de variation de f.
3. a) Etablir que l’équation f(x) = 0 admet deux solutions, une noté αk ∈ ]-ꚙ ; 1 ] et l’autre notée
βk ∈ ]1 ; +ꚙ [.
b) Prouve que 𝑒 𝛼𝑘 − 𝑘𝛼𝑘 = (𝑒 𝛼𝑘 − 𝑘)(𝛼𝑘 − 1). On admettra que 𝛽𝑘 vérifie la même relation
C’est-à-dire 𝑒 𝛽𝑘 − 𝑘𝛽𝑘 = (𝑒 𝛽𝑘 − 𝑘)(𝛽𝑘 − 1).
4. Précise le signe de f(x) suivants les valeurs de x.
PARTIE B :
1. Soit u la fonction de la variation réelle x définie sur ℝ par : 𝒇(𝒙) = 𝒆𝒙 − 𝒌𝒙.
a) Etudier le sens de variation de u.
b) On rappelle que 0 < k < e. Justifier la propriété suivante : pour tout x ∈ ℝ,
𝑒 𝑥 − 𝑘𝑥 > 0.
𝒆𝒙 −𝒌
2. Soit 𝑔𝑘 la fonction définie sur ℝ ; par : 𝒈𝒌 (𝒙) = , (Ꞇk) sa courbe représentative dans le
𝒆𝒙 −𝒌𝒙
Le plan est muni d’un repère orthonormé (O ; 𝑖⃗; 𝑗⃗ ), l’unité graphique : 2 cm.
PARTIE A :
Soit g la fonction numérique définie sur ]-π ; 0 [ par : 𝒈(𝒙) = 𝒄𝒐𝒔𝟐 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟏.
1. a) Démontrer que g est dérivable sur ]-π ; 0 [ et que 𝑔′ (𝑥) = −𝑠𝑖𝑛𝑥(2 cos 𝑥 + 1).
2𝜋 2𝜋
b) En déduire que g’(x) ≤ 0 pour tout x ∈ ]-π ; - 3 ] et que g’(x) ≥ pour tout x ∈ [- 3 ; 0[ .
1. Soit h la fonction définie sur [1,5 ; 2 ] par : 𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙) − 𝒙 . Etudier les variations de h et en
déduire que l’équation f(x) = x admet une solution unique α ∈ [1,5 ; 2].
𝑢0 = 1,5
2. Soit (un) la suite numérique définie par : { , 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑛 ∈ ℕ. }
𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 )
a) Démontrer par récurrence que pour tout n ∈ ℕ, un ∈ [1,5 ; 2] en utilisant (e)
b) Démontrer que pour tout n ∈ ℕ*,
1 1 1
|𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛−1 − 𝛼| et que |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼 ≤ (2)𝑛+1 | pour tout n ∈ ℕ
2 2𝑛
𝒆𝒙 − 𝟏
𝒇(𝒙) = , ℝ − {−𝟏, 𝟎}
{ 𝒍𝒏|𝒙 − 𝟏| }
𝒇(−𝟏) = 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟎) = 𝟏
𝟏 𝒆−𝒙
1.a) Etudier le sens de variation de la fonction g définie par : 𝒈(𝒙) = 𝒍𝒏|𝒙 + 𝟏| − 𝒙+𝟏 + 𝒙+𝟏 .
𝑓(𝑥) 𝑒𝑥 𝑥 1−𝑒 −𝑥
= 2
( )[ 1]
𝑥 𝑥 𝑙𝑛 ln(1+
𝑥
1+
ln 𝑥
1. Etudier la dérivabilité de f.
2. Calculer f’(x) ou f’ désigne la fonction dérivé de f ; puis vérifier que f’(x) = 1 + [f(x)]2
3. 3.1. Calculer les limites de f aux bornes de son Df.
3.2. Dresser le tableau complet de variation de f.
𝜋 𝜋
3.3. Démontrer que f est une bijection de ]− 2 ; 2 [ sur un intervalle J à préciser.
4. 4.1. On désigne par g la bijection réciproque de f. Démontrer que g est dérivable sur ℝ
1
et que l’on a : g’(x) = 1+𝑥 2ou g’ désigne la fonction dérivée de g.
5. Tracer (Ꞇ) et démontrer qu’elle admet un axe de symétrie, dont on précisera l’équation.
6. Démontrer que, pour tout nombres réel x de l’intervalle [1 ; 5], le point 𝑀(𝑥; 𝑓(𝑥) est une distance
constante du point Ω (3 ; 1).
PARTIE A :
𝟏
On considère la fonction numérique sur ℝ par : 𝒇(𝒙) = |𝒙 + 𝟏| + 𝒙−𝟏
5. Démontrer que la courbe (Ꞇ) de f admet trois asymptotes dont on donnera les équations.
6. Construire la courbe représentative (Ꞇ) de f dans un repère orthonormé (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗) (unité : 2cm)
7. Prouver que la restriction de f à [0 ; 1[ est une bijection de [0 ; 1[ sur un intervalle J que l’on
précisera. Tracer la courbe représentative de la réciproque de cette bijection sur le même
graphique que (Ꞇ).
−1 0
8. a) Calculer les intégrales : 𝑠1 = ∫−√2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 𝑒𝑡 𝑠2 ∫−1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
b) En déduire l’aire de la portion du plan limitée par la courbe (Ꞇ), l’axe des abscisses et les
droites d’équations 𝑥 = −√2 𝑒𝑡 𝑥 = 0.
PARTIE B :
A toute suite (un)n∈ℕ*, de nombres réels strictement supérieure à 1, on associe la suite (vn)n∈ℕ*
définie par : 𝑣𝑛 = ln(𝑢𝑛 − 1).
1. a) Sachant que (vn) est une suite arithmétique de raison r (r ≠ 0) et de premier terme v1 = 0,
donner l’expression du terme général un en fonction de n et de r.
b) Comment choisir le réel r pour que la suite (un)n∈ℕ* soit convergente ? Dans ce cas donner la
limite.
c) Calculer, en fonction de un, l’aire de la partie du plan limité par la courbe (Ꞇ) de f, les
droites d’équations y = x + 1, x = 2 et x = un.
Le plan (P) est rapporté à un repère orthonormé (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗). Soit la fonction f de ℝ vers ℝ définie
𝟏
par : 𝒇(𝒙) = 𝒆−𝒙 − 𝟐 𝒍𝒏|𝟐𝒙 − 𝟏|
que g admet une bijection réciproque g-1. On désigne par (Ꞇ’) la courbe représentative de g-1 dans
le repère (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗)
7. a) Justifier que (Ꞇ’) admet une demi-tangente verticale en son point d’abscisses 1.
b) Préciser les branches infinies de (Ꞇ’)
c) Construire (Ꞇ’).
Un artisan fabrique des jouets pour les fêtes de fin d’année. Il décide de reprendre la fabrication
des jouets dès le mois de janvier en fabriquant 200 jouets et en augmentant tous les mois la
production de 40 jouets. On désigne par 𝑃n le nombre de jouets fabriqués le 𝑛-𝑖è𝑚𝑒 mois (𝑛 ∈
ℕ*).
On donne 𝑃1 = 200 correspondant à la production du mois de janvier.
1. Calculez 𝑃2 et 𝑃3 respectivement les productions de février et de mars.
2. Déterminez la relation entre Pn+1 𝑃n.
3. Exprimez 𝑃n en fonction de 𝑛
4. Combien de jouets l’artisan fabriquera-t-il le mois de décembre ?
5. Une commande de 5000 jouets a été faite auprès de l’artisan jusqu’au mois de décembre.
Pourrait-il honorer cette commande ?
Un paysan possède un champ où il plante des arbres fruitiers. Pour mieux les entretenir il décide
de vendre chaque année les 5% des pieds existants et planter 3 000 nouveaux. Il démarre avec 50
000 pieds en 2015. En désignant par 𝑋𝑛 le nombre de pieds d’arbres se trouvant dans le champ
au cours de l’année (2015 + 𝑛)
1. a) Déterminez le nombre d’arbres qu’il aura en 2016 et en 2017.
b) Exprimez Xn+1 en fonction de Xn.
2. On considère la suite (𝑈𝑛) définie par 𝑈𝑛 = 60 000 – 𝑋𝑛
a) Montrez que la suite (𝑈n) est une suite géométrique dont on donnera la raison et le
1𝑒𝑟 terme.
b) Exprimer 𝑈n en fonction de n, en déduire 𝑋n en fonction de n
c) Ce paysan aura combien d’arbres fruitiers dans 20 ans ?
d) Calculer la limite de la suite (𝑋n). Conclure.
Soit, dans un ensemble ℂ des nombres complexes, la suite (zn)n∈ℕ* définie par : 𝑧0 = 1 𝑒𝑡 ∀ 𝑛 ∈
𝟏+𝒊
ℕ, 𝒛𝒏+𝟏 = ( )𝒛𝒏 .
𝟐
M. SY, un commerçant, place en l'an 2000 une somme de 500 000 F à la caisse d'épargne.
Chaque année le capital augmente de 8%, on désigne par Cn le capital en l'an (2000 +n).
I. On considère la suite (un) définie par son premier terme u0 = 1 et u1 = 2 et pour la relation de
𝟐 𝟑
récurrence : ∀ n ∈ ℕ, 𝒖𝒏+𝟐 = 𝒖𝒏+𝟏 + 𝟓 𝒖𝒏 (1).
𝟓
1. Montrer que la suite (vn) définie par 𝑣𝑛 = 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 est une suite géométrique dont
on déterminera le premier terme et la raison.
2. Déterminer vn en fonction de n. En déduire un en fonction de n.
3. Déterminer la limite de un quand n tend vers +∞.
II. On définit la suite (wn) par ses premiers termes w0 et w1 avec : w0 ∈ ℝ+* et w1 ∈ ℝ+*., et par la
𝟓
relation de récurrence : ∀ n ∈ ℕ, wn+2 = √(𝒘𝒏+𝟏 )𝟐 (𝒘𝒏 )𝟑
1. Montrer que la suite (tn) définie par tn = ln(wn) où ln désigne le logarithme népérien)
vérifier la relation 1.
2. En déduire la limite de la suite (tn), puis de la suite (wn) quand n tend vers +ꚙ.
a) Démontrer que (Vn) est une suite géométrique du premier terme et de raison à
déterminer.
b) Montrer que Un = -200(0,95)n + 100.
4. Le cout du test médical pour chaque personne est 300000fcfa soit Cn le cout total payé par
toutes les personnes.
Exprimer Cn en fonction de n puis montrer que Cn est une suite croissante.
5. Chaque hôpital possède 25 salles de quarantaine. Trouver le nombre maximal des hôpitaux
pour prendre en charge les blessées.
Montrer que la suite (un)n∈ℕ définie par u0 = 1, u1 = 1 et, pour tout n ∈ ℕ, par un+2 = 2un+1 – un -2
est monotone.
Une première étude des experts s’est intéressée aux ventes réalisées au cours de chaque année et
a pu établir que ces ventes en tonnes sont les termes de la suite (Vn)n∈ℕ* de terme général
La ferme de NDONG est assimilable à un plan muni du repère orthonormé (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗ ) d’unité
graphique 4dam.
La portion réservée à la production du « NEKIRA » est limitée par l’axe (OI), les droites
d’équations x = -4 ; x = 4 et une frontière modélisée par la courbe représentative (Շg) d’une
2𝑥
fonction g définie de ℝ vers ℝ par : 𝑔(𝑥) = 1+2𝑥
La quantité de « NIKARA » en centaine de tonnes, qu’on peur espérer est la limite de la suite U
𝑈0 = 1
définie sur ℕ par : { ; 𝑛 ∈ ℕ} et on pose ; I = [0 ; 1] et k l‘application définie par :
𝑈𝑛+1 = 𝑔(𝑈𝑛 )
K : I→K(I)
x ↦ g(x) – x
2𝑥 𝑙𝑛2
1. a) Démontrer que pour tout nombres réel x, 𝑔′ (𝑥) = (1+2𝑥 )2, puis préciser le sens de variation
de g.
b) Dresser le tableau de variation de g.
2𝑥 + 2𝑦 + 𝑧 = 4 2𝑥 + 2𝑦 + 𝑧 = 4
a) {−2𝑥 + 3𝑦 + 2𝑧 = 2} b) {−2𝑥 + 3𝑦 + 2𝑧 = 2}
5𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 = 1 5𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 = 1
𝑥 + 𝑦 − 2𝑧 = 7 𝑥+𝑦+𝑧 =2
c){2𝑥 + 𝑦 + 𝑧 = 0} d) { 2𝑥 + 𝑦 − 𝑧 = 5 }
3𝑥 + 𝑦 + 𝑧 = 8 −𝑥 + 2𝑦 + 3𝑧 = 0
𝟏
(𝑬): 𝒛𝟐 + 𝟒𝒛√𝟑 + 𝟑𝟐 = 𝟎.
𝟐
1. Résoudre (E).
2. On considère les points A et B d’affixes respectives 𝑎 = −4√3 − 4𝑖 et
𝑏 = −4√3 + 4𝑖. Calculer OA et OB puis déduisez-en la nature du triangles
OAB.
3. On désigne par C le point d’affixes 𝑐 = √3 + 𝑖 et par D son image par la
𝜋
rotation de centre O et d’angle 3 . Déterminer l’affixe de point D.
I. Une usine fabrique trois types de produit différents A, B et C. La fabrication d’une unité de
produit nécessite 5 heures pour A, 3 heures pour B et un tiers d’heure pour C. L’usine fabrique
100 unités de ce produit pendant 100 heures de travail. Le nombre d’unité du produit B étant le
tiers du nombre d’unité de A. Parmi ces 100 unités de produit, combien d’unité de chaque types
de produit l’usine fabrique-t-elle ?
II. Une fille a été interrogée sur son âge. Elle répond : j’ai la moitié de l’âge de ma mère, ma
mère à 5 ans de moins que mon père et la somme des trois âges (père, mère et fille) est égal à
100 ans. Trouver l’âge du père, de la mère et de la fille.
3. a) En déduire la solution dans ℂ l’équation (E’) : 𝒛𝟒 − 𝟐(𝒄𝒐𝒔 𝜶)𝒛𝟐 + 𝟏 = 𝟎 (on donnera les
solutions sous formes exponentielle).
b) Vérifier que les solutions de (E’) sont deux à deux conjugués.
c) Décomposer le polynôme à variable réelle x définie par : 𝒑(𝒙) = 𝒙𝟒 − 𝟐(𝒄𝒐𝒔𝜶)𝒙𝟐 + 𝟏 en
un produit de deux polynômes de second degré à coefficient réels.
4. On considère l’application h du plan complexe dans lui-même qui a tout point M d’affixe z
𝟏 𝟏
associe le point M’ d’affixe telle que : 𝟐 (𝒛 − 𝟑) = (𝟏 + 𝒊)(𝒛′ − 𝟑).
a) Démontrer que h est une similitude plane directe dont on précisera les éléments
caractéristiques.
b) Démontrer que h est la composée d’une rotation et d’une homothétie dont on donnera
les éléments caractéristiques.
−𝟗√𝟑+𝟐𝟕𝒊
soit l’équation (E) : z ∈ ℂ, 𝒛𝒏 = , n ∈ ℕ* .
𝟐
Au terme de son travail, le géomètre a expliqué que les bornes du domaine de Sodji occupent des
positions régulières dans le plan muni d’un repère orthonormé direct. Il a en effet signifié que les
affixes respectives u, v, w des solutions A, B, C de trois bornes du domaine sont des solutions de
l’équation : (E) : 𝒛𝟑 − 𝟐(𝟐 + 𝟑𝒊)𝒛𝟐 − 𝟒(𝟏 − 𝟒𝒊)𝒛 + 𝟏𝟔 − 𝟖𝒊 = 𝟎. Et l’emplacement D de la
quatrième borne est l’image de C par la similitude plane directe S de centre A qui transforme B
en C.
Soit p(z) le polynôme complexe défini par :
𝒑′𝒛) = 𝒛𝟑 − 𝟐(𝟐 + 𝟑𝒊)𝒛𝟐 − 𝟒(𝟏 − 𝟒𝒊)𝒛 + 𝟏𝟔 − 𝟖𝒊 = 𝟎.
1. a) Démontrer que l’équation (E) admet une solution imaginaire pure z0 que vous déterminerez.
b) Déterminer le polynôme Q(z) tel que : 𝑝(𝑧) = (𝑧 − 𝑧0 )𝑄(𝑧).
c) Déduisez-en l’ensemble des solutions de l’équation (E).
2. On donne u = 2, v = mi et w = 2 + 4i où m est un nombre entier naturel.
a) Détermine la valeur m pour que l’écriture complexe de la similitude S soit :
𝒛′ = (𝟏 − 𝒊)𝒛 + 𝟐𝒊.
b) Donne la nature de S puis précise ses éléments caractéristiques.
c) Détermine l’affixe du point D.
3. On suppose que : m = 2.
a) Détermine la nature du triangle ABC.
b) Sachant que l’unité de longueur est l’hectomètre, calculer en hectare l’aire de la
portion ABC.
c) Déduisez-en l’aire du domaine de Sodji.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
Soit ABC un triangle rectangle en C tel que ( 𝐵𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ 𝜋 [2𝜋].
, 𝐵𝐴 3
̂ coupe [𝐴𝐶] en O.
La bissectrice intérieure de l’angle 𝐴𝐵𝐶
On désigne par H le projeté orthogonal de O sur (AB) et par H’ le milieu de [OA].
1. a) Faire une figure.
b) Montrer que le triangle OAB est isocèle et que H est le milieu de [AB].
2. Soit f la similitude directe telle que f(B) = O et f(H) = H’.
1 𝜋
a) Montrer que le rapport de f est et que 6 est une mesure de son angle.
√3
b) Montrer que H’ est le milieu du segment [Of(A)]. En déduire que A est le centre de f.
3. Les cercles (Г) et (Г’) de diamètre respectifs [AB] et [AO] se coupent en D.
a) Montrer que les points B, O et D sont alignés.
b) Montrer que les triangles BCH et ODH’ sont équilatéraux et que f(C) = D.
c) Montrer que le quadrilatère ADCH est un losange.
4. Soit 𝑔 = 𝑆(𝐷𝐻) ○ 𝑓 où 𝑆(𝐷𝐻) est le symétrique axial d’axe (DH)
a) Déterminer g(A) et g(C).
b) Montrer que g est une similitude indirecte dont on précisera le rapport.
c) Soit Ω le centre de g.
1
Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛺𝐷 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛺𝐷. Construire alors le centre Ω et l’axe ∆ de g.
3
transforme A en D et C en B.
4. On désigne par I le point d’affixe 1 + i. M et N les milieux respectives des segments [AC] et
[BD]. Déterminer la nature du quadrilatère IMN.
5. On considère les points P et Q tels que les quadrilatères IAPB et ICQD soient des carrés.
a) Calculer 𝑧𝑝 𝑒𝑡 𝑧𝑄 , les affixes respectives des points P et Q.
𝐼𝑃
b) Déterminer 𝐼𝐴 𝑒𝑡
𝐼𝑄
⃗⃗⃗⃗⃗̂
ainsi qu’une mesure des angles (𝐼𝐴 , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ̂
𝐼𝑃) et ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐼𝐶 , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐼𝑄 ).
𝐼𝐶
Soir f l’application (P) - {𝐴} dans (P) qui, à tout point M d’affixe z(z≠ 2i) associe le point M’
𝒛+𝟏
d’affixe z’ telle que : 𝒛′ = .
𝒛−𝟐𝒊
1. Placer les points A, B et C. On complètera la figure dans la suite.
2. Déterminer l’affixe du point C’, l’image de C par f. Quelle est la nature du quadrilatère
ACBC’ ?
3. Démontrer que le point C admet unique antécédent C’’ par f. Quelle est la nature du triangle
BCC’’.
4. Donner une interprétation géométrique de |𝑧 ′ | et arg(z’).
5. Déterminer les ensembles suivants :
a) L’ensemble (E) des points M dont l’image par f a pour affixe un réel strictement
négatif.
b) L’ensemble (F) des points M dont l’image par f a pour affixe un imaginaire pur non
nul.
c) L’ensemble (D) des points M dont l’image par f a pour affixe un nombre de module 1.
6. Construire ACBC’ ; BCC’’, (E), (F) et (D) dans la figure.
√2
1. Soit A le point du plan d’affixe 1 + 𝑖. Déterminer l’affixe du point B pour que le triangle
2
PARTIE A :
⃗⃗ ). On considère les points A(3 ;
L’espace ℰ est rapporté à un repère orthonormé direct (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
2 ; 6), B(1 ; 2 ; 4) et C(4 ; -2 ; 5).
1. a) Calculer les composantes du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ˄ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 .
b) Déduisez-en que les points A, B et C ne sont pas alignés.
c) Calculer le volume du tétraèdre OABC.
4
2. Soit H le projeté orthogonal du point O sur le plan (ABC). Prouve que OH = 3.
PARTIE B :
⃗⃗ ), on donne les points : A(3 ; -5 ;
L’espace ℰ est rapporté à un repère orthonormé direct (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
1), B(0 ; 2 ; 4) et de vecteur 𝑢
⃗⃗(1; 2; −1).
1. Soit (∆) la droite de repère (A ; 𝑢
⃗⃗).
a) Déterminer une représentation paramétrique de (∆).
b) Déterminer les coordonnées du point C de (∆) d’ordonnée nulle et les coordonnées du
point N de (∆) dont l’abscisse est égale à l’ordonnée.
2. Soit (Շ) le plan d’équation cartésienne2𝑥 − 3𝑦 + 𝑧 − 10 = 0.
a) Calculer la distance d de A à (Շ).
b) Démontrer que la droite (AB) et le plan (Շ) sont sécants en un point M dont tu
déterminera les coordonnées.
3. Soit (Г) le plan passant par les points A et B et perpendiculaire à (Շ). On désigne par (D) la
droite d’intersection de (Շ) et de (Г).
a) Déterminer une équation cartésienne de (Г).
b) Donne une représentation paramétrique de (D).
4. Soit les points E(2 ;-1 ;-4), F(1 ; 0 ; -3) et G(1 ; 2 ; 1).
a) Démontrer que les points E, F et G déterminent un unique plan dont un vecteur normal
est 𝑢
⃗⃗.
b) Justifie que AEFG est un tétraèdre puis calculer son volume.
Dans l’espace (Ԑ) orienté muni d’un repère orthonormé direct (O ; 𝑖⃗, 𝑗, ⃗⃗ ), on considère un cube
⃗⃗ 𝑘
ABCDEFGH tel que : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 = 𝑖⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐷 = 𝑗⃗⃗, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐸 = 𝑘 ⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
𝑂𝐴 = −3𝑗⃗ + 𝑗⃗ − 2𝑘
1. a) Démontrer que le quadrilatère ABGH est un parallélogramme.
b) Démontrer que G est le barycentre des points pondérés (A, -1), (B, 1), (C, 1).
2. On désigne par K, le centre de gravité du triangle ABH ;
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(∆) : {𝑀 ∈ Ԑ (−𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐻 ). (−2𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐻 ) = 0}.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐵
(Г) : {𝑀 ∈ Ԑ (−𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐻 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )˄(𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐻
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 0}.
𝑓(𝐵) = 𝐶
[BC]. Soi f une isométrie distincte de la symétrie orthogonale S∆, telle que : { }
𝑓(𝐷) = 𝐴
1. Faites une figure soignée.
2. Soit O le milieu du segment [BD].
a)Montrez que O est l’unique point du plan invariant par f.
b) Déduisez-en la nature et les éléments caractéristiques de f.
3. Soit g et h des applications du plan définies respectivement par : g = f ○ S∆ et h = S∆ ○ f.
a) Déterminer g(A) et g(C) et déduisez que g = S(AC).
b) Montrer que h = S(BD).
4. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de g ○ h.
1. On désigne par (𝑥 ; 𝑦) un point du plan, 𝑀1(𝑥1 ; 𝑦1) son image par la symétrie orthogonale
d’axe la droite d’équation 𝑦 = 𝑥 et 𝑀’(𝑥’ ; 𝑦’) l’image de 𝑀1 par la symétrie orthogonale d’axe
(𝑂 ; 𝑖⃗ ).
a. Exprimez x’ et y’en fonction de x et y.
b. Caractérisez l’application qui transforme M en M’.
c. On désigne par r l’application qui au point M(x ; y) associe le point 𝑀’’(𝑥’’ ; 𝑦’’)
𝑥 ′′ = 1 + 𝑦
définies par { ′′ }. Montrez que r est une rotation dont on précisera le centre 𝛺
𝑦 = 1−𝑥
et l’angle θ.
2. Lorsque le point 𝑀 décrit la droite d’équation 𝑦 = 𝑥, déterminez l’ensemble décrit par le point
𝑀’’ainsi que l’ensemble décrit par le milieu du segment [𝑀 𝑀’’].
𝑥 = 1 + 3𝑦
3. Au point (𝑥 ; 𝑦) on associe le point 𝑀2(𝑥2 ; 𝑦2) définies par { 2 }
𝑦2 = 1 − 2𝑥
a. Quelle est la nature de l’ensemble (E) des points M2 lorsque M décrit le cercle unité de centre
O?
b. Caractériser l’image de (E) par la rotation r définie en 1°/- c).
I. a. Dans le plan affine euclidien muni d’un repère orthonormé, donnez l’expression
analytique de la symétrie orthogonale S d’axe la droite d’équation 𝒚 = −𝒙 + 𝟏.
b. On considère la parabole (H) d’équation 𝒚 = 𝒙2 − 𝟏. Donnez l’équation de l’image de (H)
par la symétrie S
c. Construire (H) et son image dans le même repère.
II. Soient 𝑨, 𝑩 et 𝑪 3 points non alignés d’un plan P et 𝜶 un nombre réel. 𝑨 tout point 𝑴 de P
on associe par l’application 𝒇α le point 𝑴’ tel que :
𝑀𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 4𝑀𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = (2 − 𝛼)𝐴𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + (1 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2𝛼)𝑀𝐶
Préciser, suivant les valeurs de 𝛼 la nature et les éléments caractéristiques de l’application 𝑓𝛼.
𝑥′ = 𝑥 − 𝑦
Soit S l’application du plan dans lui-même d’expression analytique : { ′ }
𝑦 =𝑥+𝑦+3
1. Donner l’expression complexe de S. En déduire la nature et les éléments caractéristiques de
S.
𝜋
2. O étant l’origine du repère, on considère la rotation R de centre O d’angle - 2 .
⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶𝐵
Le plan P est orienté. ABC est un triangle rectangle en C tel que (𝐶𝐴,
𝜋
) = 2 [2𝜋],
𝜋
Soit r la rotation de centre A et d’angle 2 . On pose : D = r (C) et E = r-1 (B). I désigne le
𝐴𝐷̂
𝜋
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Dans le plan orienté, on considère un carré ABCD de centre O tel que (𝐴𝐵 ) = 2 [2𝜋]. AB
. On désigne par E et F les milieux respectifs des segments [CD] et [BC] et I le point du plan
tel que CIA soit un triangle équilatéral direct.
⃗⃗⃗⃗⃗̂
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝐴𝐼
1. Vérifier que (𝐴𝐷
𝜋
) = 12 [2𝜋], et montrer que 𝑟(𝐴,−𝜋) = 𝑆(𝐴𝐼) ○ 𝑆(𝐴𝐷) .
6
⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂
⃗⃗⃗⃗⃗⃗, 𝐶𝐵
ABC est un triangle rectangle en C tel que mes (𝐶𝐴
𝜋
) ≡ 2 [2𝜋]. Soit r la rotation de centre
𝜋
A et d’angle 2 . On pose r(C) = D r-1(B) = E. et I désigne le milieu du segment [CD].
Soit ABC un triangle équilatéral tel que : AB = a, a >0. On désigne par I le milieu de [BC].
𝑎√3
1. a En utilisant le théorème de la médiane, montrer que : AI = .
2
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗
b) Montrer que pour tout point M du plan, 2𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵 2 − 𝑀𝐶 2 = 4𝑀𝐼 𝐼𝐴 + 𝑎2 .
c) En déduire l’ensemble D des points M du plan tels que : 2𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵 2 − 𝑀𝐶 2 = 𝑎2 .
2. Soit G le barycentre des points A, B et C affectés des coefficients respectifs -1, 1 et 1. (C) est
l’ensemble des points M du plan tels que : −𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵 2 + 𝑀𝐶 2 + 0.
a) Déterminer et placer le point G.
b) Montrer que −𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵 2 + 𝑀𝐶 2 = 0 équivaut à 𝑀𝐺 2 − 𝑎2 = 0.
c) En déduire la nature de (C), puis construire (C).
b) Soit I le point d’intersection autre que C des ensembles (F) et (G). Montrer que le triangle
CDI est équilatéral.
b) Pour tout réel k, soit Lk l’ensemble des points M du plan tels que, f(M) = k.
Déterminer suivant les valeurs du réel k la nature de l’ensemble.
𝒏
STATISTIQUES ET PROBABILITES
𝑬(𝑿) = ∑ 𝒙𝒊 𝒑𝒊
REVISION 𝒊=𝟏
BAC 2020
Terminale A, B, C, D & E (19 EXERCICES)
Sur les quatre faces d’un dé pipé tétraédrique sont inscrits les nombres complexes suivants : z0 =
-2i ; z1 = -2 – 2i, z 2 = 1 – i et z3 = -1 + i√3.
On lance une fois ce dé.
La probabilité pk pour que la face marquée zk soit cachée est pk = c|𝑧𝑘 |2, pour k ∈ {0, 1, 2, 3} et c
∈ ℝ.
1
1. a) Montrer que 𝑐 = .
18
1. Quelles est la probabilité pour que les deux boules tirées soient noires ?
2. Soit l’évènement A « les deux boules tirées sont de couleurs différentes ». Quelle est la
probabilité pour que l’évènement A soit réalisé ?
3. Sachant que les deux boules tirées sont de couleurs différentes quelle est la probabilité pour
que la boule noire provienne de l’urne U1.
N.B : tous les résultats seront donnés sous forme de fraction irréductible.
Une urne contient 5 boules rouges et 3 boules blanches. Un joueur tire simultanément 2 boules
de l’urne.
1) Calculer la probabilité d’obtenir :
a) 2 boules de couleurs différentes.
b) 2 boules rouges.
c) 2 boules blanches.
2) Le jeu obéit à la règle suivante :
- Si les deux boules sont rouges : il perd 30 F.
- Si les deux boules sont blanches : il perd 100 F.
- Si les deux boules sont de couleurs différentes : il gagne 40 F.
Soit X la variable aléatoire donnant le gain algébrique du joueur.
a) Déterminer la loi de probabilité de X.
b) Calculer l’espérance mathématique de X.
On considère un dé cubique non pipé ayant deux faces numérotées 2 et quatre faces numérotées
3, et un dé tétraédrique régulier ayant deux faces numérotées 2 et deux faces numérotées 4.
On lance simultanément les deux dés, on désigne par « a » le numéro apparu sur la face
supérieure du dé cubique et « b » celui sur la face cachée du dé tétraédrique.
On considère l’équation différentielle (E) : y’’ +ay’ +by = 0 et on désigne par X la variable
aléatoire prenant la valeur 𝑎2 − 4𝑏.
1.a) Déterminer la loi de probabilité X.
b) Déduisez-en la probabilité pour que (E) admette pour solution générale une fonction non
sinusoïdale.
2. On lance n fois de suite les deux dés. On désigne par Y le nombre de fois que l’équation (E)
admet une solution générale, une fonction non sinusoïdale.
Déterminer le plus petit entier n pour que la probabilité de l’évènement {(𝑌 ≥ 1)} soit
supérieure ou égale à 0, 999.
3. On pose (a ; b) = (3 ; 2) et on considère l’équation différentielle
𝑥−1
(E’) : 𝑦 ′′ + 3𝑦 ′ + 2𝑦 = ( 𝑥 2 )𝑒 −𝑥
a) Vérifier que la fonction f définie pour tout x ∈ ℝ+*, par : 𝑒 −𝑥 ln(𝑥) est solution de (E’).
b) Résoudre l’équation : (𝐸(3 ; 2) : 𝑦 ′′ + 3𝑦 ′ + 2𝑦 = 0.
c) Soit g une fonction deux fois dérivables sur ℝ+*, prouve que g est solution (E’) si et
seulement si g - f est solution de (𝐸(3 ; 2) ).
d) Déduisez-en toutes les solutions de (E’).
I. Dans une classe de 35 élèves ou tous pratiquent le judo ou le taekwondo, vingt élèves
pratiquent le judo et vingt-cinq le taekwondo.
1. Déterminer le nombre d’élèves pratiquant le judo et le taekwondo.
2. On choisit un élève au hasard
a) Calculer la probabilité qu’il pratique le judo.
b) Calculer la probabilité qu’il pratique le judo seulement.
c) Calculer la probabilité qu’il pratique le judo et le taekwondo.
d) Calculer la probabilité qu’il pratique le judo ou le taekwondo.
II. 1) Une cage contient 5 pigeons mâles et 3 pigeons femelles. On prend au hasard l’un après
l’autre, sans remise, 4 pigeons de la cage. Calculer la probabilité de chacun des évènements
suivants :
𝐄1 ∶ ≪ 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐦â𝐥𝐞𝐬 ≫
𝐄2 ∶ ≪ 𝟑 𝐩𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧𝐬 𝐦â𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧 𝐟𝐞𝐦𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐭 𝐨𝐫𝐝𝐫𝐞 ≫
𝐄3 ∶ ≪ 𝟑 𝐩𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧𝐬 𝐦â𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧 𝐟𝐞𝐦𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐢𝐬 ≫
2) Soit X la variable aléatoire égale au nombre de pigeons femelles pris.
a) Déterminer la loi de probabilité de X.
b) Calculer la probabilité de l’évènement [𝐗 ≥ 𝟐].
c) Calculer l’espérance mathématique et l’écart-type de X.
Un jeu de 32 cartes à jouer est constitué de quatre « familles » : trèfle et pique, de couleur noire ;
carreau et cœur, de couleur rouge. Dans chaque famille, on trouve trois « figures » : valet, dame,
roi. On tire une carte au hasard dans ce jeu de 32 cartes.
Quelle est la probabilité des événements suivants :
1. « La carte tirée est une dame. »
2. Un joueur mise 200 F CFA et effectue une épreuve. A l’issue de cette épreuve, on compte le
nombre de boules bleues contenues dans U2.
Si U2 contient une seule boule bleue, le joueur reçoit 600 F CFA.
Si U2 contient deux boules bleues, le joueur ne reçoit rien.
Si U3 contient trois boules bleues, le joueur reçoit 2000 F CFA.
On appelle gain algébrique la différence (positive ou négative) entre la somme reçue par
le joueur et la mise. Soit X la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur.
2.1 Déterminer les valeurs prises par X.
2.2 Déterminer la loi de probabilité.
2.3 Monter que l’espérance mathématique E(X) est égale à -75 et calculer la variance
V(X) et l’écart type δ(X).
3. MBADINGA joue cinq fois de suite à ce jeu. Calculer, à 10-3 près par excès, la probabilité
qu’il obtienne au moins un gain strictement positif à l’issue des cinq épreuves.
A. Le tiercé est une forme de pari où l’on parie sur trois chevaux engagés dans une même course,
en précisant l’ordre d’arrivée.
Le PMUG annonce une course de 18 chevaux numérotés de 1 à 18. Tous les chevaux ont la
même chance de gagner la course. OBAME choisit dans l’ordre les chevaux portant les numéros
15, 13 et 8. Tous les chevaux ayant pris part à la course, on demande de calculer la probabilité
pour qu’OBAME gagne le tiercé :
a) Dans l’ordre
b) Dans le désordre
B. On considère un club de parieur comprenant les hommes et les femmes ; le nombre des
hommes étant le double de celui des femmes. On suppose que 6% des femmes gagnent le tiercé
dans l’ordre, et 12% des hommes gagnent le tiercé dans l’ordre. On note respectivement O, H et
F les évènements suivants :
O : « gagner le tiercé dans l’ordre »
H : « le parieur est un homme »
F : « le parieur est une femme »
1. Quelles est la probabilité pour que :
a) Un membre du club gagne le tiercé dans l’ordre ?
b) Un gagnant dans l’ordre de ce club soit un homme ?
2. On choisit au hasard 6 parieurs parmi les gagnants ; le nombre de gagnants est suffisamment
grand pour que les choix puissent être assimilés à des choix successifs indépendants.
Déterminer la probabilité pour qu’il y ait exactement deux hommes parmi ces 6 parieurs.
Dans une boite on a placé six cartons indiscernables au toucher sur lesquels sont écrites les
lettres du mot COPIES (une lettre par carton). On tire successivement et sans remise trois cartons
et on les aligne dans l’ordre de sortie de manière à former un « mot » de 3 lettres (ayant un sens
ou non).
1) Déterminer le nombre de mots possibles.
2) Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
A : « le mot formé est SEC ».
B : « la lettre E figure dans le mot ».
C : « le mot commence par la lettre E ».
D : « exactement deux voyelles figurent dans le mot ».
En 2004, la campagne électorale pour les élections municipales à fait rage dans un village du
Niger. Deux groupes de listes A et B s’affrontent par tous oratoires quotidiens. Chaque jour de
campagne on interroge un lecteur pris au hasard et on définit les évènements suivants :
An : « l’électeur est favorable à la liste A au nième jour de la compagne »
Bn : « l’électeur est favorable à la liste B au nième jour de la campagne »
On note pn et qn les probabilités respectives des évènements An et Bn on admet que chaque
électeur ne se détermine que pour les listes A et B.
1. Déterminer une relation simple entre pn et qn.
2. Les arguments des uns et des autres sont si convaincantes et les électeurs sont indécis qu’à
l’issue de chaque jour de campagne, 20% des électeurs favorables à la liste A et 30% des
électeurs favorables à la liste B changent d’avis pour le jour suivant.
a) Déterminer l’arbre des probabilités.
b) Donner P(An+1/An) et P(An+1/Bn).
c) Montrer que P(An+1 ∩ An) = 0,8pn et P(An+1 ∩ Bn) = 0,3qn
En déduire que P(An+1) = 0,8pn +0,3qn ; puis que pn+1 = 0,5pn + 0,3.
3. Soit la suite (Un) de terme général Un = pn – 0,6.
a) Montrer que (Un) est une suite géométrique dont on précisera la raison. Quelle est sa
limite ?
b) En déduire la limite de la suite (pn).
Année 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001
scolair - - - - - - - - - - - -
e 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002
Rang 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
de
l’année
scolair
e
Taux 27,6 27,1 27,8 29,1 29,2 29,5 30,1 30,3 32,2 34,1 37,3 40
nation 3 5 3 0
al de
scolarit
é
Dans cet exercice les formules et les principales étapes des calculs devront être indiquées. On
considère la série statistique double (x, y) décrite par le tableau ci-dessous.
xi 2 4 6 8 10 12 14 16
yi 10 15 10 20 21 40 32 35
1) Représenter le nuage de points de cette série statistique. (On prendra 0,5 cm pour une unité en
abscisses et 0,2 cm pour unité en ordonnées).
2) Calculer les coordonnées de G, point moyen du nuage.
3) Déterminer une équation de la droite d’ajustement par la méthode de Mayer et représenter
cette droite. Vérifier que G appartient à cette droite.
4) Estimer la valeur de y pour 𝒙 = 𝟐𝟒.
La constitution d’un groupe de trois élèves devant représenter leurs camarades à un exposé sur
l’environnement est une expérience aléatoire.
On lance trois fois de suite une pièce de monnaie. Un garçon est désigné à chaque apparition de
pile et une fille à chaque apparition de face. Un groupe constitué de fille et de garçon est appelé
« groupe mixte » et un groupe constitué uniquement de fille ou uniquement de garçon un
« groupe non mixte ».
̅ l’évènement contraire de M.
On désigne par : M l’évènement « le groupe est mixte » et par 𝑀
̅.
1. Calculer les probabilités des évènements M et 𝑀
2. A l’intérieur de la salle où se tient l’exposé, le groupe de trois élèves reçoit en cadeau trois tee-
shirts par fille présent au sein du groupe.
Soit X la variable aléatoire égale au nombre de tee-shirts reçus.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
b) Déterminer la loi de probabilité de X.
c) Déterminer la fonction de répartition F de X.
d) Construire la représentation graphique de F.
e) Calculer l’espérance mathématique E(X) de X.
3. Les tee-shirts reçus sont repartis de manière équitable à tous les membres du groupe. Quelle
est la probabilité que chaque membre du groupe reparte avec au moins deux tee-shirts ?
Le tableau suivant donne les résultats d’une étude réalisée sur un produit P ; x représente le prix
de vente unitaire du produit exprimé en FCFA ; y représente la quantité du produit P disponibles
sur le marché, exprimé en millier.
xi 30 35 45 60 80 100
yi 12,5 13 13 15 15,5 16
On prendra pour premier sous nuage les trois premiers points et pour le deuxième les trois
derniers.
1) Représenter le nuage de points 𝐌𝒊 (𝒙i ; 𝒚i), dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O,
𝑖⃗, 𝑗⃗). (Unité 1 cm sur l’axe des abscisses et 2 cm sur l’axe des ordonnées).
1) (X, Y) est une série statistique double. Soit (D1) la droite de régression de Y en X.
Soit (D2) la droite de régression de X en Y. On suppose que :
(D1) : y = a x + b et (D2) : x = a’ y + b’.
Soit r le coefficient de corrélation linéaire entre X et Y.
Etablir que = r2 = a x a’.
2) Dans une entreprise une étude simultanée portant sur deux caractères X et Y donnent les
résultats suivants :
La droite de régression de Y en X a pour équation : 2,4x – y = 0
La droite de régression de X en Y a pour équation : 3,5 y – 9 x + 24 = 0.
a) Calculer le coefficient de corrélation linéaire entre X et Y, sachant que leur covariance
est positive.
b) Calculer la moyenne de chacun des caractères X et Y.
Dans le plan muni d’un repère orthonormé (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗), on considère l’application f qui au point M
de coordonnées (x ; y) associe le point M’ de coordonnées (x ‘ ; y’) telle que :
𝟑 𝟏 𝟏
𝒙′ = 𝒙 − 𝒚 +
𝟒 𝟒 𝟒
{ 𝟏 𝟑 𝟏}
𝒚′ = − 𝒙 + 𝒚 +
𝟒 𝟒 𝟒
Le plan P est muni d’un repère orthonormé (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗) et f est application affine de P dans P qui au
point M(x ;y) associe le point M’(x’ ; y ‘) tel que :
𝟏
𝒙′ = (𝟕𝒙 + 𝒚 + 𝟑)
𝟑
{ 𝟏 }
𝒚′ = (𝟐𝟎𝒙 + 𝟖𝒚 + 𝟏𝟓)
𝟑
1. Démontrer que l’ensemble des points invariants par f est la droite (∆) d’équation :
𝟒𝒙 + 𝒚 + 𝟑 = 𝟎.
2. Soit M(x ; y) un point du plan P n’appartenant pas à (∆).
1. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de f. Placer les points M0, M1, et M2.
𝝅 𝟓𝒏𝝅
𝒊( + )
2. Montrer que l’on a 𝒛𝒏 = 𝒆 𝟐 𝟔 ∀ n ∈ ℕ.
3. Soient deux entiers n et p tels que n ≥ p ; Montre que les points Mn et Mp sont confondus si et
seulement si n – p est multiple de 12.
4. On considère l’équation (E) : 𝟏𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 = 𝟑 ou x et y sont des entiers relatifs. Après avoir
trouvé une solution particulière de cette équation, résoudre dans ℤ2 l’équation (E).
5. En déduire les entiers naturels n tels que Mn appartient à la demi-droite [Ox).
b) Soit (∆) la droite d’intersection des plans (P) et (Q). Déterminer une équation paramétrique
de (∆).
4. Soit s la symétrique orthogonale par rapport au plan (Q). On pose : g = f ○ s.
−1
a) Soit A(−1). Vérifier que A est un point de (Q).
0
b) Montrer que g est un demi-tour dont on précisera l’axe.
c) Déterminer les coordonnées de A’, où A’ = g(A).
⃗⃗ ) est orthonormé.
Le repère (O, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
𝟏
𝒙′ = (𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝒛 − 𝟑)
𝟑
𝟏
Soit p l’application de E dans E d’expression analytique : 𝒚′ = (𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 + 𝟑)
𝟑
′ 𝟏
{𝒛 = 𝟑 (−𝒙 + 𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟑)}
1. a) Déterminer les coordonnées de A’, ou A’ = P(A) avec A (1 ; -2 ; 3)
b) Déterminer l’ensemble des antécédents de A’ par p.
2. Démontrer que l’ensemble des points invariants par p est un plan (P).
𝑥 𝑥′
3. Soit M(𝑦) un point de E et M’(𝑦 ′ ) son image par p.
𝑧 𝑧′
a) Démontrer que M’ n’appartient à (P).
b) Démontrer que si M n’appartient pas à (P), la droite [MM’] est orthogonale à (P).
4. En déduire la nature de p.
⃗⃗ ).
Dans l’espace E rapporté à un repère (O ; 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
On donne A(0 ; 0 ; -2), B(0 ; 1 ; -1), C(0 ; 0 ; 4) et D(0 ; -1 ; 3).
1. Montrer qu’il existe un unique demi-tour, noté f tel que f(O) = A et f(B) = B. Caractériser
géométriquement ce demi-tour et donner son expression analytique.
2. Soit g l’application de l’espace E vers E à tout point M(x ; y ; z) associe le point M’(x’ ; y’ ; z’)
𝒙′ = 𝒙
tel que : { 𝒚′ = −𝒚 }. Démontrer que g est un demi-tour dont on précisera l’axe. Préciser
𝒛′ = −𝒛 + 𝟐
les
images de A et B par g.
3. Soit h = f ○ g. Définir analytiquement h.
𝒙𝟎 = 𝟑 𝒆𝒕 𝒚𝟎 = 𝟏
𝟔 𝟐
Soit (xn) et (yn) les suites définies par : { ∀ 𝒏 ∈ ℕ, 𝒙𝒏+𝟏 = 𝟓
𝒙𝒏 + 𝒚𝒏 + 𝟏 }
𝟓
𝟐 𝟗
∀ 𝒏 ∈ ℕ, 𝒚𝒏+𝟏 = 𝒙𝒏 + 𝒚𝒏 + 𝟐
𝟓 𝟓
1. Démontrer par récurrence que les points Mn de coordonnées (xn ; yn) sont sur la droite (D)
d’équation : 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟓 = 𝟎.
2. En déduire 𝑥𝑛+1 en fonction de 𝑥𝑛 .
3. Démontrer que (xn) et (yn) sont des suites d’entiers relatifs.
4. Soit n un entier naturel.
a) Démontrer que xn est divisible par 5 si et seulement si yn est divisible par 5.
b) Démontrer que si xn et yn ne sont pas divisibles par 5, alors ils sont premiers entre eux.
5. a) Démontrer par récurrence que ∀ x ∈ ℕ, 𝑥𝑛 = 2𝑛+1 + 1.
b) Soit n un entier naturel. Démontrer que 5 divise xn si et seulement si 5 divise xn+1.
c) En déduire des valeurs de n pour lesquelles xn et yn sont divisibles par 5.
1. O considère l’équation (E) : 𝟏𝟎𝒙 + 𝟏𝟏𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 = 𝟗𝟓, où x, y et z sont des entiers relatifs.
a) Déterminer un couple d’entier relatifs (u ; v) vérifiant 𝟏𝟎𝒙 + 𝟏𝟏𝒚 = 𝟏 ; en déduire une
solution particulière (x0 ; y0) de l’équation (E’) : 𝟏𝟎𝒙 + 𝟏𝟏𝒚 = 𝟗𝟓.
b) Déterminer les couples d’entiers relatifs solutions de l’équation (E’).
2. Soit (O, I, J, K) un repère orthonormé de l’espace.
On considère le plan (P) d’équation : 𝟏𝟎𝒙 + 𝟏𝟏𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 = 𝟗𝟓.
On considère les points du plan (P) qui appartiennent aussi au plan (O, I, J).
Montrer qu’un seul de ces points a pour coordonnées des entiers naturels ; déterminer les
coordonnées de ce points.
3. On considère un point M du plan (P) dont les coordonnées x, y et z sont des entiers naturels.
a) Montrer que l’entier y est impaire.
b) On pose y = 2p +1 où p est entier naturel.
Montrer qu’on a : p + z ≡ 2[5].
c) On pose p + z = 5q +2 ou q est un entier naturel. Montrer que les entiers naturels x, p et q
2. 2.1. Montrer que l’ensemble des points invariants par f est la droite (D) d’équation :
2x -4y – 1 = 0.
2.2. Démontrer que le vecteur (MM') ⃗ à une direction fixe et que la droite (D) est la médiatrice
du segment [MM’].
2.3. Quelle est alors la nature de l’application f ?
3. Déterminer l’ensemble (Г) des points M d’affixe z tels que z’ soit un réel.
4. On cherche à déterminer les points de (Г) dont les coordonnées sont des entières.
4.1. Donner une solution (x0 ; y0) appartenant à ℤ2 de l’équation 4x – 3y = 2.
4.2. Déterminer l’ensemble des solutions appartenant à ℤ2 de l’équation 4x – 3y = 2.
5. On considère les points M d’affixe z = x + iy tel que x =1 et y ∈ ℤ. Le point M’ = f (M) a pour
affixe z’. Déterminer les entiers y tels que Re(z) et Im(z’) soit entiers.
Q.1 : La division euclidienne de 900 par un entier naturel b a pour quotient 14 et pour reste r.
Quelles sont les valeurs possibles de b et r ?
Q.2 : Déterminer l’entier naturel n dont la division euclidienne par 16 a un reste égal au carré du
quotient.
Q.3 : Soit q et r le quotient et le reste de la division euclidienne d’un entier naturel a par un entier
naturel b.
Sachant que a + b + r = 3025 et q =50 ; rétablir la division.
Q.4 : Déterminer les chiffres x et y pour que le nombre n = 43x57y soit divisible par 15 et 2.
Q.5 : Trouver dans le système décimal un entier N = abcd divisible par 45 et tels que le couple
(a ; b) soit solution de l’équation : 𝑥 2 − 𝑦 2 = 24.
Q.6 : Un entier naturel s’écrit xy7 dans le système décimal et y00x dans le système à base 8.
a) Sachant que y = x – 4 ; Déterminer x et y.
b) Ecrire ce nombre en système décimal ; binaire ; octa décimal et hexa décimal.
Q.7 : 1. Déterminer le reste de la division euclidienne de 111999 par 7.
2. Déterminer suivant les valeurs de n, le reste de la division euclidienne de 11n par 7.
1. On considère l’entier naturel A qui s’écrit 53x4 dans le système de numération de base huit.
Déterminer x de telle sorte que :
a) A soit divisible par 7.
b) A soit divisible par 6. En déduire que A est divisible à la fois par 6 et 7.
2. On prend x = 2. Déterminer l’écriture décimale de A. Quel est le nombre de diviseur de 1 ?
Trouver le plus petit nombre entier naturel non nul par lequel il faut multiplier A pour que le
produit soi un carré parfait.
On considère l’entier naturel représenté en base b par A=342x Déterminer le chiffre x pour que
A soit :
a) divisible par 5, quand b=6
b) divisible par 3, quand b=7
c) divisible par 12, quand b=17
̅̅̅̅̅̅̅ en base 3.
I. Le nombre x s’écrit 𝑏𝑏𝑎𝑎
a) Quelles valeurs peuvent prendre a et b.
̅̅̅̅̅ en base 6. Trouver une relation liant a et b, et en déduire les valeurs de
b) Le nombre s’écrit 𝑏𝑎𝑎
a et b.
c) Ecrire x dans la base décimale.
II. 1) Décomposer 319 en produit de facteurs premiers.
2) Démontrer que si x et y sont premiers entre eux, il en est de même pour 3x+5y et x+2y
(3𝑎 + 5𝑏)(𝑎 + 2𝑏) = 1276
3) Résoudre dans N* le système { 𝑜𝑢 𝑚 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑃𝑃𝐶𝑀 𝑑𝑒 𝑎 𝑒𝑡 𝑏} .
𝑎𝑏 = 2𝑚
𝒏(𝒏+𝟏)(𝟐𝒏+𝟏)
On donne ∑𝒏 𝟐
𝒑=𝟏 𝒑 = .
𝟔
1) a- Déterminer tous les polynômes de degré 3 tels que : (𝑥 + 1) − (𝑥) = 𝑥² .
𝑛(𝑛+1)(2𝑛+1)
b- Retrouver le résultat : ∑𝑛𝑝=1 𝑝2 = .
6
𝒏𝟐 (𝒏+𝟏)𝟐
2) On donne ∑𝒏 𝟑
𝒑=𝟏 𝒑 = 𝟒
a- Calculer ∑𝑛𝑝=1 𝑝2 par une méthode analogue à celle de la 1ère question.
II. Démontrer que si un nombre de trois chiffres 𝑎𝑏𝑐, est divisible par 17, il en est de même du
nombre (2𝑎 − 𝑐)2 + 2𝑏².
3.5 Déterminer les foyers, les directrices associées, les sommets, l’axe focal et l’excentricité
de (E’).
I. Dans chacun des cas suivants, démontrer que (E) est une équation d’une conique dont on
précisera la nature, le centre, l’axe focal et les sommets situés sur cet axe focal
𝑎) (𝐸): 𝑥² + 2𝑦² − 2𝑥 − 3 = 0 𝑏) (𝐸) ∶ 3𝑥² + 𝑦² + 6𝑥 − 4𝑦 + 4 = 0 𝑐) (𝐸): 2𝑥² − 𝑦² − 4𝑦 −
1
12 = 0 𝑑) (𝐸): − 𝑥² + 𝑦² + 6𝑥 + 2𝑦 − 16 = 0 𝑒) (𝐸): 𝑥² + 4𝑥 + 4𝑦 = 0 𝑓) (𝐸): 𝑦 = 2 𝑥 2 − 𝑥 + 2.
II. Dans chacun des cas suivants, déterminer une équation de l’ellipse dont on donne une
représentation paramétrique :
1
𝑥 = 𝑐𝑜𝑠𝜃 − 1 𝑥 = 2𝑐𝑜𝑠𝜃 − 3
𝑎) { 2 } 𝑏) { }
3 𝑦 = 3𝑠𝑖𝑛𝜃 + 1
𝑦 = 𝑠𝑖𝑛𝜃 + 2
4
I. 1) Soit A (2 ; -1) et A’ (-2 ; 3). Déterminer une équation de l’ensemble (C) des points M du
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗= 1.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑀𝐴′
plan tels que: 𝑀𝐴
2) Déterminer une équation de l’image de (C) :
2
a) par l’affinité orthogonale d’axe la droite de repère (𝑂,𝑖⃗ ) et de rapport 3.
𝒛−𝟏−𝒊 √𝟐
2) Démontrer que l’ensemble des points M tels que | |= | est une ellipse dont on
𝒛̅+𝒛+𝟒 𝟒
précisera un foyer, une directrice et l’excentricité.
1) Déterminer, suivant les valeurs du nombre réel m, la nature de l’ensemble (Γ𝑚) des points
M(x, y) tels que : 2𝑚𝑥² + 8𝑚𝑥 − (𝑚 − 1)𝑦2 + 7𝑚 − 2 = 0.
2) Déterminer m pour que (Γ𝑚) soit:
a) un cercle
b) une hyperbole équilatère
1
3) Tracer (Γm) pour 𝑚 = 2 et m = 2.