Smart Irrigation and Data Monitoring

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Smart irrigation

and
data monitoring

Encadré par :
Prof Oudghiri Mohammed
Présenté par
Haddany Siham
Moussaoui Laila
Irrigation intelligente :
Dans le domaine de l’irrigation intelligente, deux grandes écoles se confrontent : l'irrigation
basée sur le calcul de l'évapotranspiration et celle basée sur le calcul de l'humidité.
Les systèmes d'irrigation intelligents adaptent automatiquement les horaires d'arrosage et les
durées d'exécution pour répondre aux besoins spécifiques du paysage. Ces contrôleurs
améliorent considérablement l'efficacité de l'utilisation de l'eau à l'extérieur. Il existe plusieurs
options pour les contrôleurs d'irrigation intelligents. On cite :
1. Contrôleurs d'irrigation intelligents basés sur la météo :
Les contrôleurs basés sur la météo, également appelés contrôleurs d’évapotranspiration (ET),
utilisent les données météorologiques locales pour ajuster les programmes d'irrigation.
2. Le capteur basé sur les capteurs d’humidité du sol :
Cette technologie a été pendant longtemps reléguée au second plan à cause du fait que les
recherches sur l'évapotranspiration avaient déjà porté leur fruit mais aussi à cause du matériel
défectueux proposé à l'époque. En effet, au lieu de calculer l'humidité du sol à travers
l’évapotranspiration pourquoi ne pas la calculer à travers les données transmises par le sol lui-
même.
Définition :
L’arrosage l’intelligent est la déclinaison des approches smart systems et de la théorie
cybernétique à l’arrosage des espaces verts. Elle a pour objectif de réaliser des économies d’eau,
en conditionnant l’arrosage à partir de l'humidité du sol de donnée météo.

Data monitoring :
Dites surveillance de données, c’est le processus d'examen et d'évaluation proactifs de vos
données et de leur qualité pour s'assurer qu'elles sont adaptées à l'objectif. Elle consiste à mettre
en place des procédures, des technologies et des repères pour suivre la qualité et l'utilité des
données. Elle nous aide à révéler les zones problématiques où le plus d'inexactitudes sont
observées, à suivre les comportements inhabituels ou anormaux et à identifier où vous devez
concentrer vos initiatives de qualité des données.

Figure 1: Data Monitoring.


Les capteurs :
Définition :
Les capteurs sont des objets électroniques de taille extrêmement réduite avec des ressources
très limitées, autonomes, capables de traiter des informations et de les transmettre, via les ondes
radio, à une autre entité (capteurs, unité de traitements...) sur une distance limitée à quelques
mètres.
L’architecture :
L’évolution de l’architecture des capteurs est l’un des facteurs qui a permis l’essor de solutions
à base de réseaux de capteurs. En effet les capteurs des générations précédentes avaient une
architecture qui se limitait au capteur proprement dit (dispositif capable de mesurer une
grandeur physique) et une unité d’alimentation (batterie, piles, etc..).

Figure 2: L'architecture d'un capteur.

L’architecture d’un nœud se base sur les éléments suivants :

• L'unité de transmission : c’est le responsable de toutes les émissions et réceptions de


données.
• L'unité d’acquisition : Composée d’un ou plusieurs capteurs, Habituellement elle est
composée d'un dispositif qui va obtenir des mesures analogiques sur les paramètres
environnementaux et les transformer en signaux numériques et d'un convertisseur
Analogique/Numérique afin de pouvoir être traiter par l'unité de traitement.
• L’unité de traitement : c'est l'unité principale du capteur. Elle est composée d’un
microcontrôleur dédié et de la mémoire, son rôle est de contrôler le bon fonctionnement
des autres unités. Cette unité est chargée aussi d’exécuter les protocoles de
communications qui permettent de faire collaborer un capteur avec d’autres capteurs.
Elle peut aussi analyser les données captées.
• L'unité d'alimentation : c’est la batterie qui, n’est généralement ni rechargeable ni
remplaçable. Les unités d’énergie peuvent être supportées par des photopiles qui
permettent de convertir l’énergie lumineuse en courant électrique.
Les capteurs utilisés :
Capteur de température et d’humidité DHT11 :
Il est capable de mesurer des températures de 0 à +50°C avec une précision
de +/- 2°C et des taux d'humidité relative de 20 à 80% avec une précision
de +/- 5%. Une mesure peut être réalisée toutes les secondes.
Capteur de luminosité LM393 :
Est une double tension de précision indépendante circuit intégré
fonctionnant avec une alimentation simple ou fractionnée. Ces circuits
intégrés comprennent deux comparateurs de tension indépendants pour
fonctionner à partir d'une seule alimentation plus d'une grande variété de
tensions.
Capteur d’humidité du sol :
Les sondes d'humidité utilisées en ventilation et climatisation sont des
hygromètres permettant la mesure continue de l'humidité de l'air de la
pièce, au contraire des psychromètres qui sont utilisés pour une mesure
instantanée.
Capteur pH :
Les capteurs de pH en verre sont constitués d'un système de référence
Ag/AgCl intégré qui sert d'électrode de référence. La valeur de pH est
calculée à partir de la différence de potentiel entre le système de référence et
le système de mesure à l'aide de l'équation de Nernst.

Capteur de niveau :
Capteur de niveau d’eau : est conçu afin de détecter de l’eau, il peut être
largement utilisé pour détecter les précipitations, le niveau de l’eau dans une
cavité, voire la fuite de liquide.

Les seuils :
L’exemple de Romain :
• Température entre 20C° et 30C°.
• Température du sol au-dessus de 18C°.
• PH entre 5,5 et 8.

L’exemple de Sauge :
• Température entre 15C° et 21C°.
• Température du sol au-dessus de 13C°.
• PH entre 5,5 et 8.

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