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En application des Normes Internationales d’Information Financière et d’un règlement du Comité

de la Réglementation Comptable en France, pour les comptes consolidés des sociétés, la CBBF
propose un « tableau de financement par l’analyse des flux de trésorerie».

LES PRINCIPES DE LA METHODE.


Cette méthode fait apparaître directement les encaissements ou décaissements sur chaque catégorie
d’opérations. Ainsi, pour chaque catégorie d’opérations sont pris en compte les charges, les produits
et les variations des crédits.
Elle est proche :
Des recommandations de l’I A S B (International Accounting Standards
Board), des normes I F R S (International Financial and Reporting Standards),
De la méthode du F A S B (Financial and Accounting Standards Board).

LES CATEGORIES DE FLUX DE TRESORERIE.

Les flux de trésorerie constatés pendant un exercice sont


classés en flux de trésorerie interne,
flux lié à l’investissement,
flux lié au financement.

LES FLUX DE TRESORERIE INTERNE.

Les flux de trésorerie liés à l'activité.

Les encaissements sur produits d'exploitation.

Ils comprennent :
 Le chiffre d’affaires HT
 Les autres produits d’exploitation et les subventions
d’exploitation,
 les variations des créances clients et autres créances
d’exploitation (créances clients brutes, avances acomptes versés
aux fournisseurs, effets escomptés non échus, différences de
conversion sur créances, charges constatées d’avance).

Les décaissements sur charges d'exploitation.

Ils sont constitués :


 Des achats et des autres charges d’exploitation (charges externes,
impôts taxes, salaires, charges sociales, autres charges, …),
 Des variations des fournisseurs et autres dettes d’exploitation
(dettes fournisseurs, avances acomptes reçus des clients,
différences de conversion sur dettes, produits constatés
d’avance, …).

4.1.3. Les flux de trésorerie d'exploitation.

Trésorerie d’exploitation
=
Encaissements sur produits d’exploitation - Décaissements sur charges d’exploitation
Remarque :
Ces flux ne tiennent pas compte :
Des variations de stocks,
Des productions stockées ou déstockées,
De la production immobilisée.
Les flux de trésorerie hors exploitation et les flux de trésorerie interne.

Les flux de trésorerie hors exploitation ne concernent pas l’exploitation,


l’investissement ou le financement.
A partir des flux de trésorerie
d’exploitation :
+ Flux liés aux opérations hors exploitation (intérêts encaissés, + différences
positives de change, - différences négatives de change, + produits
exceptionnels sur opérations de gestion, - charges exceptionnelles sur
opérations de gestion),
- Intérêts décaissés (charges d’intérêts, charges financières de
redevances de crédit bail),
- Impôts sur bénéfices décaissés (impôts sur bénéfices, + dettes d’impôts N-
1, - dettes d’impôts N),
- Flux décaissés pour la participation des salariés (participation des
salariés, + dettes sur participation N-1, - dettes sur participation N),

Distribution de dividendes mis


paiement.

LES FLUX D'INVESTISSEMENT.

Il s’agit :
1°) des investissements d’exploitation hors production immobilisée (acquisition d’immobilisations
corporelles (terrains, constructions, matériel et outillage, ...) et incorporelles (marques, brevets, ...) (+)
2°) des acquisitions de participations et autres titres immobilisés (+)
3°) de la variation des autres actifs immobilisés hors charges à répartir (+)
4°) des subventions d’investissement reçues (-)
5°) des variations des dettes sur immobilisations (-)
6°) des encaissements sur cessions d’immobilisations (-)
= flux lié à l’investissement
Remarque : les charges à répartir n’apparaissent pas car elles ne sont plus transférées au bilan.

LES FLUX DE FINANCEMENT.

Les flux de trésorerie liés au capital.

1°) Les augmentations ou réductions de capital.


2°) Les variations des créances sur capital appelé non versé.

Les variations des emprunts.

1°) Les nouveaux emprunts (hors prime de remboursements et plus les intérêts courus N).
2°) Les remboursements d’emprunts (plus amortissements inclus dans redevances de crédit bail,
plus intérêts courus N-1).
Les variations de la trésorerie passive.

1°) Les variations des crédits bancaires courants.


2°) Les variations des créances cédées non échues et des effets escomptés non échus.
= Flux lié au financement.

LA VARIATION DE LA TRESORERIE ACTIVE.

Variation des disponibilités + Variation des VMP


=
Variation de la trésorerie active

LES RETRAITEMENTS.

Le crédit-bail.

L’année de signature du contrat, la valeur du bien est ajoutée aux investissements d’exploitation.
Simultanément, le même montant est ajouté aux emprunts.
Les redevances ultérieures se ventilent en deux parties :
une correspondant au remboursement d’emprunts?
une autre en charges d’intérêts.

Les créances cédées et non échues.

Elles sont ajoutées aux créances commerciales à l’actif du bilan et simultanément à la trésorerie
passive.

LE TABLEAU DE FLUX DE TRESORERIE DE LA CBBF.

Sa structure.
Objectifs et intérêts du tableau des flux 1

Ce tableau des flux est centré sur la trésorerie, présentée comme la véritable stratégique de
l’entreprise, elle témoigne des décisions de gestion du dirigeant, de la position de l’entreprise par
rapport à ses contraintes externe, et est un instrument d’action pour atteindre les objectifs.

L’analyse des flux retenue par la centrale de bilans est orientée vers une norme de
comportement qui suppose que l’entreprise consacre d’abord l’autofinancement à ses investissements,
puis trouve en financement externe ce qui lui manque, que ce financement soit « long ou court ». Elle
est différente de celle du PCG qui pose comme normatif l’équilibre financier et l’augmentation du
fonds de roulement net global, c’est-à-dire qui sépare les ressources stables et les ressources de
trésorerie.

Tableau de flux de trésorerie2

ENCAISSEMENTS SUR PRODUITS D’EXPLOITATION

DECAISSEMENT SUR FLUX DE TRESORERIE


CHARGES D’EXPLOITATION
D’EXPLOITATION

Flux hors exploitation, FLUX DE


Charges d’intérêts, IS
décaissé, Participation TRESORERIE
payée, Dividendes réglés INTERNE

FLUX A L’INVESTISSEMENT

FLUX LIES AU
FINANCEMENT

VARIATION DE LA
TRESORERIE ACTIF

∆T<0 ∆T>0

Explication du schéma :

1
Pierre RAMAGE ; « Analyse et diagnostic financier » ; Edition d’Organisation 2001 ; page : 305
2
LIATARD.A, BARBOT.J-F, BARRON.D ; « Méthode d’analyse financière de la Centrale De Bilans » ;
Edition 2000 ; page : 63
Flux de trésorerie interne + Flux de trésorerie lié à l'investissement + Flux de trésorerie lié au
financement = Variation de la trésorerie

Le flux de trésorerie interne intègre :

- Les encaissements sur produits d'exploitation


- Les décaissements sur charges d'exploitation
- Les flux liés aux opérations hors exploitation (et non liés à l'investissement ou
au financement)
- Les flux que le C.D.B considère comme étant liés à la trésorerie interne

La différence entre les encaissements sur produits d'exploitation et les décaissements sur
charges d'exploitation fait apparaître un solde intermédiaire (avant le flux de trésorerie interne)
appelé : le flux de trésorerie d'exploitation.

Le flux de trésorerie lié à l'investissement fait apparaître, comme son nom l'indique, les
éléments de la trésorerie liés aux investissements.

Le flux de financement regroupe les flux de financement liés aux variations du capital et aux
emprunts.

Présentation et étapes d’analyse du tableau des flux


a) présentation du tableau

Modèle du tableau de flux de trésorerie de la Centrale des Bilans de la Banque de


France3

ACTIVITE N+1 N+2 N+3 N+4


Chiffre d'affaires hors taxes et autres produits d'exploitation
- Variation "Clients" et autres créances d'exploitation
= Encaissements sur produits d'exploitation (a) Le flux de trésorerie
Achats et autres charges d'exploitation Interne constitue le
- Variation "Fournisseurs" et autres dettes d'exploitation concept central du
= Décaissements sur charges d'exploitation (b) tableau. Il mesure la
FLUX DE TRESORERIE D'EXPLOITATION (a) - (b) maîtrise des flux de
+ Flux liés aux opérations hors exploitation trésorerie et la
- Charges d'intérêts cohérence des
- Impôts sur les bénéfices décaissés politiques suivies
- Flux affecté à la participation des salariés
- Distribution mise en paiement
A = FLUX DE TRESORERIE INTERNE
INVESTISSEMENT Le solde I permet
Investissement d'exploitation hors production immobilisée d’évaluer les
+ Acquisitions de participations et de titres immobilisés conséquences de la
+ Variation des autres actifs immobilisés hors charges à répartir politique
- Subventions d'investissement reçues d’investissement ou
- Variation des dettes sur immobilisations de désinvestissement
- Encaissements sur cessions d'immobilisations
I = FLUX LIE A L'INVESTISSEMENT

FINANCEMENT Les différents soldes


Augmentation ou réduction du capital informent sur les
- Variation des créances sur capital appelé non versé arbitrages financiers
= Flux lié au capital (c) réalisés en fonction
Nouveaux emprunts (dont nouveaux engagements de location- du coût, de la
financement) rentabilité globale et
- Remboursements d'emprunts de la perception du
risque
= Variation des emprunts (d)
Variation des crédits bancaires courants
+ Variation des créances cédées non échues
+ Variation des avances de trésorerie reçues des groupes et
associés
+ Variation des titres et des créances négociables hors groupe
3
BARREAU.J, DZLAHAYE.J, DELAHAYE.F ; « Gestion financière » ; 13e édition DUNOD ; 2004
= Variation de la trésorerie passif (e)
F = FLUX LIE AU FINANCEMENT (c)+ (d) + (e)
VARIATION DE LA TRESORERIE ACTIF La trésorerie actif est
Variation des disponibilités la synthèse de tous les
+ Variation des valeurs mobilières de placement choix de gestion
+ Variation des avances de trésorerie aux groupes et associés effectués sur plusieurs
exercices
= VARIATION DE LA TRESORERIE ACTIF = A - I + F

b) Les étapes de l’analyse 4

Les flux de trésorerie sont calculés selon la méthode directe. Cette méthode consiste à dégager
directement les encaissements et décaissements sur opérations en rapprochant produits et charges de la
variation des crédits consentis ou obtenus les concernant.

Au contraire, la méthode indirecte part du résultat net comptable en parvient au flux de


trésorerie d’exploitation par une série d’ajustements. Ceux-ci consistent à éliminer les charges et
produits sans incidence sur la trésorerie ou non liés à l’exploitation ainsi que la variation du besoin en
fonds de roulement.

La méthode directe présente plusieurs avantages sur la méthode indirecte :

- elle fournit plus d’information sur les flux d’entrée et de sortie de trésorerie ;

- elle améliore la lisibilité du tableau des flux en permettant un suivi direct des
diverses opérations en encaissements et décaissements ;

- elle neutralise l’incidence de l’évaluation des stocks et les éventuelles


distorsions qu’elle introduit dans la détermination du résultat brut d’exploitation, par
l’appréciation direct et nécessairement objective des encaissements et des décaissements.

Les étapes d’analyse peuvent se présenter ainsi5 :

 la formation du flux de trésorerie d’exploitation

ACTIVITE
Chiffre d'affaires hors taxes et autres produits d'exploitation
- Variation "Clients" et autres créances d'exploitation
= Encaissements sur produits d'exploitation (a)
Achats et autres charges d'exploitation

4
LIATARD.A, BARBOT.J-F, BARRON.D ; « Méthode d’analyse financière de la Centrale De Bilans » ;
Edition 2000 ; page : 52
5
LIATARD.A, BARBOT.J-F, BARRON.D ; « Méthode d’analyse financière de la Centrale De Bilans » ;
Edition 2000 ; pages : de 56 à 62
- Variation "Fournisseurs" et autres dettes d'exploitation
= Décaissements sur charges d'exploitation (b)
FLUX DE TRESORERIE D'EXPLOITATION (a) - (b)
Le flux trésorerie d’exploitation résume parfaitement le passage des produits aux
encaissements et des charges aux décaissements. Cette notion met en évidence la différence
fondamentale qui existe entre un « résultat comptable » et un « flux de trésorerie » :

 si l’entreprise produit mais ne vend pas, son résultat brut d’exploitation


augmentera ainsi que ses stocks, mais elle n’encaissera rien ;

 si l’entreprise vend à des clients qui se révèlent insolvables, son résultat


brut d’exploitation augmentera ainsi que ses créances mais, là encore, elle
n’encaissera rien.

La croissance de l’activité entraîne, par une action mécanique, un gonflement du


volume du poste client. Cela peut freiner la part des encaissements de trésorerie par rapport au
chiffre d’affaire. Pour faire face à ce risque de dérapage, l’entreprise dispose de plusieurs
moyens :

 mettre en place une politique de suivi attentif des comptes de la


clientèle ;

 négocier avec ses fournisseurs des conditions de règlement plus


favorables ;

 suivre une politique de réduction des stocks.

 Le flux de trésorerie interne

FLUX DE TRESORERIE D'EXPLOITATION (a) - (b)


+Flux liés aux opérations hors exploitation
- Charges d'intérêts
-Impôts sur les bénéfices décaissés
- Flux affecté à la participation des salariés
- Distribution mise en paiement
A = FLUX DE TRESORERIE INTERNE
Ce flux correspond à l’ensemble des encaissements et décaissements résultant, pour
l’entreprise, de l’exercice de son activité. Il comprend toutes les opérations qui ne figurent pas dans
les fonctions « investissement » et « financement ».

Le flux de trésorerie interne constitue le concept central du tableau des flux car il informe sur
le degré de maîtrise des mouvements de trésorerie et renseigne sur la cohérence des politiques suivies.
Rapproché des investissements ou des moyens de financement, il apporte un éclairage sur les
évolutions qui, en se perpétuant, peuvent obérer l’avenir d’une entreprise ou, au contraire, confirmer
sa pérennité.

 Le flux lié à l’investissement

INVESTISSEMENT
Investissement d'exploitation hors production immobilisée
+ Acquisitions de participations et de titres immobilisés
+ Variation des autres actifs immobilisés hors charges à répartir
- Subventions d'investissement reçues
- Variation des dettes sur immobilisations
- Encaissements sur cessions d'immobilisations
I = FLUX LIE A L'INVESTISSEMENT
La fonction d’investissement recense les opérations d’acquisitions et de cessions
d’immobilisations incorporelles, corporelles ou financières. Ces opérations sont traduites en
décaissements et encaissements après prise en compte des décalages intervenant entre leur
enregistrement comptable et la sortie ou l’entrée effective des fonds. Il est possible d’évaluer les
conséquences de la politique d’investissement ou de désinvestissement sur la situation financière de
l’entreprise.

 Le flux lié au financement

FINANCEMENT
Augmentation ou réduction du capital
- Variation des créances sur capital appelé non versé
= Flux lié au capital (c)
Nouveaux emprunts (dont nouveaux engagements de location-financement)
- Remboursements d'emprunts
= Variation des emprunts (d)
Variation des crédits bancaires courants
+ Variation des créances cédées non échues
+ Variation des avances de trésorerie reçues des groupes et associés
+ Variation des titres et des créances négociables hors groupe
= Variation de la trésorerie passif (e)
F = FLUX LIE AU FINANCEMENT (c)+ (d) + (e)
Les variations du capital et des dettes financières à long, moyen et court terme portent sur les
montants en principal à l’exclusion des dividendes et des charges d’intérêts payés au cours de
l’exercice, qui sont attachés quant à eux aux opérations de répartition des revenus (flux de trésorerie
interne).

L’analyse des composantes du flux lié au financement montre quel a été le mode de
couverture du besoin résiduel de financement ou, éventuellement, d’utilisation du surplus dégagé. Il
fournit des indications sur les arbitrages financiers auxquels il a été procédé en fonction de la
rentabilité globale, du coût des ressources extérieures, de la perception du risque :

 Apports des associés et du groupe ou recours à l’endettement,

 Préférence pour le financement stable par emprunts ou utilisation de concours


de trésorerie,

 Diminution de l’endettement.

 La variation de la trésorerie active

VARIATION DE LA TRESORERIE ACTIF


Variation des disponibilités
+ Variation des valeurs mobilières de placement
+ Variation des avances de trésorerie aux groupes et associés
= VARIATION DE LA TRESORERIE ACTIF = A - I + F

La variation de la trésorerie active est la synthèse de toutes les opérations et de tous les
choix de gestion effectués d’un exercice à l’autre. La variation de la trésorerie active apparaît bien
ainsi comme la résultante de toute la vie économique et financière de l’entreprise.

Grâce à l’analyse dynamique du tableau de flux de trésorerie, les partenaires de


l’entreprise peuvent évaluer leurs perspectives d’encaissements en matière de dividendes, d’intérêts ou
de remboursement de dettes financières, car elles sont liées à la capacité de l’entreprise à produire une
trésorerie suffisante pour faire face à tous ses besoins

Outil de diagnostic 6

Le tableau de flux de la centrale de bilans a aussi pour objectif :


 De montrer le degré de maîtrise des dirigeants sur leur trésorerie. En effet le FTI
ne peuvent pas être considérés comme un montant de trésorerie disponible, puisque les
engagements antérieurs imposent des versements à opérer en priorité, en particulier le service
des emprunts, et que le respect d’une certaine politique de distribution, par exemple, engage
l’avenir. L’importance de ces prélèvements obligatoires va donc plus ou moins conditionner la
liberté de décision des dirigeants en matière d’investissement et de croissance.

6
Pierre RAMAGE ; « Analyse et diagnostic financier » ; Edition d’Organisation 2001 ; page : 325
 De montrer la cohérence des politiques suivies par l’entreprise. En effet, le
montant et l’évolution des FTI permettent, sur plusieurs exercices, d’apprécier la cohérence de
la politique d’investissement de l’entreprise face aux moyens dont elle dispose.
L’analyse de l’apport en ressources stables et de la variation de la trésorerie permet de
mettre en évidence les arbitrages effectués entre la rentabilité globale, le coût des différentes
ressources et les risques économiques et financiers.

Synthèse
.APPLICATION.

Enoncé et travail à faire.

Vous disposez des documents et annexes d'une entreprise à la fin de l’exercice N afin d’analyser la
variation de trésorerie :
Document 1 : Tableau de résultat. Document
2 : Tableau de financement. Document 3 :
Besoin en Fonds de Roulement. Document 4 :
Trésorerie.
Annexe 1 : Tableau de flux de trésorerie de l'OEC (à compléter).
Annexe 2 : Tableau de flux de trésorerie de la CBBF (à compléter).

TRAVAIL A FAIRE : en utilisant les documents et annexes fournis :


1°) Présenter le tableau de flux de trésorerie de l'OEC.
2°) Présenter le tableau de flux de trésorerie de la CBBF.
Documents.

11.2.1. Document 1 : Tableau de résultat.

11.2.2. Document 2 : Tableau de financement.

11.2.3. Document 3 : Besoin en Fonds de Roulement.


11.2.4. Document 4 : Trésorerie.

11.3. Annexes.

11.3.1. Annexe 1 : Tableau de flux de trésorerie de l'OEC.


11.3.2. Annexe 2 : Tableau de flux de trésorerie de la CBBF.
11.4. Correction.

11.4.1. Travail 1.
11.4.2. Travail 2.

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