Analyse Fin

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 9

les sources de financement des PME

Le financier doit trouver les sources de financement et évaluer la rentabilité de chaque


investissement en la comparant au coût global de son financement. Tout d'abord, il convient de
signaler que le scepticisme qui a caractérisé pendant de longues années le comportement des
banques et des entreprises à l'égard des fonds propres s'est traduit par une insuffisance
chronique des ressources des PME.

Ce comportement était alimenté par des réflexions émises par certains auteurs, pour lesquels le
financement par fonds propres et nécessaire pour la simple application des principes d'orthodoxie
financière. Cette situation autant plus inquiétante que la méconnaissance des outils de gestion fait
que les PME n'élaborent pas le plus souvent de politique financière prenant en compte la structure
financière et la politique de l'endettement dans une perspective d'allocation optimale des
ressources par l'arbitrage entre le risque et la rentabilité. Ainsi le dirigeant d'une entreprise peut
disposer de plusieurs propositions de financement pour un investissement donné et doit étudier,
son impact sur la rentabilité de la firme et d'autres incidents tels que la structure de l'endettement
de l'entreprise et la répartition des coûts entre charges variables et fixes.

I : Le financement interne des PME

Toutes les PME peuvent recourir à leurs moyens propres et à ceux de leurs associés ou
dirigeants pour financer partiellement ou totalement leurs besoins en équipement ou en fonds de
roulement, ceux-ci constituent le financement interne qui concerne essentiellement les modes
suivants :

- L'autofinancement : qui est dégagé par l'activité courante de l'entreprise, Ce sont les
disponibilités que génère l'entreprise après avoir rémunéré l'ensemble de ses parties prenantes.

- les cessions d'éléments de l'actif immobilisé et les cessions-bails : ce sont des ressources
exceptionnelles résultant d'opérations sur le capital menées par l'entreprise, par exemple cession
d'immobilisation (notamment de construction ou de terrain), ou des biens d'équipements à une
société de crédit-bail.

- le prélèvement sur le fond de roulement

- le recours aux associés.

A - L'autofinancement

Dans une entreprise, les bénéfices après impôts sont utilisés de deux façons: une partie de ces
bénéfices est distribuée aux actionnaires sous forme de dividendes, l'autre partie est conservée
par l'entreprise, reprise pour investir, c'est l’autofinancement,

I - Notion de l'autofinancement

L'autofinancement est l'ensemble des ressources nouvelles engendrées par l'activité de


l'entreprise et conservées durablement par celle-ci pour financer ses opérations à venir.
Il est parfois appelé résultat brut ou profit brut, toutefois pour lever toute l'ambiguïté que suscite le
mot résultat E. COHEN propose la définition suivante : « l'autofinancement est le surplus
monétaire dégagé par l'entreprise sur son activité propre et conservé par elle pour financer
son développement futur » quand à d'autres auteurs « L'autofinancement correspond à une
rétention de tout ou partie de rémunération annuelle des actionnaires en vue de couvrir les divers
besoins de l'entreprise. Il s'agit donc d'un processus d'épargne réalisé au niveau de la société.
comptable ment, les sommes non distribuées sont mises en réserves, et ces réserves lorsqu'elles
sont suffisamment importantes, peuvent donner lieu à la distribution gratuite d'actions » (8)

L'autofinancement est la part de la capacité d'autofinancement (CAF) consacrée au financement


de l'entreprise. C'est la ressource interne disponible après rémunération des associés.

Sa définition résultant du tableau de financement du plan comptable générale (PCG) est la


suivante :

Autofinancement =

II - les avantages de l'autofinancement et ses inconvénients

 Les Avantages :

L'autofinancement présente des avantages certains sur un plan stratégique et sur un plan
financier :

- Sur le plan stratégique : L'autofinancement confère à l'entreprise des degrés de liberté en


matière de choix des investissements.

- Sur le plan financier : L'autofinancement constitue un facteur d'indépendance financière


appréciable, en particulier en période d'encadrement du crédit, il permet à l'entreprise de limiter le
recours à l'endettement et d'améliorer donc sa rentabilité, en réduisant le poids des charges
financières.

 Les inconvénients :

Les principaux inconvénients de l'autofinancement sont les suivants :

- L'autofinancement limite la croissance de la PME à sa capacité bénéficiaire diminuée de l'impôt


qui affecte les résultats.

- L'autofinancement constitue un frein à la mobilité du capital dans la mesure où les bénéfices


sécrétés sont automatiquement réinvestis dans la même activité, il contribue ainsi à une mauvaise
allocation des ressources.

- Une politique d'autofinancement trop volontariste peut léser à court terme les actionnaires de
l'entreprise.

- Un autofinancement trop élevé peut susciter la mise en oeuvre d'investissements inutiles.

- De la même façon, trop d'autofinancement peut amener l'entreprise à négliger l'endettement (15).
B -les Cessions d'actif immobilisé et les cessions-bails

1- Les cessions d'actif immobilisé

De manière occasionnelle, l'entreprise peut obtenir des ressources en cédant une partie de ses
actifs immobilisés. La ressource est alors tirée de la plus value de cession après impôt. Cette
cession peut résulter d'un renouvellement d'immobilisation ou d'une volonté stratégique de
l'entreprise de se désengager d'activités jugées non prioritaires.

En effet, alléger l'actif immobilisé doit être une démarche systématique, non seulement parce que
cela procure des nouvelles ressources pour s'adapter et répondre aux besoins du marché, mais
aussi pour améliorer sa rentabilité économique, améliorer le taux de rotation de l'actif. (17)

2- Les cessions bail (lease-back)

Opération voisine du crédit bail, le lease-back est un système par lequel une entreprise cède des
immobilisations à une société de crédit-bail pour lui relouer ensuite.

Outre une amélioration de sa trésorerie, le lease-back permet à l'entreprise cédante de récupérer


des fonds et d'alléger sa structure financière, mais l'oblige par ailleurs à s'engager envers
l'acquéreur sur la durée de la location et le montant des loyers. (18)
C- les prélèvements sur le fond de roulement (F.D.R)

Lorsque le fond de roulement d'une affaire est supérieur à ses besoins d'exploitation (trésorerie
excédentaire), l'entreprise peut en prélever certaines sommes pour réaliser des investissements
supplémentaires.

Ces retraits de fonds doivent être opérés sans préjudice de l'équilibre financier et n'entraînent pas,
notamment, un déficit de trésorerie au delà de ce qui est raisonnable et généralement admis à
savoir 15 jours à un mois de chiffre d'affaires. Les prélèvements sur F.D.R qui ne sont pas réalisés
de manière raisonnable peuvent engendrer des difficultés financières et commerciales et amener
le banquier à exiger des mesures de redressement. (19)

D- Le recours aux associés

Le recours aux deniers des associés est un procédé plus courant dans la vie de l'entreprise. Ce
recours se présente sous plusieurs formes, soit lors de la création de l'entreprise ou lors de
l'exploitation. il prend deux formes essentielles :

- L'augmentation du capital.

- Les apports en compte courant associés.

1- l'augmentation de capital :

L'augmentation du capital revêt plusieurs formes :

-L'augmentation de capital par apport en numéraire.

-L'augmentation du capital par apport en nature et incorporation de réserves.


-L'augmentation du capital par conversion de dette.

2. Les apports en compte courant :

Les apports que réalisent les actionnaires en comptes courants sociaux peuvent être assimilés à
des prêts qu'ils accordent à leur propre société. Il s'agit d'une source de financement fréquemment
utilisée par les PME en raison de ses nombreux avantages juridiques, financiers ou fiscaux.

le financement externe des PME

Dans un monde globalisé, où la concurrence est devenue très rude entre les entreprises, où les
crédits clients sont nécessaires pour s'accaparer de nouvelles parts de marché, et où le
développement des marchés financiers est extraordinaire, l'entreprise doit trouver des sources de
financement pour son cycle d'exploitation et chercher à optimiser les coûts liés à ces
financements. L'insuffisance des capitaux propres se manifeste lors de la réalisation des
événements importants dans la vie de la PME tels que des projets d'investissements ou
restructurations diverses. Le financement de ces opérations nécessite couramment un apport
important de capitaux propres car d'une part les ressources d'autofinancement, si elles existent,
ne leur permettent pas de faire face à leurs besoins financiers et d'autre part les associés sont
incapables d'apporter les fonds nécessaires. L'appel à l'extérieur, tel que le secteur bancaire, le
marché financier et à d'autres moyens de financement, pour une augmentation des fonds propres
apparaît comme une fatalité à l'égard de l'insuffisance des sources internes de financement.

A- Le financement bancaire

Pour atténuer les effets du phénomène de l'insuffisance chronique des capitaux propres sur les
équilibres financiers de la PME, le système bancaire a été conduit depuis de nombreuses années
à intervenir de plus en plus largement dans le financement des PME, que ce soit sous forme de
crédit à court terme ou de crédit à long ou moyen terme.

I- les crédits à court terme

On désigne sous le terme des crédits à court terme l'ensemble des techniques de financement
spécialisées relatives aux opérations du cycle d'exploitation et d'autre part des moyens de
financement dont la durée est extrêmement courte, de quelques jours à quelques mois.

1- Le crédit par caisse

Réalisé par une avance en compte courant, le crédit par caisse est techniquement très simple,et

vivement recherché par les entreprises qui peuvent ainsi faire fonctionner leur comptes sur des
bases débitrices à l'intérieur d'un plafond préalablement défini, il est de pratique courante même
s'il fait courir à la banque des risques bien supérieurs à ceux des crédits de mobilisation, tel par
exemple l'escompte commercial.

1-1 La facilité de caisse

La facilité de caisse est essentiellement destinée à donner à la trésorerie une élasticité de


fonctionnement .Elle est consentie aux entreprises pour leur permettre de faire face aux
décalages de très courte durée qui peuvent affecter leur trésorerie à certaines périodes,
notamment lors des échéances fournisseurs, de payé du personnel ou du règlement de la
TVA. (26)

1-2 le découvert

La notion de découvert est fort imprécise. Les entreprises utilisent généralement ce mot en
pensant à une aide bancaire par caisse, plus ou moins longue, sans faire distinction ni dans le
temps ni dans l'objet entre la facilité et le découvert. Les banquiers ont coutume de dire qu'un
compte en position débitrice est « à découvert »

2-les Crédits « objectifs »basés sur la mobilisation de créances commerciales

Dans une économie marquée par l'importance du crédit inter-entreprises, la mobilisation du poste
clients est une priorité pour l'entreprise désireuse de se procurer des liquidités auprès de son
banquier.

Dans ce cadre, le système bancaire propose aux entreprises une large gamme de concours,
allant de l'escompte de papier commercial, crédit de mobilisation des créances
commerciales (CMCC), à la formule plus récente de la cession de créances
professionnelles (Dailly) en passant par l'affacturage ou factoring.

2-1 l'escompte commercial

L'escompte commercial peut être défini comme « l'opération de crédit par laquelle le banquier met
à la disposition d'un client le montant d'une remise d'effets sans attendre leur échéance. Le
recouvrement des effets, qui lui sont cédés en pleine propriété, doit normalement procurer au
banquier escompteur le remboursement de son avance » (J.Ferronnière) (28)

2-2 Le crédit de mobilisation des créances commerciales (CMCC)

la procédure du CMCC est associée à une opération commerciale entre des clients et leur
fournisseur. Dans la cas où ce dernier a besoin de trésorerie, il souscrit un billet à l' ordre de son
propre banquier « garanti » par un certain nombre de créances portant sur une même échéance
laquelle est identique à celle du billet à ordre remis au banquier . Le banquier escompte ce billet à
ordre à la demande de son client et le crédite après prélèvement des commissions d'usage.

2-3-La Loi, crédit ou bordereau dailly

Du nom du sénateur Étienne Dailly qui en est l'investigateur, Cette procédure (crée en 2
janvier1981 modifié par la loi bancaire du 24 janvier 1984) prévoit la possibilité par simple remise
d'un bordereau, de procéder à la cession ou au nantissement d'un ensemble de créances à la
banque qui accorde le crédit. Le mécanisme est en principe une simplification considérable de la
procédure d'escompte. Le bordereau a les caractéristiques d'une lettre de change. (33)

2-4 L'Affacturage ou factoring

L'affacturage est très proche de la loi Dailly, néanmoins c'est une technique dont les modalités
sont fixées par un contrat et non pas par une loi. Il permet donc à l'établissement financier de les
fixer librement. Il peut être définit comme « un contrat par lequel un établissement de crédit
spécialisé, appelé factor, achète ferme les créances commerciales ».

L'affacturage est donc à la fois un procédé de recouvrement, une technique de garantie des
risques et éventuellement un moyen de financement des créances

3- les crédits subjectifs


3-1- Le Crédit spot ou crédit par billet financier

Utilisé principalement par les entreprises ayant des besoins durables de trésorerie, le crédit spot
répond à ses besoins pour des montants souvent importants et sur des périodes très courtes
allant de quelques jours à un ou deux mois et très rarement au delà .

3-2-Les Billets de trésorerie

Les billets de trésorerie sont définis comme des titres de créances négociables, d'une durée
déterminée, émis au gré de l'émetteur en représentation d'un droit de créance et qui portent
intérêt.

3-3-Les Crédits garantis

Utilisés par les grandes entreprises qui détiennent des marchandises ou des titres qui permettent,
en cas de besoin de trésorerie, d'anticiper la mobilisation de leurs créances en percevant
immédiatement leurs montants. En contrepartie et selon la technique retenue, ces créanciers
cèdent les créances concernées aux mobilisateurs choisis ou les mettent temporairement en
garantie au profit de ces derniers.

3-4 Les cautionnements

Il est difficile de les citer tous, mais leur objet est toujours le même, soit éviter à l'entreprise
d'immobiliser des sommes importantes sous forme de cautionnements en espèces, soit lui
permettre d'obtenir des délais de règlements de sa dette à l'égard de fisc et parfois même de ne
pas faire l'avance de droits, qu'elle n'aura peut-être jamais à payer, en cas de contestation
d'impôts.

4- Crédits à l'exportation

On distingue quatres techniques de financement utilisées en commerce international :

- La mobilisation de créances nées à l'exportation ;

- Le préfinancement à l'export ;

- L'avance en devise ;
- L'affacturage à l'international.

4-1- Mobilisation de créances nées à l'exportation (MCNE)

La MCNE est une technique permettant aux exportateurs de mobiliser leurs créances sur des
acheteurs étrangers. L'avantage de cette technique réside dans le financement assez avantageux
des délais de paiement qui peuvent aller jusqu'à 18 mois alors que dans l'escompte ne peuvent
excéder 3 mois.

4-2- Le préfinancement à l'export

le préfinancement à l'export est un crédit qui finance l'exploitation des activités exportatrices. Les
PME trouvent dans ces crédits dits de préfinancement les ressources nécessaires leur permettant
soit d'entretenir leur activités régulières avec l'étranger (préfinancements généraux) soit de
répondre à des commandes spécifiques d'un montant très important (préfinancement spécialisé).

4-3- L'avance en devise

Les avances en devises à l'export, qui financent des exportations facturées en monnaie
étrangères mais plus rarement des exportations libellés en monnaie nationale, consistent à mettre
des fonds à la disposition des entreprises avant paiement par les débiteurs étrangers.

4-4- L'Affacturage international

L'affacturage n'est pas exclusivement une technique de financement à court terme. Elle peut être
utilisée dans des opérations de commerce intérieur ou extérieur, l'avantage le plus significatif de
faire des cessions des créances à la banque permet de neutraliser le risque de change spécifique
à l'environnement international.

II- les crédits à moyen et à long terme :


Pour financer les besoins d'investissements des entreprises en création ou en phase de
modernisation, la banque propose des crédits sur une période allant jusqu'à 7 ans pour les
emprunts à moyen terme, et jusqu'à 15 ans, voire 20 ans pour les emprunts à long terme.

B- Autres moyens de financement

I-le financement par crédit bail :

1- la définition du crédit bail

Le crédit bail est une opération par laquelle une entreprise demande à une société financière
spécialisée d'acheter, à sa place un bien immobilier ou mobilier et de lui louer ce dernier pendant
une période convenue à l'avance, variable mais toujours suffisante pour permettre son
amortissement intégral. A l'issue de cette période, trois solutions s'offrent généralement à
l'entreprise :
- relouer le bien considéré contre une redevance modeste.

- Le racheter à une valeur résiduelle (la promesse de vente est obligatoire dans les contrats de
crédit bail immobilier .Elle prévoit un prix de cession , éventuellement indexé, représentant un
faible pourcentage de la valeur initiale du bien .la vente est même parfois réalisée du franc
symbolique ).

- Le restituer purement et simplement. (45)

II-le financement par le capital risque

A- Définitions et caractéristiques du capital risque

1- Définition du capital risque :

Il existe plusieurs définitions qui varient d'un auteur à l'autre et d'un pays à l'autre, cette notion
traduit imparfaitement le concept américain de venture capital :

Pour MONDHER Chérif (49) la version française fait primer la notion de risque sur celle d'aventure,
ce qui est une traduction assez approximative et inadaptée, il s'agit pourtant d'une aventure entre
industriels et financiers, associés dans un projet d'entreprise.

Le venture capital est définit par l'Européen Capital Association (EUCA 1990) comme « Tout
capital investi par un intermédiaire financier dans des sociétés ou des projets spécifiques à
fort potentiel » (50), cette définition restrictive concerne plutôt des entreprises de hautes
technologies, avec un fort potentiel de croissance, les risques généralement élevés de ces
opérations sont compensés par des perspectives de plus-values importantes à réaliser au bout
d'un certain temps.

Les investisseurs en capital-risque définissent leur métier comme « le financement et l'assistance


au management » (51) et ils mettent en avant l'expression de partenaire actif de l'entreprise ou du
dirigent.

III-le crédit interentreprises


Le crédit inter-entreprises ou crédit fournisseurs est un élément important dans la gestion de
trésorerie. Le crédit inter-entreprises est un délai de paiement que les entreprises s'accordent
mutuellement. C'est une caractéristique forte ancienne du système économique. Les secteurs
débiteurs pour lesquels les dettes fournisseurs sont plus importantes que les créances clients (les
entreprises de la grande distribution), trouvent dans le crédit inter-entreprises une ressource
financière appréciable.

VI-le financement via le marché boursier :

On peut définir la bourse comme « un lieu de rencontre et d'échange entre une offre et une
demande de capitaux à long terme dont le support est représenté par une valeur mobilière »

Le financement direct sur le marché des capitaux ouvre des nouvelles portes aux PME. En effet il
leur permet d'avoir des fonds propres plus importants sans intérêts ni contraintes de
remboursement (financement gratuit), ce qui réduit leur dépendance vis-à-vis des banques et en
même temps, diminue leur vulnérabilité aux cycles économiques, ainsi il leur permet aussi
d'acquérir une image saine, transparente et moderne, qu'elles pourraient utiliser pour se valoriser
sur le marché national et international.

Vous aimerez peut-être aussi