Salat Miracle de 2 238
Salat Miracle de 2 238
Salat Miracle de 2 238
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Islamcoranique.org
Sommaire:
2.3.1 « Al salât al woustâ » est égale au nombre « quatre » dans le système abjad
2.3.2 Calcul des valeurs mathématiques des lettres situées à droite et à gauche de
« Al salât al woustâ » (V.M. 278) pour tenter d’identifier des propriétés
mathématiques remarquables
2.3.5 La valeur mathématique totale de 2:238 est également codée avec les
nombres « un et deux et trois et quatre »
3.1 La forme simple du mot « salawât » apparaît quatre fois dans le texte
coranique et cinq fois en tout
3.2 L’expression « Sauvegarder les prières rituelles » apparaît quatre fois dans le
texte coranique.
Conclusion
َ ﺼﻠَﻮﺓِ ﺍْﻟُﻮْﺳ
ﻄٰﻰ َﻭﻗُﻮُﻣﻮﺍ ِ ﱠ�ِ ﻗَِﻨِﺘﻴَﻦ ِ ﺼﻠََﻮ
ﺕ َﻭﺍﻟ ﱠ ﻋﻠَﻰ ﺍﻟ ﱠ ُ َﺣِﻔ
َ ﻈﻮﺍ
Toute personne sincère s’accordera que 2:238 réfère à la pratique de toutes les
prières journalières en Islam. Seule « al salât al woustâ » (la prière du milieu) est
mentionnée dans le verset et les hadiths sont grandement responsables de la
confusion extrême qui règne quant à sa signification exacte :
Tels que nous en seront témoins tout au long de cette section, les hadiths sont
extrêmement contradictoires, ce qui est un trait distinctif de toute source non
révélée ou inspirée par Dieu selon le Saint Coran.
Yahya m’a rapporté de la part de Malik ibn Aslam et al-Qaqa ibn Hakim que Abu
Yunus, l’esclave affranchi de ‘Aïcha, umm al-mouwminin a dit : « ‘Aïcha m’a
ordonné d’écrire le coran pour elle. Elle a dit : « Quand tu arrives à ce verset,
informe-moi : « Sauvegardez les prières rituelles et la prière du milieu et tenez-
vous devant Dieu avec crainte révérencielle » (2:238). Quand je suis arrivé à ce
verset, je l’en ai informé, et elle m’a dicté : « Sauvegardez les prières
rituelles et la prière du milieu, et la prière de ‘asr (du milieu de l’après
midi), et tenez-vous debout devant Dieu avec humilité révérencielle ».
‘Aicha a dit : « C’est ainsi que je l’ai entendu récité par le messager de Dieu, que
Dieu le bénisse et lui accorde la paix. ».
Yahya m’a rapporté de la part de Malik et de Zayd ibn Aslam que ibn al Rafi a
dit : « J’écrivais un coran pour Hafsa, umm al-mouwminin, et elle a dit :
« Quand tu arrives à ce verset, informe-moi : Sauvegardez les prières rituelles et
la prière du milieu et tenez-vous devant Dieu avec crainte révérencielle
(2:238) ». Quand je suis arrivé à ce verset, je l’en ai informé, et elle m’a dicté :
« Sauvegardez les prières rituelles et la prière du milieu, et la prière
de ‘asr (du milieu de l’après midi), et tenez-vous debout devant Dieu avec
humilité révérencielle ».
Dans les deux hadiths qui précèdent, deux femmes du prophète (‘Aicha et Afsa)
rapportent que 2:238 avait été révélé d’une façon différente à l’origine et incluait
la prière de ‘asr après celle du milieu. Nous notons ici avec intérêt que l’imam
Malik rapporte deux hadiths qui indiquent que « al salât al woustâ » est la prière
de la mi-journée et non celle de ‘asr.
Yahya m’a rapporté de la part de Malik et de Da`oud ibn al-Housayn que Ibn
Yarbou al-Makhzoumi a dit : J’ai entendu Zayd ibn Thabit dire « la prière du
milieu est celle de dhour » (mi-journée).
La prière du milieu est à nouveau identifiée dans ce hadith comme étant celle de
la mi-journée.
Yahya m’a rapporté de la part de Malik qu’il avait entendu dire qu’Ali Ibn Abi
Talib et Abdallah ibn Abbas disaient : « la prière du milieu est celle de
soubh. »
Ici, nous avons une interprétation radicalement différente à savoir que « al salât
al woustâ » est la prière de « soubh » (nom donné à la prière de l’aube dans
beaucoup de hadiths).
Les hadiths rapportés dans cette section par les plus hautes autorités sunnites
(Muslim, imam Malik) montrent que « al salât al woustâ » est soit interprétée
comme étant la prière de la mi-journée, soit celle du milieu de l’après-midi ou
encore celle de l’aube. L’objectif de cette section est simplement de mettre en
lumière le fait que les hadiths sont extrêmement contradictoires, et par
conséquent manquent totalement de fiabilité. Au lieu de clarifier le coran comme
le prétendent les sunnites, ils ne font en réalité que semer le doute et
détournent les gens du seul sens valable, à savoir celui basé sur
l’interprétation correcte du coran. Ils véhiculent des mensonges horribles
au sujet de Dieu (prétendant par exemple que Dieu a abrogé certains versets
après une première révélation initialement différente) de même que de Son
prophète, de sa famille ou de ses compagnons.
2:238 est un verset à sens multiples, sachant que certains versets du coran
admettent plusieurs sens quand ces derniers ne se contredisent pas. Le verset est
tout d’abord rigoureusement fidèle à la progression logique de la journée lunaire
musulmane, laquelle commence au coucher du soleil avec la prière de la nuit
tombante, et se termine juste avant le coucher du soleil suivant avec la prière de
la mi-après-midi, la prière du milieu (« Al salât al woustâ ») étant à dessein
mentionnée séparément dans le verset :
Une première façon simple de commenter 2:238 est liée au fait le verset est écrit
de façon atypique car « al salât al woustâ » est mentionnée séparément dans le
verset, ce qui restreint la signification ou portée sémantique du pluriel « al
salawât » (les prières rituelles) à quatre prières journalières :
Comprendre 2:238 est aussi simple que cela pourvu qu’on analyse correctement
les périodes de prières coraniques et tous les versets ayant trait à la prière dans
le coran. Autrement dit, le fait que le mot « al salawât » (les prières rituelles) ne
désigne pas toutes les prières journalières mais seulement quatre vu sous cet
angle est lié au fait que le verset est écrit de façon atypique. Nous avons vu
que le pluriel « salawât » (prières rituelles) apparaît symboliquement cinq fois
dans le coran, quatre fois en tant que forme simple (2:157, 2:238, 9:99, 22:40)
et une fois avec un pronom attaché en 23:9.
Le second mot ayant trait à la « la prière » (al salât) est le quatrième mot
depuis le début du verset, ce qui correspond à la position de « la prière du
milieu » dans le jour lunaire, à savoir la prière de la mi-journée (midi). Si l’on
calcule les valeurs mathématiques des lettres en 2:238 à partir du mot
« salawât » (en écartant l’article « al ») jusqu’â « al salât al woustâ », nous
obtenons :
Remarque : La photo de 2:238 ci-dessus est une photo d’une copie complète
du coran écrite en style coufique et montre que la transcription du verset 2:238
juste en dessous, et sur laquelle nous nous basons est fidèle à la lettre près à
l’écriture trouvée dans certaines des plus anciennes copies du coran (par
exemple le Codex Weinstein 1913, de Topkapi et de Samarkand). Il s’agit tout
simplement de la transcription que vous trouverez dans n’importe quelle édition
du coran de par le monde. La seule différence est l’absence de signes diacritiques
qui ont été ajoutés à partir de deux siècles après la mort du prophète pour
faciliter la différenciation et prononciation des différentes lettres. Certains
corans trouvés sur internet ne sont pas conformes à l’écriture originale du coran
car ils modifient ou « modernisent » la façon dont certains mots furent écrits du
temps de la révélation. C’est un immense crime, car cela empêche d’identifier
des propriétés mathématiques que Dieu a codées dans le coran, comme il sera
démontré dans cet article.
1. En termes de mots :
2. En termes de lettres :
Pour résumer, en 2:238, les deux mots « wassalâti ‘lwoustâ » ( « = ﻭﺍﻟﺼﻠﻮﺓ ﺍﻟﻮﺳﻄﻰet
la prière du milieu ») occupent le milieu du verset en termes de mots et en
termes de lettres.
(1) Aube, (2) mi-journée, (3) milieu de l’après midi (‘asr), (4) tombée de la nuit
(5) nuit.
Cette interprétation est incorrecte car le coran est basé sur le calendrier lunaire
musulman, et que la journée commence au coucher du soleil en Islam. La prière
de la mi-après-midi est la cinquième et dernière prière de la journée
musulmane.
L’interprétation correcte est donc que « al salât al woustâ » est la prière de la mi-
journée, quand le soleil atteint le zénith, car elle est située au milieu de la
période de clarté du jour, et qu’elle est de surcroît située à un point équidistant
des trois (premières) prières de la nuit.
Il est nécessaire pour saisir ce qui suit de comprendre le concept des valeurs
mathématiques des lettres arabes basé sur l’« ordre abjad » ou « système
abjad », ce qui signifie tout simplement que chaque lettre arabe a une valeur
mathématique assignée à chaque lettre :
Au temps du prophète, il n’y avait pas de nombres tels que nous les connaissons
aujourd‘hui (1, 2, 3, 4, 5…), et les arabes utilisaient (et parfois encore de nos
jours comme au Yémen) les lettres de l’alphabet arabe comme nombres pour
compter et faire du commerce, chaque lettre de l’alphabet ayant les valeurs
mathématiques décrites dans le tableau ci-dessus.
L’une des façons d’interpréter 2:238 est qu’étant donné que « al salât al woustâ »
est mentionnée juste après « Sauvegardez les prières rituelles (al
salawât) » ( )ﺣﻔﻈﻮﺍ ﻋﻠﻰ ﺍﻟﺼﻠﻮﺕet que le mot « salawât » est un pluriel classique
(trois entités ou plus en arabe par définition), ce dernier réfère aux cinq prières
journalières (nous avons vu que le mot « salawât » apparait cinq fois dans le
coran) et « al salât al woustâ » est mentionnée à dessein séparément afin
d’occuper le milieu du verset et révéler ainsi symboliquement sa position dans
la journée lunaire, laquelle commence au coucher du soleil. Nous avons
démontré de façon concluante que « al salât al woustâ » est « la prière du
milieu ». Mais comment prouve-t-on mathématiquement qu’il s’agit de la prière
de la mi-journée, à savoir la quatrième prière de la journée musulmane [(1)
tombée de la nuit, (2) nuit, (3) aube et (4) mi-journée) ?
Il est extrêmement difficile d’obtenir un seul multiple de 278 du fait du hasard (il
s’agit d’une chance sur 278).
D’un point de vue objectif, car purement statistique, il s’agit d’un authentique
miracle mathématique car il y a une chance sur plus de 21 millions (278 × 278 ×
278 = 21484952) pour que le système ci-dessus basé sur des multiples
consécutifs de 278 (V.M. « al salât al woustâ » et « quatre ») soit le fait du
hasard, ce sans même prendre en compte les autres phénomènes remarquables
observés tout au long de cet article. On ne pourra jamais suffisamment insister
sur le fait qu’il est particulièrement légitime d’isoler « la prière du milieu » du
reste du verset - comme effectué dans le tableau ci-dessus - compte tenu de la
signification de l’expression (« la prière du milieu »), et compte tenu du
fait que l’expression composée de deux mots occupe le milieu du verset en
termes de mots et de lettres, ce qui est déjà étonnant en soi. Ce phénomène
mathématique littéralement stupéfiant nous montre que le verset est « centré »
ou « gravite » mathématiquement autour de la valeur mathématique de
l’expression « al salât al woustâ » (la prière du milieu, valeur mathématique =
278). Il est plus qu’évident que le nombre 278 a été intentionnellement conçu
dans le verset comme un nombre primordial qui symbolise à la fois « la prière
du milieu » et le nombre « quatre » ( = ﺃﺭﺑﻌﺔGV 278), parce que « al salât al
woustâ » est la quatrième prière de la journée lunaire musulmane qui
commence au coucher du soleil [prières de la (1) tombée de la nuit, (2) nuit, (3)
aube et (4) prière du milieu].
Le facteur associé avec 278 (le nombre 6) dans 1668 = 278 × 6 (= valeurs
mathématiques de « Sauvegarder les prières rituelles et ») semble symboliser
l’addition des nombres liés aux trois premières prières de la journée lunaire
[c.à.d. les prières de (1) la tombée de la nuit, (2) de la nuit, (3) et de l’aube] le
tout écrit en base 278 et situé juste avant « la prière du milieu » (VM 278 = VM
de « quatre ») :
La section qui suit confirmera cette hypothèse par une propriété mathématique
remarquable.
Ce que nous allons mettre en lumière dans cette section, conjugué à ce dont nous
avons déjà été témoin, est à mon sens un authentique miracle mathématique car
il est virtuellement impossible de reproduire une chose similaire dans quelque
langue que ce soit, hormis dans les livres de Dieu bien sûr. A vous de juger.
Etant donné que nous assumons que nous avons affaire à des nombres codés à
un niveau parallèle, il est très important de noter que « Sauvegardez les
prières rituelles » et « la prière du milieu » sont séparés dans le verset
par la conjonction de coordination « wa » ( )ﻭqui signifie « et ». Si des nombres
ont été codés à un niveau parallèle, cela implique que ces nombres doivent
également être séparés par la conjonction « wa » ( « = ﻭet », valeur
mathématique = 6), qui est systématiquement utilisé en arabe lors d’une
énumération (par exemple « un et deux et trois et quatre »). « Wa » ( « = ﻭet »)
peut également référer à une addition (1 + 2 + 3 + 4), ou les deux à la fois selon
le contexte.
1, 2, 3 et 4.
(12:4) [Rappelez-vous] quand Joseph dit a son père : « Ô mon père, j’ai vu
onze planètes, et le soleil, et la lune, je les ai vu se prosterner devant moi ».
Nous avons vu qu’il n’y a aucun nombre à deux chiffres ou plus (21, 31, 41, 121,
251 etc…) dans le coran se terminant avec le nombre « un » à l’exception de onze
(“ahada ‘achara” = = ﺍﺣﺪ ﻋﺸﺮun + dix), on a donc sérieusement le droit de se
demander comment le nombre « vingt et un » et autres nombres similaires se
terminant avec le chiffre « un » s’écrivaient du temps du prophète.
Compte tenu de l’importance de ce qui va suivre, il fallait faire cette petite mise
au point pour justifier le choix de traduire « un » par « ahad » ( )ﺍﺣﺪdans « UN et
DEUX et TROIS et QUATRE » ( )ﺍﺣﺪ ﻭ ﺇﺛﻨﺎﻥ ﻭ ﺛﻠﺜﺔ ﻭ ﺃﺭﺑﻌﺔen se basant sur
l’exemple du coran, au lieu d’accepter aveuglement l’arabe moderne corrompu
qui y a substitué « wâhid ».
Notre théorie s’avère donc vraie : Nous savions que « al Salât al woustâ » (V.M.
278) est égale à la valeur mathématique du nombre « quatre » (V.M. 278) ce
qui était déjà une propriété significative...
Tout ceci prouve donc que l’immense majorité des sunnites et des shiites ont
dévié du droit chemin du coran en suivant des « hadiths autres que Dieu et Ses
versets » (39:45) car ils soutiennent que la prière du milieu est celle de la mi-
après-midi au lieu de celle de la mi-journée, de même que les sunnites et
coranistes qui prétendent que « al salât al woustâ » est « la plus excellente des
prières ».
10 = 1+2+3+4
Cette addition (1+2+3+4) ne peut que nous rappeler ce dont nous venons d’être
témoins dans la section précédente, à savoir que la valeur mathématique de
« Sauvegardez les prières rituelles et la prière du milieu » (VM 1946
= 278 × 7) est égale à la valeur mathématique des nombres « 1 et 2 et 3 et 4 »
(VM 1946 = 278 × 7), qui s’écrit mathématiquement « 1+2+3+4 » car la
conjonction de coordination « wa » ( « = ﻭet ») s’applique également aux
additions en arabe.
278 × (1+2+3+4)
Pour conclure cette section, toutes ces propriétés mathématiques sont bien trop
étonnantes d’un point de vue statistique et trop bien structurées et
profondément significatives d’un point de vue symbolique pour être le fait du
hasard.
J’ai ajouté en rouge dans le même verset juste en dessous les signes
diacritiques de base tels que nous les connaissons aujourd’hui et dont le but est
de faciliter la lecture tout en préservant l’orthographe et la signification correcte
des mots pour les générations futures.
D’après mon expérience personnelle, les gens qui refusent d’admettre que le « ta
marbouta » ( )ﺓse compte comme un « ha » ( = ﻩ5), et insistent qu’il faut le
compter comme un « ta » ( = ﺕV.M. 400), le font pour des raisons malhonnêtes,
généralement parce qu’ils ne peuvent supporter les implications du miracle
mathématique du coran, par exemple les signes décrit dans cette étude.
- Une fois que l’on écarte la forme non simple du mot « salawât » (= ﺻﻠﻮﺗﻬﻢ
salâtihim = leur prières rituelles) en 23:9, et que l’on compte uniquement les
formes simples, conformément à la méthode de calcul qui nous permet
d’identifier la symétrie entre les 365 mots « jour », 30 pluriel « jours », et 12
mots « mois », nous constatons la chose suivante :
2:157 (1), 2:238 (1), 9:99 (1), 22:40 (1) = QUATRE formes simples du mot
« salawât ».
Si nous calculons les valeurs mathématiques des lettres en 2:238 à partir du mot
« salawât » (en écartant l’article « al ») jusqu’â « al salât al woustâ », nous
obtenons :
Il est tout à fait étonnant de constater que non seulement ce verbe apparaît
exactement QUATRE fois dans le coran, ce dernier apparaît systématiquement
dans ces quatre cas de figure quand il s’agit de « Sauvegardez la ou les prières
rituelles » :
Conclusion
Le verset 2:238 est écrit de façon atypique, et ne peut être compris que si l’on
tient compte de la progression logique du jour lunaire : La journée musulmane
commence au coucher du soleil, et finit au coucher de soleil suivant. Le secret de
2:238 est que « Al salât al woustâ » est mentionnée séparément dans le verset
afin de révéler sa position dans la journée lunaire musulmane.
Fait nº 5 : Si l’on isole « al salât al woustâ » (la prière du milieu, V.M. 278)
des lettres situées à droite et à gauche dans le verset (ce qui est pleinement
justifié compte tenu du sens même de l’expression et du fait que nous savons
qu’elle occupe « le milieu » du verset), nous constatons que ces deux parties
situées à droite et à gauche sont également multiples de 278 (V.M. de « al salât
al woustâ » et du nombre « quatre ») :
10 = 1+2+3+4
Nous voyons ici que les quatre nombres correspondant aux quatre premières
prières journalières sont codés en base 278 (V.M. de « al salât al woustâ » et
« quatre ») qui est le cœur (« la prière du milieu » est située au milieu du
verset) et nombre primordial du verset.
Nous pouvons donc conclure les faits suivants en décomposant le verset en deux
parties :
Le verset a donc été écrit en base 278 (= 2 × 139), en plus d’être codé selon le
système abjad, qui est un système décimal par définition.
Fait nº 11 : Le verset 2:238 commence avec le verbe « youḥâfiẓu » (ﻆ ُ ِ= ﻳَُﺤﺎﻓ
« gardez », « sauvegardez », forme III, forme impérative) et ce verbe apparaît
quatre fois dans le coran. Il est plus qu’étonnant de constater que ce verbe est
uniquement et systématiquement utilisé dans des expressions liées au
fait de « sauvegarder la ou les prières rituelles » : 2:238, 6:92, 23:9,
70:34 = quatre fois !
Comme prouvé dans l’article « salât coranique » qui commente tous les versets
ayant trait à la prière rituelle, il y a quatre prières rituelles obligatoires [(1)
Tombée de la nuit, (2) aube (3) prière de la mi-journée et (4) prière de la mi-
après-midi] et une surérogatoire la nuit (17:78). Il faut donc impérativement au
minimum « garder » quatre prières obligatoires.
Allah a décrété que Son coran est pleinement détaillé (6:114, 7:52, 10:37) et tous
les détails de la salât figurent intégralement dans le coran, y compris le nombre
de rakaʿât (15:87 : 2 rakaʿât par prière), le nombre de prosternations par prière
(4 « prosternations » par prière: le mot « soujoud » apparaît 4 fois dans le
coran), le tachahhoud final à la fin de deux rakaʿât (50:40), le ton de récitation
pendant la prière (17:110), les ablutions (5:6) etc…
Dieu savait que la signification de « la prière du milieu » allait être pervertie par
les sunnites et les shiites à cause des hadiths, et plus récemment à cause des
coranistes qui égarent souvent les croyants sincères qui cherchent la vérité du
fait de leurs théories révisionnistes. Voici pourquoi le verset 2:238 était destiné à
résoudre cette fitnah, et constitue un chef d’œuvre mathématique qui prouve que
« al salât al woustâ » est non seulement « la prière du milieu » à savoir de la mi-
journée (c.à.d. du milieu de la clarté du jour), mais également la quatrième
prière de la journée musulmane qui commence au coucher du soleil.
(41:53) Nous leur montreront Nos preuves, par delà les horizons,
ainsi qu’au plus profond de leurs âmes, jusqu'à tant qu’il leur soit
manifestement prouvé qu’il s’agit de la vérité. Ne suffit-il donc pas
que ton Seigneur soit témoin de toutes choses ?