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Commission de Formation
Présenté par :
INTRODUCTION
SECTION I : Généralités sur La profession du Commissaire Aux Comptes
1-Historique de la profession de commissaire aux comptes
2-Environnement et organisation de la profession
3-Obligation de désignation d’un commissaire aux comptes
3.1-Nomination récusation et durée du mandat
3.2-Acceptation et refus du mandat
SECTION II : déroulement de la mission du Commissaire aux comptes
1-performance de la mission et le rôle du commissaire aux comptes
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE :
Tahar hadj Sadok, « le commissaire aux comptes », éditions DAHLAB, Alger 2007 ;
Yves Chaput, « le commissaire aux comptes : partenaire de l’entreprise », édition
CREDA, Paris novembre 1999 ;
J. POTDEVIN, « le commissaire aux comptes », 1ER édition DELMAS, Paris avril
1996 ;
Bahram Soltani, « le commissaire aux comptes et le marché financier »,
ECONOMICA, paris aout 1996 ;
Robert Castell, François Pasqualini, « le commissaire aux comptes »,
ECONOMICA, paris, septembre 1995.
Modèle d’acceptation du mandat
Vous nous avez fait l’honneur de nous pressentir pour proposer à votre prochaine
Assemblée générale ordinaire notre désignation aux fonctions de commissaire aux comptes.
Avant mon accréditation pour cette mission, je vous serai reconnaissant de bien vouloir
avertir le commissaire
aux comptes sortant que je serai mené à prendre contact avec lui et l’autoriser à me
communiquer toutes informations utiles pour le bon exercice de ma mission.
Dans le cadre de la mission visée en objet, vous avez bien voulu nous pressentir comme
commissaire aux comptes de votre société…
Nous avons le regret de vous informer qu’au regard des dispositions de l’article 679 de
l’ordonnance 75 59 portant code de commerce, nous ne pourrons remplir (ou) continuer à
remplir cette mission en raison de l’incompatibilité suivante.
Description de l’incompatibilité,…..
Nous vous remercions pour la confiance que vous nous avez témoignée et vous prions
d’agréer,
Entreprise « ………..»
Sarl « ……… »
Dept adm. & finances ……….
Messieurs,
A la demande de nos commissaires aux comptes, Messieurs ………… et ….... nous vous
adressons ci-joint, le relevé de votre compte dans nos livres arrêtés au 31\12\N.
A cette date, la position de votre compte était la suivante · Solde en notre faveur de : … … £
· Observations :
Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir leur retourner, directement au siège social
de notre société (adresse sous indiquée) à l’aide de l’enveloppe timbrée ci-jointe, la présente
lettre après y avoir apposé votre cachet commercial et éventuellement, après l’avoir assortie
de vos observations.
Il est à souligner que cette position ne tient pas compte des règlements ni de toutes les
opérations que vous avez pu effectuer depuis la date de l’arrêté et, que la présente requête
n’est pas une demande de règlement mais une vérification d’ordre comptable.
INTRODUCTION :
La formation comptable et financière diffusée très largement implique
l’ensemble des agents économiques dans son analyse et son utilisation, le public
découvre avec stupeur que la magie des chiffres devient une illusion qui ne saurait
faire disparaitre les dures réalités financières. Les commissaires aux comptes peuvent
révéler les trucs des prestidigitateurs, mais non pas changer les faits. Contrôleurs, ils
ne sont certes pas les décideurs.
Le commissaire aux comptes est un professionnel rémunéré pour critiquer
éventuellement ceux qui l’ont désigné. Un contrôle pertinent est de l’intérêt bien
compris de la société contrôlée, comme de ses partenaires, car la pratique de cette
profession obéit à des règles de loi très stricte, de la compétence et de la connaissance
requise.
L’article 7 de la loi N°91-08 du 27 avril 1991 relative à la profession d’expert
comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agrée ; et l’article 3 de la
décision du ministère des finances 24 mars 1999 relative aux conditions d’inscription
au tableau de l’ordre des expert comptables, des commissaires aux comptes et des
comptables agrées et à l’exercice de leur profession.
Ces dispositions ont été appliquées aux sociétés par actions publiques ou privés
et les autres formes de société notamment les SARL, EURL.
SECTION I : Généralités sur La profession du Commissaire Aux Comptes
Un commissaire aux comptes (C.A.C) exerce une profession agréée dans tous
les pays du monde. C'est un acteur extérieur à l'entreprise ayant pour rôle
de contrôler la sincérité et la régularité des comptes annuels établis par une société ou
autre institution, et pour cela de faire un audit comptable et financier, Il s'agit d'une
mission légale, toutefois elle peut être décidée volontairement par l'entreprise.
1-Historique de la profession de commissaire aux comptes :
L’internationalisation des relations entre les entreprises conduit les responsables
à chercher entre eux un langage commun, celui de la mesure de la performance
économique de leurs entreprises pour partager des projets communs ou mettre en
œuvre des développements complémentaires.
Cette nécessité d’une langue commune compréhensible, mais surtout
authentifiée, conduit à renforcer le champ d’intervention et la mission des
commissaires aux comptes.
Cette qualification de commissaire apparait pour la première fois en 1863 mais
c’est la loi du 24 juillet 1867 sur les sociétés anonymes qui a définitivement institué
un contrôle légal des comptes. Ce commissaire aux comptes, ainsi qu’il est dénommé
à l’époque, n’est qu’un simple mandataire des actionnaires. Il ne dispose donc pas des
pouvoirs pour les protéger réellement ni des compétences nécessaires à
l’accomplissement de cette mission.
Ce dernier élargit les pouvoirs du commissaire aux comptes, prévoit une
procédure d’agrément par les cours d’appel pour ceux qui contrôlent les sociétés
faisant publiquement appel à l’épargne. A cette occasion nait une obligation ne
concernant en fait au plan européen que deux pays, l’Italie et la France, l’obligation
de révéler au procureur de la république les faits délictueux dont le commissaire aux
comptes a connaissance.
La profession est ainsi dotée d’une organisation professionnelle fortement
structurée, dont la vocation est, entre autres, de donner à la loi les prolongements
qu’elle implique sur le plan professionnel.
Les difficultés que rencontrent les entreprises dans les années 80 conduisent tout
naturellement les pouvoirs publics à renforcer les mesures conduisant à la prévention
des difficultés des entreprises. A cet effet, compte tenu des progrès considérables
réalisés par la profession de commissaire aux comptes, ils décident de lui confier une
mission particulièrement importante dans le cadre du déclenchement de la procédure
d’alerte.
En Algérie, il convient de savoir que les textes français avaient été reconduits
jusqu'en 1975, Pour les sociétés de droit privé, Année de promulgation du code de
commerce. Par contre c'est en 1970, que le contrôle des Sociétés Nationales a été
consacré par des textes de loi. C'est ainsi que l'ordonnance n°69-107 du 31/12/69
portant loi de finance pour 1970, prévoyait que le ministre d'Etat chargé des Finances
et du Plan devait désigné des commissaires aux comptes dans les sociétés nationales
et dans les établissement Publics Nationaux ayant un caractère industriel et
commercial, en vue de s'assurer de la régularité et de la sincérité de leurs comptes et
d'analyser leurs situations active et passive.
Dans le même but, il pouvait également designer des commissaires aux comptes
dans les sociétés ou l'Etat ou un organisme public détient une part du capital social, Il
s'agit là d'une disposition visant particulièrement les sociétés mixtes et les sociétés
d'économie mixte.
2-Environnement et organisation de la profession :
L’organisation professionnelle des commissaires aux comptes a pour objet le
bon exercice de la profession, sa surveillance ainsi que la défense de l’honneur et de
l’indépendance de ses membres.
Elle comporte d’une part les compagnies régionales et d’autre part les
compagnies nationale, la profession de commissaire aux comptes fait l’objet d’une
réglementation précise celle-ci prévoit : ne peuvent exercer la profession de
commissaire aux comptes que les personnes qui sont inscrites sur une liste établie à
cet effet.
La liste des commissaires aux comptes est dressée par des commissions
régionales siégeant au chef lieu de chaque cour d’appel ayant compétence pour le
ressort de cette cour.
Pour travailler comme commissaire aux comptes, il est impérativement
nécessaire de se soumettre a des conditions, que l’Etat ou plutôt le conseil de l’ordre à
mises en place pour éclaircir et régularisé ces trois professions (comptables-agrées,
experts-comptables et commissaires aux comptes). Ces conditions sont citer dans
l’article 6 de la loi n°91-08 du 27/04/19911:"pour exercer la profession d’expert-
comptable, de commissaire aux comptes ou de comptable agrées dans les domaines
définis ci-dessus, il faut remplir les conditions suivantes :
-Etre de nationalité algérienne.
-Jouir de tous les droits civiques.
-Ne pas avoir fait l’objet d’une condamnation pour crime ou délit, autre
qu’involontaire de nature à entacher l’honorabilité et notamment aucune de celles
visées par la législation en vigueur, relative à l’interdiction du droit a gérer et
d’administrer dans les domaines définis à l’article 1er ci-dessus.
-Justifier des conditions de titres et diplômes légalement requis.
-Etre inscrit au tableau de l’ordre national des experts-comptables, des commissaires
aux comptes et des comptables agréent dans les conditions prévus par la présente loi.
-Prêter serment prévu dans l’article: Après inscription à l’ordre national et avant toute
entrée en fonction, les experts comptables, les commissaires aux comptes et les
comptables agrées prêtent serment devant le tribunal territorialement compétent de
leur domicile en les termes suivants :
ة وPPر المهنPPتي و أكتم سPPة وظيفPPد أن أخلص في تأديPPأقسم باهلل الذي ال اله إال هو أن أقوم بعملي أحسن قيام و أتعه
.أسلك في كل األمور سلوك المحترف الشريف
Le tribunal en donne acte en la forme légale prescrite, la prestation de serment
donne effet à l’inscription sur le tableau de l’ordre.
La profession du commissaire aux comptes, dans le cadre du rôle qui lui est
dévolu, participe activement à divers travaux dans le but, notamment, d’harmoniser
certaines règles comptables nationales et internationales et d’améliorer la surveillance
des marchés financiers.
3-Obligation de désignation d’un commissaire aux comptes :
1
Journal officiel du 27-04-1991 la loi n°91-08
La réglementation en Algérie fait donc obligation à toutes les sociétés civiles et
commerciales ainsi qu’aux organismes sociaux et syndicaux, d’engager un ou deux
commissaires aux comptes suivant la taille de l’entité, afin qu’ils assurent le contrôle
comptable et financier légal et se prononcent sur l’organisation comptable et
financière, sur la sincérité et la régularité des comptes sociaux annuels et leur
certification éventuelle.
Il porte en effet la lourde responsabilité à l’égard des associés/actionnaires et à
l’égard des tiers, de certifier les comptes sociaux, les états financiers, l’inventaire, le
bilan et les résultats annuels de la société comme étant conformes, sincères, réguliers
et reflétant l’image fidèle de la situation financière et patrimoniale de l’entité et de ses
résultats annuels, conformément à l’article 715 bis 4 du code de commerce.
Le commissaire aux comptes aussi doit adopter une démarche extrêmement
prudente et une méthode de travail pertinente et sans faille durant toute la période de
son mandat.
Avant d’entrée en fonction, le commissaire aux comptes ne doit pas donner son
acceptation avec légèreté sans avoir au préalable mis en œuvre certaines diligences
préliminaires lui permettant :
-D’éviter de tomber sous le coup des incompatibilités et des interdictions légales et
réglementaires prévues par le code de commerce.
-De s’assurer que son cabinet dispose des capacités techniques et humaines pour
mener sa mission convenablement.
-De s’assurer que le mandat proposé n’est pas entaché d’irrégularités qui pourraient
compromettre les délibérations de l’assemblée générale des actionnaires.
En effet, le commissaire aux comptes doit s’informer sur les membres du
conseil d’administration, du directoire ou du conseil de surveillance ; et sur les raisons
de fin de mandat du et des précédents commissaires aux comptes avant son
acceptation. Il doit donc chercher s’il n’y a pas d’incompatibilités légales ou
réglementaires à l’exercice de ses missions au sein de la société.
L’article 715 bis 6 du code de commerce prévoit qu’ils ne peuvent être
commissaire aux comptes d’une société les personnes suivantes :
Les parents et alliés au quatrième degré inclusivement, des administrateurs, des
membres du directoire et du conseil de surveillance de la société.
Les administrateurs, les membres du directoire et du conseil de surveillance, les
conjoints des administrateurs des membres du directoire et du conseil de surveillance
des sociétés possédant 1 /10éme du capital de la société, ou dont celle-ci possède
1 /10éme du capital des dites sociétés.
Les conjoints des personnes qui reçoivent des administrations, des membres du
directoire ou du conseil de surveillance ; un salaire ou une rémunération en raison
d’une activité permanente autre que celle de commissaire aux comptes.
Les personnes ayant perçus de la société une rémunération, en raison de fonctions
autres que celle de commissaires aux comptes et ce dans un délai de 5années à
compter de la cessation de leur activité.
Les personnes ayant été administrateurs, membres du directoire ou du conseil de
surveillance, et ce dans un délai de 5années à compter de la cessation de leur activité.
3.1-Nomination récusation et durée du mandat :
Les sociétés ont le libre choix de leur commissaire aux comptes parmi ceux
inscrits sur la liste des commissaires aux comptes. Ils ont compétence pour exercer
leur profession sur l’ensemble du territoire quelle que soit la liste régionale sur
laquelle ils ont inscrits.
La nomination des commissaires aux comptes est de la compétence de
l’assemblé générale ordinaire des actionnaires ou par voie de justice, la nomination
des commissaires aux comptes doit donc être proposée par les dirigeants, présidents
ou administrateurs de sociétés anonymes, gérants de sociétés en commandite par
actions ou d’une société a responsabilité limitée.
c) La communication de l’information:
Certains documents devront impérativement figurer dans son dossier permanent
ou dans son dossier annuel de travail.
A ce titre, il convient de retenir les dispositions du code de commerce, qui
énumèrent en l'article 716, une série de documents à mettre à la disposition des
commissaires aux comptes, au plus tard dans les quatre mois qui suivent la clôture de
l'exercice.
Dans le cadre de sa mission, pour un contrôle efficace, le commissaire aux
comptes peut obtenir tout document qu'il juge utile.
1.3- Les honoraires :
La rémunération du commissaire aux comptes vise non seulement à lui donner
les moyens pour accomplir sa mission, mais également à assurer son indépendance.
Le commissaire aux comptes exerce ses fonctions sous sa propre responsabilité,
tout en étant assisté par des collaborateurs, des correspondants ou des experts de son
choix.
Les honoraires du commissaire aux comptes sont calculés selon le barème
suivant, que l’article 44 de la loi 91-08 l’a défini de façon précise :
Montant total brut du bilan annuel Nombre normal Honoraires en KDA*
(investissement non réévalués et des D’heures de travail
produits d’exploitation)
De moins de 100 millions DA 160 à moins 240 80 à moins de 120
De 100 à moins de 200 millions DA 240 à moins 340 120 à moins de 170
De 200 à moins de 400 millions DA 340 à moins 460 170 à moins de 230
De 400 à moins de 800 millions DA 460 à moins 600 230 à moins de 300
De 800 à moins de 1 .600 millions DA 600 à moins 760 300 à moins de 380
De 1600 à moins de 3.200 millions DA 760 à moins 1.030 380 à moins de 515
De 3200à moins de 6.400 millions DA 1.030 à moins 1.400 515 à moins de 700
De 12800 à moins de 25600 millions DA 1 .800 à moins 2400 900 à moins de 1 200
Au delà de 25600 millions DA, à Ajouter à Maximum 4500 heures Maximum 2250
2400 heures 2%, soit 48 heures pour chaque
tranche supplémentaire de 5000 millions DA
jusqu'à un maximum de 4500 heures
Il dispose pour cela des techniques classées par ordre de force probante.
- L’inspection physique qui permit de vérifier l’existence de certains actifs.
- La confirmation directe qui consiste à obtenir, auprès des tiers qui entretiennent des
relations commerciales ou financières avec l’entreprise, des informations sur le solde
de leur compte ou sur des opérations effectuées avec elle.
- L’examen des documents reçus par l’entreprise et qui servent de justificatifs à
l’enregistrement des opérations ou à leur contrôle.
- L’examen des documents crées par l’entreprise, copies de factures clients, balances,
comptes…
- Les analyses, estimation, rapprochements et recoupements effectués entre les
informations obtenues et les documents examinés.
- L’examen analytique qui consiste à :
- Faire des comparaisons entre les données résultant et les états financiers et des
données antérieures, Postérieures, ou prévisionnelles pour établir des relations entre
elles ;
- Analyser les fluctuations et les tendances ;
- Etudier et analyser les éléments inhabituels résultant des comparaisons.
- Les informations verbales obtenues des dirigeants et salariés de l’entreprise.
b- Note de synthèse :
La note de synthèse permet de récapituler les éléments significatifs de la mission et
les options prises.
Cette doit comprendre au moins :
- La description des événements importants ayant marqué l’activité de l’entreprise. Si
ces événements ont déjà été décrits dans le descriptif de mission ou le plan
d’approche, une simple référence à ces documents sera Suffisante ;
- La description des problèmes rencontrés est des solutions adoptées. Cette partie peut
consister en une photocopie des feuilles de synthèse de chaque section du dossier. Il
est important que cette section soit très claire, car c’est elle qui justifie, en grande
partie, l’opinion émise et qui évite les prises de position contradictoires d’année en
année.
- La liste des points en suspens qui doivent être réglés avant d’émettre le rapport (ex :
document restant à recevoir, confirmations attendus…) ;
- Une conclusion générale.
CONCLUSION :
Le commissariat aux comptes n’est assurément plus une sinécure et bien malin
ou bien naïf serait le jeune commissaire qui, entrant dans la carrière, pourrait prédire
être en mesure de prendre un jour sa retraite sans que jamais son comportement n’ait
été critiqué, sans que jamais sa responsabilité n’ait été mise en cause. Bien qu’il
représente une réflexion continue et renouvelée qui doit être constamment modelée en
fonction du développement des exigences des entreprises et des pouvoirs publics.
Ainsi, le commissaire aux comptes ne réalise qu’une mission annuelle d’audit,
alors que les membres du conseil d’administration peuvent contrôler de manière
permanente la comptabilité de la société. C’est pourquoi la création de comité d’audit
au sein du conseil est depuis longtemps apparue comme une condition du bon
déroulement du contrôle des comptes.
En effet, Le besoin de l’image fidèle se manifeste aussi bien à l’échelon de
l’établissement de l’information. Il faut alors prendre en considération la continuité de
l’entreprise qu’a celui de sa diffusion. Il s’agit à ce niveau de faire preuve de célérité
et de loyauté. Enfin C’est dans le cadre de cet impératif de loyauté, dicté par la
recherche de la fidélité, que s’inscrit la mission du commissaire aux comptes.