La Magie Et La Sorcellerie en France (PDFDrive)
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LA MAGIE
ET LA
Sorcellerie
EN FRANCE
th:. de gatjzon-s
III
La Sorcellerie
de la Réforme à la Révolution
Les couvents possédés
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DE LA MAGIE ET DE LA SORCELLERIE
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Histoire de l'Inquisition en France,
Tome I. Les Origines, un volume in-8 carré. '^ tV.
SORCELLERIE
EN FRANCE
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La Sorcellerie
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Th. de CAUZONS.
TROISIEME PARTIE
CHAPITRE PREMIER
ARTICLE PREMIER
II
II
grandes soufTrances.
Les visions se multiplièrent et se produisirent, quel-
vent.
circonstance.
10 LA SORCELLERIE EN FRANCE
tanément plus tard. Chacun eut son mot à dire sur les
ARTICLE DEUXIEME
Le procès Jetzer
II
assuré être ses sœurs. Tout cela n'est pas bien clair.
les marques laissées par elle sur son corps. Enfin les
ARTICLE TROISIEME
II
III
Berne. Huit jours plus tard (31 mai 1509), des bûchers,
élevés dans une prairie au sud de la ville, mettaient
IV
clure.
tences.
CHAPITRE II
La Sorcellerie au de la Réforme
siècle
protestante
ARTICLE PREMIER
La Cour romaine
II
campagnes (1).
influence néfaste.
suivis.
46 LA SORCELLERIE EX FRANCE
ARTICLE DEUXIEME
II
III
arrêter les gens accusés par les sorcières qui les ont
IV
de là.
ARTICLE TROISIEME
Le Protestantisme et la Sorcellerie
sorcelleriei
œuvre de Satan, paraît être allé fort loin (1), bien qu'il
Geschichte des Tetifrls, 2 vol. in-8, Leipzig, 1869, t. II, p. 365 seq.
LA SORCELLERIE ET LA RÉFORME PROTESTANTE 67
« tins), il y a un étang ;
quand on y jette une pierre,
les autres fous ; c'est lui qui attire les enfants près
II
« lards ;
quand elles sont petites, la mort des jeunes
III
IV
ARTICLE PREMIER
II
p. 513 ;
—
BoDiN, p. 165 Garixet, p. 118.;
100 LA SORCELLERIE EN FRANCE
debout.
« Une nuit, Pierre s'étant frotté le corps comme
Michel lui avait enseigné à le faire et étant devenu
loup, se jeta sur un jeune garçon de six à sept ans,
III
515).
•
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 105
Hansen, p. 512.
;
PERSÉCUTIOX DES SORCIERS DU XVje SIÈCLE 107
ARTICLE DEUXIEME
I
108 LA SORCELLERIE EN FRANCE
prétoires.
I
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XYI*" SIÈCLE 109
II
i
110 LA SORCELLERIE EN FRANCE
I
—
I
114 LA SORCELLERIE EN FRANCE
III
(Garinet, p. 122).
I
116 LA SORCELLERIE EN FRANCE
(BoDix, 1. 2, c. 1, p. 100).
nature de la maladie :
avait vus jeter des poudres sur les maisons et les blés,
(l ) Garinet, p. 129 ;
— Baissac, p. 320.
124 LA SORCELLERIE EN FRANCE
envoûté.
i
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 125
IV
I
126 LA SORCELLERIE EN FRANCE
p. 660 seq,).
avait mangé trois noix ainsi que son frère, ce qui lui
I
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 133
(Garinet, p. 150).
H
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 137
VI
( Garinet, p. 153,-295
1 ) ;
—
Les sorcelleries de Henri de Valois,
et les ablations qu'il faisait au diable dans le bois de Vincenncs,
petit in-8 de 15 pages, 1589 ; —
liemonstrances à Henri de Valois
sur les choses horribles envoyées par un enfant de Paris. 1589, in-12.
I
138 LA. SORCELLERIE EN FRANCE
(1598).
seq.
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 139
1
140 LA SORCELLERIE EN FRANCE
VII
criminel, p. VII).
1602 ;
— Etoy récidivait bientôt: en un seul mois de
1609, elle assistait au supplice de sept sorcières.
n
154 LA SORCELLERIE EX FRANCE
J
PERSÉCUTION DES SORCIERS DU XVI^ SIÈCLE 155
p. 44 seq.
156 LA SORCELLERIE EN FRANCE
ARTICLE TROISIEME
(Démonolatrie, p. 245).
p. 273).
brûle.
L
162 L'^ SORCELLERIE EN FRANCE
qu'il a
Brice a également déterré un
enfant,
«
sinistres
tions (1) ». Tous les rêveurs de ces songes
II
III
encore.
J ) De Lancre, p. 95, 96 ;
— Calmeil, 1. 1, p. 439.
172 LA SORCELLERIE EN FRANCE
dation canonique.
Le supplice de cet innocent à Ascain répandit la
en longueur ;
pendant ce temps, les cinq prêtres
magiciens.
176 LA SORCELLERIE EX FRANCE
ARTICLE QUATRIÈME
ou d'autres circonstances.
Les mêmes théories rendent compte d'autres épi-
dinaire à la compression ;
quelquefois c'étaient des
tremblements qui semblaient secouer l'être entier,
siècle suivant.
II
affreux blasphèmes.
13
184 LA SORCELLERIE EN FRANCE
III
l'étrangler eux-mêmes.
Sainte Marie-Madeleine la préserva en cette extré-
quillité.
CHAPITRE IV
Le Grand Siècle
ARTICLE PREMIER
chant le sol ;
parfois ne pouvant parler, car un cra-
public immense.
II
nation de la communauté.
« Ce maléfice fut inventé au sabbat par Louis Gau-
fridi ; le diable, pour l'en récompenser, lui donna le
« ble ;
qu'elle en avait plusieurs égorgés, mangé
(( le cœur vif de plusieurs et signamment des
« enfants chrétiens. Aussi confessa d'avoir dérobé
« plusieurs enfants et les avoir tués pour les porter
phème et l'impureté.
III
St-Pierre.
tiers (1632).
buer (1633).
Laubardemont, rentré à la Cour, vint rendre compte
à Richelieu de la démolition du château ; il lui
IV
I
228 LA SORCELLERIE EN FRANCE
VI
—
Bosrogee, La Piété affligée.
;
—
Rouen, 1652, in-4 —
Floquet, t. V, p. 625 seq.
; Baissac, ;
—
p. 555 ;
—
Calmeil, De la Folie, t. II, p. 73 GôRRES, t. V, ;
—
p. 249, 279, 484 ;
—
Gariket, p. 237 seq.
230 LA SORCELLERIE EX FRANCE
dans le couvent.
Ce qui s'y passait, nous le savons déjà : les folies
(1) Nous avons donné dans notre tome I, p. 140 seq. le rapport
de cette commission.
LE GRAND SIÈCLE 233
ARTICLE DEUXIEME
juridiques ?
II
m
L'accusation de magie, lancée si facilement à cette
pendre au cou.
« Il fut prouvé, au procès, que le Maréchal et sa
auparavant.
« Dacquin, juif nouvellement converti au chris-
tianisme, déposa que Concini, en présence de sa
femme, lui avait ordonné de dire en hébreu quelques
vr
(Baissac, p. 574).
(Garinet, p. 203).
répondit : Poiret.
le bûcher (1).
ARTICLE TROISIEME
II
tendus témoins.
« Deux jeunes filles de dix-sept et dix-huit ans (1)
racontèrent qu'un enfant de sept à huit ans., qui se
disait sorcier, leur avait promis de les mener au sab-
bat, « ce qu'elles avaient accepté pour l'éprouver » ;
avec lui.
Haye du Puits.
sortilège.
m
Ce fut un progrès notable de distinguer le délit
(1 ) Garinet, p. 251 ;
— Calmeil, De la Folie, t. II, p. 171 seq.
LE GRAND SIÈCLE 263
des plus aigres et des plus amers. Marie Volet finit par
se rétablir complètement. La droiture du docteur de
266 LA SORCELLERIE EX FRAHCE
jugement (1).
(1 du merveilleux, t. II, p. 59
L. Figuier. Histoire Lkbrun, ;
—
—
)
1895, p. 163 —
Q-arinet, p. 253 seq. ;
;
—
D. Calmet, Traité sur
les apparitio7is des esprits, t. I, p. 72, 74 seq.
LE GRAND SIÈCLE 269
jeté sur les moulons ; mais il dit qu'il n'en ferait rien,
ARTICLE QUATRIÈME
La Cour du Roi
t. III, p. 227).
Londres.
La Chaussée soumis, suivant l'usage, avant le sup-
II
*
(1) Ravaisson, t. VI, p. 56, 63, 89, 219 et alibi, 335 ; t. VII,
p. 172 et passim.
(2) Ravaissox, t. VI, p. 80, 259.
282 LA SORCELLERIE EN FRANCE
sur toutes ces tristes affaires se trouvent dans Ravaisson ,t. VI,
paâsim.
LE GRAND SIÈCLE 285
III
mourir les gens par des signes de croix une autre sor- ;
ARTICLE CINQUIEME
d'elle (1).
30
296 LA SORCELLERIE EN FRANCE
II
LE GRAND SIÈCLE 30
III
Camisards (1700).
« Vers la fin de l'année 1700, une vieille fille, qui
IV
vendre... »
vulsions.
LE GRAND SIÈCLE 311
sonniers ».
cifiées (1) ».
de l'esprit prophétique ;
quant aux Calvinistes restés
en France, les précautions prises autour d'eux avaient
ARTICLE SIXIL.Mi;
p. 431; —
HoDHlGO, Historia verdadera delà Inquisicion,3 vol.in-8.
Madrid, 1877, t. II, p. 345 ;
—
Menendez y Pelayo, Historia de
las heterodoxos espanoles, 3 vol. in-8, Madrid, 1880, t. II, p. 666.
LE GRAND SIÈCLE 319
l'Europe entière.
En Italie, la persécution frappa cruellement cer-
II
III
IV
(1 ) SoLDAN, t. II, p. 40 ; —
Baissac, p. 590 ; —
Diefenbach,
p. 131 seq. ; — Leitschtth, Beitrdge zur Geschichie des Hexen-
icesens in Franken, Bamberg, 1883.
332 LA SORCELLERIE EN FRANGE
p. 115.
LE GRAND SIÈCLE 337
p. 633).
ARTICLE SEPTIEME
La réaction
leur culpabilité ;
quelquefois aussi, mais plus rare-
et préparé sa fin.
11
cents ».
III
morale en tout
; cas, le Roi se permettait le second, il
1693 seq.).
p. 233.
24
CHAPITRE V
Le siècle de la philosophie
ARTICLE PREMIER
pas mal de traces des vieilles idées et, sans parler des
écrivains, fidèles aux convictions démoniaques, qui
continuèrent de rompre des lances en faveur de la
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 361
p. 374).
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 363
paternel.
délire (1).
II
fla sur elle, ce qui lui fit une telle impression, qu'elle se
1
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 369
Ili
régulières du Châtelet ;
peut-être agissait-il ainsi pour
p. 52 seq.).
p. 460).
374 LA SORCELLERIE EN FRANCE
496).
J
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 377
du christianisme.
IV
272 seq.).
Article deuxième
II
I
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 389
austère (1).
a crevé avec une telle violence que j'ai cru que mon
corps se déchirait en deux, et dès qu'elle a été crevée,
par les pieds sur le sol, de se faire porter sur les épaules
d'un homme pendant dix heures consécutives, de se
J
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 393
porte :
III
\RT1CLE TROISIEME
logiques.
mes «.
elle qui les retient.... Mais c'en est assez pour faire
voir combien il était naturel que les peuples adop-
tassent ces préjugés et combien cependant il était
à ses juges ».
II
III
ARTICLE QUATRIEME
La Franc Maçonnerie
acharnés.
p. ;
Maçonnerie.
414 LA SORCELLERIE EN FRANCE
II
c. p. 36.
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 417
1. c, p. 37.
(2) Illustration of ilasonery by William Preston.P. Master of
the Lodge of Antiquity, Londres, 1799, in-S. —
Monde maçonni-
'_ue, t. III, p. 426 ;
—
Jouaust, p. 21.
418 LA SORCELLERIE EN FRANCE
III
III, p. 12 ;
— Raich, dans le Kirchenlexicon, art. Freimaurer.
422 LA SORCELLERIE EN FRANCE
IV
(Amiable, 1. c).
fraternité (1).
I
428 LA SORCELLERIE EN FRANCE
si fortement ébranlée
LE SIÈCLE DE LA PHILOSOPHIE 431
IV
1895,
Paris, in-8, etc.
La vérité sur Diana Vaughan. Paris, 1897.
436 LA SORCELLERIE EN FRANCE
Magnétisme et somnambulisme
ARTICLE PREMIER
II
III
décoration.
mations.
Dans ces partisans outranciers des manifestations
IV
que soupçonner.
Les adhérents de ce parti admettent donc l'exis-
culier.
Ils sont séparés sous bien des aspects des partis pré-
cédents, mais se rattachent à l'un ou à l'autre sous
autres partis.
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 459
ARTICLE UEl'MEMK
Mesmer
temps bornait
qu'il prodiges, — ses il recevait, à
(1) Bersot, 1. c, p. 3 ;
—
Lrettre du comte de Mirabeau à M***
(Francis de la Garde), sur iOI. Cagliostro et Lavater, Berlin,
1786 ;
—
L. FiGTTiER, t. III, p. 127.
462 LA SORCELLERIE EN FRANCE
II
I
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 467
III
de commencer ;
personne ne magnétisa la malade.
les yeux bandés, et sur une femme qui avait les yeux
découverts, amenèrent les mêmes résultats ; on
reconnut que leurs réponses étaien déterminées par
les questions qu'on leur posait. Au lieu de diriger
sur eux le magnétisme, on ne faisait que monter et
de la Médecine
D' Rondelet, La médecine dans le passé, article
internationale illustrée, xvn« année, oct. 1909, p.
319 Calmeil. ;
—
De la Folie, 434 seq. ;
t. II, p. —
L. Figuier, Histoire du mer-
III, p. 238.
veilleux dans les temps modernes, t.
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 47/
ARTICLE TROISIEME
Cagliostpo
prestiges de Cagliostro.
II
I
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 487
miration.
en ce moment, sa femme ;
puis, quand il fut parti, le
(1785).
III
s'être renouvelée.
ARTICLE QUATRIÈME
Le magnétisme animal
1
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 495
à Bayonne ; il
y guérissait un officier frappé d'un
coup de sang et aussi un petit chien, dont la guérison
fit autant de bruit que celle de l'officier.
II
p. 246 ;
— Binet et Féré, le Magnétisme ani-
mal, p. 22.
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 501
p. 24.
'
33
504 LA SORCELLERIE EN FRANCE
à
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 505
III
(1) Bersot, p. 37 ;
— A. Bkrtraxd, p. 247 ;
— Bixet et
Féré, p. 22.
I
512 LA SORCELLERIE EN FRANCE
IV
connaître sa nature.
Aux théories fluidiques, diverses modiflcations
I
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 519
ARTICLE CINQUIEME
Le somnambulisme
de la nouvelle médication.
animal, p. 18 ;
II
trop étroit.
p. 241).
LOUBERT, p. 176).
III
grand bien ;
prescrivait le nombre et la quantité des
les jette par terre, les unes après les autres. Arrivée
—
;
p. 57 ;
—
Gauthier, t. II, p. 337, 359, 366 Deleuze, Ins- ;
35
536 LA SORCELLERIE EN FRANCE
IV
leur mettre sous le nez les odeurs les plus acres, ils
I
MAGNÉTISME ET SOMNAMBULISME 537
t. II, p. 335 ;
—
LOUBERT, p. 352.
538 LA SORCELLERIE EN FRANCE
p. 252, 260).
chent, en efïet, les yeux fermés, ou, s'ils ont les yeux
ouverts, ils ne semblent pas s'en servir. Bien des faits
d'expérience ont prouvé que sans toucher le ma-
lade, si on interpose un carton entre les yeux et
toujours convaincus.
On était arrivé ainsi au milieu du xix^ siècle, sans
avoir tranché définitivement la question de la réalité
des phénomènes magnétiques, et s'ils restaient réels,
celle de leurs causes : fumisterie, hallucination, aber-
Pages
Avant-propos V
Chapitre"!. — Lés DôMiNicÀiNS dE Berne 1
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