Méthodes D'exploitation Souterraine: January 2021
Méthodes D'exploitation Souterraine: January 2021
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Université de Kolwezi
Troisième Graduat
©YILY@2021
Méthodes d’exploitation souterraine
Yannick Ilunga Yano
Master of Business Administration
Ingénieur Civil des mines
Université de Kolwezi
Troisième Graduat
©YILY@2021
Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 Page |1
Introduction
Ce cours des méthodes d’exploitation vient en complément des cours d’exploitation des mines.
Dans les cours d’exploitation des mines, deux méthodes principales sont en lignes, l’extraction à
ciel ouvert, et l’extraction en mines souterraines. Ce cours traite de l’extraction des minerais par
les méthodes souterraines.
Objectifs
Prérequis
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Contents
Introduction ..................................................................................................................................... 1
Objectifs ...................................................................................................................................... 1
Prérequis ..................................................................................................................................... 1
Crédit........................................................................................................................................... 1
References ....................................................................................................................................... 5
Chapitre 1. Généralités.................................................................................................................. 11
Introduction ............................................................................................................................... 11
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Conception ............................................................................................................................ 29
Boisage.................................................................................................................................. 36
Mur-long ............................................................................................................................... 42
APPLICATIONS .......................................................................................................................... 58
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Application 1............................................................................................................................. 58
Application 2............................................................................................................................. 73
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References
Darling, P. (Ed.). (2011). SME MINING ENGINEERING HANDBOOK (3 ed.). Society for
Mining, Metallurgy, and Exploration, Inc.
(n.d.). Kamoto Copper Company : Executive Summary Report for Kamoto Redevelopment Project.
Hatch.
Tatiya, R. R. (2013). Surface and Underground Excavations (2 ed.). London, UK: Taylor &
Francis Group.
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Figure 2. Coûts du capital estimés pour six types de mines souterraines, toutes avec accès par puits.
....................................................................................................................................................... 20
Figure 3. Coûts opératoires estimés pour six types de mines souterraines, toutes avec accès par
puits. .............................................................................................................................................. 20
Figure 7. a) Jumbo à deux bras. b) foreuse pneumatique. c) CTB (LHD). d) soutènement par treillis
et boulons ...................................................................................................................................... 25
Figure 8.Classification des méthodes d'extraction - Basée sur les caractéristiques du déposit .... 26
Figure 9. a) Développement des chambres durant l'extraction par chambres et piliers et b) types de
chambres et nomenclature utilisées pour les systèmes montrés ................................................... 28
Figure 13. a) vue picturale - Sous niveaux vidés b) Sous-niveaux vidés longitudinaux. c) Sous-
niveaux vidés Transversaux .......................................................................................................... 35
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Figure 14. Design de chambre - Boisage. a) à d) schémas pour installation des réseaux de
soutènement dans une chambre sous des pentes et épaisseurs variables pour un déposit. e) section
longitudinale pour un boisage. ...................................................................................................... 37
Figure 18.a) vue picturale – extraction par mur long. b) faces de long mur avec unités unique et
doubles c) faces de mur long -avançant et retraité ........................................................................ 43
Figure 22. Système foudroyage en bloc. Des détails de foudroyage de masse commençant de la
surface. Étapes progressives durant le foudroyage montrée (dessous) ......................................... 51
Figure 23. Vue isomérique des panneaux des opérations de foudroyage ..................................... 52
Figure 24. Comparaison des méthodes d'exploitation- basée sur les paramètres opérationnels... 54
Figure 25. Sélection des foreuses et accessoires pour les différentes méthodes d'exploitation.... 55
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Figure 29. Localisation du projet Kamoa-Kakula en relation avec la géologie régionale de Kamoa
et de la zone Kolwezi .................................................................................................................... 60
Figure 30. Les zones prospectées dans les permis d'exploitation combinés ................................. 61
Figure 33. Section Nord-Ouest à Sud-Est à travers Kakula illustrant les nombreuses unitésde
silistones développées à travers la base de Ki 1.1.1 ..................................................................... 64
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Chapitre 1. Généralités
Introduction
Nous appelons méthode d’exploitation, la description d’unique combinaison des variables qui
décrivent les procédés d’excavation des roches pour récupérer les minéraux valorisables, ensemble
avec les caractéristiques essentielles d’excavation. D’emblée, nous avons les méthodes
d’exploitation à ciel ouvert, et les méthodes d’exploitation souterraines.
Dans le siècle courant, l’exploitation minière est directement liée aux excavations à large échelle
que ce soit à ciel ouvert ou en souterrain. Ceci est dû à la diminution des teneurs et des valeurs des
produits (mesurées en temps réelles), mettant une pression sur les marges de profit et conduisant
aux exigences d’amélioration de l’économie d’échelle.
La seule variable très importante influençant la sélection d’une méthode d’exploitation sera
toujours la géologie du déposit minéral. Les autres variables sont :
La méthode d’exploitation optimale est toujours celle qui maximise les revenues tout en gardant
l’impact environnemental à des niveaux acceptables, maintenant les conditions de travail
acceptables (spécialement en regards aux niveaux des risques de sécurité) pour les employés, et
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 12
satisfaisant aux obligations statutaires (incluant les stipulations de récupération des ressources).
Collectivement, ces objectifs satisferont l’objectif d’efficacité d’usage des ressources minérales.
Dans les mines souterraines, la sélection de méthode d’exploitation est très vitale. Elle a un impact
direct sur la sécurité, la productivité, le coût, et la récupération. Il y a un nombre des paramètres
des paramètres qui pourrait être étudiés détaillés comme pratiques. Il y a des cas où dû à une
mauvaise sélection des méthodes d’extraction, les mines ont fermées. Pendant la sélection de
méthode d’exploitation, la stabilité des terrains et la nature des minerais et des roches encaissantes,
doivent bien étudiées.
1. Ouvertes ou autosupportées
2. Supportées par des moyens artificiels
3. Foudroyées
Dans les excavations supportées naturellement, lesquelles sont connues comme excavations
ouvertes, les conditions des minerais et des roches encaissantes permettent des excavations de
larges dimensions dans lesquelles des grands minages peuvent être faits. Dans ces excavations, les
équipements lourds peuvent être déployés pour épuiser rapidement les réserves.
Dans les excavations supportées artificiellement, l’usage des soutènements est obligatoire, qui en
revanche, réduit la productivité et augmente les coûts, épuise les réserves lentement.
Les minerais fragiles et foudroyables, en lieu de problèmes posés, peuvent être satisfaisant si les
excavations sont correctement désignées. La production en vrac peut être obtenue de ces méthodes
d’excavation foudroyantes.
Les facteurs principaux gouvernant le choix d’une méthode d’extraction (Tatiya, 2005) :
1. La forme et les dimensions du déposit : basée sur la forme nous avons les corps
minéralisés :
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o Isométrique
o En couche
2. L’épaisseur du déposit
o Très mince : épaisseur moins de 0.7 m
o Mince : 0.7-2 m
o Moyenne : 2 -5 m
o Epais : 5-20 m
o Très épais : au-delà de 20 m
3. La pente du déposit
o Plat : 0 à 20 °
o Semi-dressant : 20 à 50 °
o Dressant : au-delà de 50 °
4. Les caractéristiques physiques et mécaniques des minerais et des roches encaissantes
o Minerais et roches très instables
o Minerais et roches instables
o Minerais et roches moyennement stables
o Minerais et roches stables
o Minerais et roches très stables
5. Présence des perturbations géologiques et l’influence des directions des joints et
séparations
6. Le degré de mécanisation et la production requise
7. Les teneurs des minerais et leur distribution, et la valeur des produits
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Or 5 à 10 ppm 5 à 10 ppm
Nickel 1à4% 5 à 20 %
Plomb et Zinc 10 à 20 % 15 à 30 %
8. La profondeur du déposit
9. La présence des eaux
10. La présence des gaz
11. La susceptibilité des minerais et des roches encaissantes à se solidifier et à l’oxydation
Tableau 2. Déposits tabulaires classifiés par pente et relativement à la manutention et la résistance de roche
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Avec l'augmentation de la pente, le chargement et le transport des déblais deviennent faciles ((a) et (b)). Le remblayage est parfait
dans les pentes fortement inclinées (e), et pas trop serré dans les pentes plates(f). (g) dans l’extraction de pendage dressant non-
cohérent peut être exécutée par foudroyage, et les travailleurs sont en danger dans ce type de déposit. (h) l’influence de la direction
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 18
des joints durant l’extraction. Si l’extraction est exécutée comme marquée a- ce n’est pas correct, si c’est extrait comme b- c’est
juste, mais quant il est fait comme c- c’est meilleur.
La pente du déposit est un des plus importants paramètres, qui gouvernent un système ou une
méthode d’extraction. D’habitude, la classification suivante est appliquée pour les pentes des
déposits (Tatiya, 2005) :
• Plateur : 0° et 20 °
• Semi-dressant : De 20° à 50 °
• Dressant : au-delà de 50 °
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Les considérations typiques qui doivent être pondérées dans la sélection d’une méthode
d’exploitation :
• Maximiser la sécurité
• Minimiser le coût (les méthodes d’extraction en bloc diminuent les coûts opératoires mieux
que les sélectives)
• Minimiser le calendrier requit pour achever la production complète
• Optimiser la récupération (80% ou plus des resserves géologiques)
• Minimiser la dilution (20% ou moins des roches stériles qui peuvent ou ne pas contenir les
minéraux économiques)
• Minimiser le temps des cycles des opérations
• Maximiser la mécanisation
• Maximiser l’automation (l’utilisation des équipements téléguidés)
• Minimiser le développement en préproduction (l’extraction de haut en bas contre
l’extraction de bas en haut)
• Minimiser le développement en extraction
• Maximiser l’assistance de la gravité
• Maximiser le soutènement naturel
• Minimiser la période de rétention
• Maximiser la flexibilité et l’adaptabilité
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Figure 2. Coûts du capital estimés pour six types de mines souterraines, toutes avec accès par puits.
Figure 3. Coûts opératoires estimés pour six types de mines souterraines, toutes avec accès par puits.
Déclaration d’entrée
Pour le choix d’une méthode d’exploitation les éléments suivants sont primordiaux :
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L’infrastructure d’une mine souterraine est plus complexe que celle d’une mine à ciel ouvert
(Abzalov, 2016) :
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L’index DQR est défini comme le pourcentage des pièces de carottes intactes de longueur de plus
de 100 mm sur la longueur totale des carottes. La carotte devrait être d’une taille minimale (54.7
mm de diamètre) et devrait être foré avec une barre carottant à tube double. Les procédures de
mesure de longueur des pièces de carotte et les calculs de DQR est illustré de la manière suivante.
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Avec :
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Les mines souterraines sont utilisées pour accéder et exploitées les corps minéralisées qui ne sont
pas généralement exposés à la surface et suite à des raisons techniques et économiques ne peuvent
pas être extraits par des méthodes à ciel ouvert.
Les conditions difficiles des mines souterraines ont conduit à la fabrication des machines
dédicacées pour ces mines. C’est le cas des Jumbos pour le forage horizontal, des chargeuses
transporteuses et bennant, et des cages.
Figure 7. a) Jumbo à deux bras. b) foreuse pneumatique. c) CTB (LHD). d) soutènement par treillis et boulons
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Classes Sans
d'extraction soutenement Soutenu Foudroyage
Géométrie de
deposit
Tabulaire Tabulaire Tabulaire Tabulaire Forme Variable Tabulaire Toute forme Tabulaire Tabulaire ou massive Masiive
Plateure Plat Dressant Dressant Dressant Dressant Toute pente Plat Dressant Dressant
Mince Epais Mince Epais Mince Mince Epais Mince Epais Epais
Grade Dimension Grande Dimension Toute dimesnsion Grande Dimension Toute Diimension Faible dimension Toute dimension Grande Dimension Grande Dimension Grande Dimension
Méthode
d'exploitation
Chambre et Sious niveaux Coupé et Stull Stoping Square Set Longwall mining Sous niveaux Froudroyage en
Chambre et Pilier Soutirages
piliers stoppé remblayé stoping foudroyés block
Figure 8.Classification des méthodes d'extraction - Basée sur les caractéristiques du déposit
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Chambres et piliers
Dans les chambre et piliers, les couches minces litées ou tabulaires aux couches modérément
épaisses de pendage allant de la plateure au semi-dressant (jusqu’à 40° environ) sont extraites en
creusant des galeries rectangulaires ou carrées aboutissant sur le déposit. Un pilier qui sépare deux
ouvertures adjacentes est laissé pour fournir un soutènement naturel. Si le déposit est continu et
les ouvertures sont creusés d’une manière systématique, alors l’apparence en plan pourrait être
d’une cité avec des blocs rectangulaires qui sont interceptés par des avenues.
Cette méthode est très populaire pour l’extraction des déposits de charbon, des minerais de cuivre
(mines souterraines de Kamoto et de Kamoa à Kolwezi). Ce terme de chambre et pilier est aussi
d’application pour les déposits autres que le charbon, mais dans les cas des déposits autre que le
charbon, la méthode en général, a été désigné comme extraction par Chambre et pilier.
• Resistance des minerais : Faible à modéré (ces variantes peuvent extraire des forts corps
minéralisés aussi)
• Resistance de la roche : modérée à forte
• Forme de déposit : tabulaire
• Pente du déposit : Faible (d’habitude moins de 15°, mais ces variantes peuvent extraire des
corps minéralisés jusqu’à des pentes de 40°)
• Forme et épaisseur : large extension, épaisseur moins de 5m, sinon plusieurs minages en
banc sont requis.
• Teneur du minerai : modéré
• Profondeur : Peu profondes à modérée (moins de 500 m)
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Le design habituel pour développer une mine pour adopter cette méthode d’extraction est de
développer premièrement les principale voies de roulage. Simultanément la mine est divisée en
panneaux (similaire à ceux de la figure suivante).
Figure 9. a) Développement des chambres durant l'extraction par chambres et piliers et b) types de chambres et nomenclature
utilisées pour les systèmes montrés
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Conception
Avec :
Pour des piliers rectangulaires ou des piliers de formes irrégulières, avec R le ratio d’extraction, la
force sur le pilier est de :
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Avec :
• AM : l’aire extraite
• AT : l’aire total
• AP : L’aire du pilier
Avec :
Le coefficient de sécurité est défini comme le rapport de résistance sur les sollicitations et doit être
supérieur à 1.
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 31
Introduction
Comme discuté dans la section précédente, pour extraire un corps minéralisé moyennement à très
dure, allant de la plateure à semi-dressant, avec des conditions de roches compétentes, la méthode
prévalente est la chambre et pilier. Mais si la pente du déposit change au dressant et les autres
conditions restent les mêmes, le déposit peut être extrait par la méthode de retrait. Dans cette
méthode, une cellule est premièrement extraite à travers sa largeur et sa longueur à une hauteur
d’environ 10 m du niveau d’extraction (niveau de roulage). Cet horizon est connu comme niveau
de soutirage. Les déblais minés générés sont déchargés dans des entonnoirs développés sous ce
niveau, et quand ces entonnoirs sont remplis des déblais, les excédents sont extraits à partir du
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 32
point de soutirage, qui connecte les entonnoirs à la galerie d’extraction. Après le dépouillement
des cellules dans le sens, la hauteur de l’arrière de dépouillement au-dessus des entonnoirs remplis
de déblais est de 2 m. Les mineurs sont autorisés de travailler sur les déblais minés sous le toit ou
l’arrière exposé, et quand la prochaine tranche, de 2 m, est foré et miné dans l’arrière, la distance
entre ce nouvel arrière exposé et l’entonnoir est de 4 m. mais l’espace occupé par les déblais minés
est de 2.6 m en hauteur et non 2m. Ceci est du au phénomène de foisonnement qui est de 30 – 33
% du minerai en place, et donc la hauteur restante sur les déblais minés est seulement de 1.4 m, et
ceci signifie qu’un travailleur ne peut pas travailler sur cette faible hauteur. Alors la pile de déblais
sur l’entonnoir est autorisée à être soutiré, en permettant le déblayage du point de soutirage, à peu
près 0.6 m, ainsi donc la hauteur de travail est autour de 2m. Ce mécanisme de foisonnement de
volume après le minage du minerai en place d’a peu près 33 % et de permettre les déblais minés
d’être soutiré par le même point est appliqué durant l’extraction, et donc, donne le nom
d’extraction par soutirage.
Ainsi donc, la cellule ou la chambre est toujours pleine des déblais minés, qui fonctionne comme
marchepied pour les hommes et les machines. Ces déblais supportent tous les parois. Quand on
atteint la hauteur complète de la chambre en gagnant les minerais par tranches dans ce sens, la
chambre est pleine de déblais et le déblayage à partir du point de soutirage peut être exécuté en
complète bascule. Cette méthode donne une opportunité de stocker le minerai pour se prémunir
contre la fluctuation des prix de minéraux.
Conditions favorables
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 33
Introduction
Comme décrit, l’exploitation par soutirage est une des vielles méthodes mais il a été réalisé qu’elle
souffre avec certains bouchages durant l’extraction. Exécuter les opérations de forage et de minage
en se tenant sur les déblais sous un toit exposé et avec un soutirage seulement au tiers des déblais
minés de la cellule à un temps bien précis sont les points faibles proéminent entre autres. Par
conséquent, extraire des corps minéralisés tout à fait fortement dressants ayant une roche
encaissante compétente, et même s’ils sont très minces, une méthode connue comme extraction
par sous-niveaux vidés vint en opération.
Dans cette méthode (figure suivante), le corps minéralisé est divisé en niveaux, et entre deux
niveaux les chambre se dimensions convenables sont formés. Un pilier costal est laissé séparant
deux chambres adjacentes. Un pilier couronne est laissé au-dessus de chambre pour protéger le
niveau de dessus, cependant le niveau bas est utilisé comme niveau de roulage pour rassembler les
minerais des différentes chambres. Verticalement l’extraction est divisée en un nombre d’horizons
par des galeries de forage convenablement positionnées, appelées sous-niveaux, et par conséquent
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 34
le nom de sous-niveaux vidés. Quand les foreurs utilisés pour les objectifs de forage des chambres
sont des foreuses de trous de mine, comme cela, de fois cette méthode est appelée extraction par
trous de mines. La figure suivante au point b) nous voyons un design d’une extraction de cuivre
des années 1970.
Cette méthode est allée à travers des modifications avec l’avènement d’équipement disponible
pour le forage et les innovations qui ont été apportées à travers les techniques de minage. Basé sur
ces concepts, les sous niveaux vidés peuvent être classifiées en :
• Sous-niveaux vidés avec minage en banc – avec utilisation des foreurs conventionnels
• Extraction par trous de mines -avec utilisation des foreurs de trous de mine
• Extraction pad Grand/Large trous de mines – avec utilisation des foreurs de grand diamètre
comme le Forage Fond trous (FFT).
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 35
Figure 13. a) vue picturale - Sous niveaux vidés b) Sous-niveaux vidés longitudinaux. c) Sous-niveaux vidés Transversaux
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 36
C’est la dernière version des sous-niveaux vidés dans laquelle il est fait usage du forage fond trou
(FFT) capable de forer des trous de mine de 150-200 mm de diamètre et de longueur de +40 m.
Avec l’usage des foreurs pareils, les trous de mine peuvent être foré jusqu’à des profondeurs allant
jusqu’à 150 m, dépendant des conditions des terrains et de la capacité des machines de récupérer
les tiges et les taillants. La hauteur de la chambre peut, alors, variée conséquemment.
Le forage est planifié d’un seul horizon. L’accès à l’horizon de forage est fait à travers une rampe
ou un incliné commun servant un nombre de chambres et commençant immédiatement au-dessus
du niveau de roulage. Le design de l’extraction pour le déblayage de la chambre est le même
comme celui décrit pour les sous niveaux vidés transversaux. Les versions suivantes sont les deux
versions disponibles :
Boisage
Introduction
Un boisage est un soutènement qui est monté entre deux murs d’un déposit incliné. Pour
l’utilisation comme boisage, habituellement les bois d’une longueur de plus de 4 ne sont pas
disponible. Prenons en considération tous ces paramètres, une méthode connue sous le nom de
boisage a été conçu, ce qui veut dire une méthode d’extraction qui est applicable pour les corps
minéralisés dressant mince avec des murs faibles requérant un soutènement sous la forme de
boisage.
Les systèmes d’exploitation ouverts et soutenus sont applicables pour l’extraction des déposits de
toute forme, dimensions, et épaisseur. Mais le système de soutènement, sans remplissage et avec
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 37
l’utilisation des bois, est utilisé pour exploiter les déposits allant jusqu’à 4 m d’épaisseur, rarement
plus. Ceci est du au fait qu’a part l’indisponibilité des longs bois, comme mentionné ci-haut, le
boisage dans les corps minéralisés dressant sans remplissage, est compliqué. Avec l’augmentation
de l’épaisseur, ça devient pratiquement impossible particulièrement dans le cas des murs rocheux
faibles.
Figure 14. Design de chambre - Boisage. a) à d) schémas pour installation des réseaux de soutènement dans une chambre sous
des pentes et épaisseurs variables pour un déposit. e) section longitudinale pour un boisage.
Conditions
Le système est caractérisé par l’utilisation régulière de boisage dans les chambres et aussi aux
ouvertures faites dans les roches stériles (e). Les conditions suivantes sont souhaitables en général,
pour l’application du boisage :
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 38
• Resistance des minerais : Tout à juste forte à forte (plus compétente que le couper et
remplir)
• Resistance des roches : modérée à tout juste faible
• Forme de déposit : approximativement tabulaire, elle peut être irrégulière aussi
• Pente du déposit : habituellement dressant mais peut être appliquée pour les plateures aussi
elle sera similaire à l’extraction par mur long, ou extraction en sein.
• Dimension et épaisseur : petite, mince et pas plus de 4 m
• Teneur : tout à fait uniforme et haute
• Profondeur : pratiquée jusqu’à 1 km.
Applications
Dans les pratiques passées dans plusieurs mines, mais actuellement les applications sont limitées.
Les minerais incluent le cuivre, le zinc, le plomb, l’étain, l’uranium, et pleins d’autres.
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 39
Couper et Remblayer
Introduction
Comme le nom l’indique, dans cette méthode le corps minéralisé est coupé en tranches et un
remplissage d’une sorte spéciale remplace le vide ainsi créer. Par conséquent, une excavation est
exécutée en montant commençant par le niveau/horizon au-dessus du piler d’appui. Initialement,
deux tranches de 2.5-m-3 m chacune sont prises. Le premier est alors rempli d’un produit de
remblayage, qui devient le marche pied pour l’équipe et les équipements pour exploiter la tranche
subséquente. Cette procédure est répétée jusqu’à ce que la hauteur du corps minéralisé soit atteint.
Durant cette opération, les opérations unitaires sont exécutées dans un ordre cyclique de forage,
minage, chargement, transport, et remblayage à l’intérieur de la chambre.
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 40
• Division du déposit en niveaux avec des intervalles jusqu’à 45-90 m tout le long de
l’extension
• Dimension des principaux niveaux et entrées des chambres = 2.5-7 m
• Hauteur des ouvertures = 2-4 m (basée sur la hauteur des équipements)
• Longueur des chambres = 60-600 m
• Largeur minimum des piliers entre chambres = 10m
• Hauteur des chambres = intervalles entre niveaux, jusqu’à 90 m
• Dimension des puits et descenderies = 1.8 m -2.4 m2, avec des espacements jusqu’à 60 m
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 41
Ensemble carré
Introduction
Se referrant aux différentes formes de soutènement qui sont d’usage dans les mines, l’une d’elles
est l’ensemble des carrés. Il consiste en des membres connus comme grenaillage, casquette, et
postes (figure suivante).
Dans ces ensembles, les composants sont d’habitude de 1.8 – 2.4 m en longueur et la hauteur
(postes) varie de 2.4 – 3m. la caractéristique importante de ce type de support est qu’il peut être
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 42
étendu dans toutes les directions en ajoutant les membres pour couvrir l’excavation complète qui
nécessite le soutènement immédiat.
Conditions convenables
Éléments principaux
Méthodes de foudroyage
Mur-long
Introduction
C’est l’une des plus anciennes méthodes d’exploitation étant pratiquée dans le monde entier pour
extraire des déposits minces et plats, particulièrement les gisements de charbon. Le système est
caractérisé par une longue face (autour de 100 m et plus) connue comme mur, établi autour d’un
panneau entre des séries d’entrées et retraitées ou avancées par des minces ouvertures, permettant
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 43
Figure 18.a) vue picturale – extraction par mur long. b) faces de long mur avec unités unique et doubles c) faces de mur long -
avançant et retraité
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Cours des méthodes d’exploitation souterraine V1 P a g e | 44
Au toit (mur supérieur) de se foudroyer (figure suivante). La largeur de front de taille est de
quelques mètres et il est gardé soutenu en utilisant des supports cédants de différentes sortes –
conventionnels ou autorisés. Comme la coupure est faite le long du front, le soutènement est
enlevé, avancé et réarrangé permettant au toit de foudroyer en arrière. Étant donné qu’une longue
face caractérise cette méthode, laquelle semble être un mur long, avec un toit à porte à faux, ainsi
dit le nom d’exploitation long mur.
Conditions convenables
• Resistance des minerais : toutes, mais dans le charbon, qui est faible, la méthode est très
convenable particulièrement au charbon coupé par un mineur continu
• Résistance de la roche : faible à modérée mais foudroyable
• Forme du déposit : tabulaire
• Pente du déposit : Plat, faible (inférieure à 12°) et uniforme
• Taille et épaisseur : extension large le long et au travers de la pente
• Teneur : modérée mais uniforme
• Profondeur : 150 m – 900 m dans le charbon et jusqu’à 3.5 km pour les déposits autres que
le charbon
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Sous-niveaux foudroyés
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Introduction
Dans cette méthode, similaire aux sous-niveaux vidés, le corps minéralisé dressant et résistant est
divisé en un nombre de sous niveaux (entre deux voies de roulage) mais l’extraction du minerai se
fait par minage des trous forés en éventail dans le corps minéralisé, au plus haut hors de sous-
niveau, et les déblais minés est enlevé immédiatement et benné dans la cheminée à minerai foncé
pour cet effet pour délivrer le minerai au niveau de roulage dessous. Le vide créé permet au mur
du toit et les roches dessus, qui est faibles, fracturée et foudroyable (pas comme les sous-niveaux
vidés le mur et les roches du toit sont compétents) pour foudroyer dedans. Dans un corps minéralisé
très large, le vidage de l’horizon est fait transversalement de contact de son extrémité du mur du
toit vers son extrémité du mur de gisement tout le long de la longueur de la chambre (figure
suivante a), dans lequel, dan les plus larges au minces corps minéralisés (pas moins de 6 m
d’épaisseur) il est effectué d’un bout de la chambre vers l’autre bout longitudinalement (figure
suivante b). La même procédure est répétée à chaque horizon de sous-niveau en commençant du
plus haut jusqu’à atteindre le plus bas. Étant donné que la chambre est divisée en un nombre de
sous-niveaux et foudroyant des murs du toit est autorisé simultanément, d’où le nom des sous-
niveaux foudroyés.
Dans l’ordre d’assurer le foudroyage correct des murs du toit et des roches du toit, et la descente
en douce des minerais abattus à travers les galeries de collection, une étude correcte doit être menée
pour décider des dimensions des ouvertures variées qui sont inclues dans le design de chambre.
Les paramètres proéminents entre autres sont les dimensions des galeries, l’intervalle entre
horizons sous-niveaux, l’espacement entre les travers bancs, l’inclinaison et l’écartement entre
séries des trous des mines.
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Figure 20. a) vue picturale - sous-niveaux foudroyés. b) design-sous-niveaux foudroyés longitudinaux. c)Sous-niveaux foudroyés
transverses
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Conditions convenables
• Resistance des minerais : moyenne dure à dure requérant la fragmentation par forage et
minage mais moins dure que ceux convenant pour les méthodes d’exploitation non
supportées
• Résistance des roches : faible à modérée mais fracturée, jointifs et foudroyables
• Pente du déposit : dressant mais peut être appliquée aux pentes plates, dans ce cas ça va
ressembler au minage des murs longs avec foudroyage
• Dimension et épaisseur : extension large le long et de travers la pente, épaisseur supérieure
à6m
• Teneur : modérée mais uniforme comme la sélectivité n’est pas possible
• Profondeur : modérée, pratiquée jusqu’à 1.2 km
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• Inclinaison des fans = vertical à 70-80° (figures suivantes e à f), inclinaison des trous en
extrêmes 70-85° (figure suivante d)
• Espacement du ring = 1.2 – 1.8 m
Foudroyage en bloc
Introduction
Ce système est caractérisé par la coupure des minerais par l’action du foudroiement initié quand
le soutènement est abandonné d’une aire dimensionnelle (lequel a été une fois pour toute) sous la
colonne de minerai (bloc), le permettant de se foudroyer de l’intérieur. Au même moment une série
de travail est coupé le long de limites planes verticales qui fragilise son saut vers le solide. La
gravité et la pression des roches de recouvrement permet le minerai fragmenté de se foudroyer,
ainsi donc remplissant graduellement, l’espace est libéré. Donc, pas comme les sous-niveaux
foudroyés, pas seulement les murs (du toit comme du mur) et les roches du toit mais aussi le
minerai lui-même doivent être fragile, fracturées et foudroyables. Le minerai foudroyé est
déchargé à travers les passes de minerai, lesquelles sont connues par les structures comme :
funnels, cheminés doigts, Bells, etc. connectant soit au niveau de la trémie pour le triage (dans
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certains designs), ou directement au travers qui sont connectés aux galeries d’extraction. Le
déblayage par chargeuse transporteuse, ou directement déchargés dans les véhicules des mines à
travers les chutes permettant le transfert les déblais de la chambre pour les dispositions ultérieures.
Du fait que le corps minéralisé soit divisé dans des blocs de larges dimensions, et le foudroyage et
l’extraction de l’ensemble du bloc commence à un temps, d’où le nom de foudroyage en bloc.
Dans l’ordre d’assurer le foudroyage correct des murs et des roches du toit, et un écoulement
adouci du minerai foudroyé à travers les galeries de collection ; une étude correcte doit être
entreprise pour décider de dimension des diverses galeries qui sont incluses dans le design de la
chambre. Les paramètres proéminents entre autres sont les dimensions des funnels/cheminés
doigts, et l’espacement entre eux.
Conditions convenables
• Resistance des minerais : faible, tendre, friable, fracturée et/ou jointé. Il pourrait foudroyer
librement sous son proprement poids quand sous-coupé. Il pourrait ne pas coller si humide
et pas automatiquement s’oxydé
• Resistance de roche : faible à modérée mais fracturée, jointée et foudroyable. Presque les
caractéristiques similaires comme le minerai. La limite roche minerai devrait être distincte
• Forme du déposit : tabulaire épaisse ou massive. Régulier préférablement
• Pente du déposit : dressant mais peut être appliquée à la plateure si le déposit est épais
• Épaisseur et dimension : extension large le long et à travers la pente, épaisseur supérieure
à 30 m
• Teneur : peut être faible mais uniforme comme la sélectivité n’est pas possible
• Profondeur : modérée, pratiquée jusqu’à une profondeur de 1.2 km. Si la profondeur est
suffisante donc la résistance de recouvrement pourrait excéder celle de la roche (le mur de
dessus), ainsi la subsidence en surface peut être réduite.
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Figure 22. Système foudroyage en bloc. Des détails de foudroyage de masse commençant de la surface. Étapes progressives durant
le foudroyage montrée (dessous)
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Sur le diagramme suivant, une comparaison des aspects techniques des méthodes d’exploitation
prévalentes a été faite. Basée sur cela, il pourrait être résumé que le foudroyage en bloc pourrait
être considéré comme une méthode d’extraction en masse, et il est en opération dans différentes
parties du monde produisant des grandes quantités de minerais.
La prochaine ligne renferment les méthodes comme le foudroyage en sous-niveaux, les sous-
niveaux vidés (extraction par gros trous de mine), l’extraction supportée amplifiée par mur long,
et l’extraction mécanisée par couper et remblayer. De toute manière, les méthodes d’extraction
supportée sont couteuses. Les méthodes par foudroyage sont sujets à une forte dilution et une
subsidence des strates sus-jacentes qui ultimement résulte dans une dégradation des terrains de
surface. Les méthodes d’extraction ouvertes requièrent plus de développements, le forage et le
minage desquels résultent ultimement des coûts de production élevés. La fragmentation des
minerais est la principale tâche dans ces extractions. L’utilisation des bois comme supports devient
de plus en plus obsolète à cause de la diminution de sa disponibilité et des réglementations
forestières, du coût, et des dangers au feu.
De nos jours, le remblayage par pate est évidement la sélection par défaut dans la planification des
nouveaux projets. C’était installé aux vieilles mines pour remplacer ou suppléer un système de
remblayage existant. Avec l’application des unités non tractées, des changements ont été apportés
dans le système des chambres et piliers. Il pourrait être appliqué à des pentes allant jusqu’à 60 °,
et aussi dans des corps minéralisées ou des déposits de charbon larges ; mais la méthode souffre
sur son compte de faible taux de récupération quand les piliers ne sont pas pleinement récupérés.
Pour extraire des couches de charbon minces et étendues, la méthode par mur long avec des
soutènements auto avançant et un réseau des défonceuse-chargeuses est aussi en ligne dans certains
pays.
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Figure 24. Comparaison des méthodes d'exploitation- basée sur les paramètres opérationnels
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Figure 25. Sélection des foreuses et accessoires pour les différentes méthodes d'exploitation
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APPLICATIONS
Application 1
Voici la localisation et les données disponibles des mines de Kamoa (Kamoa Copper SA : Kamoa-
Kakula Project. Kamoa-Kakula Integrated Development Plan 2019., 2019) :
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Figure 29. Localisation du projet Kamoa-Kakula en relation avec la géologie régionale de Kamoa et de la zone Kolwezi
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Figure 30. Les zones prospectées dans les permis d'exploitation combinés
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Figure 33. Section Nord-Ouest à Sud-Est à travers Kakula illustrant les nombreuses unitésde silistones développées à travers la
base de Ki 1.1.1
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Figure provided by Ivanhoe, 2016; black line is the trace of the cross-section shown in Figure 7.13;
grey areas represent domes or leached zones; blue lines are interpreted faults; black dashed lines
represent north-west oriented thickness trend.
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Figure provided by Ivanhoe, 2016; black line is the trace of the cross-section shown in Figure 7.13;
grey areas represent domes or leached zones; blue lines are interpreted faults; dashed black lines
represent north-west oriented thickness trend
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Figure provided by Ivanhoe, 2016; black line is the trace of the cross-section shown in Figure 7.13;
grey areas represent domes or leached zones; blue lines are interpreted faults; dashed black lines
represent north-west oriented thickness trend
Voici les données mises à la disposition pour la proposition d’une ou des méthodes d’exploitation
des mines souterraines de Kamoa :
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Application 2
Justifier les méthodes d’exploitation proposer dans le rapport de Kamoto (Kamoto Copper
Company : Executive Summary Report for Kamoto Redevelopment Project).
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