Étape: 7. Faire Le Portrait D'un Personnage
Étape: 7. Faire Le Portrait D'un Personnage
Étape: 7. Faire Le Portrait D'un Personnage
Faire le portrait
METTRE EN SCÈNE UN PERSONNAGE
d’un personnage
S’exercer *
→ Donner des précisions : expansion du nom, verbes expressifs
1 Complétez le nom en gras en l’encadrant des deux adjectifs qui vous sont proposés.
Veillez à l’ordre et aux accords de ces adjectifs.
Attention 1. Il portait des vestes (étriqué ; petit).
L’article indéfini
des devient de
lorsqu’il est placé Il portait de petites vestes étriquées.
devant un adjectif.
Ex : Elle portait aux 2. Je préfère mettre mon costume (vieux ; ordinaire).
pieds des chaussures
rouges. → Elle Je préfère mettre mon vieux costume ordinaire.
portait aux pieds
de magnifiques
chaussures rouges.
3. Sa voisine posa sur lui ses yeux (bleu azur ; beau).
3 Dans le texte suivant, complétez les noms en gras par les adjectifs ou les compléments
du nom qui vous sont proposés.
Adjectifs : robuste, trapu, troué, brûlé, velue, moyenne, usé, râpé. (N’oubliez pas les accords.)
Compléments du nom : de grosse toile, en haillons, en cuir, de feutre noir.
4 Complétez la réécriture des phrases suivantes en évitant être et avoir pour préciser
les impressions qui se dégagent du personnage. Exemple : Il avait des yeux noirs, vifs
et perçants. → Ses yeux noirs, vifs et perçants exprimaient une grande détermination.
1. Il avait sur son front une profonde cicatrice. → Une profonde cicatrice, creusée sur son front, lui
2. Il avait un manteau en lambeaux. → Son manteau en lambeaux indiquait qu’il vivait sur les
3. Il avait les joues creuses. → Ses joues creuses montraient qu’il n’avait pas mangé à sa faim depuis
plusieurs jours .
5 Réécrivez ces phrases en utilisant les verbes qui vous sont proposés.
Exemple : Il a le torse moulé dans un tricot bleu. → Un tricot bleu moule son torse.
Rédiger un paragraphe **
→ Organiser le portrait
6 a. Lisez ces deux textes.
TEXTE A Ce beau vieillard avait des cheveux blancs. Ses cheveux étaient bouclés. Il avait
un visage très fier. Il avait des yeux bleus. Il avait des dents puissantes. Il avait un menton
carré.
TEXTE B Les cheveux blancs de ce beau vieillard tombaient en boucles sur le cou et enca-
draient un visage très fier aux yeux bleus, aux dents puissantes, au menton carré.
La petite fille avait des cheveux roux. Ses cheveux étaient raides. Elle avait un visage très
pâle. Elle avait des yeux tristes. Elle avait des joues couvertes de tâches de son.
Les cheveux roux de cette petite fille tombaient raides sur le cou et encadraient un visage très pâle aux
Tous les regards se fixèrent sur le garçon qui venait de parler. Il pouvait avoir une ving-
taine d’années. Petit et mince, vêtu d’un pourpoint vert, il portait une harpe accrochée au
dos par-dessus sa cape effrangée. Ses yeux très clairs dans un visage hâlé frappaient par
leur intensité, tandis que sa bouche rieuse exprimait une sorte de douceur teintée de joie.
1. Le pirate avait les mains noires de crasse. → De ses mains noires de crasse, le pirate empoigna
2. L’aubergiste avait des petits yeux de fouine. → L’aubergiste posa ses petits yeux de fouine sur le
3. Le pompier avait de larges épaules robustes. → Le pompier enfonça la porte de ses larges épaules
robustes.
12
9 En un paragraphe, faites le portrait d’un pirate se préparant à l’attaque. Employez
les verbes d’action suivants : s’emparer ; enjamber ; se dissimuler ; guetter ; s’adosser.
Au zénith de sa gloire, Tom Sawyer apparaîtrait un beau jour dans le vieux village, buriné
et hâlé, en pourpoint et culottes de velours noir, en hautes bottes, ceint d’une écharpe
cramoisie, la ceinture hérissée d’énormes pistolets, un sabre souillé par les crimes sur
une hanche, coiffé d’un chapeau à large bord couvert de plumes ondoyantes, son drapeau
noir à tête de mort déployé, et ce serait avec une extase grandissante qu’il entendrait les
gens chuchoter : « C’est Tom Sawyer le pirate ! Le vengeur noir de la mer des Caraïbes ! »
D’après Marc Twain, Tom Sawyer.
12
11 Accumulez les précisions en tête de phrase pour les mettre en valeur, en transformant
les phrases selon l’exemple suivant.
Exemple : Le chevalier rouge avait le regard fier et la mine hautaine, il ne redoutait ni
les querelles, ni les coups, il avança droit sur ses ennemis. → Le regard fier, la mine hautaine,
ne redoutant ni les querelles, ni les coups, le chevalier rouge avança droit sur ses ennemis.
1. Long John Silver avait les bras nus et croisés sur la table, il fixa l’aubergiste d’un regard sombre.
Les bras nus et croisés sur la table, Long John Silver fixa l’aubergiste d’un regard sombre.
2. Le vieil homme avait le dos voûté par les habitudes de travail, il avança avec la démarche lente
d’un homme usé, il franchit la grande porte de la prison.
Le dos voûté par les habitudes de travail, le vieil homme avança avec la démarche lente d’un homme usé
3. Jeanne était toujours gaie, elle avait l’œil malicieux, elle se tournait sans cesse à gauche ou à
droite pour causer avec une voisine, elle se faisait souvent rappeler à l’ordre par les professeurs.
Toujours gaie, l’œil malicieux, Jeanne se tournait sans cesse à gauche ou à droite pour causer avec une
4. La châtelaine était enveloppée d’une cape sombre dont elle avait rabattu le capuchon, elle
était montée sur un fier destrier, elle portait sur sa main gantée un rapace, elle avançait en silence.
Enveloppée d’une cape sombre dont elle avait rabattu le capuchon, la châtelaine était montée sur un
12 Donnez de l’intensité à votre portrait en transformant les phrases selon l’exemple suivant.
Exemple : Cette femme de petite taille gardait une attitude aisée et noble. Elle me parut grande.
→ Cette femme de petite taille gardait une attitude si aisée et si noble qu’elle me parut grande.
2. Le visage de la paysanne, enveloppé dans son fichu, était rouge et joufflu, on aurait dit une
grosse pomme.
→ Le visage de la paysanne, enveloppé dans son fichu, était si rouge et si joufflu qu’on aurait dit une
grosse pomme.
3. L’enfant nous donna ces explications avec une mine fière et assurée. Il paraissait aussi savant
qu’un professeur.
→ L’enfant nous donna ces explications avec une mine si fière et si assurée qu’il paraissait aussi savant
qu’un professeur.
13
12 Faites le portrait du célèbre pirate Barbe Noire : il a rendez-vous avec un associé dans
une taverne. Vous commencerez ainsi :
Il était très tard et les hommes accoudés au comptoir semblaient s’assoupir dans la lueur des
lanternes, quand la porte s’ouvrit toute grande, laissant passer l’air froid et humide du dehors…
un personnage
S’exercer *
Maîtriser la → La ponctuation du dialogue
1 a. Dans le texte suivant, soulignez en noir les passages de récit, en rouge les paroles
du narrateur, en bleu les paroles de Willy. Narrateur : souligné continu, Willy : souligné pointillé
b. Remettez le texte en forme : passage à la ligne pour le dialogue, ajout des tirets.
2. La voix de Maître Béranger rugit :
– Allons, bande de drôles ! Qu’est-ce donc que ce tintamarre ?
→ Allons, bande de drôles ! rugit la voix de Maître Beranger. Qu’est-ce donc que ce tintamarre ?
3. Colin bredouilla :
– Il m’a volé mon pain ! Il vient tout juste d’arriver et il bâfre déjà comme un glouton !
→ Il m’a volé mon pain ! bredouilla Colin. Il vient tout juste d’arriver et il bâfre déjà comme un glouton !
3 a. Lisez ce texte, soulignez les verbes de paroles ainsi que leur complément, puis séparez-
les des paroles du personnage par l’un des signes de ponctuation suivants : , ? ! que
vous ajouterez en rouge. b. Ajoutez les tirets de dialogue.
Le voyageur, grand, robuste, tête forte, tenait à la main un fouet à manche court.
–Des chevaux!ordonna-t-il avec l’air impérieux d’un homme habitué à commander.
–Je n’ai plus de chevaux disponibles,répondit le maître de poste, en s’inclinant.
–Quels sont ces chevaux qui viennent d’être attelés à la voiture que j’ai vue à la porte du
relais?demanda-t-il d’un air hautain.
–Ils appartiennent à ce voyageur,répondit le maître de poste en montrant Michel Strogoff.
–Qu’on les dételle!dit le voyageur d’un ton qui n’admettait pas de réplique.
Michel Strogoff s’avança alors.
D’après Jules Verne, Michel Strogoff.
Rédiger un paragraphe **
→ Alterner dialogue et récit
4 a. Complétez le texte suivant en choisissant un verbe plus expressif que le verbe dire
dans la liste suivante : ricaner, crier, lancer, répondre, répliquer, demander, murmurer.
Nous nous rendîmes rue de la Gare. C’est là qu’habite le cocher, dans une maison derrière
laquelle se trouve l’écurie. La porte était close et nous dûmes frapper à plusieurs reprises.
– Vas-tu nous ouvrir ? cria Thomas. Nous avons besoin de ton fiacre.
Max finit par entrouvrir la porte. Je donnai un coup d’épaule au battant et nous péné-
trâmes dans le couloir.
– Nous ne pouvons pas vous aider, répondit Max. Notre cheval est malade.
Nous entrâmes dans l’écurie. Le vieux cheval restait tête basse, sans manger. De temps
de la bête :
JE RETIENS Le vagabond, s’étant approché, aperçut un garçonnet de cinq à six ans qui, accroupi,
avait l’air de chercher quelque chose. Il demanda au petit, en adoucissant sa grosse voix,
Le style direct
retranscrit pourquoi il pleurait. […] L’enfant répondit qu’il avait perdu une pièce de vingt sous, qu’il
les paroles des allait chercher du pain et que pour sûr sa mère le gronderait.
personnages.
Dans le style
indirect, c’est
le narrateur
b. Réécrivez ce texte en transposant au style direct les paroles des personnages.
qui rapporte Veillez à la ponctuation et intercalez une phrase de récit à l’endroit des crochets.
ces paroles.
6 a. Lisez le texte suivant. Par quel verbe pourriez-vous remplacer chacune des deux expres
sions soulignées ?
Au troisième jour de navigation Christophe avait les mains pleines de cals et se sentait
très fier. Ce jour-là, après avoir servi le petit déjeuner, il fut appelé par le capitaine sur le
pont de commandement. Celui-ci lui demanda avec une moue sceptique si par hasard
il ne s’était pas enfui de chez lui. L’enfant répondit que non. Alors le capitaine voulut de
nouveau savoir pourquoi il s’était embarqué et Christophe répliqua qu’il avait toujours
rêvé de traverser le détroit de Magellan, qu’au moins il aurait quelque chose à raconter à
ses amis le jour de la rentrée. Le vieil homme n’insista pas. Le mousse demanda alors si
ce n’était pas le phare de Pacheco que l’on voyait à bâbord. Le capitaine dit que oui.
b. Réécrivez ce texte en transposant les paroles au discours direct. Quels passages est-il
préférable de laisser au discours indirect ?
Les courts passages où les personnages ne font que répondre par oui ou par non ne nécessitent pas
7 Soulignez les expressions qui permettent de préciser l’attitude du personnage qui parle.
C’est aujourd’hui un jour férié et nos parents font la grâce matinée. Voilà l’explication.
Ce n’est pas un jour férié et tous les parents ont quitté la ville.
interloquée .
D’après Henry Winterfield, Les Enfants de Timpelbach.
Michel Strogoff est un courrier du tsar chargé de porter en secret un message en Sibérie pour sauver la
Russie de l’invasion des Tartares. Il se trouve, sous une fausse identité, au relais de poste de Omsk, ville
aux mains des Tartares, quand il aperçoit sa vieille mère.
– Qui êtes-vous, ma brave dame ? demanda Michel Strogoff, surpris par cette apparition .
d’un personnage
S’exercer *
→ Maîtriser le vocabulaire des émotions
1 Associez chacune des expressions suivantes à l’émotion qu’elle traduit (il peut y avoir
plusieurs possibilités) : frémir, avoir le visage qui s’assombrit, rosir, trépigner, soupirer, gémir,
pâlir, s’extasier, avoir les yeux qui s’embuent, serrer les poings, rayonner.
Tristesse avoir le visage qui s’assombrit , soupirer, gémir, avoir les yeux qui s’embuent
Admiration s’extasier
2 Classez les émotions suivantes dans la colonne qui convient : appréhension, exaspération,
désespoir, mélancolie, étonnement, sérénité, enthousiasme, excitation, inquiétude, regrets,
effroi, accablement, impassibilité, agacement, fureur, terreur, consternation, satisfaction,
ébahissement.
Accablement Terreur
Consternation
3. Un silence inquiétant régnait dans la rue. Jean se dirigea vers la maison avec appréhension
6 Remplacez les expressions en gras par un mot plus adapté, choisi dans la liste suivante :
bouleversé, dépit, excitation, fureur, ravi, terrifié. Attention aux accords.
Mais quand ils découvrirent qu’elle était vide, le chagrin dépit se peignit
Rédiger un paragraphe **
→ Suggérer des émotions
7 Lisez le texte suivant et répondez aux consignes.
L’homme marchait lentement, d’un pas lourd. Les épaules voûtées, la tête basse, il ne
semblait rien voir du paysage qui l’entourait : son regard humide se perdait dans le loin-
tain. Parfois, un soupir soulevait sa poitrine.
Marc avança vers le bandit, les poings serrés , les mâchoires crispées .
Il tremblait dans l’effort qu’il faisait pour se contenir. Ses yeux lançaient des
éclairs . Il dit d’une voix sourde : « Malheur à vous si vous touchez
Danser Avoir le cœur qui palpite Avoir les yeux qui lancent
Sauter et battre des mains Sentir son sang se glacer. des éclairs
10 Pour chacune des émotions suivantes, donnez des exemples de gestes ou d’attitudes
qui pourraient les exprimer.
2. Tristesse : verser des torrents de larmes, sangloter, avoir les yeux battus, le regard morne, éteint,
3. Peur : avoir la chair de poule, les jambes qui fléchissentou qui tremblent, frissonner, sentir sa peau
12
11 Réécrivez le texte de l’exercice 6 en modifiant les expressions que vous avez soulignées
de façon à mettre en scène un personnage cheminant gaiement.
12 Choisissez une des situations suivantes et racontez la scène en cinq à six phrases,
en traduisant les sentiments du personnage sans les nommer, seulement en les suggérant
grâce aux attitudes des personnages.
1. Une jeune fille est obligée de traverser un cimetière lugubre en pleine nuit.
2. Un petit garçon découvre que ses parents lui ont offert le chaton dont il rêvait.
3. Un chevalier qui vient d’apprendre que sa dame le rejetait doit partir au combat.
Tom et Huck sont en train d’explorer une maison abandonnée lorsque deux dangereux bandits entrent
dans la maison. Cachés à l’étage, les enfants sont pris au piège.
Les garçons s’allongèrent à plat ventre sur le plancher, l’œil collé à une fissure. Ils gre-
lottaient de peur.
Deux hommes entrèrent. Tom et Huck se regardèrent, pâles d’effroi. Ils venaient de
reconnaître Joe l’Indien.
« Je tombe de sommeil, dit Joe. Je vais dormir un peu. Toi, tu monteras la garde. C’est
ton tour. »
Il se coucha en chien de fusil sur les herbes folles et ne tarda pas à s’endormir. Son com-
pagnon s’étira, bâilla de nouveau, ferma les yeux et, quelques instants plus tard, les deux
hommes ronflaient comme des bienheureux.
En haut, les deux garçons poussèrent un soupir de soulagement.
« C’est le moment de filer, glissa Tom à l’oreille de Huck. Viens.
Tom se leva et se mit en marche, lentement, précautionneusement. Dès le premier pas,
le plancher vermoulu rendit un son épouvantable. Notre héros crut mourir de peur. Il
n’essaya pas une seconde fois.
Les deux amis restèrent là immobiles, comptant les secondes qui se traînaient comme si
le temps s’était arrêté, cédant la place à une insupportable éternité.
D’après Mark Twain, Les Aventures de Tom Sawyer.
14
12 Imaginez la suite du texte précédent et la manière dont les deux enfants vont sortir
de la maison. Vous insérerez dans votre récit des phrases qui indiqueront les émotions
successives des personnages.
15
12 Observez l’image ci-contre et détaillez
les gestes et expressions qui montrent
la tristesse du personnage pendant sa
lecture.
Vous pouvez commencer par
la phrase suivante : Madeleine ouvrit
la lettre d’une main tremblante…
1. Ce marin travaille dehors par tous les temps ; il ne craint pas les intempéries car il n’est jamais
d’apparence chétive .
4. Cet enfant passe ses journées au grand air à courir la campagne. Il est en pleine santé. C’est un
garçon vigoureux .
5. Ce charpentier n’est pas très grand mais il a de larges épaules : c’est un homme trapu .
Robuste • • Fragile
Élancé • • Chétif
Solide • • Corpulent
Fluet • • Trapu
→ C’était un homme de petite taille, chétif, déjà vieux pour son âge.
→ L’habillement
4 Remplacez le verbe mettre par l’un des verbes suivants : s’accoutrer, se vêtir, se parer de.
1. La dame a mis s’est parée de ses plus beaux atours pour la cérémonie.
2. Qu’il fasse chaud ou froid, ce vagabond met est vêtu toujours les mêmes vêtements.
3. L’un de mes amis, pour nous faire rire, a mis s’est accoutré de vieux vêtements
de sa grand-mère.
→ Le visage
6 Donnez le contraire des expressions ci-dessous en employant les adjectifs suivants :
jeune, frais, joufflu, imberbe, renfrogné, bourru, pâle, hésitant.
7 Complétez chaque phrase à l’aide des verbes suivants, que vous accorderez
et conjuguerez au présent : éclairer, respirer, encadrer, poser, être parsemé.
8 a. Complétez ce texte avec les mots suivants : pleines, soyeux, souriants, ondulations, doré,
pommettes, retroussé.
les joues pleines , d’une santé campagnarde, un petit nez un peu retroussé ,
les yeux tranquilles, doucement souriants , le front rond, encadré d’une profu-
sion de cheveux longs et soyeux qui descendaient sans boucles, le long de ses
Fabliau
sujet 2 Écrire un fabliau
J’apprends à me relire
fait la vérification demandée.
Cochez la case quand vous avez
ut.
nages et évité les verbes passe-parto
J’ai organisé le portrait des person
ogue.
J’ai respecté la ponctuation du dial
personnages en
emp loyé des verb es de par ole var iés, tout en décrivant l’attitude des
J’ai
train de parler.
s et les pensées du personnage.
J’ai cherché à traduire les émotion