Mon Soutien (Reduction 22-23 Bis)
Mon Soutien (Reduction 22-23 Bis)
Mon Soutien (Reduction 22-23 Bis)
ILLAOUI MP
Soutien : Réduction des endomorphismes
Exercice 1 :
1) Montrer que la famille F = (fa : x 7−→ exp(ax))a∈C est libre dans le C-espace vectoriel C 0 (R, C) .
2) Montrer que la famille (x 7−→ xλ )λ∈R+ est une famille libre dans l'ev C([0, 1], R).
1 −2 −2a
Exercice 2 : Pour tout réel a, on pose Ma = 0 3 2a
2 2 2a + 3
1) (a) Montrer en justiant vos calculs, que χMa = (X − 1)(X − 3)(X − 2a − 3).
(b) En déduire les valeurs de a pour lesquelles la matrice Ma est inversible.
2) Justier que pour a ̸∈ {−1, 0}, la matrice Ma est diagonalisable, et calculer πMa .
3) Les matrices M0 et M−1 sont-elles diagonalisables ? , et calculer πM0 et πM−1 .
Exercice 3 : Autour des matrices de Kac de taille 3(D'aprés un CCINP )
On considère les matrices
0 1 0 0 −1 0
A = 2 0 2 et B = 2 0 −2 .
0 1 0 0 1 0
1. Déterminer le polynôme caractéristique χA = det(XI3 − A) de A et le décomposer en facteurs irréductibles dans R[X].
2. En déduire que la matrice A est diagonalisable sur R. Donner la liste des valeurs propres de A et la dimension des
espaces propres correspondants. On ne demande pas de déterminer les espaces propres de A dans cette question.
3. Déterminer le polynôme caractéristique χB de B et le décomposer en facteurs irréductibles dans R[X], puis dans C[X].
Vérier que χA (X) = iχB (iX).
4. La matrice B est-elle diagonalisable sur R ? Est-elle diagonalisable sur C ? Donner la liste des valeurs propres réelles
puis complexes de B et la dimension des espaces propres sur R et C correspondants. On ne demande pas de déterminer
B dans cette
les espaces propres de
question.
1 0 0
On considère : D = 0 i 0 ∈ M3 (C).
0 0 −1
5. Exprimer
D−1 AD à l'aide
de la matrice B .
1 √0 0
Soit ∆ = 0 2 0 ∈ M3 (R).
0 0 −1
6. Calculer ∆−1 A∆. En déduire à nouveau que la matrice A est diagonalisable sur R.
Exercice 4 : Soient n ∈ N∗ et J la matrice de Mn (R) dont tous les coecients sont égaux à 1.
1) Calculer le rang de J et en déduire, sans aucun calcul de déterminant, le polynôme caractéristique de J
2) Déterminer les valeurs propres et les sous espaces propres de J . J est-elle diagonalisable ?
3) Calculer le polynôme minimal de J .
Exercice 5 :Soient E un K-ev de dimension nie n ⩾ 2 et u un endomorphisme de rang 1
1) calculer son polynôme caractéristique , et son polynôme minimal.
2) Donner une condition nécessaire et susante sur u pour que u soit diagonalisable.
1 1 ··· 1 1
1 0 ··· 0 1
. . . ..
Exercice 6 .. ..
: Soit M = (⃝) .. . ∈ Mn (R) avec n ⩾ 3.
1 0 ··· 0 1
1 1 ··· 1 1
1) Calculer rg(M ).
2) Montrer qu'il existe des complexes α, β tel que χM = X n−2 (X − α)(X − β).
3) Calculer tr(M ) et tr(M 2 ).
4) En déduire SpC (M ).
5) M est-elle diagonalisable ?
1
Exercice 8 : Soit f un endomorphisme d'un espace vectoriel E de dimension nie n ∈ N∗ , nilpotent d'indice n .
1) Montrer qu'il existe x0 ∈ E tel que f n−1 (x0 ) ̸= 0, et montrer que la famille (x0 , f (x0 ), ..., f n−1 (x0 )) est une base de
E.
2) Montrer que, pour tout k de [[0, n]], le sous-espace ker(f k ) est de dimension k.
3) Soient k ∈ [[0, n]] et F un sous-espace vectoriel de E stable par f de dimension k et soit g = fF l'endomorphisme de
F induit par f .
(a) Montrer que g est nilpotent et calculer χg .
(b) En déduire que F = ker(f k ) et que ker(f k ) est le seul sous-espace stable par f de dimension k.
Exercice 9 : Soit f un endomorphisme d'un espace vectoriel réel de dimension nie n ⩾ 1 .
1) Justier l'existence d'un polynôme P irreductible dans K[X] qui divise χf .
2) Montrer que ker P (f ) ̸= {0E } .
3) En déduire l'existence d'un sous espace vectoriel de E de dimension 1 ou 2 stable par f
Exercice 10 :
1) Soient u et v deux formes linéaires sur un espace vectoriel E tel que ker u ⊂ ker v .
Montrer qu'il existe un scalaire non nul α tel que v = αu.
2) Soit M ∈ M3 (R) et f l'endomorphisme de R3 canoniquement
associé . Montrer qu'un plan P d'équation ax+by+cz = 0
a
est stable par f si, et seulement si, le vecteur b est un vecteur propre de t M.
c
2 3 4
En déduire les sous-espaces stables par f ∈ L(R3 ) si M = 1 0 0 . où M est la matrice de f ralativement
−2 −2 −3
à la base canonique de R3 .
Exercice 11 : Quelques propriétés des matrices nilpotentes (D'aprés CCS PSI)
2
Exercice 13 :(CCP)
Soient E un R espace vectoriel de dimension impaire , et u un endomorphisme de E vériant :
u3 − u2 + u − idE = 0. Déterminer le spectre de u , et montrer que det(u) = 1.
Exercice 14 :Soit une matrice A de Mn (R) vériant A(A2 + A + In ) = 0. Montrer que le rang de A est pair.
Exercice 15 : Soit A ∈ Mn (C) telle que An = In et (In , A, A2 , ..., An−1 ) est libre. Calculer trA et det A.
Exercice 16 : Soient A et B deux matrices de Mn (C)(n > 0).
1) Montrer que χAB = χBA lorsque A est inversible.
2) Montrer que χJr B = χBJr où Jr désigne la matrice de rang r canonique.
3) Montrer que χAB = χBA dans tous les cas.
Exercice 17 :Réductions simultanées
Soient f et g deux endomorphismes d'un Cev de dimension nie n , telle que f ◦ g = g ◦ f
1) Montrer que f, g ont un vecteur propre commun.
2) Montrer que si f admet n valeurs propres distincts deux à deux , alors il existe une base commune de diagonalisation
de f et g , et qu'il existe un polynôme P ∈ C[X] tel que g = P (f ).
3) Montrer que si f, g sont diagonalisables alors il existe une base commune de diagonalisation de f et g .
Exercice 18 : (D'prés une épreuve E3A)
1) soient u et v deux endomorphismes d'un K.e.v E de dimension nie n ∈ N∗ tel que uv = vu.
(a) Justier que les sous espaces propres de l'un sont stables par l'autre.
(b) Montrer que si u et v sont diagonalisables, alors il existe une même base dans laquelle les mtrices de u et de v sont
diagonales.
(c) Donner la version matricielle de ce résultat.
A C
2) Soit M une matrice carrée d'ordre 2n à coecients complexes dénie par blocs par M = où A, B, C sont
0 B
trois matrices d'ordre n à coecients complexes. On suppose que la matrice M est diagonalisable et que AC = CB .
(a) Montrer que
pour tout polynôme
P ∈ C[X], il existe une matrice carée CP d'ordre n telle que
P (A) CP
P (M ) = .
0 P (B)
P (A) = 0
(b) Montrer qu'il existe un polynôme P ∈ C[X], scindé à racines simples vériant
P (B) = 0
(c) En déduire que les matrices A et B sont diagonalisables.
A 0
3) Soit N une matrice carrée d'ordre 2n à coecients complexes dénie par blocs par N = .
0 B
(a) Montrer que M N = N M .
(b) En déduire qu'il existe une matrice R inversible et deux matrices diagonales D et D′ telles que :
M = R−1 DR et N = R−1 D ′ R.
0 C
(c) En déduire que la matrice est diagonalisable.
0 0
4) Montrer que la matrice C est nulle.
Exercice 19 :(D'aprés TPE 96)
Soient A et B deux matrices de Mn (R) semblables dans Mn (C) : A = QBQ−1 avec Q ∈ GLn (C).
On écrit Q = Q1 + iQ2 avec Q1 et Q2 dans Mn (R).
1 Montrer que {λ ∈ R/Q1 + λQ2 ∈ GLn (R)} est non vide.
2 En déduire que A et B sont semblables dans Mn (R).
Exercice 20 :
3
Exercice 21 : (D'aprés CNC 2001)
On considère E un K−espace vectoriel de dimension ni, u un endomorphisme de E et λ une valeur propre de u de
multiplicité m.
1) Montrer qu'il existe un polynôme Q ∈ K[X] premier avec (X − λ)m , tel que
E = ker(u − λidE )m ⊕ ker Q(u).
2) Montrer que les sous espaces ker(u − λidE )m et ker Q(u) sont stables par u.
On notera alors v (respectivement w ) l'endomorphisme de ker(u − λidE )m (respectivement ker Q(u) ) induit par u.
3) Montrer que χv = (X − λ)dλ où dλ = dim(ker(u − λidE )m ).
4) Donner une relation entre χu , χv et χw .
5) Montrer que λ n'est pas pas racine de χw et conclure.
6) Montrer que ker(u − λidE )m = ker(u − λidE )m+1
7) On note p la multiplicité de la racine λ du polynôme πu .
Montrer que p est le plus petit entier naturel tel que ker(u − λidE )p = ker(u − λidE )p+1
Exercice 22 : Matrices par blocs (D'aprés un CCINP )
On considère A, B, C, D des matrices de Mn (C) telles que CD = DC . L'objectif des trois questions suivantes est de
démontrer la relation :
A B
det = det(AD − BC) (1)
C D
A B D 0n
1. Calculer .
C D −C In
2. Montrer l'égalité (1) dans le cas où D est inversible.
3. On ne suppose plus D inversible.Montrer que l'égalité (1) est également vraie .
(Ind : ∀ x ∈ C \ Sp(D) la matrice D − xIn est inversible.)
xn
x
Montrer que le vecteur ∈ M2n,1 (C) est vecteur propre de N associé à la valeur propre µ.
µx
6. Montrer que si M est diagonalisable et inversible, alors N est également diagonalisable et inversible.
Exercice 23 : Soit M ∈ Mn (R) telle que : ∀p ∈ N∗ , T r(M p ) = 0.
1) Montrer que pour tout polynôme annulateur P de M , P (0) = 0.
En déduire que M n'est pas inversible
t
0 R
2) Montrer que M est semblable à une matrice par blocs de la forme où R ∈ Mn−1,1 (R) et N ∈ Mn−1 (R).
0 N
3) En raisonnant par récurrence sur n, montrer que la matrice M est nilpotente.
4) Retrouver le résultat en montrant que SpC (M ) = {0}.
Exercice 24 : (Tout hyperplan de Mn (K) contient une matrice inversible)
Soient n ∈ N tel que n ⩾ 2 et H un hyperplan de Mn (K). L'objet de l'exercice est de montrer par l'absurde que H
rencontre GLn (K).
Supposons que H ne contient aucune matrice inversible.
1) Montrer que Mn (K) = H ⊕ vect(In ).
2) Montrer alors que H contient toutes les matrices nilpotentes.
n−1
3) Soit A = En,1 + Ei,i+1 . Montrer que A ∈ H .
X
i=1
4) Conclure.
Exercice 25 : Soit (A, B) ∈ Mn (C)2 tel que AB = BA et A nilpotente.
Montrer que det(A + B) = det(B). (On examinera, d'abord le cas où B ∈ GLn (C)).
4
Exercice 26 : (D'aprés un CNC )
Soient n et p deux entiers naturels non nuls.
1. (a) Soient (Y1 , ..., Yp ) une famille de vecteurs libre dans Mn,1 (K) et soit (Z1 , ..., Zp ) une autre famille de vecteurs
quelconque dans Mn,1 (K). Montrer que :
p
X
Yi t Zi = 0 ⇐⇒ Z1 = ... = Zp = 0
i=1
(b) Déduire que si (Y1 , ..., Yn ) et (Z1 , ..., Zn ) sont des bases de Mn,1 (K) alors (Yi t Zj )1 ⩽ i,j ⩽ n est une base de Mn (K).
Si P = X n + an−1 X n−1 + . . . + a1 X + a0 est un polynôme unitaire de Kn [X] on lui associe la matrice compagnon
0 0 ··· ··· 0 −a0
1 0 ··· ··· 0 −a1
..
.
0 1
CP = .. .. .. ..
.. ..
. . . . . .
0 0 ··· 1 0 −an−2
0 0 ··· 0 1 −an−1
(c'est-à-dire la matrice CP = (ci,j ) est dénie par ci,j = 1 pour i − j = 1, ci,n = −ai−1 et ci,j = 0 dans les autres cas).
I. Propriétés générales
Dans cette partie on considère le polynôme P = X n + an−1 X n−1 + . . . + a1 X + a0 de Kn [X] et CP sa matrice compagnon
associée.
1. Montrer que CP est inversible si et seulement si P (0)̸=0.
2. Calculer le polynôme caractéristique de la matrice CP et montrer que les sous espaces propres de CP sont des droites
.
3. Soit Q un polynôme de Kn [X], déterminer une condition nécessaire et susante pour qu'il existe une matrice A de
Mn (K) telle que χA = Q.
4. (i) Justier la proposition : Sp CP = Sp t CP .
(ii) Soit λ élément de Sp t CP , déterminer le sous-espace propre de t CP associé à λ.
iv Montrer que t CP est diagonalisable si et seulement si P est scindé sur K et a toutes ses racines simples.
(v) On suppose que P admet n racines λ1 , λ2 , . . ., λn deux à deux distinctes, montrer que t CP est diagonalisable
et en déduire que le déterminant de Vandermonde V (λ1 , λ2 , ..., λn ) est non nul.
5. Exemples :
(i) Déterminer une matrice A (dont on précisera la taille n) vériant : A2002 = A2001 + A2000 + 1999In
(ii) Soit E un K -espace vectoriel de dimension n et f un endomorphisme de E vériant : f n−1 ̸=0 et f n = 0 ;
montrer que l'on peut trouver une base de E dans laquelle la matrice de f est une matrice compagnon que
l'on déterminera.
(iii) soit α ∈ C On dit que α est algébrique s'il existe un polynôme unitaire P ∈ Q[X] tel que P (α) = 0. Montrer
que si α est algébrique alors αp (p ∈ N) est aussi algébrique.
II. Localisation des racines d'un polynôme
xn
x1
x2
1. Soit λ ∈ Sp A et X =
.. un vecteur propre associé à λ.
.
xn
Montrer que pour tout entier 1 ⩽ i ⩽ n : |λxi | ⩽ ri ∥X∥.
5
n
2. Démontrer que Sp A ⊂ Di .
[
i=1
3. Soit P = X n + an−1 X + . . . + a1 X + a0 un polynôme de C[X], établir que toutes les racines de P sont dans le
n−1
disque fermé de centre 0 et de rayon R = max {|a0 |, 1 + |a1 |, 1 + |a2 |, . . ., 1 + |an−1 |}.
Exercice 27 : (Décomposition de Dunford)(D'aprés une épreuve Mines-Ponts MP)
Soit E un K.e.v de dimension nie égale à n ⩾ 1. Soit f un endomorphisme de E dont le polynôme caractéristique
r
de f est scindé sur K. On note χf = (X − λk )αk et l'on note Fk = ker(f − λk idE )αk , Fk est appelé le sous-espace
Y
k=1
caractéristique de f associé à la valeur propre λk .
1) Montrer que les Fk sont des s.e.v de E stables par f , et soit fk l'endomrphisme de Fk induit par f à Fk .
r
2) Montrer que E = ⊕ Fk .
k=1
3) En considérant une base de E adaptée à cette somme directe , montrer que χfk = (X − λk )αk .(On pourra tout d'abord
établir que (X − λk )αk est annulateur de fk ).
4) Montrer qu'il existe une base B de E dans laquelle la matrice de f est diagonale par blocs de la forme : diag(λ1 Iα1 +
N1 , ..., λr Iαr + Nr ) où Nk ∈ Mαk (K) est nilpotente pour tout k ∈ [[1, r]].
5) Déduire l'existence de deux endomorphismes d et n de E vériant :
f =d+n
d et n commutent
d diagonalisable et n nilpotente
L = p ∈ N∗ , ∃H ∈ A : p = dim(H) .
6
Jn1
..
N ∈ Mn (K) une matrice nilpotente. Alors N
Soit est semblable à la matrice diagonale par blocs : .
J nr
pour certainsn1 , . . . , nr ∈ N∗ avec : n = n1 + . . . + nr .
Cette mise en forme de N est appelée sa réduction de Jordan.
I- PRÉLIMINAIRES
k=0
p−1
b) Montrer l'égalité : 2k ak M k ?
X
2p M p =
k=0
c) En déduire que : a0 = . . . = ap−1 = 0, puis que M est nilpotente.
d) Montrer que M est nilpotente, en justiant que sa seule valeur propre complexe est 0.
9) a) Montrer que Jn et 2Jn sont semblables pour tout n ∈ N∗ .
b) Montrer que pour toute matrice M ∈ Mn (K) nilpotente, M et 2M sont semblables.
7
IV- RÉDUCTION DE JORDAN D'UNE MATRICE de Mn (C)
Soit E un C.e.v de dimension nie égale à n ⩾ 1. Soit f un endomorphisme de E dont le polynôme caractéristique de f
r
est χf = (X − λk )αk et l'on note Fk = ker(f − λk idE )αk , Fk est appelé le sous-espace caractéristique de f associé à
Y
k=1
la valeur propre λk .
1) Montrer que les Fk sont des s.e.v de E stables par f , et soit fk l'endomrphisme de Fk induit par f à Fk .
r
2) Montrer que E = ⊕ Fk .
k=1
3) En considérant une base de E adaptée à cette somme directe , montrer que χfk = (X − λk )αk .(On pourra tout d'abord
établir que (X − λk )αk est annulateur de fk ).
4) Montrer qu'il existe une base B de E dans laquelle la matrice de f est diagonale par blocs de la forme :
diag(λ1 In1 + Jn1 , ..., λr Inr + Jnr ) où nk = dim(Fk ) pour tout k ∈ [[1, r]].
5) Soit M ∈ Mn (C) tel que Sp(M ) = {λ1 , ...., λr } .
Déduire que M est semblable à la matrice diagonale par blocs : diag(λ1 In1 + Jn1 , ..., λr Inr + Jnr )
pour certains n1 , . . . , nr ∈ N∗ à préciser.
6) Application : Soit M ∈ Mn (C). Montrer que M et t M sont semblables dans Mn (C).
Que dire dans Mn (R) ?