Marche Financier
Marche Financier
Marche Financier
Les offreurs sont les E, les banques, autrement dit, tous les agents qui ont une capacité de financement.
Les demandeurs sont les E qui veulent du financement pour leurs investissements. Les Etats sont aussi
des demandeurs qui eux, vont chercher des capitaux pr financer leurs déficits.
De plus, cet échange de capitaux doit se faire avec une garantie. En effet, les E et Etats, contre les
capitaux qu’ils vont avoir, vont en contrepartie émettre des titres. Ces titres financiers existent sous 2
grandes familles : LES ACTIONS et LES OBLIGATIONS.
Les actions : ne peut etre émises que par les E. C’est un titre qui représente part de capital de l’e.
Quand un actionnaire apporte des capitaux à une E, il devient en parti propriétaire de cette dernière.
(ex : s’il achète 10%, beh il est proprio à hauteur de 10% de l’e). L’actionnaire a un droit de gestion et
aussi une part de bénef quand il y en a = LES DIVIDENDES. (les dividendes ne sont pas des obligations !)
De plus, l’actionnaire à un statut d’associé. L’E qui récolte des capitaux va disposer de ses capitaux
pour une durée infini car elle ne devra pas rembourser ses derniers.
Les obligations : sont émises par les E et les Etats. C’est un titre de créance, donc l’E qui vend des
obligations à un agent signifie qu’elle emprunte. Emettre une obligation = s’endetter.
L’obligataire n’est pas associé mais préteur. Les obligations ne donnent droit qu’a l’obligataire le
remboursement et le fait de toucher tous les mois des interets fixes.
L’argent que l’on prête à l’E ou à ‘E sera prêter pour une durée très longue.
Le marché primaire : c’est le marché de l’émission des titre nouveau, appelé aussi le « marché du
neuf ». C’est le marché où les firmes vont répandre pr la 1ère fois des titres qu’elles viennent juste de
créer.
Ce sont les banques et els assurances qui assurent ce marché et l’animent. Elles vont vendre les titres
de l’E contre la somme des ?. L’E paye donc les banques et le assurances pour qu’elles prennent en
charge la vente des titres et des actions.
Le marché secondaire : c’est le marché de l’occasion. C’est le marché où les titres achetés sur le
marché primaire vont pouvoir etre acheter ou revendu. L’action va etre coté sur un marché spécifique
(le marché 2), ensuite on va inscrire son nom et le pris de l’épargne. Un jour précis, connu à l’avance à
9h00, on va ouvrir le marché 2 et la cotation. Tous ceux qui ont acheté au marché 1 pourront donc
revendre et à un prix plus élevé.
PK il peut y avoir des demandes importantes ou faibles ? PK le cout de l’action peut monter ou pas du
tout ? > Car les personnes pensent à l’avenir et que l’e aura des bénéfices et donc des dividendes. Les
acheteurs anticipent donc la rentabilité et la + value.
La + value : c’est quand on va gagner en revendant une action qu’on a acheté en la revendant plus
cher.
REMARQUE 1 : le marché 1 et 2 sont indissociable, les deux doivent etre présent. Tout simplement pck
le marché 2 est celui de la revente, donc si le marché 2 n’existait ps, personne n’achèterait à cause du
prix (car si on achète au M1 on pourra le revendre avec un bénef). De plus, le M2 est une porte de
sortie pr ceux qui veulent se débarrasser de leurs titres. S’il n’y a pas de M2 les firmes auront du mal à
trouver de l’argent.
REMARQUE 2 : le M2 est indispensable à l’eco. En effet, il garantit 2 choses pour ceux qui placent et
qui investissent de l’argent : LA MOBILITE et LA LIQUIDITE
La mobilité : l’argent qui a été investi, n’est pas mobilisé à vie
La liquidité : c’est la faculté pr un titre d’etre vendable ou achetable à tout moment
REMARQUE 3 : le M2 permet aux E de faciliter leurs restructuration = grossir plus facilement. Cela est
possible car le M2 met en place des fusion acquisition (FUSAC). 2 E se rapprochent ou l’une d’entre
elle rachète une autre.
REMARQUE 4 : une minorité d’E sont coté en bourse en France et en Europe car l’entrée sur le marché
crée des contraintes pour les firmes qui peuvent etre trop dures pour elles.
Les agents qui ont les capacités de financement sont les ménages car ils ont de l’épargne et ceux qui
ont besoin sont les entreprises, les administrations...
1.1 Ménages vers les banques > l’épargne des ménages placée en banque.
1.2 Les prêts pour les ménages accordé par les banques.
2 Epargne > flux direct des ménages vers la bourse > achat d’action ou de titre.
Ménages vers l’Etat = impot/épargne ou achat de titre émis par l’état par l’intermédiaire du
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banquier de l’état (trésor public).
4.1 Crédit bancaire accordé aux E = financement bancaire des E.
4.2 Epargne des E qui se retrouve en banque.
Banque vers bourse > flux sortant > les banques achètent des titres sur le marché financier
5.1
pour 2 raisons : soit pr le compte de leurs clients soit pour elle-même.
5.2 Les banques revendent leurs titres
Entre l’etat et les banques > l’etat peut emprunter aux banques e les banques achètent les
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titre de l’état dans un sens et dans l’autre l’etat rembourse
Les E récupèrent les liquidité sur le marché, c’est l’argent que les ménage (2 ou 5.1) ont
7.1
placé en bourse. Financement des E sur le marché.
E vers marché, les E achètent des titres principalement des actions. Elles font ça pck : soit
7.2 pr prendre une participation chez un concurrents pour prendre le contrôle. Et soit elles
achètent pour leurs propres titres (actions).
8.1 L’état vend des titres sur la marché,
8.2 L’etat peut placer de l’argent sur les marché, elle peut les acheter
L’etat verse de l’argent vers les banques et assurances. Soit l’etat va refinancer les banques
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en difficultés (crises), soit l’état va recapitaliser le secteur
10 Subvention versé par l’état aux E
Conclusion du schéma :
Tout ce qui est à droite du schéma renvoi à un financement de l’eco par les marchés fi = économie de
marché financier, c’est l’ex dominant aux USA.
Ce qui est à gauche = financement par le système bancaire = système d’éco d’endettement
Financière : l’entrée en bourse permet d’accéder à des sources de capitaux qui sont rapides, directs,
et moins couteuse que l’endettement bancaire. Elle va donc améliorer au niveau comptable sa
structure financière (les fonds propres).
Industrielle : c’est une préalable pour un développent futur. L’entrée en bourse va etre un préalable
pour un développement par croissance externe.
A la demande des associé : ils demandent de côté la société en bourse pour pouvoir sortir du
placement
Pour l’image : Les firmes coté en bourse généralement ont une meilleur image, elles sont plus
attractives pr les investisseur car elles sont généralement mieux contrôlées. L’AMF passe au crible une
E et fonction des résultat elle accorde l’entrée en bourse mais pas sur n’importe quel marché.
La transmission de l’E : les PMI coté en bourse sont + facilement transmissible quand le dg va partir,
la reprise ou le partage est + trkl. la cotation en bourse permet de faciliter tout cela.
Dans tous les cas, grand, moyenne, ou petite E, l’intro en bourse est un facteur très important pour
l’image, on ne parle jamais autant des firmes que quand elles sont cotées en bourse.
Capital social : c’est le nb d’action qui ont été émise par l’e x le prix d’émission de l’action (la valeur
nominale). Ce chiffre sera tjr fixe à moins que l’e ne décide d’augmenter son capital.
La capitalisation boursière : c’est le nb d’action émis x le cours de l’action à l’instant T sur le marché
boursier.
Le droit de vote : les actionnaires théoriquement reçoit annuellement un etat des comptes et des
performances de l’e, ensuite il y a aura l’assemble générale d’actionnaire. Les e se méfient bcp de
petits actionnaires, car on remarque que – l’actionnaire a de capital beh + il est volatile
(instable/infidèle) et donc un risque de perte de contrôle et d’une OPA pour l’e.
Les e limitent donc le droit de vote des petits actionnaires (en fonction du % de capital). Ou créent des
actions ADP (action a dividende prioritaire) donc sans droit de vote. L’intérêt est que le droit de vote
qui est retirée et attribuer à une autre action = action à 2 droit de vente pour les + gros actionnaires.
Le droit aux dividendes : c’est une art de bénef de l’e qui va etre renversé aux associés mais il faut
qu’il y soit des bénef et que la firme est la volonté de les reversé car ce n’est pas obligatoire. Le
dividende est donc variable et non OBLIGATOIRE.
La loi permet pr l’e de verser des dividende autrement qu’en espèce (numéraire), on peut etre
rémunérer en bon d’actions (BSA), ou aussi en actions.
3. Les valeurs de croissance : ce sont des valeurs moins constante, elles instables.
a. Valeurs ou on peut anticiper une forte progression ; ce sont des valeurs ou il y a une
grosse attente
b. Ce sont des valeurs qui appartiennent a des secteurs très porteurs (des start-up, TMT°
c. Le prix de ces actions est généralement élevé voir très élevé, voir surévalué.
d. Ces actions sur performe l’indice (la moyenne d’évolution de la bourse)
e. Les bénef de ces valeurs sont généralement élevé et en phase d’expansion
4. Les valeurs de rendements : ce sont des valeurs qui sont opposé à celles de croissance, elles
peuvent s‘assimiler aux valeurs défensives
a. Ces valeurs sont stables et assez linéaires
b. Ont les retrouvent dans els secteur à maturité (EDF, engie, casino)
c. Son cours d’action n’est pas très cher
d. Les bénef sont assez régulier et les dividendes aussi
1. La méthode de la valeur comptable : on va estimer le cours d’une action avec un rapport, qui
va dire que la valeur comptable de l’action = rapport entre le total des capitaux propres
(numérateur) / le nb d’action émise (dénominateur). Ce calcul est simple mais insatisfaisant
car il ne reflète pas toute la réalité.
2. La méthode du PER (Price Earning Ratio) : c’est un indicateur boursier pr des firmes qui sont
déjà coté à la bourse. Le PER est un indicateur de performance futur et il va indiquer « une
promesse » éventuelle de bénefs. C’est un chiffre brute entre 1 et 100+, qui va indiquer le
degré de futur performance. Le PER est el rapporte n le cours de l’action / le BNA (le bénéf net
par action)