Les Principales Théories de La Criminologie
Les Principales Théories de La Criminologie
Les Principales Théories de La Criminologie
Il s’agit des principales théories qui ont marqué la genèse, la consécration et l’évolution de la
science de criminologie.
Ils peuvent être classées en deux catégories : théories classiques et théories contemporaines.
Comme il peuvent être classées en se référant aux facteurs qui expliquent la criminalité :
théorie biopsychologique, théorie psychosociologique, théorie sociologique, théorie de la réaction
sociale…
Théories biopsychologiques/anthropologiques :
Développement des théories biologiques : Bien que les concepts développés par Lombroso
ont fait l’objet de nombreuses critiques, certains de ses interprétations continuent d’être privilégiées
par quelques criminologues. Ces derniers voient le crime comme une conséquence de la présence
d’un élément organique ou fonctionnel, quand a l’influence du milieu social, elle n’est admise que de
manière secondaire. Kimberg défend la théorie de l’inadaptation biologique selon laquelle chaque
individu serait susceptible de réagir aux stimuli du milieu en fonction de sa structure biologique.
Alors que Herbert soutient l’existence d’une corrélation entre le type bio et l’activité criminelle. Cette
relation peut être le fait de la structure du corps, ou encore du type corporel deduit de l’analyse de
l’embryon.
Le type criminel de Lombroso : le type criminel, Ferri plus tard l’appellera le criminel né. La
physionomie des criminels varie selon les crimes qu’ils ont commis. La psychologie des criminels est
marquée par l’insensibilité, faible pitié, absence de remords et de compassion, l’indolence, l’égoïsme,
la cruauté…
Durkheim : de son côté, les faits moraux et les faits sociaux attribuait aussi aux facteurs
sociaux une action prépondérante dans la délinquance. Le crime est normal, parce qu’une société qui
on serair exempte est a fait impossible, elle est la première évidence paradoxale que fait surgir la
réflexion sociologique. Il a classifié les faits sociaux de faits sociaux normaux et de faits sociaux
morbides. En ajoute l’intérêt du Durkheim a la sanction. Pour lui, l’essentiel de la sanction réside
finalement dans ce que l’on pouvait appeler une fonction symbolique de la réaction, c’est-à-dire
d’une réaffirmation officielle de la règle et une tentative pour réinscrire l’auteur de l’acte dans un lien
social.
R.K Merton : c’est l’un des sociologues qui a influencé la sociologie de la seconde moitié du
20eme siècle. Il se donne pour but de découvrir comment des structures sociales peuvent dans des
cas déterminés, pousser certaines individus à adopter un comportement incriminé au lieu d’une
conduite conformiste ? Pour Merton, la société américaine des années 30 survalorise sur l’objet
d’acquérir de l’argent tout en dévalorisant le respect des règles. Il critique la place de l’argent et de la
consommation dans la société ains qu’une hypocrisie sociale génératrice de frustrations. Merton
reprend l’idée de Durkheim sur l’anomie et adopte l’existence d’un décalage entre les aspirations a
l’insertion socioéconomique et les phénomène d’exclusion sociale.
Edwin Sutherland : fait aussi partie de l’école de transmission culturelle qui met l’accent sur
la notion de processeur d’apprentissage par lequel le délinquance, qui n’est finalement qu’un aspect
de déviance. Cette école considère que la motivation d’une forme particulière de comportement
délinquant s’explique davantage par la connaissance et l’apprentissage des attitudes qui ont rapport
à cette forme de comportement délinquant, que pas des traits de personnalité de l’individu. « on
devient criminel par contact avec des modèles criminels ». selon sa théorie, le comportement
criminel est appris au contact d’autres individus par un processus de communication ; il n’est ni
inhérent ou délinquant, ni invente par lui.
L’association différentielle chez Sutherland : cet apprentissage comprend des techniques des
raisonnement des attitudes. Le principe de l’association différentielle fonctionne pour les délinquants
pour lesquels l’interprétation des règles est principalement négative. Ce principe vaut inversement
pour les non délinquants, pour lesquels les règles sont à prépondérance positive
T. Sellin : il a souligné dans son ouvrage « conflits de culture et criminalité que le crime
résulte du choc qui se produit dans une même société entre des normes différences. L’idée de base
de Sellin est constatation que le fis d’immigre se trouve confronte à la divergence entre la culture de
son milieu d’origine soignement réservée par ses parents, et la culture de son nouveau milieu avec
laquelle il prend contact a l’école ou dans la rue, d’où des tensions que provoquent souvent des actes
délictueux. Selon sellin les conltis de culture peuvent finalement se produire dans 3 types
desituations : d’abord quand des codes culturels differents se heurtent a la frontiere de zones de
culutre avoisinantes. Ensuite dans le cas des normes legales quand la d’un grouoe culturel est
etendue pour couvrir la territoire d’un autre groupe culturel. Enfin, quand les membres d’un groupe
culturel emigent dans un autre groupe culutrle. Sellin a ajoutee une autre source de conflits
socndaires concritisee dans l’association differentielle de Sutherland.
Le terme de réaction sociale peut être défini comme l’ensemble des instituions pénales que
la société va se donner et mettre en œuvre pour réagir face au crime.
La theroie de l’etiquetage de H.Becker : pour les tenants de cette theoie, ce sont les pouvoirs
publics au meme la societe, qui au terme d’un processus d’interaction accolent le qualifictif de
delinquant a certains individus ; lesquels se trouvait ainsi atiuqetes ou tigmatises.
Des lors ces individus devenus outiders selon Becker, ont plus de mal a voir un
comportement conforme aux normes sociales habituelles. Ils sont contraintes a vivre comme des
deviants. C’est le contrle social qui mene a la deviance et le phenonmene est d’autant plus net que le
legislatuer procede a des incriminations de plus en plus nombreuses.
Becker : insiste donc sur le fait que c sont les groupes sociaux qui crent la deviant en
instituant des normes dont la transgression constitue la deviance. De ce point de vue : la deviance
n’est pas une qualite de l’acte commis par une personne, mais plutôt une consequence de
l’application par les autres de normes et de sanctions d’un transgresseur. Le deviant est celui auqeyl
cette etiquette a été appliquee avec succes.
Le caractere deviant de ‘acte depend en partie de la nature de cet acte et en partie de ce les
autres en font. La deviance n’est alors qpas une propriete du comportement lui-même, mais de
l’interaction entre la personne qui commet l’acte et celles qui regissnet a cet acte.