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Chapitre 1

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CHAPITRE 1 : LES INTERVENANTS

INTRODUCTION
Aujourd’hui plus qu’hier et encore d’avantage demain, tous les secteurs d’activités utilisent l’outil
informatique. Ainsi, l’informatique appartient à présent, à ceux qui savent transformer leurs
habitudes de travail et enrichir leurs expertises en les associant à celles contenues dans les
ordinateurs et les logiciels. En clair, les titulaires des fonctions administratives, commerciales, de
production etc. sont tous condamnés à s’adapter à l’évolution continue de l’informatique. Fort de
tout cela, nous assistons à une diversité d’intervenants dans ‘’l’industrie informatique ‘’

I - LA REGLEMENTATION GENERALE
Le marché informatique actuel est très riche et varié. En effet, il touche tous les secteurs d’activité
(industriel, commercial, transport, agriculture, etc.) et évolue avec la technologie (infographie,
communication, etc.).

A - INTRODUCTION AUX DROITS DE L’INFORMATIQUE


Les NTIC (Nouvelles Technologies de l’Informatique et de la Communication) ont mis à l’évidence à
leur apparition dans le secteur grand public, un manque en matière de législation dans les ménages
et l’internationalisation des échanges grâce à l’Internet. Certaines personnes clament encore qu’il y a
un vide juridique dans le domaine informatique en général et particulièrement sur Internet.

Il existe de nombreuses lois spécifiques au secteur informatique et lorsqu’un domaine n’est pas traité
en particulier par une loi, une analogie est alors faite avec les articles des lois existant dans les
domaines similaires et aboutissent généralement à une jurisprudence.

Ainsi, le droit d’auteur existait avant même que le premier ordinateur ne soit inventé, mais ce n’est
pas pour autant qu’il ne s’applique pas aux œuvres numériques ou numérisées. La nature même des
informations traitées par les technologies de l’information et de la communication rend les données
personnelles encore plus sensibles. Aussi, est sanctionné pénalement tout manquement à mettre en
œuvre un mécanisme de protection adaptée aux données stockées.

Le marché informatique actuel est très riche et varié. En effet, il touche tous les secteurs d’activités
(secteur industriel, secteur commercial, secteur du transport, secteur de l’agriculture, …) et évolue
avec la technologie (infographie, communication, etc.). En gros la réglementation à quelques
différences près, est pratiquement la même que celle qui régit le commerce ou d’autres activités en
général en Côte d’Ivoire. Il s’agit de la réglementation régissant les relations fournisseurs clients.
Mais le système informatique étant composé du Soft et du Hard, il s’agit de séparer subtilement les
deux aspects sans omettre les services s’y accommodant (vidéo texte, Internet, …)

Dans tous les cas, l’ouverture d’une activité informatique doit normalement et logiquement
répondre aux obligations légales nationales exigées d’une structure à caractère commercial.

La singularité de l’informatique est l’autonomie apparente de chaque branche (vendeur de matériel,


éditeur de logiciel, formateur, fabricant d’accessoires…). Les ordinateurs et les activités s’y associant
répondent à la réglementation des machines-outils ou des voitures. Ils peuvent être vendus neufs ou
d’occasion et soumis à des temps de garantie, de livraisons, à des polices d’assurances et à des
conditions d’utilisations.

Les logiciels quant à eux, sont soumis à la loi sur les protections intellectuelles pendant leur
utilisation. Il s’agit de respecter scrupuleusement les droits d’auteurs en évitant le plus que possible
les utilisations abusives (les exploitations sans licence) Les clients ont le droit de savoir, donc d’être
bien informés des qualités et défauts des biens à acquérir. Les fournisseurs ont le devoir d’informer
sincèrement et objectivement les clients sur les qualités et les défauts des biens à vendre.

B - INFORMATIQUE ET LIBERTE
Organisé en 1979, le colloque informatique et liberté a fait apparaître la notion et surtout la relation
entre le développement de l’informatique et le respect des libertés.

Les affaires de ‘’FICHIERS ‘’ dans les pays développés sont d’une importance capitale. C’est pourquoi
les pouvoirs publics français ont voté la loi n°78-17 du 6/01/78, relative à l’informatique, aux fichiers
et aux libertés.

La loi du 6/01/78, en ce qui concerne son principe : ‘’l’informatique doit être au service de chaque
citoyen’’ résume bien l’esprit de la loi ainsi libellée : ‘’Elle ne doit porter atteinte ni à l’identité
humaine, ni aux droits de l’homme, ni à la vie privée, ni aux libertés individuelles ou publiques’’
Cette loi dont le but est surtout la protection des libertés individuelles institue la Commission
Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL), autorité administrative française disposant d’un
pouvoir réglementaire.

Ici au Cameroun, c’est le gouvernement qui se charge de la protection des biens informatiques par le
biais de l’OAPI (Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle).

C - PROTECTION DES CREATIONS INFORMATIQUES

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