Exposé Btcs
Exposé Btcs
Exposé Btcs
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INTRODUCTION :
I- PRESENTATION DU BTCS :
1) Historique :
1. a. Histoire du BTC :
Le Bloc de Terre Comprimé est une « évolution moderne » de l’adobe (terre crue
moulée) et il existe trois méthodes de moulage distinctes : mécanique, manuelle et
formée. L’adobe a l’inconvénient d’une résistance et d’une qualité assez faible, ce qui
empêche de l’utiliser pour des murs porteurs ou la réalisation d’ouvrages conséquents.
Afin d’améliorer ces deux critères, importants dans le domaine de la construction, il y
eu l’idée de compacter la terre, et ce, bien des siècles auparavant. La première
technique était d’utiliser des pilons en bois. Mais ce qui va réellement affirmer la place
du BTC dans le domaine de la construction sera le développement des premières
presses mécaniques.
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Les premières presses pour comprimer la terre ont été imaginées au XVIIème
siècle, il s’agit de la « crécise ». Elle a été imaginée par un inventeur français
F. Cointeraux, il la concevra en détournant un pressoir à vin. À partir du XXème siècle
les premières presses mécaniques furent conçues : il s’agissait de « lourds couvercles
rabattus avec force sur le moule ». Et c’est vraiment à partir de 1952 que le
développement significatif de la place du BTC en construction et en architecture a
commencé. En effet, cette année-là, l’ingénieur colombien R. Ramirez inventa la petite
presse « CINVA-RAM », qui se propagea par la suite dans le monde entier.
CINVA-RAM
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matériaux locaux, mais aussi aux besoins en logement croissant des populations par
exemple.
Pour finir, le développement du BTC est loin d’être terminé. Les facteurs qui ont
poussé à sa réinstallation au premier plan des matériaux de construction, sont aussi
ceux qui poussent et entrainent la recherche technique et scientifique autour de ce
sujet : développement de nouvelles techniques de production, par les entreprises,
spécifiques aux types de chantier ; mais aussi recherches sur les différentes façons de
stabiliser les blocs de terre comprimée, chimiquement ou par ajout, en utilisant des
matériaux variés, locaux ou non, etc... À cela s’ajoute l’intérêt énergétique de cette
technique : elle consomme très peu, et surtout beaucoup moins, à sa production que
d’autres matériaux de construction. Et ceci est devenu un enjeu de taille depuis la fin
de la seconde Guerre Mondiale et de la première crise des ressources énergétiques.
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2) Les stabilisants :
Il existe aujourd’hui une centaine de stabilisants recensés, déterminés par les
recherches scientifiques ou établis expérimentalement à force des siècles de
construction. Certains sont majoritairement utilisés car ce sont les plus étudiés et
les mieux définis ainsi que les plus accessibles. D’autres commencent à apparaître
au fur et à mesure des recherches et investigations scientifiques réalisées. Nous
allons essayer de vous faire une présentation de certains. Il est à noter qu’il s’agit
d’une liste de stabilisant non-exhaustive.
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LA CHAUX : stabilisation chimique
Une des premières tentatives de stabilisation à la chaux a eu lieu en 1920 en
Allemagne, les 2 premiers brevets, sur le sujet spécifique à la construction en terre
stabilisée, sont alors déposés. Actuellement un intérêt croissant pour ce stabilisant a
été remarqué. Il est dit aujourd’hui qu’« il existe un dosage optimal de la chaux pour
chaque type de terre ». Il est tout de même nécessaire d’avoir une terre avec une
fraction argileuse non-négligeable, peu organique (moins de 20 % de matière
organique), et avec une teneur en eau élevée.
La chaux est un stabilisant très bien adapté au procédé de moulage par
compression, comme le ciment, et suit d’ailleurs le même mode de mise en œuvre. Il
s’agit d’un matériau qui modifie le comportement
rhéologique de la terre en formant des liaisons
chimiques stables entre les cristaux argileux.
Cependant, contrairement au ciment, l’efficacité de la
stabilisation par la chaux dépend de nombreux
paramètres comme la minéralogie de l’argile, le pH du
sol, la granulométrie ou encore la capacité d’échange
cationique.
Elle suit un mécanisme dit LIÉ, qui dépend du
type de chaux utilisé : chaux vive ou chaux éteinte. La
chaux vive est une poudre blanche uniquement
constituée d’oxyde de calcium, la chaux éteinte est elle,
constituée d’hydroxyde de calcium, créé à partir de la
chaux vive.
Fabrication de la chaux éteinte
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Par contre, les fibres peuvent devenir quasi-inefficaces en ambiance humide,
lorsqu’elles sont attaquées par des insectes ou rongeurs, ou qu’elles pourrissent.
LGBF moulu
2. b. Recherches et avancées :
Les stabilisants présentés ci-dessus présentent chacun des avantages et des
inconvénients certains. Afin de permettre l’usage croissant de la terre et du BTC dans
la construction, ces stabilisants doivent être encore analysés et étudiés suivant le type
de terre, de l’environnement et du type de mise en œuvre. Nous avons montré en
première partie, quels sont les impacts d’une avancée de premier ordre sur le BTC, en
terme socio-économique, et nous pouvons donc facilement envisager ce que pourraient
apporter de nouvelles découvertes en termes de stabilisation avec usage de matériaux
efficaces et accessibles. C’est pourquoi, des recherches ne cessent d’être réalisées,
ainsi que des thèses. Voici quelques exemples de nouveautés apportées par différentes
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analyses récentes, en termes de stabilisation mécanique mais aussi de performance
thermo physique.
Stabilisation mécanique :
- L’usage de la mélasse, sirop très épais et visqueux constituant un résidu du
raffinage du sucre extrait de la canne à sucre, a été étudié comme stabilisant
seul de la terre. Même si les résultats en compression sont moins efficaces que
par la chaux ou le ciment, ce type de stabilisant peut être utilisé comme
adjuvant. Ceci permettrait de réduire la quantité de chaux ou ciment nécessaire
et donc de diminuer le coût dans le cas du Cameroun par exemple.
- De la même façon la fibre végétale de coton, qui entoure les graines de cotonnier
véritable, a été étudiée dans ce sens. Pour le moment le dosage nécessaire reste
difficile à définir, mais il a été remarqué que comme les autres fibres végétales,
cette fibre confère une certaine ductilité aux BTC.
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II- BTCS ET CONSTRUCTION :
1) Fabrication du BTCS :
La fabrication du BTCS débute par le bon choix des matières premières qui y
interviennent.
a) La terre :
Elle :
- Doit avoir une bonne granularité et une bonne cohésion.
- Ne doit pas contenir de sels ou de matières organiques ; pour cela il est mieux
de la prélever sous une hauteur de 40cm.
- Le taux d’argile doit être compris entre 15 et 25%.
Il est préférable de la faire analyser par un laboratoire compétent (par exemple
celui de MIPROMALO au Cameroun) avant toute utilisation. Le cas échéant, un test
rapide in situ peut permettre d’avoir une idée sur la granulométrie.
Le test pouvant être fait sur place est celui de la sédimentation. Pour le réaliser,
il faut un bocal en verre avec couvercle et du sel.
Mode opératoire :
- Prendre un peu de terre et la mettre dans le bocal à peu près à la moitié ;
- y ajouter la même quantité d’eau, puis du sel pour accélérer le processus de
sédimentation ;
- bien secouer pour que l’argile se détache des grains.
- Laisser reposer (minimum 30 minutes) puis observer le résultat.
La 1ère couche donne la proportion d’argile, la 2ème, celle des limons, la dernière celle
du sable. On peut donc à partir de là avoir les estimations des proportions des
différents éléments.
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b) Le stabilisant :
En général, on utilise la chaux ou le ciment. Il est préférable d’utiliser la chaux
quand la terre contient beaucoup d’argile, et le ciment quand elle a plus de sable. Le
taux de stabilisant doit être au maximum de 12%. Concernant les fibres, elles peuvent
être ajoutées en plus du ciment. Toutefois les résultats sont optimaux (résistance à la
compression augmentée de 38%) quand la teneur est comprise entre [0 ; 1]%.
c) Les équipements :
Pour des productions de grande envergure, il faudrait des pulvériseurs, malaxeurs
et presses motorisés ; pour une production locale, il faut une presse manuelle qui
fonctionne bien. Il faut également avoir des bâches (en plastique), du matériel de
transport (brouettes) et le petit outillage (pelles, pioches, truelles,…).
Concernant la presse qui est l’équipement principal dans la fabrication des BTCS,
il faut bien savoir l’employer ; surtout celle qui est manuelle.
Processus de fabrication :
Il se décline en plusieurs phases qui sont similaires que la production soit
industrielle ou locale :
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Charger le mélange dans la presse en ayant au préalable enduit les parois
d’huile de vidange, pour éviter que la terre n’y colle ; puis compresser
Classer les briques et les recouvrir d’une bâche en plastique pour en assurer
le curage
Arroser les briques avec de l’eau tous les jours pendant 7 jours en les gardant
sous la bâche pour accroître la réaction ciment + eau + terre : il s’agit du
curage humide
Sécher les briques au soleil pendant 21 jours supplémentaires : il s’agit du
curage sec
Dans le cas où le stabilisant est la chaux, le temps de curage sera doublé.
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Pour une fabrication à l’aide d’une presse manuelle, la production journalière
est de 500 à 1000 briques par jour. Et il faut en moyenne 6 personnes : 3 au niveau
de la presse et 3 pour le gâchage et le séchage.
Au Cameroun, la fabrication des BTCS se fait de la même façon, et le stabilisant
le plus utilisé est le ciment, en dehors du Nord où la chaux est recommandée.
Si le mur a une hauteur h, l’épaisseur doit être de h/10 à h/15. L’utilisation des
BTC pour l’élévation des murs doit être conforme aux normes camerounaises : « NC
110 et NC 110 B » relatives aux spécifications techniques pour les maçonneries en BTC
ainsi qu’à la norme « NC 113 » portant sur la mise en œuvre des maçonneries en BTC.
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Les principales pathologies que l’on rencontre sur les murs sont l’écrasement, le
flambement, les charges horizontales et verticales ; ainsi pour y remédier, par rapport
aux murs non porteurs, nous privilégions la maçonnerie de remplissage pour éviter le
risque d’écrasement. Pour les murs porteurs, on peut jouer avec l’épaisseur des murs
(recommandé à 30cm ; 14 cm pour les cloisons), améliorer la stabilité des murs minces
avec des contreforts (reprise des charges verticales) ou des chainages (réduction des
charges horizontales), réaliser des maçonneries armées. Pour réaliser 1 m² de mur, on
a besoin d’environ 21 à 24 briques au m² (mur de largeur 9.5 cm), 32 à 36 (mur de
largeur 14 cm) et le double (mur de largeur 29.5 cm). La capacité de charge de ce type
de mur est d’environ 700 psi (48 bars). Lorsqu’il est juste fini, peut atteindre 1000 psi
(68 bars) une fois séché, et entre 2500 à 3900 psi (172 à 268 bars) mélangé à du
ciment, sachant que les normes recommandent une capacité de charge de 300 psi
(20,6 bars).
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- Le mortier (mélange d’agrégats, de liant et d’eau en proportions bien définies) : a
pour rôle la liaison des éléments de maçonnerie dans les directions verticales et
horizontales, la transmission des efforts entre les éléments et la récupération
des défauts d’horizontalité ; ainsi il doit présenter une bonne résistance
mécanique c’est-à-dire avoir des performances mécaniques compatibles avec les
blocs de terre mis en place, accepter les déformations, présenter une bonne
perméabilité à l’humidité. Sa texture devra être plus sableuse que celle des ‘btc’
avec un diamètre maximal de grains de 2 à 5mm ; dans le cas du ‘btcs’, employer
un mortier stabilisé (le dosage en ciment/chaux doit être augmenté de 1.5 à 2
fois). Les mortiers de terre seront stabilisés au ciment entre 9% et 12% soit 5 à
6 brouettes (60 litres) de terre pour 50 Kg de ciment et seront directement utilisés
après leur confection au chantier).L’épaisseur des joints de mortier doit être
régulière et au maximum de 1 à 1.5 cm, le ‘btcs’ doit être pré trempé et le plan
de pose mouillé (il sera tartiné sur les faces à jointoyer en quantités mesurables)
; une fois posé, bien le plaquer sans le taper de peur d’amoindrir l’adhérence
bloc mortier (laisser dépasser le mortier et le racler à l’aide de la truelle)
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semblables par rapport au béton. Etant donné qu’il offre de nombreuses possibilités
d’agencement, il permet de ce fait de réaliser des motifs agréables et d’une grande
originalité. Cela peut se remarquer sur ces photos :
Les BTCS peuvent également être utilisés pour les routes sous forme de pavés
autobloquants.
ÉTAPES À FAIRE
2 : sous-couche Sur le sol, déposez une sous-couche faite de tout-venant concassé et Damez sur environ 10 cm.
3 : protection Déposez un géotextile sur toute la surface en laissant déborder sur les bords. Le géotextile évite
aux herbes de pousser à la surface et renforce la stabilité de l'assise.
4 : lit de pose Répandez le sable sur toute la surface sur environ 7/8 cm.
Lissez le sable en respectant la pente.
Damez le sable et posez des planches pour ne pas marcher dessus lors de la pose des pavés.
5 : pose des Commencez la pose des pavés par un angle, emboîtez-les les uns dans les autres et tapez
pavés
dessus à l'aide d'un maillet pour les tasser dans le sable.
Vérifiez le niveau régulièrement.
AU CAMEROUN :
Du fait de l’absence de maçons spécialisés dans la construction en terre, de
l’ignorance des maitres d’ouvrage et d’un manque d’information par rapport aux
normes à respecter au pays, on réalise peu de murs porteurs en BTCS ; ils sont en
général utilisés comme éléments de remplissage. L’appareillage couramment réalisé
est le montage en panneresse. Celui en boutisse est utilisé pour la réalisation de murs
épais (porteurs). La première assise est généralement faite de parpaings bourrés pour
éviter l’érosion des briques du fait de problèmes d’étanchéité de la dalle (par exemple
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quand on lave le sol). Les parpaings sont bourrés pour pouvoir supporter le poids des
briques (on a le comparatif poids : BTCS = poids de parpaing bourré).
Sont aussi réalisés des coffrages perdus notamment pour les poteaux. Cela
consiste à poser les briques comme un coffrage, avec l’espace du poteau au milieu ;
puis d’y verser le béton en ayant au préalable mis des armatures. Une autre contrainte
est l’absence d’industries proposant des BTCS stabilisés ou de vente de latérite.
Normes à respecter : le Cameroun n’est pas encore assujetti à avoir des normes
mais de façon générale nous avons le « document technique unifié » DTU 20 qui décrit
l’art de la maçonnerie traditionnelle de petits éléments. Nous avons également la norme
AFNOR d’octobre 2001 : « bloc de terre comprimée pour murs et cloisons »
BTCS et BTC :
- Amélioration de la résistance à la compression
- Amélioration de la résistance à la traction
- Plus grande résistance à l’abrasion
- Diminution de la perméabilité
- Compacité plus élevée
- Plus grande résistance à l’humidité et donc aux intempéries
BTCS et parpaing :
- Moins polluant
- Plus esthétique
- Plus compact
- Moins perméable
- Moins coûteux
- Meilleure régulation thermique
- Meilleure isolation phonique
Il est à noter que le ciment est pratiquement responsable de 5% de la pollution
mondiale. Du fait de sa faible utilisation pour la fabrication du BTC stabilisé, réduite
à 12% d’utilisation maximale, nous avons les avantages suivants :
- Une pollution réduite
- Une grande inertie dans l’échange de chaleur
- Favorisation du développement durable et cohésion sociale
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En plus des opportunités générales suscitées, au Cameroun l’on en dénombre
un grand nombre propre à ce pays représentant « l’Afrique en miniature ».
- Comme évoqué plus haut, la présence de 5 cimenteries au Cameroun permet
l’accès facile au ciment pour la stabilisation des BTCS
- On retrouve aussi beaucoup la sciure et ce dernier, faisant actuellement l’objet
de recherches pour la stabilisation, pourrait bien être utilisé localement et de ce
fait réduire les coûts de production des BTCS
- Il aide à loger des personnes ayant peu de revenus financiers
2) Contraintes :
Le BTC stabilisé ne possède pas seulement des avantages nous pouvons aussi citer
quelques inconvénients observés par rapport au BTC.
Par rapport au BTC :
- Il est polluant, plus couteux (du fait de l’ajout de ciment, de chaux, de sable,
pouzzolane).
- Il nécessite obligatoirement une main d’œuvre plus qualifiée (du fait de sa mise
en œuvre qui demande une bonne formation).
- régulation thermique moins bonne
- moins confortable
- moins écologique
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2) Comment valoriser le BTCS au Cameroun :
Faire un suivi et une évaluation des organisations existants travaillant sur
la valorisation des matériaux locaux notamment le BTCS. Et si possible
en créer d’autres et augmenter leur champ d’action.
En faisant les études pour améliorer les caractéristiques mécaniques
(traction, compression) des BTCS enfin d’avoir les BTCS durable.
L’usage des BTCS dans les constructions majeures comme les logements
sociaux.
Faire la publicité du matériau sur l’ensemble du territoire pour qu’il soit
connu
Insérer des unités d’enseignement dans les séries techniques et
professionnelles qui portent sur le BTCS, sa fabrication et sa mise en
œuvre.
CONCLUSION :
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BIBLIOGRAPHIE :
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