Patho Génitales
Patho Génitales
Patho Génitales
Date : 07/09/2022
⮚ Diagnostic : PSA (contrôle sanguin), biopsie si mauvais résultat au contrôle sanguin (12
prélèvements), scanner/IRM (pour voir les tumeurs), scintigraphie
⮚ Cause :
● Etiologies : génétique (le plus gros facteur de risque) : ATCD familiaux ou
mutations
● Facteurs de risque : “No conclusive data exit which could support specific
preventive or dietary measures aimed at reducing the risk of developing Pca”
(grade 1a)
B. Troubles érectiles
⮚ Ejaculation précoce : éjaculation qui présente un temps de latence inférieur ou égal à 1
min de pénétration vaginale et cela pendant au moins 6 mois et dans 75 à 100% des
occasions. Elle peut être accompagnée de symptômes de détresse importante, de
frustration sexuelle, d’insatisfaction et de tension dans le couple.
⮚ Prévalence : 20 à 30%
UE 17 Mme Hapillon
Date : 07/09/2022
⮚ Prévalence :
● 19% chez les 18 à 69 ans
● 30,6% chez les 55 à 69 ans
⮚ Endométriose, adénomyose
⮚ Troubles de la sexualité
● Dyspareunie
▪ Superficielle
▪ Profonde
● Vaginisme
● Vulvodynie/vestibulodynie
● Anorgasmie
1. Définition
2. Classification
3. Épidémiologie
⮚ Accouchement
● Risque à long terme, voie d’accouchement, nombre, durée de travail (second
travail, quand bébé sort), poids du NN (à partir de 3.5 kg), instrumentalisation
● Augmente le risque de prolapsus, car déloge l’organe et les structures
adjacentes donc laisse de la place
⮚ ATCD de chirurgie
● Hystérectomie
● Augmente le risque de prolapsus et de chirurgie
⮚ Age
● Augmente le risque de prolapsus et la gravité
⮚ IMC>25
● Augmente le risque de prolapsus
⮚ Ménopause/hypo-oestrogénie
● Augmente le risque de prolapsus et la gravité
⮚ ATCD familiaux/Génétique
● Augmente le risque de prolapsus
5. Diagnostic
⮚ Signes cliniques :
● Utilisation de questionnaires d’évaluation : PFDI-20, PISQ-12, PISQ-IR, PGI-I,
FSFI
● Examen physique en position debout de préférence
⮚ Signes paracliniques :
● Echographie pelvienne ou endo-anale,
UE 17 Mme Hapillon
Date : 07/09/2022
● IRM pelvienne dynamique, défécographie
Pour savoir si c’était l’intestin ou le rectum qui descend ; fait la différence avec un toucher
rectal (si pousse un peu et que le vagin descend, c’est l’intestin)
Défécographie ; analyse avec IRM (pâte molle insérée dans le rectum et demande de pousser
pour l’expulser), mais en réalité peu corrélé avec le fonctionnel
6. Symptômes associés
⮚ Facteurs urinaires : IUE / IUE masquée (par un prolapsus qui retenait les fuites),
hyperactivité vésicale, dysurie, pollakyurie
⮚ Facteurs ano-rectaux : IA, IF, I au gaz, dyschésie, faux besoin, troubles dans les
relations sexuelles, sensation de boule dans le rectum
⮚ Facteurs sexuels : baisse de la libido et de la fréquence des orgasmes (stade III et IV),
sensation de boule dans le vagin (rapports pas contrindiqués)
C. Syndrome génito-urinaire
⮚ Symptômes :
● Vulvo-vaginale : sécheresse, douleur, brûlure, irritation, prurit
● Sexuel : dyspareunie superficielle, déficit en lubrification ou sténose orificielle
● Urinaire : pollakiurie, urgenturie, infection urinaire à urines claires, brûlures
mictionnelles
D. Endométriose/adénomyose
Plusieurs définitions, pas de consensus
⮚ Type (3+1) :
● Endométriome : endométriose au niveau ovarien (kyste)
● Endométriose superficielle péritonéale
● Endométriose profonde sous-péritonéale
⮚ Etiologies
● Théorie de l’implantation (menstruation rétrograde, théorie métastasique,
théorie iatrogène (facteur environnemental et chirurgical))
● Théorie métaplasique
● Théorie de l’induction
● Théorie des cellules souches
● Théorie « tissue injury and repair » (cellules implantées provoquant des
inflammations)
+ génétique et environnemental
⮚ Symptômes (6D) :
● Dysménorrhée : douleur lors des règles
● Dyspareunie profonde : douleur en profondeur lors des rapports
● Douleur pelvienne chronique
● Dysurie : difficulté d’uriner
● Dyschésie : difficulté à déféquer
● Dysfertilité : difficulté à tomber enceinte (PMA)
55% d’entre elles présentent des douleurs lombaires (douleurs cycliques et corrélées aux
menstruations, pas forcément régulières) y penser lors des bilans lombalgies
E. Dyspareunie
Causes :
● Superficielle : vulvodynie, vestibulodynie, pathologies sous-jacentes (vaginite
atrophique, dermatologique, infections, lésions), sécheresse vaginale
(iatrogène, habitudes de vie)
● Profonde :
F. Troubles sexuels
⮚ Vaginisme :
o Spasme involontaire de la musculature du tiers inférieur du vagin lors de la
pénétration (DSMIV 2000).
o Contraction involontaire, répétée, persistante, des muscles du vagin en cas de
tentative de pénétration par le pénis, doigt, tampon ou spéculum (OMS)