Marketing Gmira - 1
Marketing Gmira - 1
Marketing Gmira - 1
FSJES -Settat
1
Cours réalisé par:
Mme Firdaous Gmira
Docteur en Marketing
Lauréate du Groupe HEC-Paris
- Professeur universitaire
- Consultante d’entreprises
2
Plan du cours
3
Accroissement du rôle du marketing dans
la gestion des entreprises
4
Accroissement du rôle du marketing dans
la gestion des entreprises
7
¡ Cette importance croissante de la fonction
marketing se manifeste à la fois par la place
qui lui est faite dans les structures
organisationnelles et par les budgets qui sont
consacrés.
10
¡ Définition 1. Le marketing est l’ensemble
des moyens dont dispose une entreprise
pour vendre ses produits à ses clients d’
une
manière rentable.
11
¡ Définition 4 . le marketing est la science et l’
art de
choisir ses marchés cibles, d’
attirer, de conserver, et
de développer une clientèle en créant et en
communiquant de la valeur.
12
3. Sur quoi porte le mark eting ?
-Les biens
-Les services
-Les événements
-Les personnes
-Les endroits
13
-Les propriétés : biens immobiliers, valeurs
mobilières (actions et obligations)
-Les organisations :ONG, Fondation,
Associations, Universités, etc;
information: les maisons d’
-L’ éditions, les
magazines, la presse en général
-Les idées: c’
est l’
objet du marketing social qui
œuvre pour promouvoir des grandes causes
comme la sécurité routière, la lutte contre le
Sida ou la prévention contre la drogue
14
3. Les concepts, les tendances, et les outils
du marketing
Le marketing est:
-Une attitude personnelle et une culture d’
entreprise,
-Une stratégie
-Un ensemble de tactiques et de moyens
-Une pratique faite d’
anticipation et de
réactivité.
15
a. l’
attitude marketing
Pour s’
y adapter Et pour l’
influencer
16
b. Le marketing est de la stratégie
18
Chapitre 2.
Les moyens d’action du marketing: le
marketing-mix
§ Le produit est l’
un des quatre éléments du
Marketing-mix avec le prix; la distribution et
la communication.
20
v La politique du produit est une politique
fondamentale de la politique marketing. Son
importance tient à deux raisons principales:
21
Ø la première, c’est qu’il est très difficile de
faire de ‘bon marketing’ avec un mauvais
produit; c’est-à-dire avec un produit qui ne
répond pas aux attentes des consommateurs.
* L’expérience montre que l’ on ne peut
vendre durablement dans un marché
concurrentiel un produit mal conçu ou de
mauvaise qualité; et qu’ une marque ne peut
durer que si elle s’appuie sur de bons produits.
22
Ø Le seconde raison; c’ est que la politique de
produit est celle qui implique les
investissements les plus lourds, et par
conséquent celle où les erreurs sont les plus
coûteuses et les plus difficile à corriger.
23
1. Définition
24
Ø Le prix le mieux choisi; les canaux de
distribution les plus performants; la politique
de communication la plus efficace ne peuvent
garantir le succès d’un produit non compétitif.
25
¡ Qu’
est-ce qu’
un produit
26
1. Les classifications du produis
27
¡ B) Les biens de grande consommation
Une seconde classification; fondée sur les
habitudes d’
achat des consommateurs.
Ø Les produits d’
achat courant:
il s’
agit des biens de consommation que le client a l’
habitude d’ acheter fréquemment et avec un minimum d’
effort de comparaison ( cigarettes; journaux; produits
de toilette). Les fabricants de tels produits multiplient
les points de vente afin de bénéficier de l’achat dès que
le consommateurs se manifeste.
28
Ø Les produits d’ achat réfléchi : il s’agit de
biens de consommation que le client compare
sur certains critères tels le prix; la praticité;
la qualité ( meubles; vêtements; automobiles;
électroménagers)
29
Ø Les matières premières et produits
manufacturés;
30
¡ Exemples de produits:
- Une bouteille de Coca-Cola
- Un Film; un livre; Un CD;
- Une œuvre d’ art
- Un détergent, une savonnette
- Un contrat d’ assurance;
- Une consultation médicale;
- Un étudiant sur le marché du travail;
- Un Airbus;
- Un voyage organisé
31
2. La différenciation
Pr. F.Gmira
32
3. Les lignes et les gammes de produit
Définition
Une gamme est un ensemble
de produits qui ont un lien
entre eux car: ils partagent les
mêmes fonctions principales ou
sont vendus par les mêmes
canaux de distribution ou dans
les mêmes zones de prix.
33
Les dimensions de la gamme
35
Taille de la gamme =
sa largeur + sa profondeur
36
Ø Une gamme profonde disperse les risques et
couvre un nombre plus important de besoins
différents, elle est donc plus à même de
satisfaire plusieurs segments de la clientèle et
d’être plus efficace commercialement.
37
Ø Une gamme peu profonde facilite le
processus de production et donne de
meilleures marges unitaires ( le
nombre d’ unités vendues est
généralement plus important pour
chaque type de produit). Elle réduit la
cannibalisation d’
un produit par un
autre et est mieux acceptée par les
distributeurs.
38
L’
analyse des produits d’
une gamme
40
Le cycle de vie des produits et des marchés
44
Une vision trop mécanique et trop peu
prédictive
Il arrive que des phases du cycle de vie n’
arrivent jamais: certains produits meurent
dès la phase de lancement et ne
connaîtront jamais de développement; d’
autres connaissent des phases de maturité
qui ne montrent aucun signe de faiblesse:
Coca-Cola fut lancé en 1886 et demeure
leader sur son marché.
45
Les stratégies de marque d’
un produit
46
v Le rô le de la marque aupr ès des
clients
- La marque est un contrat:
- La marque différencie les produits en leur
donnant du sens
- La marque valorise le consommateur
- La marque favorise la connaissance des
produits:
- La marque à une valeur commerciale
- La marque à une valeur financière
47
v Le choix de la marque repose sur 6
critères:
- La facilité de mémorisation et de prononciation,
- La signification: que suggère cette composante sur
les produits?
- L’attrait: la composante est-elle attrayante au plan
esthétique?
- La transférabilité: la composante sera-t-elle
utilisable pour lancer ultérieurement de nouveaux
produits ?
- La capacité d’ adaptation: Les composantes sont-
elles intemporelles? Pourra-t-on aisément les
moderniser à l’ avenir?
- La capacité de protection juridique: un dépôt est
-il possible? Un nom et un logo sont déposés
juridiquement et donc difficilement copiables. 48
v Le poids d’une marque sur son march é
est fonction de:
- Le leadership: il s’ agit de la capacité de la marque
à influencer son marché; et contrôler ses prix ainsi
que sa distribution,
- La stabilité: c’est la capacité de la marque à
survivre sur une longue période;
- Le marché: taux de croissance de l’ entreprise,
marché potentiel, volatilité de la clientèle,
- La portée géographique: la capacité de la marque
à traverser les frontières géographiques et
culturelles;
- La tendance: la capacité de l’ entreprise à rester
moderne;
49
v Le capital marque
-Le capital d’ une marque est la valeur
apportée aux produits et services qu’ elle
couvre.
-Cette valeur dépend des pensées, des
sentiments et des actions de clients par
rapport à ma marque; ainsi que de ses
prix; de sa part de march é et de sa
rentabilité;
-Le capital marque est un actif intangible
important qui confère une valeur
psychologique et commerciale à l’
entreprise 50
v Le poids de la marque sur son marché
est fonction de:
- Le soutien marketing: cela correspond au montant
des investissements en marketing et communication,
ainsi qu’
à la cohérence des actions réalisées;
- La protection: cet élément fait référence aux titres
légaux dont la marque est propriétaire.
51
vLes politiques de marque
A. La marque produit
A chaque produit correspond un
positionnement et une marque
spécifique.
b. La marque ombrelle:
- La marque ombrelle signe plusieurs
catégorie de produits très différentes.
C. La double marque ( marque
caution)
- Elle se compose d’une marque mère et d’
une marque fille. La marque fille est
souvent une marque ombrelle, comme 52
Nestlé ou Danone.
vLe design
53
§Les fonctions du design
54
§Les fonctions commerciales du design
¡ Alerte: il attire l’
attention
¡ Séduction: il plaît au consommateur,
¡ Attribution: c’ est un élément d’
identification
¡ P ositionnement: il évoque une image, une qualité
55
Le prix
le 2ème élément du marketing mix
56
Filtrer un prix: une décision filtrée
57
vMéthode de fixation d’
un prix de vente
§ l’
approche par les coûts
- Prix de revient + marge
- Le seuil de rentabilité
§ L’ approche de la demande
- En fonction de l’
élasticité de la demande : comment varie la
demande suite à une variation (+ ou -) du prix,
- En fonction du prix psychologique: le prix accepté par le
consommateur
58
Les stratégies relatives à la fixation t’
un prise de
vente
§ L’
alignement: le prix retenu se situe dans la
fourchette de ceux pratiqués: la différence se fera sur d’
autres arguments.
59
Stratégie et qualité
P rix
É levé e M oyenne Basse
Raisons de l’ A vantages
utiliser recherché s
61
Les modulations du prix de base
63
Le processus de la communication
É metteur
Message récepteur
----------
Canal
codage Dé codage
Bruit
Réponse
feedback
64
Les étapes de la stratégie de communication
A llocation du budget
66
1.Les objectifs de la communication
67
2.La cible de la communication
68
Les grands stratégie de communication:
69
3.Le message
70
3.Le message
Le contenu du message
- On distingue les axes rationnels, émotionnels
et éthiques.
71
v L’
axe rationnel: il évoque par exemple la
qualité, l’
économie ou la performance.
v L’
axe émotionnel : il engendre une réaction
affective ( positive ou négative) de nature à
provoquer l’ achat.
v Les axes éthiques: il s’appuie sur le sens
moral du récepteur. Il est souvent utilisés
pour des compagnes d’ intérêts général tels
que la protection de l’environnement, le
soutiens aux handicapés, etc.
72
¡ La structure du message
v La manière de présenter une information a
une incidence majeur sur son efficacité
73
¡ La source du message
v L’
émetteur influence également son audience
par la façon dont le message est perçu par le
public.
v Une source crédible renforce l’ efficacité du
méssage.
v Trois facteurs confèrent de la crédibilité à une
source: l’expertise, la confiance et la
popularité.
74
4. Les canaux de communication
75
5. Le budget de communication
77
5. La stratégie de communication
78
Les outils de communication
79
La création publicitaire
v Les étapes d’
une compagne publicitaire
Les objectifs de la compagne
Définition de la cible
Le Média-Planning
Projet de compagne
Pré-test de la compagne
Contrôle de la compagne
80
La création publicitaire
o P romesse:
-La qualité d’
un vari café
o La preuve:
-43 grains par tasse
o Bénéfice
-La saveur d’un café traditionnel associé à la
rapidité
o Ton
- Ambiance de fin de bon repas
83
Exemple de Copy strategy
« Lessive Ariel »
o P romesse:
-Des couleurs éclatantes, un linge plus doux
o P reuve:
-Test de coloration ( comparaison avec une
lessive anonyme, présence d’ un agent
adoucissant)
o Bénéfice:
-Chemise du mari associée à une valorisation
sociale + plaisir personnel, sensualité et
séduction.
o Ton:
- Situations sociales où les acteurs se
retrouvent ( mari, amis, épouses…) 84
Exemple de Copy strategy
« Chewing-gum Clorets »
o P romesse:
-Clorets lutte contre la mauvaise haleine
o P reuve:
-Contient de l’ Actizol
o Bénéfice:
-Le plaisir d’avoir une bonne haleine
o Ton:
- rencontres, jeunes,…
85
Les critères de choix des médias
¡ Le concept de la distribution.
Ø Distribuer un produit, c’est faire en sorte que
les produits soient disponibles au bon endroit,
en quantité suffisantes, au bon moment et
dans les meilleures conditions.
Ø Cela nécessite un certain nombre d’ opération
qui peuvent être assumées par le producteur
lui-même ou par les partenaires externes.
Ø La succession d’ intermédiaire pour amener un
produit du lieu de production au lieu de
consommation forme ce que l’ on appelle un
canal de distribution
87
v Le canal de distribution est une voie d’
acheminement de biens ou de services
vendus, de même nature, entre le producteur
et le consommateur ou l’ utilisateur final, avec
interventions éventuelle de commerçants et d’
intermédiaires.
Exemple:
Fabricants Grossistes Semi-grossistes
Consommateur final
88
¡ Les circuits de distribution
C’
est l’
ensemble des canaux de distribution par
lesquels un bien, une catégorie de biens ou
de services vendus s’achemine entre le
producteur ou l’importateur et le
consommateur final
89
¡ Les fonctions de la distribution
- Le recueil de l’
information sur les clients actuels et
potentiels mais également sur les concurrents
- La communication, c’ est-à-dire la diffusion d’
informations persuasives susceptibles de stimuler l’
achet,
- La négociation, c’ est-à-dire la recherche d’ un accord sur
les termes d’échanges,
- La prise de commande, transmise au fabricant à partir
des intentions d’ achat des clients,
- Le financement et gestion des stocks nécessaires à
chaque circuits de distribution
- Le transport, le stockage, la manutention et la
facturation et la gestion des encaissement
90
¡ On distingue 3 types de canaux de
distribution:
91
¡ Les critères de choix d’
un circuit de
distribution
Capacité à couvrir le - Nombre de clients servis,
m arché répartition géographique
des points de vente,
perspectives de
croissance
Caractéristiques des - Image, notoriété,
distributeurs expérience, niveau de
formation, solidité
financière, etc.
a. la distribution intensive
Ø L’
entreprise cherche le plus grand nombre de
points de vente possible,
Ø Elle permet une couverture de masse, des
gins de volume sont potentiellement
important, que ce soit en termes de chiffre d’
affaires ou de part de marché,
93
¡ La distribution intensive:
Ø C’est la couverture du marché ( la présence
du produit dans la plupart des points de vente)
Ø La distribution intensive multiplie les coûts de
distribution, et le producteur risque de ne
plus contrôler efficacement son marketing-
mix, et peut perdre le contrôle du marché.
94
¡ La distribution sélective:
C’
est une sélection des points de vente par le
producteur;être présent dans un nombre
limité de points de vente.
Ø Une distribution séléctive est généralement
couplée à une stratégie de marge: volume
des ventes limités et forte rentabilité.
Ø Elle permet au producteur de garder le
contrôle de son marketing-mix
95
¡ La distribution exclusive:
Le producteur dans cette situation accorde l’
exclusivité de la distribution de son produit
par un seul intermédiaire.
Ø On accordant le privilège de l’ exclusivité, le
producteur espère susciter un effort de vente
plus rigoureux et conférer à son produit une
image de prestige autorisant un prix élevé.
96
Chapitre 3. Le marketing des services
97
Le marketing des services
100
Les stratégies marketing applicable aux
services
A. L’
évolution de la relation client
La relation avec le client est
particulièrement importante dans les
services. Certaines entreprises ont mis en
place un service individualisé des clients en
fonction de leur profil, ils disposent des
données individualisés qui leur permettent
de repérer les bons clients et de les choyer,
avec un bon service pour ceux qui génèrent
une forte rentabilité.
101
B. Les facteurs à prendre en compte dans
le marketing des services
Le marketing des services exige en
conséquence trois types de marketing:
externe, interne et interactif.
Ø Le marketing externe décrit le travail
classique de préparation des services, de
fixation de prix, de distribution et de
communication
Ø Le marketing interne signifie que l’ entreprise
doit former et motiver l’ ensemble de son
personnel dans l’ optique de la satisfaction du
client. Il ne suffit donc pas de créer un
département marketing, il faut « mobiliser l’ 102
ensemble de l’ entreprise de la pratique du
Ø Le marketing interactif souligne que la qualité
perçue du service est étroitement liée à l’
interaction
acheteur / vendeurs, Le client ne juge pas
seulement la qualité technique du service ( l’
opération chirurgicale a-t-elle réussi?), mais
également sa qualité fonctionnelle
( le chirurgien inspirait-il confiance?).
103
v La qualité des services
- Une des stratégies marketing majeures dans
le domaine des services, est de garantir un
niveau de qualité
- Les clients développent certaines attentes vis-
à-vis du services offert en fonction de leurs
expériences d’ achat antérieures, du bouche-à-
oreille et de la publicité. Ils comparent le
service perçue avec le service attendu et sont
satisfaits si leur perception est comparable ou
supérieure à leurs attentes.
104
¡ Pour cela, l’
entreprise se doit donc d’
abord de
connaître les attentes et souhaits des clients
en matière de qualité: - Que veulent ?
- Quand ?
- Où ?
- Sous quelle forme ?
105
v Les déterminants de la qualité de service
Ø La fiabilité: la prestation de service doit être complète
et correspondre aux promesses réalisées,
Ø La capacité de réaction: le personnel doit réagir
rapidement et efficacement à toute enquête ou
problème du client,
Ø La compétence et la confiance: le personnel doit avoir
les connaissances nécessaires pour assurer la
prestation de service et inspirer confiance,
Ø Le souci du client: le personnel doit porter attention
aux besoin de la clientèle.
Ø La matérialisation de la qualité: les produits attachés au
service
( équipement, matériels de présentation, outils de
communication) doivent correspondre au niveau de
qualité annoncé.
106
v Le modèle de qualité de service
L’
analyse de sociétés de service performantes
révèle qu’ elles partagent une certaine
pratique de la qualité autour de quelques
éléments :
q La satisfaction vient du fait que le service
attendu soit supérieur au service perçu,
q Il y a satisfaction du consommateur si la
qualité perçue est supérieure à la qualité
attendue, donc en réduisant les écarts on
arrive à créer une satisfaction du
consommateur.
107
¡ Pour cela il faut une:
Ø I m plication m anagériale:
- Monter un « fair play » ( ne pas tromper le client)
- Privilégier la fiabilité du service,
- Un niveau de normes élevés : la fiabilité, la souplesse,
et la capacité d’ innovation,
- Établir des relations régulières et personnalisées avec le
client,
- Le système de prise en charge les réclamations,
- La satisfaction du personnel au même temps que la
clientèle:les meilleures société de service ont compris
que la satisfaction de la clientèle passe par celle du
personnel, compte tenu du rôle de celui-ci dans la
prestation des services.
108
Ø La gestion des ressources humaines:
-Sélectionner avec soin les nouvelles recrus de
l’
entreprise,
-Organiser une formation sérieuse et adapté,
-Mettre au point un système d’ évaluation de la
performance et des récompenses,
-Offrir un salaire supérieur que la concurrence,
109
v Dans les services on se rend compte qu’ il y a
une interaction entre la satisfaction de la
clientèle et le personnel.
v Un client fidèle est un client rentable,
v Dans une activité de service, l’ importance du
personnel est cruciale.
110