La Culture Fourragère À Base de Ppaanniiccuum M M Maaxxiim Muum M

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Production animale en Afrique de l’Ouest Fiche N°15

CIRAD
Recommandations techniques

LES PRODUCTIONS FOURRAGERES

La culture fourragère à base


de Panicum maximum
Jean César

Panicum maximum Jacq est une haute graminée vivace cespiteuse, de 1 m à 3 m. Elle produit des
feuilles larges de 10 mm à 25 mm et développe en fin de saison des pluies une grande panicule de
30 cm à 50 cm. Les épillets lancéolés, trois fois plus longs que larges, dont les glumelles de
la seconde fleur sont ridées transversalement, permettent de reconnaître l’espèce (figure 1).
En conditions naturelles, elle croît dans les clairières en forêt dense, dans les lisières forestières
et les bords de routes de la région guinéenne d’Afrique de l’Ouest.
Des travaux de sélection et d’hybridation de cette espèce ont été menés par l’ORSTOM, dans le cadre
de recherche fondamentale, ainsi que pour la production fourragère. De nombreuses variétés cultivées
existent un peu partout dans le monde tropical et qui s’échappent parfois spontanément
des cultures.

L’avantage
de Panicum maximum
Plante forestière à l’origine, Panicum maximum résiste cepen-
dant bien au feu. C’est une excellente fourragère à producti-
vité élevée. La variété C1, par son feuillage fin et sa bonne
appétibilité, s’est révélée particulièrement adaptée à la zone
soudanienne.

Forte productivité
L’intérêt de Panicum maximum cv. C1 apparaît dans les expé-
riences de Grimaud et Ouedraogo (in Godet et coll.) menées à
Banankélédaga, près de Bobo-Dioulasso (figure 2). Quatre
types d’exploitation par coupe ont été appliqués, combinant
coupes haute (10 cm) ou basse (près du sol) et rythme rapide
(1 mois) ou lent (2 mois). Seul Panicum maximum dépasse
10 t/ha de matière sèche. Si le rythme lent est conseillé pour
Andropogon gayanus, la coupe basse rapide s’impose à
Panicum maximum pour assurer une bonne valeur nutritive.
La forte productivité influe aussi sur le maintien de la fertilité.
Selon Picard (1979), l’apport au sol d’une culture de Panicum
maximum en zone humide est de 9 à 16 t/ha/an de matière
organique.

Figure 1. Panicum maximum. a : base de la plante ; b : ligule ;


c : inflorescence ; d : épillet ; e, f : glumes inférieure et supérieure ;
g, h : lemme et paléole de la fleur intérieure ; i : fleur supérieure ;
j : paléole de la fleur supérieure ; k : caryopse. (Les Poaceae de Côte
d’Ivoire, dessin de P. Poilecot in Boissiera 50, 1995). 1
Production animale en Afrique de l’Ouest
Production fourragère (g/m2)

1 600
1 400
1 200
1 000
800
600
400 Figure 2. Production comparée de 3 graminées
fourragères utilisées à Bobo-Dioulasso, selon
200 4 traitements résultants de la combinaison de coupes
0 haute ou basse et de rythmes rapide ou lent. D’après
Andropogon gayanus Brachiaria ruziziensis Panicum maximum Grimaud et Ouédraogo (in Godet et coll. 1998).
NB : c’est la coupe basse rapide qui garantit la meilleure
basse - rapide basse - lent valeur nutritive.
haute - rapide haute - lent

Grande résistance Bonne valeur fourragère


La résistance de Panicum maximum est souvent surprenante. La plante est très bien appétée par le bétail, tant bovins que
En dépit de sont origine forestière, la plante résiste parfaite- petits ruminants. Sa valeur nutritive est bonne, à condition tou-
ment aux feux de brousse ; la technique peut même être tefois d’être exploitée très jeune (25 à 35 jours). Au-delà de
conseillée en culture pure pour rabattre des refus insuffi- 40 jours, la teneur en azote devient insuffisante.
samment exploités et gênant la pâture. Sa résistance au brou-
tage et au piétinement est aussi très bonne. La plante permet
de lutter correctement contre l’érosion. Enfin, Panicum
maximum résiste aussi à la sècheresse et se maintient sans
problème sous des pluviosités de l’ordre de 400 mm avec
8 mois de saison sèche. Il convient aussi bien aux sols
sableux légers qu’aux sols à argile dominante.

Recherche d’un équilibre


Des besoins azotés
La légumineuse, une fois installée, doit pouvoir se perpétuer.
Sa pérennité est faible. Elle doit aussi pouvoir résister aux
Panicum maximum présente cependant un inconvénient majeur feux accidentels. Stylosanthes hamata cv. Verano est une
que l’exploitant doit connaître : comme toutes les graminées, sa variété précoce à forte production grainière. Elle se ressème
valeur protéique baisse rapidement et, lorsqu’elle est exploitée facilement. La dissémination des semences en fin de saison
intensivement, ses besoins en fertilisation azotée sont élevés. des pluies, avant le passage du feu, permet la régénération de
Pour réduire ces inconvénients, il est possible d’associer l’espèce dès les premières pluies.
Panicum maximum à une légumineuse. La légumineuse produit
une partie de l’azote nécessaire à la graminée, tout en amélio-
rant la valeur protéique et l’appétibilité du fourrage.
Pérennité et effet de substitution
Sur les sols pauvres en azote, Stylosanthes hamata a ten-
L’association graminée-llégumineuse dance dominer les premières années. Mais à mesure que la
légumineuse restaure le niveau de fertilité azotée du sol, la
La difficulté est d’établir un bon équilibre entre les deux graminée devient plus compétitive.
plantes. Le choix des variétés est important. En Afrique de
l’Ouest, l’association avec Stylosanthes hamata cv. Verano a Inversement, sur les sols riches en azote, Panicum maximum
donné de bons résultats (figure 3). domine rapidement et la participation de la légumineuse est
faible. Cependant, elle ne disparaît jamais complètement,
Pour que l’association soit stable, la graminée ne doit pas toujours prête à se multiplier en cas de régression du
étouffer la légumineuse. Le développement en touffes bien Panicum.
individualisées de Panicum maximum est un facteur favorable
à l’installation de la légumineuse. Parmi les différentes varié- Stylosanthes hamata joue ainsi un rôle «tampon», quels que
tés de Panicum maximum, le cultivar C1 est un peu moins soient la fertilité et les aléas de la gestion pastorale, il réussit
agressif, grâce son port basiphile il laisse pénétrer la lumière généralement à combler les vides laissés par la graminée
2 dans les espaces hors touffe où croît la légumineuse. (figure 4).
La culture fourragère à base de Panicum maximum

Figure 3. Détail de l’association


de Panicum maximum cv C1
et Stylosanthes hamata cv. Verano.
(photo J. César)

Figure 4. Stylosanthes hamata occupe


les espaces libres entre les touffes
de Panicum maximum.
(photo J. César).

Technologie de l’association
Le travail du sol tiquées de Stylosanthes hamata. Les semences des deux
plantes sont fines, surtout celles de Panicum maximum, et ne
La préparation du sol doit être assez fine pour une bonne doivent pas être enfouies profondément. En semis mécanisé,
implantation de Panicum maximum. Un labour en traction ani- il est préférable d’utiliser un épandeur de type « Vicon » plutôt
male, suivi d’un hersage est possible sur les sols légers et qu’un semoir perfectionné.
bien défrichés. Sur les sols lourds, un travail fin motorisé est
La pouvoir germinatif de Panicum maximum cv. C1 est très
conseillé : labour à la charrue à disques ou pulvérisage lourd,
variable. Il atteint 90 % lorsque les semences sont récoltées à
suivi du passage d’un cultivateur à dents. On trouvera d’am-
la main par la méthode d’ensachage. Il peut être très faible si
ples détails sur les défrichements et le travail du sol dans la
les semences sont récoltées mécaniquement ou dans d’autres
fiche MCD-IEMVT (1991).
conditions.

Le semis et le bouturage Pour de petites parcelles et une installation rapide, le Panicum


peut être bouturé au moyen d’éclats de souche de 4 à 5 talles,
Le semis se fait à raison de 1 kg à 1,5 kg de semences espacés de 40 cm à 60 cm en tous sens. Le Stylosanthes sera
germantes de Panicum maximum et 2 kg de semences décor- semé à la volée après reprise du Panicum. 3
Production animale en Afrique de l’Ouest

La fertilisation L’enclosure
Une fertilisation complète n’est généralement pas utile. Par La protection de la parcelle pendant l’installation est indispen-
contre, l’épandage de phosphore est nécessaire pour lever les sable et une clôture est souvent utile. Pour de petites parcel-
carences et faciliter le développement du Stylosanthes. Les les, elle peut être de conception traditionnelle et renforcée par
doses conseillées sont 50 unités de P2O5 (150 kg à 200 kg de la suite par une haie vive ou des piquets vifs. La clôture ser-
phosphate naturel), renouvelables tous les 5 ans. vira ensuite à mieux gérer l’exploitation de la pâture.

Production et gestion de l’association


Production fourragère Capacité de charge
L’association fourragère à Panicum maximum cv C1 et La charge moyenne réalisée à Korhogo, sur des sols médio-
Stylosanthes hamata a donné de bons résultats en Côte cres de jachères, est de 1,3 UBT/ha/an. Elle est près de deux
d’Ivoire en milieu villageois. fois plus élevée que celle d’une jachère à Andropogon gaya-
nus (figure 6).
La productivité dépend évidemment beaucoup du sol et de sa
fertilité. Quelles que soient les conditions, elle reste environ Godet et coll. obtiennent durant huit mois de saison des pluies
deux fois supérieure à celle d’une savane ou d’une jachère à des charges de 3 à 6 UBT/ha dans la région de Bobo-
graminées vivaces et 2,5 à 4 fois supérieure à celle d’une Dioulasso, dans des conditions un peu particulières, la par-
formation dégradée (figure 5). Elle peut être installée sur des celle se trouvant dans un bas-fond bien alimenté en eau (se
sols très peu fertiles, moyennant une fumure de fond 100 kg à reporter à la figure 9).
200 kg de phosphate naturel.
Dans le tableau 1, la production est exprimée par la biomasse Productions animales
maximale en fin de saison des pluies. Faible la première
année, elle atteint sa valeur normale de 9 t/ha à 10 t/ha dès la En dépit des forte charges supportées par l’association, la
deuxième année. Au cours de ces trois années, la proportion valeur alimentaire de l’herbe reste correcte puisque les gains
d’adventices ne cesse de diminuer. moyens quotidiens (GMQ) observés sont trois fois plus élevés
que sur savane naturelle (tableau 2). Ils demeurent néan-
moins légèrement plus faibles que ceux de la jachère à Andro-
pogon gayanus, améliorée par sur-semis de Stylosanthes
hamata.
9
8
7
Biomasse en t/ha

6
5
4
3
2
1
0 Figure 5. Productivité de l’association Panicum maximum
Sols épuisés Sols moyens et Stylosanthes hamata comparée aux pâturages naturels,
sur deux types de sol dans la région de Korhogo,
jachère jachère
dégradée ou savane association en Côte d’Ivoire, (d’après César et coll. 1999).

Tableau 1. Production fourragère de l’association pendant les trois premières années


d’installation dans la région de Korhogo, (d’après Dulieu in MCD-IEMVT, 1991).

Age Panicum Stylosanthes adventices total


de la maximum hamata fourrager
culture t/ha % t/ha % t/ha % t/ha

1 an 2,35 36 3,06 47 1,04 16 5,41


2 ans 4,65 43 5,02 46 1,13 10 9,67
3 ans 4,85 48 4,9 48 0,35 4 9,75
4
La culture fourragère à base de Panicum maximum

Mattoni et Grimaud donnent, pour la région de Bobo- L’association fourragère de Panicum maximum et Stylo-
Dioulasso, des productions laitières satisfaisantes pour des santhes hamata bien exploitée peut apporter des bénéfices
zébus Peulh en pâturage permanent. Elles sont un peu plus conséquents à l’exploitant, jusqu’à 90 000 FCFA par hectare
faibles en pâturage rationné (figure 7). et par an, pour une association munie de clôture, et avec un
amortissement calculé sur dix ans (tableau 2).

Jachère Association

6,8 UBT pour 10 ha 13 UBT pour 10 ha

Figure 6. Charge moyenne annuelle réelle de l’association Panicum maximum


et Stylosanthes hamata, comparée à la jachère à Andropogon gayanus ensemencée
en Stylosanthes hamata (région de Korhogo).

2,0
production laitière (l/j)

1,5

1,0
Figure 7. Production laitière de zébus nourris
0,5 par l’association de Panicum maximum et
Stylosanthes hamata, en pâturages permanent
et rationné à Bobo-Dioulasso.
0,0
1 2 3 4 5 6 (D’après Mattoni et Grimaud in Godet et al.)

mois de lactation

permanent rationné

Tableau 2. Rentabilité de quelques formes de cultures fourragères, comparées à la jachère paysanne.


A Jachère naturelle à Andropogon gayanus.
B. Jachère à Andropogon gayanus, améliorée par sur-semis de Stylosanthes hamata.
C. Association ancienne à Panicum maximum et Stylosanthes hamata.
D. Association de trois ans à Panicum maximum et Stylosanthes hamata.
(D’après Zoumana et César, 1998, in Godet et al.).

Type de pâturage Charge GMQ Production Gain Coût de Bénéfice


réelle animale monétaire la culture
UBT × j g/animal/j kg/ha Fcfa/ha Fcfa/ha/an Fcfa/ha/an

A. Jachère naturelle 257 121 62 25 000 25 000


B. Jachère améliorée 198 406 162 65 000 12 000 53 000
C. Association ancienne 378 366 278 111 000 20 000 91 000
D. Association de 3 ans 250 272 137 55 000 20 000 35 000
5
Production animale en Afrique de l’Ouest

Gestion et durabilité 12 t/ha. La charge de saison des pluies appliquée est forte,
particulièrement les trois dernières années. Cette charge ne
Rythme d’exploitation perturbe en rien le Panicum, dont le pourcentage s’accroît
jusqu’à 80 %. Mais il semble qu’elle fasse régresser le
L’intervalle entre les pâtures doit être déterminé par la grami- Stylosanthes qui disparaît presque en dernière année.
née de manière à assurer une bonne valeur alimentaire de la Corrélativement, le sol nu augmente, mais les adventices dis-
plante dominante. Ainsi, la figure 8 montre que le rythme de paraissent, étouffées par le Panicum.
25 jours convient à l’association Panicum maximum et Stylo-
santhes hamata, alors qu’il est trop rapide pour Andropogon Cette expérience montre à quel point la gestion d’une associa-
gayanus qui régresse. L’association de Andropogon gayanus tion est délicate, car on n’a généralement pas la possibilité
et Stylosanthes hamata doit être exploitée à 45 jours. dans un élevage de modifier la charge à la demande.

Mais le rythme ne doit pas non plus gêner le développement Aujourd’hui, la parcelle fourragère de Banankélédaga a 12
de la légumineuse. Un intervalle plus rapide avec l’association ans. Panicum maximum est toujours en place et reste en bon
de Panicum maximum risquerait de faire disparaître Stylo- état. Stylosanthes hamata est encore présent, bien que rare.
santhes hamata. Quelques adventices, surtout légumineuses, ont tendance à
se multiplier mais ne mettent pas en cause la parfaite péren-
nité de Panicum maximum sous le climat de Bobo-Dioulasso.
Durabilité et charge
L’expérience de Godet et coll. à Banankélédaga donne de Entretien
précieux renseignements sur l’évolution pendant six ans d’une
Après disparition d’une légumineuse dans une association, un
association implantée en 1991 (figure 9).
sur-semis est possible. La graminée sera rabattue par de for-
Si l’on excepte les données de 1992, qui représentent la bio- tes charges, puis la légumineuse ensemencée dans les raies
masse maximale et non la production cumulée par coupes, la d’une légère scarification, si possible après une fertilisation
production fourragère globale se maintien entre 9 t/ha et phosphatée.

100
90
Composition floristique (%)

80
70
60
50
40
30
20
10
0
26/06 16/07 08/08 03/09 28/09 23/10

1. Panicum 1. Stylosanthes
2. Andropogon 2. Stylosanthes

Figure 8. Evolution de la proportion des espèces cultivées de deux


associations exploitées au rythme de 25 jours :
1. association de Panicum maximum et Stylosanthes hamata ;
2. association de Andropogon gayanus et Stylosanthes hamata.
Le rythme de 25 jours convient à l’association Panicum maximum
et Stylosanthes hamata mais il est trop rapide pour l’association
Andropogon gayanus et Stylosanthes hamata.
(D’après Zoumana et César in Godet et coll.).

6
La culture fourragère à base de Panicum maximum

%
12 100

Production (t/ha), charge (UBT/ha)


90
10
80

70
8
60
6 50

40
4
30

20
2
10

0 0
1992 1993 1994 1995 1996 1997

production Panicum Stylosanthes


adventices sol nu charge

Figure 9. Evolution de la production fourragère de l’association


de Panicum maximum et Stylosanthes hamata sous l’effet de fortes
charges de saison des pluies, dans la région de Bobo-Dioulasso.
(D’après Godet, Grimaud et Ouédraogo in Godet et coll.).

Conclusion
La culture fourragère en association de Pan nicumm maximmumm et Stylossan
nthess ham
mata est une technique
intéressante et novatrice, capable d’améliorer l’alimentation du bétail en Afrique de l’Ouest. Sa pro-
ductivité est élevée et sa valeur fourragère est bonne. La pérennité de la graminée est garantie ; quant
à la légumineuse, elle peut être réintroduite tous les 5 à 10 ans en cas de disparition.
Son installation est cependant assez coûteuse, et sa gestion est délicate pour un éleveur qui ne serait
pas initié aux techniques d’exploitation des cultures fourragères. Elle correspond à une option
d’intensification fourragère et de pâturage pérenne. Elle ne convient pas aux cultures assolées. Enfin
Pannicum
m maxim mumm donne de bons résultats à l’ensilage, mais il procure un foin de qualité médiocre

Pour en savoir plus


César J., Zoumana C., Dulieu D. (1999). L’association fourra- Picard D. (1976). Dynamique racinaire de Panicum maximum
gère à Panicum maximum et Stylosanthes hamata en Côte Jacq. et apport au sol de matière organique. Paris, ORSTOM,
d’Ivoire. Fourrages, 157 : 5-20. 275 p.
Godet G., Grimaud P., Guérin H., Touré S.M., Zoumana Picard D. (1979). Evaluation of the organic matter supplied to
C.(1998). Culture fourragère et développement durable en the soil by the decay of the roots of an intensively managed
zone subhumide : actes de l’atelier régional, Korhogo, 26 au Panicum maximum sward. Plant and Soil, 51 : 491-501.
29 mai 1997 CIRDES/IDESSA/CIRAD-EMVT, 204 p.
Zoumana C., Assemian A., Bodji N., César J., Kouao
MCD-IEMVT (1991). Amélioration du disponible fourrager en B.J.(1994). Accroissement de la production fourragère au
Afrique tropicale humide. II - La prairie permanente. Ministère niveau du terroir (Côte d’Ivoire), Compte rendu final. CIRAD-
de la Coopération et du Développement / IEMVT-CIRAD, EMVT/IDESSA, Maisons-Alfort, 153 p.
Fiches techniques d’élevage tropical n° 6, 10 p.
Noirot M., Messager J.L., Dubos B., Miquel M., Lavorel O.
(1986). La production grainière des nouvelles variétés de
Panicum maximum sélectionnées en Côte-d’Ivoire. Fourrages
106 : 11-18.

7
Cette fiche est destinée aux décideurs, aux vétérinaires,
Î aux agronomes et aux techniciens d’élevage. Ces derniers
Février 2005 - Cirdes - Maquette Mariam Ouédraogo

porteront l’essentiel du message aux éleveurs.

Contact CIRAD
Cirdes
Unité de recherche en productions animales (URPAN)
Centre
Centre 01 BP 454, Bobo-Dioulasso 01, BURKINA FASO de coopération
international
internationale
de recherche-
développement Téléphone : (226) 97 22 87 en recherche
sur l’élevage Fax : (226) 97 23 20 agronomique
en zone Email : cirdes@ird.bf pour le
subhumide www.cirdes.org développement

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