Grammaire Francaise
Grammaire Francaise
Grammaire Francaise
Grammaire française
Biographie de l’auteur :
Nathalie Baccus enseigne le français au collège. Elle est aussi
l’auteure d’Orthographe française (Librio n° 596).
D’AUTRES LIBRIO POUR PROGRESSER
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) RÈGLES D’ACCORD
a) Règle générale
L’adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom
dont il dépend.
Ex. : une robe blanche – des pantalons blancs
elle est blanche – ceux-ci sont blancs
d) Accords particuliers
– Quand l’adjectif dépend de plusieurs mots coordonnés, il se met au
pluriel.
• Si ces mots sont de même genre, l’adjectif prend ce genre.
Ex. : une robe et une jupe blanches (Fém. Sing. + Fém. Sing. = Fém.
Plur.)
• Si ces mots sont de genres différents, l’adjectif se met au masculin
pluriel.
Ex. : une robe et un pantalon blancs (Fém. Sing. + Masc. Sing.
= Masc. Plur.)
– Quand le nom est déterminé par un nom collectif suivi de son
complément (UN GROUPE DE, UNE TROUPE DE…), l’adjectif peut s’accorder
avec le collectif ou avec son complément, selon le sens.
Ex. : une troupe de soldats italienne / italiens
– Avec la locution AVOIR L’AIR, l’accord se fait généralement avec le
sujet.
Ex. : Cette fillette a l’air fatiguée. – Cette pomme a l’air appétissante.
Toutefois, l’accord avec air est possible, si le sujet est un nom animé.
Ex. : Cette fillette a l’air fatigué. Cette pomme a l’air bon.
3) FONCTIONS DE L’ADJECTIF
a) Dans le groupe nominal, l’adjectif peut être épithète. Il se
trouve à côté du nom, sans que rien ne l’en sépare.
Ex. : Je me suis acheté une robe blanche.
5) REMARQUE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
g) de discours.
– Certains d’entre eux précisent l’attitude du locuteur par rapport à
l’énoncé.
Ex. : Il a sûrement été retardé.
Ex. : Heureusement, il ne lui est rien arrivé.
– D’autres organisent le discours de façon chronologique ou logique.
Ex. : D’abord / ensuite / enfin, j’aborderai le problème de la pollution.
Ex. : En revanche / cependant / ainsi / par conséquent / donc, c’est
un problème insoluble.
3) FONCTIONS DE L’ADVERBE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
a) MAIS est utilisé pour corriger l’énoncé de la proposition
précédente.
Ex. : Tout l’accusait mais son alibi était solide.
c) ET peut exprimer :
– une réunion de deux ensembles
Ex. : Elle a acheté des collants verts et rouges. (des collants verts et
des collants rouges)
– une intersection de deux ensembles
Ex. : Elle a acheté des collants vert et rouge. (des collants de deux
couleurs)
– une succession dans le temps
Ex. : Je termine cet article et j’arrive.
– une conséquence
Ex. : Il pleut et l’on se met à l’abri.
– une opposition
Ex. : J’ai peu dormi et ne suis pas fatigué.
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
Remarques :
1) Il ne faut pas confondre DES, forme contractée de l’article défini, et
DES, article indéfini.
DES est article défini quand il est la contraction de DE + LES :
Ex. : Le chien des voisins est féroce. – J’adore les fraises des bois.
Il est article indéfini dans les autres cas :
Ex. : Je mange des fraises.
2) De la même façon, il faut distinguer DU, forme contractée de
l’article défini et DU, article partitif.
DU est article défini quand il est la contraction de DE + LE :
Ex. : Le chien du voisin est féroce. – J’adore le parfum du curry.
Il est partitif dans les autres cas :
Ex. : Il y avait du vin sur la nappe.
3) DE LA et DE L' devant un nom non comptable sont des articles
partitifs :
Ex. : Maman faisait souvent de la soupe.
Ex. : Je voudrais de l’eau.
Dans les autres cas, il s’agit de la combinaison de la préposition DE
avec l’article défini LA ou L’ :
Ex. : Le chien de la voisine est féroce.
Ex. : Je déteste l’odeur de l’ail.
4) DE est préféré à DES, dans la langue soutenue, lorsque le nom
commun est précédé d’un adjectif épithète.
Ex. : Elle a de longs cheveux blonds.
DÉTERMINANT DÉMONSTRATIF
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
Remarques :
1) Toutes les formes simples peuvent être doublées par une forme
renforcée.
Ex. : ce livre, ce livre-ci, ce livre-là ; cette fleur, cette fleur-ci, cette
fleur-là ; ces fleurs, ces fleurs-ci, ces fleurs-là
2) À l’origine l’adverbe -CI (ICI) indiquait la proximité, tandis que -LÀ
marquait l’éloignement. En français moderne, toutefois, la forme avec
– LÀ est utilisée, même dans le cas où l’objet désigné est proche.
Ex. : Prête-moi ce stylo-là.
DÉTERMINANT INDÉFINI
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
3) REMARQUE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) MORPHOLOGIE
3) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) NOM COMMUN
3) NOM PROPRE
4) GENRE
Pour les êtres animés, le nom lui-même peut être porteur de l’un des
deux genres, le genre masculin étant alors la forme non marquée, par
rapport au féminin.
– Les noms féminins peuvent aussi être obtenus par adjonction d’un
suffixe, avec ou sans modification orthographique du nom masculin.
Les suffixes les plus fréquents sont -ESSE et -INE.
Ex. : un maître / une maîtresse
Ex. : un héros / une héroïne
– Enfin, l’opposition des genres est parfois marquée par des mots
radicalement différents.
Ex. : un père / une mère
Ex. : un étalon / une jument
5) NOMBRE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) FORMATION
3) VALEURS ET EMPLOIS
b) un complément de l’adjectif.
(Complément de l’adjectif.)
Ex. : Cet exercice est facile à réaliser.
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
SINGULIER PLURIEL
masc. fém. neutre masc. fém.
Formes celui celle ce ceux celles
simples
Formes celui-ci celle-ci celle-là ceci cela, ça ceux-ci celles-ci
renforcées celui-là ceux-là celles-là
Remarques :
1) Comme le déterminant démonstratif, le pronom démonstratif
présente des formes simples et des formes renforcées. De la même
façon, et ce, même si la particule -CI évoque, à l’origine, la proximité
et la particule -LÀ l’éloignement, on remarque une préférence pour les
formes en -LÀ.
2) À côté des formes du masculin et du féminin, on observe des
formes neutres. Ces dernières ne sont utilisées que pour désigner des
êtres inanimés, sauf dans le cas où elles sont employées
péjorativement.
Ex. : Tu m’avais parlé d’un génie et c’est ça que tu me proposes ?!
3) VALEURS ET EMPLOIS
CE apparaît comme :
– sujet du verbe être :
• dans les présentatifs C’EST / CE SONT
Ex. : C’est ma meilleure amie. – Ce sont mes romans préférés.
• dans l’extraction, avec les pronoms relatifs QUI et QUE
Ex. : C’est son frère qui l’a averti. – C’est hier que j’ai vu son frère.
• dans la locution interrogative EST-CE suivie des pronoms relatifs QUI
et QUE
Ex. : Qui est-ce qui l’accompagne ?
Ex. : Est-ce que tu es volontaire ?
– antécédent de la proposition subordonnée relative
Ex. : Ce que vous dites est très drôle !
– élément d’une locution pronominale (avec QUI ou QUE) introduisant
une proposition subordonnée interrogative indirecte
Ex. : Je me demande ce qui lui est arrivé.
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
3) VALEURS ET EMPLOIS
a) Dans une interrogative directe :
– QUI est utilisé pour les animés, qu’il soit sujet, complément d’objet
ou attribut.
Ex. : Qui est là ? – Qui as-tu appelé ? – À qui écris-tu ? – Qui est-elle ?
– QUE / QUOI font référence à des non-animés et occupent les fonctions
de compléments d’objet ou d’attributs.
Ex. : Que dites-vous ? – À quoi faites-vous allusion ? – Que sont-ils ?
Remarque : Lorsque la question porte sur un sujet non animé, il faut
avoir recours à la forme renforcée QU’EST-CE QUI ?
Ex. : Que / Quoi te tente ? / Qu’est-ce qui te tente ?
– QUEL, QUELLE, QUELS et QUELLES s’emploient comme attributs et font
référence à un animé ou à un inanimé.
Ex. : Quel est ton avis ?
– les formes composées peuvent renvoyer à un animé ou à un
nonanimé et être sujets, compléments d’objet ou attributs.
Ex. : Lesquelles sont venues ? – Laquelle préfères-tu ? – Lequel
est-ce ?
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
Remarques :
1) ON ne peut être que sujet. Il peut fonctionner comme pronom
indéfini ou comme pronom personnel. Dans ce dernier cas, il fait
référence à des êtres identifiables et peut remplacer JE, TU, NOUS ou
bien VOUS.
Ex. : On ira à Provins en mars.
2) IL, pronom nominal, ne peut fonctionner que comme sujet
(« apparent »). Il s’agit alors de la forme impersonnelle.
Ex. : Il pleut, il neige, il faut s’abriter !
3) VALEURS ET EMPLOIS
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
SINGULIER PLURIEL
masc. fém. masc. fém.
re le mien la mienne les miens les
1 PS
e le tien la tienne les tiens miennes
2 PS
e le sien la sienne les siens les
3 PS
re
le nôtre la nôtre les nôtres tiennes
1 PP le vôtre la vôtre les vôtres les
e
2 PP le leur la leur les leurs siennes
3e PP
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
Remarques :
1) QUI, QUE, QUOI peuvent aussi fonctionner comme pronoms
interrogatifs. Seul le sens du verbe permet de faire la distinction.
Ex. : Dis-moi qui tu préfères. (qui = pronom interrogatif)
Ex. : Choisis qui tu voudras. (qui = pronom relatif)
2) OÙ peut aussi être utilisé comme adverbe interrogatif.
Ex. : Où vas-tu ? / Je te demande où tu vas. (où = adverbe
interrogatif)
Ex. : Le village où j’ai passé toute mon enfance m’est cher. (où
= pronom relatif)
3) QUICONQUE peut aussi être un pronom indéfini.
Ex. : Tu sais cela aussi bien que quiconque. (pronom indéfini)
Ex. : Quiconque a dit cela est un menteur. (pronom relatif)
4) Les formes composées, quant à elles, peuvent aussi être
déterminants relatifs (lorsqu’elles accompagnent un nom commun)
ou pronoms interrogatifs.
Ex. : J’ai lu plusieurs revues, lesquelles revues m’ont paru
inintéressantes. (lesquelles = déterminant relatif)
Ex. : Dis-moi lequel tu choisis. (lequel = pronom interrogatif)
Ex. : J’ai lu plusieurs revues, lesquelles m’ont paru inintéressantes.
(lesquelles = pronom relatif)
3) VALEURS et emplois
1) GÉNÉRALITÉS
Le verbe est l’une des catégories grammaticales les plus importantes.
Il apporte une information sur le thème de la phrase.
Ex. : Les hirondelles chantent.
* L’indicatif
– passé simple relate des faits passés, sans lien avec le présent de
l’énonciation (valeur de base). Il présente les événements principaux
qui se détachent sur une toile de fond évoquée à l’imparfait. Il s’agit
d’un temps du récit, qui n’apparaît que dans la langue écrite.
Ex. : La grand-voile éclata et le navire se mit à tanguer. (passé
révolu)
Ex. : Les éclairs striaient le ciel. Tout à coup, un choc ébranla le
navire. (faits essentiels dans le récit)
* L’impératif
– présent exprime qu’une action devra avoir lieu dans un futur plus
ou moins immédiat.
Ex. : Apprends ta leçon.
– passé indique qu’une action devra avoir eu lieu dans le futur. Ce
temps évoque donc très souvent une antériorité par rapport à une
action relatée au futur simple.
Ex. : Aie appris ta leçon quand je reviendrai !
* Le subjonctif
* L’infinitif
* Le participe
* Le gérondif
Il présente une action qui se déroule, simultanée par rapport à
l’action principale. Il est toujours accompagné de EN.
Remarque : Il assume la fonction de complément circonstanciel
facultatif.
Ex. : En travaillant sans relâche, il a atteint son but.
c) Les voix
e) Les genres
Le verbe, au participe passé, peut varier en genre.
Ex. : Effrayée, la jument partit au galop.
Ex. : La jument que vous avez effrayée est partie au galop.
(Pour l’accord du participe passé, se référer à Conjugaison française,
Librio no 470.)
4) ACCORD DU VERBE
a) Règle générale
Le verbe s’accorde en nombre et en personne avec son sujet.
Lorsque ce sujet n’est pas exprimé – à l’impératif –, l’accord se fait en
fonction de l’interlocuteur qui est concerné.
– juxtaposés
• Lorsque les sujets sont juxtaposés, dans une gradation, l’accord se
fait avec le sujet le plus proche.
Ex. : Un regard, un sourire, un geste faisait plaisir à ce malheureux.
• Quand ces sujets juxtaposés sont repris par un pronom, le verbe
s’accorde avec ce pronom.
Ex. : Hommes, femmes, enfants, chacun avait fait ses bagages.
– coordonnés
• Un verbe qui a plusieurs sujets coordonnés par ET, se met au pluriel.
Ex. : Pierre et Lucile iront au cinéma. (3e PS +3e PS = 3e PP)
Si ces sujets sont des personnes différentes, le verbe s’accorde en
priorité avec le sujet de la première, puis de la deuxième personne.
Ex. : Toi et moi irons au cinéma. (2e PS +1re PS = 1re PP)
Ex. : Lucile et toi irez au cinéma. (3e PS +2e PS = 2e PP)
Remarque : Si le verbe a pour sujet la locution pronominale L’UN(E) ET
L’AUTRE, il se met généralement au pluriel.
Ex. : J’avais invité Marie et Amélie ; l’une et l’autre sont venues.
• Un verbe qui a plusieurs sujets coordonnés par OU ou NI peut se
mettre au singulier ou au pluriel.
* Si l’action peut être exercée simultanément par les deux sujets, le
verbe se met au pluriel.
Ex. : Papa ou toi irez au marché. (ou = inclusif)
Ex. : Ni Papa ni toi n’irez au marché. (ni = inclusif)
Remarque : Si les sujets ne sont pas de la même personne, le verbe se
met à la personne prioritaire.
* Si l’action ne peut être exercée par les deux sujets en même temps,
le verbe s’accorde avec le dernier sujet.
Ex. : Papa ou Michel prendra le volant. (ou = exclusif)
Ex. : Ni Papa ni Michel ne prendra le volant. (ni = exclusif)
– subordonnés
• Le verbe ayant des sujets reliés par une locution conjonctive de
comparaison telle que COMME, AINSI QUE, DE MÊME QUE… se met dans
certains cas au singulier et dans d’autres au pluriel.
• Le verbe se met au pluriel lorsque la locution correspond à ET.
Ex. : Le néerlandais comme l’allemand sont des langues germaniques.
• Il se met au singulier quand cette locution garde pleinement sa
valeur de comparaison (il est dans ce cas entre virgules).
Ex. : Ton teint, ainsi que le mien, est d’une pâleur extrême.
– II –
Les fonctions grammaticales
APPOSITION
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) NATURES DE L’APPOSITION
3) CONSTRUCTIONS DE L’APPOSITION
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
Lorsque l’on met à la voix passive une phrase active qui contient un
attribut du complément d’objet, ce dernier devient attribut du sujet.
Ex. : Le village a élu Maurice maire.
Dans cette phrase à la voix active, maire est attribut du complément
d’objet Maurice.
Ex. : Maurice a été élu maire par le village.
Dans la phrase à la voix passive, maire est attribut du sujet Maurice.
Voix et Attribut du sujet.)
5) REMARQUE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
Lorsque l’on met à la voix active une phrase passive qui contient un
attribut du sujet, ce dernier devient attribut du complément d’objet.
Ex. : Ma voisine est surnommée Marilyn par mes amis.
Dans cette phrase à la voix passive, Marilyn est attribut du sujet ma
voisine.
Ex. : Mes amis surnomment ma voisine Marilyn.
Dans la phrase à la voix active, Marilyn est attribut du complément
d’objet ma voisine.
5) REMARQUE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
a) De la phrase
La fonction de complément circonstanciel de la phrase peut être
assumée par :
– un nom propre précédé d’une préposition
Ex. : L’euro a fait son apparition en France.
– un nom commun précédé d’une préposition
Ex. : L’euro a fait son apparition sans problème.
– un groupe nominal précédé d’une préposition
Ex. : L’euro a fait son apparition dans tous les pays européens.
– un pronom, éventuellement précédé d’une préposition
Ex. : L’euro y a fait son apparition.
– un infinitif précédé d’une préposition
Ex. : L’euro y a fait apparition sans crier gare.
– un gérondif
Ex. : L’euro a fait son apparition en inondant tous les marchés.
– un adverbe
Ex. : L’euro a fait son apparition avant-hier.
– une proposition subordonnée conjonctive
Ex. : L’euro a fait son apparition avant que les soldes ne commencent.
– une proposition subordonnée participiale
Ex. : L’euro a fait son apparition, le début de l’année arrivant.
b) Du verbe
La fonction de complément circonstanciel du verbe peut être exercée
par :
– un nom propre précédé d’une préposition
Ex. : Je me rends en Bretagne.
– un groupe nominal précédé d’une préposition
Ex. : Je me rends au pays de la musique celte.
– un pronom, éventuellement précédé d’une préposition
Ex. : Je m’y rends.
– un adverbe
Ex. : Je m’y rends souvent.
– une proposition subordonnée conjonctive
Ex. : Je me rends en Bretagne dès que j’ai deux jours de congé.
a) De la phrase
Certains d’entre eux précisent les circonstances dans lesquelles
l’action se réalise :
– temps
Ex. : Aujourd’hui, il neige.
– lieu
Ex. : La neige est tombée sur tout le pays.
– but
Ex. : Je me suis dépêchée pour ne pas être en retard.
– moyen
Ex. : Avec des efforts intenses et répétés, tu atteindras ton but.
– cause
Ex. : Suite à ce mensonge, plus personne ne voulait la croire.
– conséquence
Ex. : Il a plu tellement que la Seine est en crue.
– concession
Ex. : Malgré ses efforts répétés, il a échoué.
– opposition
Ex. : J’attends depuis cinq minutes alors que, toi, tu viens d’arriver.
– hypothèse
Ex. : Consultez votre dictionnaire si vous en avez besoin.
– comparaison
Ex. : Elle est partie comme elle était venue : sans faire de bruit.
Tandis que d’autres précisent l’attitude du locuteur :
Ex. : Heureusement, il ne lui est rien arrivé.
b) Du verbe
Certains sont facultatifs et précisent les circonstances dans lesquelles
l’action se réalise :
– manière
Ex. : Cet enfant écrit parfaitement.
– moyen
Ex. : J’ai écrit l’adresse avec un stylo à encre dorée.
– cause
Ex. : Beaucoup de peuples souffrent de la guerre.
– accompagnement
Ex. : Je partirai avec toi.
D’autres sont essentiels et sont dictés par la construction du verbe. Ils
accompagnent les verbes :
– dits « locatifs » (qui situent dans l’espace)
Ex. : Je loge dans un immeuble ancien.
– de poids, de prix, de temps
Ex. : Ce carton pèse cinq kilos.
Ex. : Ce livre coûte trois euros.
Ex. : Ce film dure longtemps.
COMPLÉMENT du NOM
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
3) REMARQUES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
3) REMARQUE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) NATURES DE L’ÉPITHÈTE
3) REMARQUES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
3) PLACE DU SUJET
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
– Le discours rapporté consiste à répéter des paroles qui ont déjà été
dites.
– Il met donc en jeu deux situations d’énonciation :
• la première au cours de laquelle les paroles ont été dites une
première fois ;
• la seconde au cours de laquelle elles ont été répétées.
– Il existe trois types de discours rapporté : le discours direct, le
discours indirect et le discours indirect libre.
2) DISCOURS DIRECT
3) DISCOURS INDIRECT
Ex. : Elle lui demanda alors pourquoi il riait.
– Les paroles sont en quelque sorte résumées ; elles n’interrompent
pas la narration et ont perdu toute marque d’oralité.
– Seul le verbe de paroles (dire, affirmer, demander, répondre…)
permet de les repérer.
– Dans le discours indirect, on rencontre uniquement des phrases
déclaratives, les temps liés au passé simple de l’indicatif et donc des
énoncés coupés de la situation d’énonciation.
– Les paroles rapportées apparaissent sous la forme de propositions
subordonnées conjonctives, interrogatives indirectes ou sous la forme
d’un groupe verbal à l’infinitif (introduit par la préposition DE).
1) ÉNONCIATION ET ÉNONCÉ
2) SITUATION D’ÉNONCIATION
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) NÉGATION
A- la pesanteur / l’apesanteur
DIS- courtois / discourtois
IN- la discipline / l’indiscipline
IM- la pudeur / l’impudeur
IL- lisible / illisible
IR réel / irréel
DE(S)- agréable / désagréable
ME(S)- l’entente / la mésentente
5) Les mots intrinsèquement négatifs
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) PHRASE complexe
c) par subordination
L’une des propositions – la proposition subordonnée – dépend de
l’autre
– la proposition principale. En effet, la proposition subordonnée ne
peut fonctionner sans la proposition principale.
Ex. : Lorsque tout fut calme, je m’endormis.
Lorsque tout fut calme.
(Propositions subordonnées, conjonctive, infinitive, interrogative
indirecte, participiale et relative.)
• La proposition subordonnée peut être introduite par un mot-outil :
– une conjonction de subordination
Ex. : Je m’endormis lorsque tout fut calme.
La proposition subordonnée est alors appelée « conjonctive ».
– un pronom relatif
Ex. : Le guide qui nous accompagnait fut très apprécié de tous.
La proposition subordonnée est appelée « relative ».
– un mot (déterminant, pronom ou adverbe) interrogatif
Ex. : Maman te demande quelle robe tu vas mettre.
Ex. : Maman te demande qui tu as invité.
Ex. : Maman te demande pourquoi tu n’es pas venue.
La proposition subordonnée est appelée « interrogative indirecte ».
• En outre, il existe des propositions subordonnées qui ne sont
introduites par aucun mot-outil.
– La proposition subordonnée « infinitive » est constituée d’un verbe à
l’infinitif, accompagné d’un « sujet » qu’il ne partage avec aucun autre
verbe.
Ex. : J’entends chanter les oiseaux. (le « sujet » de chanter, les
oiseaux, n’est le sujet d’aucun autre verbe)
– La proposition subordonnée « participiale » est constituée d’un
verbe au participe passé, accompagné d’un « sujet » qu’il ne partage
avec aucun autre verbe.
Ex. : Les grilles s’ouvrant, les clients se précipitèrent dans le magasin.
(le « sujet » de s’ouvrant, les grilles, n’est le « sujet » d’aucun
autre verbe)
Remarque : Les exemples ci-dessous sont des phrases simples ; elles
ne contiennent qu’une seule proposition.
Ex. : J’adore lire le soir.
Dans cette phrase, l’infinitif lire partage son « sujet » j’avec un autre
verbe, adore. Il n’y a donc pas de proposition subordonnée infinitive.
Ex. : S’impatientant, le candidat perdit son sang-froid.
Dans cet exemple, le participe présent, s’impatientant, partage son
« sujet », le candidat, avec un autre verbe, perdit. Il n’y a donc pas de
proposition subordonnée participiale.
d) Tableau récapitulatif
Proposition « Outil » Proposition
Juxtaposition indépendante signe de ponctuation indépendante
Coordination indépendante conjonction de indépendante
coordination
Subordination principale conjonction de subordonnée
subordination conjonctive
principale pronom relatif subordonnée relative
principale mot interrogatif subordonnée
interrogative indirecte
principale / subordonnée infinitive
principale / subordonnée
participiale
PROPOSITION SUBORDONNÉE CONJONCTIVE
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) CATÉGORIES ET SPÉCIFICITÉS
a) Substituts nominaux
Ils apparaissent donc sous la forme d’un groupe nominal qui peut :
– n’apporter aucune nouvelle information (synonyme, parfois)
Ex. : La jeune fille agita la main. L’adolescente courut vers lui.
– préciser, caractériser le mot remplacé
Ex. : La jeune fille agita la main. L’adolescente blonde et élancée
courut vers lui.
– permettre de porter un jugement (vocabulaire évaluatif ou
subjectif)
Ex. : La jeune fille agita la main. La superbe brindille courut vers lui.
b) Substituts pronominaux
– Ils ne donnent pas d’information nouvelle sur le mot remplacé et ne
permettent généralement pas d’exprimer un jugement.
Dans l’exemple ci-dessous, toutefois, le substitut ÇA permet de porter
un jugement négatif.
Ex. :
Ex. :Ex. : Tu m’avais parlé d’un génie et c’est ça que tu me proposes ? !
– Toutes les catégories de pronoms représentants peuvent exercer le
rôle de substituts.
–
– Certains substituts pronominaux évoquent la totalité de leur
antécédent, tandis que d’autres ne font référence qu’à une partie.
Ex. : J’ai lu les romans de William Faulkner. Tous m’ont plu. Même si
quelques-uns sont assez difficiles d’accès.
Remarques :
– Les pronoms personnels LE, EN et Y peuvent aussi être des substituts
d’adjectifs et de propositions.
– Seuls les pronoms interrogatifs de forme composée (LEQUEL, AUQUEL,
DUQUEL…) peuvent jouer le rôle de substituts.
– Les pronoms relatifs ont un rôle double : ils remplacent leur
antécédent et enchâssent la proposition subordonnée dans la
principale.
– Il faut prendre garde à utiliser un substitut pronominal qui ne soit
pas ambigu.
Ex. : La jeune fille empoigna sa valise. Elle était vraiment énorme.
Dans l’exemple ci-dessus, on pourrait avoir le sentiment que le
substitut elle renvoie à Alice !
c) Déterminants possessifs
Les déterminants possessifs peuvent aussi jouer le rôle de substituts,
dans la mesure où ils associent un être ou un objet nouveau à celui
qu’ils reprennent.
Ex. : La jeune fille empoigna sa valise.
Dans l’exemple ci-dessus, le substitut sa établit une relation entre
Alice et la valise.
1) CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELLES
2) PHRASE DÉCLARATIVE
3) PHRASE INTERROGATIVE
b) On distingue :
– l’interrogation totale, à laquelle on peut répondre par « oui » ou par
« non », et dans laquelle il n’y a pas de mot interrogatif.
Ex. : Bénédicte fait-elle consciencieusement ses devoirs ?
– l’interrogation partielle, à laquelle on ne peut pas répondre par
« oui » ou par « non ».
Elle porte sur un élément précis de la phrase, représenté par un mot
interrogatif.
Ex. : Quand Bénédicte compte-t-elle faire ses devoirs ?
4) PHRASE IMPÉRATIVE
5) PHRASE EXCLAMATIVE
6) REMARQUE
Corrigés :
a)
SCORE : ….../40
CLASSES GRAMMATICALES
DÉTERMINANTS OU PRONOMS ?
Rappel : Le déterminant accompagne toujours le nom commun. Le
pronom, lui, accompagne le verbe.
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BILAN : MOTS APPARTENANT À DIVERSES CLASSES GRAMMATICALES
• Donnez la classe grammaticale de chacun des mots en italique.
Corrigé :
1. adjectif qualificatif – 2. pronom indéfini – 3. déterminant
indéfini – 4. déterminant indéfini – 5. pronom indéfini – 6. nom
commun – 7. adverbe – 8. pronom indéfini – 9. adjectif qualificatif
– 10. pronom indéfini – 11. nom commun – 12. nom propre – 13.
préposition – 14. adverbe – 15. nom commun – 16. interjection –
17. adverbe interrogatif – 18. conjonction de subordination – 19.
nom commun – 20. conjonction de coordination – 21. préposition –
22. pronom personnel – 23. conjonction de subordination – 24.
pronom relatif – 25. préposition – 26. noms communs – 27.
pronom interrogatif – 28. pronom relatif – 29. adverbe – 30.
déterminant indéfini – 31. adjectif qualificatif – 32. interjection –
33. nom commun – 34. adjectif qualificatif – 35. adjectif
qualificatif – 36. nom commun – 37. gérondif (en + participe
présent) – 38. interjection – 39. nom commun
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PROPOSITIONS
Rappel : Voir le tableau récapitulatif des propositions.
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FONCTIONS GRAMMATICALES
SUJET
a) Soulignez, dans les phrases ci-dessous, le sujet des verbes en
italique.
1. Au fond du grenier s’entassaient de vieilles valises pleines de
souvenirs de voyage. – 2. Les poèmes de Verlaine ont-ils
immédiatement été reconnus pour leur beauté ? – 3. Pourriez-vous me
conseiller un CD où se trouveraient réunis les plus grands airs de Dom
Juan ? – 4. Parcourir cette distance en si peu de temps est vraiment
un exploit ! – 5. Que celles qui prennent un pique-nique lèvent le
doigt ! – 6. Ainsi la fée a-t-elle protégé l’enfant dans le berceau. – 7.
Qui m’aime me suive !
ATTRIBUT DU SUJET
COMPLÉMENT D’AGENT
Rappel : Dans une phrase à la voix passive, le sujet subit l’action du
verbe ; c’est le complément d’agent qui la fait. Ce dernier est introduit
par les prépositions par ou de.
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FONCTIONS PAR RAPPORT AU NOM
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COMPLÉMENTS CIRCONSTANCIELS
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PHRASE
DISCOURS RAPPORTÉ
a) Dans le dialogue ci-dessous, rétablissez la ponctuation du
discours direct, qui a été effacée.
L’examinateur interrogea le candidat
Où avez-vous fait votre stage, jeune homme ? Et quelle en a été la
durée ?
J’ai fait ce stage d’une semaine dans un cabinet médical tout près
d’ici… Où exactement ?
Le jeune homme, très impressionné par cette épreuve orale, se mit à
bafouiller
Je ne sais plus…
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c) Soulignez les verbes de paroles et mettez les paroles
rapportées indirectement au discours direct.
La grand-mère se fâcha et demanda à Louis quel âge il avait, ajoutant
que sa petite sœur ne pouvait pas comprendre les règles de ce jeu,
qu’elle était beaucoup trop jeune.
Louis répondit posément qu’il savait qu’elle était petite, mais qu’elle
pouvait faire un effort quand même. Il ajouta que Juliette n’écoutait
même pas ce qu’il lui disait.
La gamine s’insurgea en disant qu’elle était très attentive au
contraire, mais que c’était lui qui n’était pas clair du tout et qui
expliquait très mal. Fatiguée par ces éclats de voix, la mamie piqua
du nez et se mit à ronfler paisiblement.
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Corrigés :
a) 1. n’… personne > As-tu vu quelqu’un ? – 2. ne… plus > Vous
ont-ils encore donné des nouvelles ? – 3. Aucune… ne > Quelle
émotion se lisait sur son visage ? – 4. ne… point > M’en voulez-
vous ? – 5. n’… jamais > As-tu jamais pu démêler cette histoire ?
b) 1. Totale : As-tu assisté à la réunion plénière ? – Partielle :
Quand… ? – 2. Totale : Avez-vous trouvé des informations sur le
sujet ? – Partielle : Où… ? – 3. Totale : Ont-ils été impressionnés
par ce comédien ? – Partielle : Pourquoi… ? – 4. Totale : Ont-ils
payé pour obtenir ce service ? – Partielle : Combien… ? – 5. Totale :
Quelqu’un est-il caché derrière l’arbre ? – Partielle : Qui… ?
c) 1. Phrase affirmative, interrogative (partielle) et exclamative – 2.
Phrase négative, impérative – 3. Phrase négative, interrogative
(partielle) – 4. Phrase négative, déclarative et exclamative – 5.
Phrase affirmative, interrogative (totale)
d) 1. Ne partez pas en retard ! – 2. Le public n’est-il pas ému par
son attitude ? – 3. Je ne peux pas compter sur vous ! – 4. Ne
partez-vous pas en vacances cet hiver ? – 5. Vous êtes ridicules.
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SUBSTITUTS
a) Dites ce que chacun des substituts soulignés représente.
Quand Marcel fut entré dans la pièce, qu’il y eut jeté un coup d’œil, et
qu’il en eut fait rapidement le tour, il sut immédiatement qu’un
incident s’était produit. Son misérable domaine, que le pauvre
homme s’était aménagé avec tant de mal, était sens dessus dessous.
Matelas, couverture élimée, sacs troués, tout semblait avoir été
fouillé !
Marcel était sur le point de rassembler ses maigres affaires, quand il
entendit un faible cri, qui semblait provenir d’une vieille chaussette. Il
s’en approcha, saisit celle-ci d’une main tremblante, et en sortit un
tout petit chaton. La minuscule touffe de poils se mit alors à lui lécher
la main de sa langue rugueuse. Le vieillard grognon ne le savait pas
encore, mais ce petit animal allait mettre un terme à la solitude qui
lui était de plus en plus douloureuse.
1. il ….................................... 11. en …..................................
2. y ….................................... 12. celle-ci …............................
3. en ….................................... 13. en …..................................
4. s’ ….................................... 14. la minuscule touffe de poils .
5. son ….................................... 15. lui …..................................
6. que ….................................... 16. le vieillard grognon …..........
7. tout ….................................... 17. le …...................................
8. ses ….................................... 18. ce petit animal …................
9. qui ….................................... 19. qui. …................................
10. il ….................................... 20. lui …..................................
Corrigés :
a) 1. il : Marcel – 2. y : dans la pièce – 3. en : de la pièce – 4. s’: un
incident – 5. son : de Marcel – 6. que : son misérable domaine – 7.
tout : matelas, couverture élimée, sacs troués – 8. ses : de Marcel – 9.
qui : un faible cri – 10. il : Marcel – 11. en : de la vieille chaussette –
12. celle-ci : une vieille chaussette – 13. en : de la vieille chaussette –
14. la minuscule touffe de poils : le tout petit chaton – 15. lui : de
Marcel – 16. le vieillard grognon : Marcel – 17. le : ce petit animal
allait mettre un terme à sa solitude – 18. ce petit animal : le tout petit
chaton – 19. qui : la solitude – 20. lui : à Marcel
b) elle en est folle… elle l’utilise… elle la sort… elle la rentre dans
le garage, de peur qu’on la lui abîme… Le précieux joujou une fois
en sécurité, Angélique le bichonne : elle en fait lentement le tour…
elle astique ses cuivres, redresse ses rétroviseurs, en nettoie les
vitres… elle couvre la berline rutilante d’un grand drap de
velours… Angélique la quitte… la jeune fille redescend au garage
pour la voir une dernière fois et en rêver… Angélique feuillette ses
magazines préférés… ceux dont le sujet est… SA VOITURE…
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MODES ET TEMPS VERBAUX
Rappel : Sur les valeurs des temps verbaux, voir aussi la Conjugaison
française, Librio no 470.
Corrigés :
a) Ordre exprimé par 1. un infinitif – 2. l’indicatif présent – 3. le
subjonctif présent – 4. le futur simple – 5. l’impératif présent
b) Subjonctif demandé par un mot exprimant 1. un sentiment (je
suis déçue) – 2. la restriction (le plus) – 3. le but (pour que) – 4.
l’obligation (il faut) – 5. la concession (bien que) – 6. la restriction
(le premier) – 7. le doute (certains) – 8. le souhait (je préfère) – 9.
l’hypothèse (pourvu que) – 10. l’antériorité (avant que)
c) 1. pourriez : atténuation par politesse – 2. deviendrait : futur du
passé – 3. serais : faits imaginaires – 4. auraient fait : hypothèse
avec si + plus-que-parfait – 5. aurait (fait incertain)
d) 1. passé composé, antériorité par rapport au présent et passé
proche – 2. présents de vérité générale – 3. futur simple :
hypothèse avec si + présent – 4. passé antérieur et plus-que-
parfait : actions antérieures au passé simple.
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TABLE
III - La phrase
Discours rapporté
Énonciation
Formes de phrases–négation
Simple et complexe
Proposition subordonnée conjonctive
Proposition subordonnée infinitive
Proposition subordonnée interrogative indirecte
Proposition subordonnée participiale
Proposition subordonnée relative
Substituts
Types de phrases
IV - Exercices
Classes et fonctions grammaticales
Classes grammaticales
Fonctions grammaticales
Phrase
Modes et temps verbaux