BRB 9028
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PREMIERE PARTIE
La Franc-” . 354
PAR
S’ADRESSER A L’AUTEUR
lol j rue de Vaiigirard, PARIS (-ÏF')
(’.hèeiue postal Paris 1691-02
I»i; IIKIIK i^UTKlIK
oiinei'ie
SOMMAIRE. — Les mensonges statutaii-es de la
F.-. M.-. (bienfaisance, pas de politique, etc.). —
La F.-. M.'. contre la propriété ; la F.'. M.-. contre
la famille : divorce, corruption ; la femme, l’enfant ;
la presse, le théâtre, le. féminisme, la famille, les
« boys scouts », l'école sans Dieu, la dénatalité, —
La Bb'. M.‘. contre la pati'ie : l’armée, l’antimilita
risme, Hervé, Briand, le « Pioupiou de l’Yonne »,
le « Nouveau Manuel du .Soldat », le « Bon Dieu
laïque », les instituteurs antipatriotes, les insoumis,
les déserteurs, les traîtres ; Jeanne d’Arc, l’allaire
Dreyfus, les Fiches. l'Alsace-Lorraiue, la Guerre ;
les Révolutions ; les assassinats maçonniques.— La
B'.-. M.’. contre la religion.— Prix : a fr. 5o franco.
La Judéomaçonnerie
et les massacres du 6 février
SOMMAiRBb — Place de la Concorde. — A qui
incombent les responsabilités. — Juiverie et Franc-
maçonnerie. — Méfaits et crimes de la Judéoma
çonnerie. — Judéomaçonnerie et République. ■—
La Judéomaçonnerie et les massacres du ti février.
— Les diverses catégories de B'rancs-Maçons. — Le
Ministère assassin. — Sûreté générale. Socialisme.
— Le B’.-. Doumergue et la solution de la crise. —
L’homme, le système sauveur, les collaborateurs.
Rien n’est changé. — Les deux Commissions pour
rire. — Le Gouvernement contre les bons B’rançais.
Protestations de Paris et de la Province. — Quel
ques pensées. — Les « purs ». — Résumé et con
clusions. — Prix ; ‘i fr. 5o franco.
Pourquoi cct ouvrage?
« Il faut reproduire do toute
manière ces enseignements,
il faut les répandre par mil
liers, les rendre populaires
et accessibles à tous.» (Paro
les de Léon .Mil concernant
une brochure de ce geuro
sur la F. •. M. •.
Arrachez le masque !
Le but de cet ouvrage est de répondre à
l’appel et à l’ordre du Pape Léon XIII : « En
premier lieu, arrachez à la F.'. M.‘. le masque
dont elle se couvre, et faites-la voir telle qu'elle
est. »
Le ftitur bien-aimé Pape Pie X, en 1896, alors
qu’il était cardinal Sarto, patriarche dè Venise,
écrivait à deux vaillants écrivains antimaçonni
ques belges, Hoornaert et Merville : « Luttez,
luttez contre la F. ', M, ', ! Vous avez mon appro-
bation, parce que là vous méritez bien de la
famille, de la patrie et de l’humanité. »
C’est ce que nous allons faire en long et en
large, et du haut en bas.
Il est essentiel, en effet, avant d’aller au com
bat, de connaître l’ennemi, ses crimes, ses forces,
ses armes, son repaire, sa tactique, ses alliés, etc.
Question préalable
j^ant de démasquer le ridicule et l’odieux de
la F/. M.'., donnons satisfaction à une objec
tion souvent formulée ainsi :
« Est-ce bien charitable de combattre ainsi
les Francs-Maçons et est-ce bien conforme à
l’Union sacrée ? ? ? »
Voici quelques réponses.ttopiques ;
« Ridiculisez les fils de la Veuve. Il n’y a
pas de meilleure arme que la satire contre la
secte empoisonnée. » (André Baron.)
Dans la Préface de VInitiation d'un frère
Trois-Points, par M. Victor Saint-Lo, je lis ceci,
qui est parfait :
« ...Poursuivons l’ennemi de l’intérieur avec
l’arme du ridicule. Arrachons les masques. Mon
trons ces faces prétentieuses de H ornais, ces
grimaces fanatiques, ces yeux qui clignent au
grand jour, ces oreilles dressées à Vespionnage,
ces mâchoires de gros-mangeurs, ces fronts plis
sés et à ressort. Montrons ces esprits sans
lumière, ces cerveaux tatoués de figures symbo
liques et rudimentaires. Piétinons la ferblanterie,
les amulettes, les gris-gris de ces nègres qui se
croient fils de Templiers et dansent leur bam
boula philosophique au fond àa 33^ apparte-^
ment. Il n’est pas besoin du fouet de Juvénal
pour mettre en déroute ces chienlits. Le fouet
tout court est suffisant, si on l’administre d’une
poigne robuste. » (Léon Daudet).
Un Suisse, M. W. Vogt, parlant, lui aussi, de
ces « encombrants, innocents, Sots^ cuistres,
roués, et intrigants », recommande de les acca
bler de « gausseries, lazzis et étalage de leur
pathos redondant, de leurs simagrées à pouffer.
de leurs salamalecs à se tordre, de leur pose à
se rouler... », « tout en ne cessant de les com~
battre. »
Un éminent prêtre espaguol, Don Sarda y
Salvany, précise ainsi dans son remarquable
ouvrage ; Le libéralisme est, un péché (approuvé
et loué par la Congrégation de Tlndex) :
« Ainsi donc il convient d’enlever toute auto
rité et tout crédit au livre, au journal et au dis
cours de l’ennemi ; mais il convient aussi, en
certains cas, d’en faire autant pour sa personne,
oui, pour sa personne, qui est incontestablement
l’élément principal du combat, comme l’artilleur
est l’élément principal de l’artillerie, et non la
bombe, la poudre et le canon. 11 est donc licite,
en certains cas, de révéler au public sés infamies,
de ridiculiser ses habitudes, de traîner son
nom dans la boue.
« Oui, lecteur, cela est permis, permis en
prose, en vers, en caricature, sur un ton sérieux
ou badin, par tous les moyens et procédés que
l’avenir pourra inventer encore. »
Enfin, le doux saint François de Sales, ensei
gne qu’« il ne faut pas, pensant fuir le vice de
la médisance, favoriser, flatter ou nourrir les
autres, mais il faut dire rondement et franche
ment mal du mal et blâmer les choses blâmables.
11 faut observer, en blâmant le vice, d’épargner
le plus que vous pourrez la personne en laquelle
ils sont... J’excepte, entre tous, les ennemis dé
clarés de la religion et de son Eglise, car,
ceux-là, il les faut décrier tant qu’on peut,
comme sont les sectes des hérétiques et des
schismatiques et leurs chefs ; c’est charité de
crier au loup quand il est dans la bergerie,
n’importe où il soit. » {Introduction à Ui vie
dévote, livre 111, chap. XXIX.)
Or, ceci s’applique à merveille à la F.‘. M.‘.
et à ses chefs visibles ou occultes, et le loup
maçonnique est bien dans les bergeries de la
patrie et de l’Eglise... 11 n’y a qu’à lire, pour
s’en convaincre la magistrale étude du P. Bar
bier : Les Infiltrations maçonniques dans l’E-
gtise {2S fr.) et mon Tocsin sur la Cité (16 fr.)
Ainsi, nous sommes en parfaite sécurité de
conscience en démasquant et en combattant la
F.-. M/..
Insistons-y.
Comme il y a fagots et fagots, il y a aussi
francs-maçons et francs-maçons.
Les uns — et c’est le plus grand nombre —
ignorent totalement l’essence, le but, le secret
de l’organisation occulte dans laquelle ils se
trouvent embrigadés.
Rien d’étonnant, par conséquent, à ce qu’il
y ait parmi eux de braves gens de bonne foi,
naïfs, se contentant de peu, et, de fait, plutôt
dupes, bernés, que complices.
N’empêche qu’ils sont dans l’erreur, et qu’ils
contribuent, plus ou moins, au mal que fait la
secte ténébreuse.
Ceux-là, nous voudrions les éclairer, les arra
cher au danger, et les ramener au chemin de la
vérité.
Tel est le deuxième objectif de cette étude,—
le premier étant d’instruire et d’armer nos frères
croyants demeurés fidèles au drapeau catholique.
Au-dessus du « troupeau » — vulgum pecus
— de la fr.'. m.'., il y a un grand nombre de
catégories hiérarchisées où sont distribuées, par
des chefs occultes, toutes les compétences, puis
sances et valeurs utilisables.
Ces Frères.'.-là en savent plus long que les
premiers, et il serait difficile de croire à leur
absolue bonne foi, du moins d’une façon géné
rale.
Cependant, il y en a, et parfois des conver
sions retentissantes le démontrent.
Enfin au-dessus de toutes ces catégories qui
s’ignorent, tout en collaborant au même but, il
y a la tête, la direction de la F.'. M.'., ce que
nous appelions « le pouvoir occulte » : une élite
malfaisante de personnages sans scrupules, atf-
dacieux, haineux de l’Eglise catholique, campés
aux points vitaux de toutes les nations, et
possédant le nerf de la guerre : les milliards ;
ce sont surtout les juifs les plus éminents des
douze Tribus, avec, pour lieutenants, les hom
mes les plus aptes à les seconder, appartenant
à toutes les patries, à toutes les sectes, à toutes
les croyances ou incroyances.
Mais ce n’est pas tout !
—11 —
Hors d’Europe
La médaille qiaç.'.
Toute médaille, toute pièce de monnaie ntême
fausse â nécessairement deux faces, deiUC côtés,
l’avers et le revers.
La F.'. M.'., fausse médaille et fausse mon
naie de la vraie religion, a aussi deux faces :i
— 21-
côté grotesque, simiesque, menteur, et le côté
malin, méchant, malfaisant. Tel père, telle fille :
Satan est le Premier menteur, le Smge de Dieu,
lé* Grotesque par essence...(1).
Mais il est aussi le Premier Assassin, l’Er
reur et le Ma! dès le commencement de notre
histoire.
Et il a donné à sa fille sa double marque.
Sous les arbustes fleuris et parmi les bran
ches ployant sous les fruits du Paradis terrestre,
Satan .a trompé nos premiers parents en singeant
Dieu et en leur promettant que, s’ils l’écoutaient,
lui, en désobéissant à l’Eternel, ils devien
draient semblables à des dieux : eritîs dii.
C’était exactement le contre-pied de la vérité,
mais le Serpent savait bien ce qu’il faisait : un
acteur est toujours applaudi par la foule quand
il fait de belles promesses, diç nabis placenüa !
De plus, Satan a assassiné le bonheur terrestre
de l’humanité, condamnée, dès lors, à enfanter
dans la douleur et à gagner son pain à la sueur
de son front.
Mentir pour perdre leç enfants de Dieu, tel
fut le but de Satan. Tel est aussi le but de sa
fille,Ta F.’. M.'..
Nous la verrons à l’œuvre plus tard.
Contentons-nous, pour l’instant, de la bien
démasquer et décrire, en tant que grotesque et
menteuse.
2° Son surnom
On l’appelle aussi, en effet, la Veuve. Pour
quoi ?
Sans doute parce qu’elle a perdu le Bon sens,
le Nord et le Fil à plomb, à la suite de Satan,
l’orgueilleux Prince des Ténèbres éternelles....
Remarquons, en passant, que, ce surnom de
« Veuve, » elle le partage avec la... Guillotine..,
invention d’un F.’. M.'., le Frère Guillotin !
(l) « Oui, toute votre école et toutes vos Loges sont venues
des Tiinpliers. Après l’extinction do leur Ordre, un certain
nombre de chevaliers coupables, échappés à la proscription,
se réunisseni pour la conservation de leurs agruux inyalèrea.
A tout le Code de [Q,ur impiété, ils ajoutent le vœu de se venger
des rots et des pontiffS qui ont détruit leur Ordre et de toute
la religion qui anathématise leurs dogmes. Us sc lont des
adeptes qui transmettent de génération rrn génération les itiys-
tères d’iniiprité, les mémi>s serments, la mémo haine et du
Dieu, dos chrétiens et des rois et des prêtres. Ces mystères
arrivent jusqu’à vous, et vous en perpétue/, l’impiété, les vœux
et les serments : voilà votre origine. L'inlervaile des temps,
les mœurs de bliaque siècle ont bien pu varier une partie do
vos symboles et de vos aifroux mystèies ; l'essence en est res
tée ; les vœux et les .serments, la haine, les complots sont les
mêmes Vous no le diriez pas ; tout a trahi vos pères, tout
trahit les enfants. » (Abbé Barruel, Mémoires)^
fidélité à son Dieu k titre de sublime grand-
maître de la première Loge des francs-maçons. »
Et le F. ■. Cazot rapporte cette opinion maçon
nique sur l’origine de la secte : « La Franc-
Maçonnerie part de Dieu lui-même et part de
l’époque du chaos. On ne pourrait aller plus
loin : Dieu créa la lumière ; conséquence, Dieu
est le premier franc-maçon. »
Le F.'. Jacques-Etienne Marconis commence
gravement son ouvrage intitulé : Le Rameau
d’or d’Eleusis par ces révélations :
<( Lorsque le sublime arcliitecte des mondes eut
ati'.evé l’œuvre admirable de la création, il jeta dans
l’âme du premier des humains une parcelle de sa
divine sagesse ; il savait quels seraient tes labeurs des
mortels pendant les jours d’exil qu’ils auraient à pas
ser sur la terre ; il voulut que le père du genre humain
pût communiquer à ses descendants ce germe précieux
qu’il plaçait en lui, afin de faire accompagner le mal
par le remède. « Tu pourras t’élever jusqu’à moi, lui
« dit l’Eternel.... Je te donne ces outils symboliques,
« Véquerre, le compas, le niveau, la truelle et la règle ;
« ils sont d’origine immortelle et d’une précision im-
« muable, comme moi ; leur construction se confond
« dans les plans éternels que j’ai arrêtés. »
« Ainsi parla notre maître à tous, et cette allocution
symbolique resta gravée en traits ineffaçables dans le
cœur du premier des humains.... »
10° Sa devise
C’est au F.‘. Martin que l’on doit la si falla
cieuse devise : liberté, EgaUté, Fratefnlté,
— 30
C’èst une singerie de l’Evangile, ttne contre
façon cynique. . , . ,
En réalité, d-’après le mage Eliphas Levi (ex
abbé Constant), elle doit s’interpréter comme
ceci :
Liberté... pqqr \e& convoitises ;
Egalité... dans la bassesse ;
Fraternité... détruire.
C’est cela, tout à fait cela !
Et cela n’a-t-il pas comme un relent des abî
mes infernaux ?
Et cela ne vous semble-t-il pas un écho sin
cère et haineux du Très-Bas ?
Observons aussi qu’il est grotesque de pro
clamer et de promettre aux hommes la liberté
et l’égalité.
1° Nous ne sommes pas libres au sens absolu
du mot, nous sommes plus ou moins dépendants
de nos ancêtres, de notre tempérament, de nos
passions, de notre passé, de notre éducation, de
notre milieu, des lois physiques, des lois humai
nes, des lois de Dieu, de la nécessité, etc., etc. ;
2° Lés hommes ne sont pas égaux, c’est évi
dent ;
3° Enfin la liberté et l’égalité sont contradic
toires :
—« En effet, si je suis libre, j’ai le droit de faire
rendre à mes forces, à mon intelligence, à ma' volonté
tout ce que les unes et les autres peuvent donner.
D’autre part, ce que mes forces, mon intelligence et
ma volonté peuvent donner n’est évidemment pas la
même chose que ce que sont susceptibles de produire
les forces, l’intelligence et la volonté de tdls et tels
autres hommes, il est donc impossible que les hommes
fassent usage de leur liberté sans anéantir immédiate
ment l’égalité entre eux. ,
« Est-ce au contraire l’égalité qui doit régner dans
îe monde ? Alors, il ne faut pas que j’use de ma
liberté ; au contraire, il faut que je m’interdise à tout
moment de produire ou jouir plus que les autres.. Sans
cela l’égalité serait rompue. Ceux-ci seront obligés de
faire comme moi ; et tous ensemble, pour ne pas
détruire la parfaite égalité, nous serons obligés de ne
produire ni jouir plus que celui de tous les êtres
humains qui sera le plus impotent et le plus infirme, ce
qui serait supérieurement et admirablement bête !
« U est donc impossible, au iiom de la raison, que la
— 31 -
16'’Son jargon
Les F.'. M.‘. se moquent dé l'Eglise parce
qu’elle emploie Une langUe morte, lé latin. Et
cependant, quand on y réfléchit, on est bién
obligé, si on est loyal, de donner rai^n à l’E
glise. En effet, le latin étant-connu de tous les
savants constitue Une excellente lan^e interna
tionale, universelle. D’autre part, si-elle avait
adopté les langues vivantes, que de changements
elle aurait dû subir au cours des siècles ! Ainsi
le français d’aujourd’hui n’est plus du tout celui
de . la « chanson de Roland». Enfin, l’emploi
d’une langue vivante, du français par exemple,
donnerait Heu à de côcassês quiproquos. Lorsque
38 —
S. ■ — Sœur
Maç.’. — Maçonnerie ou Ma
çonnique
Autrefois, on voyaitsouvent ceci dans les
documentsmaçonniques :
A.-. L.-. G.-. D.-. G.-. A.-. D.-. L/. U.',
ce qui signifiait : A la gloire du Grand Ar
chitecte de l’Univers.
.4 répandre partout
Le Formidable Secret
de la Franc-Maçonnerie
SOMMAIRE. — La lutte antimaçoimicjne. —
Association louche, secrète, illégale, mallaisante.—
Autres caractéristiques : la F.'. M.\ a ses Bibles,
sa Théologie, sa Cosmogonie, ses Catéchismes, ses
Calendriers, ses Fêtes, ses Cérémonies, ses Rites,
sa Liturgie, ses Rituels, ses Sacrements (Baptême,
Mariage, Confirmation), ses Agapes, ses Cènes, ses
Fêtes spéciales, son Etendard, son Insigne, son
Symbole, ses Contre-Croix,. ses églises (ou loges),
ses Habits sacrés, son Matériel pour le culte, ses
Cachets, ses Diplômes, ses Périodiques, ses Sérni.
naires laïques, ses Conciles annuels (ou convents),
ses Obédiences, ses Congrégations, ses Filiales, ses
Succursales, ses innombrables Cercles d’influence,
ses Fidèles, ses Curés, ses Evêques, ses Cardinaux,
son Pape (occulte) ; elle a un idéal, un but. — La
Franc-Maçonnerie serait-elle donc une religion ! —
-Ouï, la F.-. M.-. est véritablement une religion,
mais une religion fausse, grotesque et malfaisante.
— Comme toute religion vraie ou fausse, la F.-. M. -.
a un « dieu ». — Quel est ce « dieu » ?— Le « (lien »
de la F.-. M.-., c'est Satan, Lucifer, Eblis, le chef
des Anges révoltés contre Dieu. — Le Juif et la
Franc-Maçonnerie.— La Judéoniaçonnerie constitue
l’essence, l'âme de cette religion de Satan. — Mais
elle englobe une multitude de sectes, de filiales, de
succursales, d’obédiences, de congrégations, rtc,,
telles que : les Hérésies, les Sociétés secrètes, les
Révolutions (1789, 1871, Russie, Mexique,
Espagne, etc.), le Spiritisme, la Métapsychique, la
Théosophie, le Rotary-Club, les Chevaliers de Co
lomb, l’O. T. O., la Déinocratie (même chrétienne),
la Société desNations, le Socialisme(même chrétien',
le Bolchevisme (œuvre du Juif et du Franc-Maçon)-
— Les méfaits de la fausse religion maçonnique. —
...Et Satan conduit le bal. — Conclusion.— 5 fr. 5o
franco.